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I LOVE HARVARD
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    let it go - agathe
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    Agathe Thomspers
    la reine des glaces pour vous servir
    BIO - Agathe Léonie, Léa Monroe-Thomspers. Née le 14 février 1994 à Genève (Suisse). Jumelle identique de Maxine. Dépose ses bagages à Harvard en 2012. Commence sa première année en tant que Quincy, sympa, le coeur sur la main elle a tout pour y appartenir. Les aléas de la vie font que les gens changent. Après divers traumatisme et particulièrement un, son comportement change du tout au tout. Plonge dans la drogue pendant tout l'année 2015-2016 et intègre par la même occasion la Mather house. Déchéance et excès sont les maîtres mots de son quotidien. En mars 2016 après une rupture douloureuse, elle prend la fuite et abandonne tout pour recommencer ailleurs. Départ peu fructueux puisqu'un peu moins d'un an plus tard, elle est de retour mais cette fois en tant qu'Eliot. La plupart des gens la croisant maintenant la surnomme la reine des glaces. En somme Agathe joue un double jeu. Son caractère la laisse entrevoir comme étant la pire des garces mais la réalité est toute autre. Victime d'un harcèlement moral quotidien pendant presque un an, elle perd toute confiance en elle pendant son absence. Son retour, sa froideur et son égo surdimensionné ne sont qu'une carapace pour empêcher les gens de la toucher. En réalité, blondie est d'une fragilité déconcertante et dispose de très peu de confiance en elle. Suffit juste de le comprendre.

    caractère : froide - hautaine - méprisante et méprisable - mystérieuse - renfermée - peu souriante - pas agréable - n'accorde que très peu sa confiance - rancunière - têtue - blessée - piquante - imbue de sa personne - exaspérante - délicate
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    MORE OF YOUR OWN STORY


       

    BEFORE HARVARD, FROM 1994 TO 2012
    Il était une fois l'histoire d'un prince et une princesse tombant éperdument amoureux. Ouais, bon.. En fait, c'était juste pour donner un effet de style. Histoire de ne pas juste parler d'une histoire sans problème, sans mouvement. Au final, toi ça te va très bien. Tu pourras jamais dire que tu as été malheureuse, tu pourras jamais parler d'adultère, d'abandon ni même prétendre être tombée dans la drogue à cause d'une famille catastrophique. Au final, tu rentres dans la catégorie la plus large. Le genre, famille heureuse, pas de souci, pas de drame. Et c'est bien comme ça, pas vrai ? Tu penses même que si quelqu'un voulait faire un reportage sur les Monroe-Thomspers, il s'ferait chier. Vous voyez la famille dans les publicités ? Ouais, ceux avec le grand jardin et le chien ? Bah c'est vous. Sans le chien. Quand tu disais que c'était banal. Tu as poussé ton premier cri le 14 février 1994. En fait, on pourrait dire que dès ta naissance, tu as su donner de la voix. Et c'est à peine quelques minutes plus tard que Maxine la parfaite à vu le jour. Des jumelles. Des vraies jumelles. Née le jour de la st valentin. Est ce que ça serait cliché de dire que naître le jour des amoureux prédisait une vie plein d'amour ? Peut-être. Bonjour, tu es l'optimiste née. Tu aimes les choses simples, les choses drôles, tu te contentes d'un rien et tu es tellement positive que t’es désormais certaine que Lorie a écrit "la positive attitude" pour toi. Donc oui, pour ceux qui ne le savait pas, tu as des références plutôt étranges. M'enfin, toi c'est Agathe. Agathe the power, Agathe the feeling, balancez les jeux de mots, tu as toujours trouvé ça drôle et t’es certainement la première à en faire. Disons que tu pourrais probablement t'engager dans une carrière d'humoriste sans aucun problème. Quoi que parfois, tu as l'impression d'être la seule à te trouver drôle. AH NOOOON. Maxine rigole à chaque fois. Où peut être que c'est juste pour ne pas te laisser dans une solitude profonde. Bref, Maxine c'est ton âme soeur. Vous savez ce lien indescriptible entre jumeau ? Celui dont tout le monde parle ? Il existe réellement. Max c'est ton double, ton amour, la femme de ta vie et si ce n'était pas considérée comme incestueux, tu l'aurais probablement déjà épousée. Et à la place, vous partagez ce lien qui fait que tu ressens chaque infime émotion qu'elle ressent. Son humeur se répercute sur ta mienne ou quelque chose comme ça. Oh, et tu es Suisse pour ceux qui voudrait savoir. *info inutile* Bref, pour continuer à parler de la famille il y a Zéphyr. Cousine, soeur. C'est un peu difficile à expliquer maaais, disons qu'elle a passé tellement de temps avec vous que c'est comme une soeur. En réalité une cousine. Disons Soeurine pour le mélange. Voilà. Autant rester dans la simplicité. Tu as déjà dis que ton histoire était d'un ennui mortel ? Tu sais même pas pourquoi tu l'écris. Si t’en faisais un livre, il ne se vendrait sûrement pas. Ou alors Maxine l'achèterais mais encore une fois, ça compte pas. Bref, vos parents étaient peut-être un peu trop absents. Disons qu'ils étaient du genre à plus travailler qu'autre chose mais c'pas pour autant que tu as manqué d'amour. Du moins tu ne l'as jamais ressenti comme ça alors tu le vis plutôt bien. Et malgré ce manque de temps, ils n'étaient pas non plus inexistant c'qui fais donc que tu pourrais jamais dire avoir grandi sans la présence de tes parents. Tout va bien dans le meilleur des mondes pas vrai ? Ouais, parfait. M'enfin, pendant que ta mère vous transmettait ses valeurs tu t'enfermais dans ton monde parallèle. Oh bien sûr, tout comme elle tu as gardé la fidélité, la loyauté. Tu es le genre de nana sans histoire en fait. Tu aimes tout et tout le monde et tu fuis le conflit comme la peste. Peut-être que tu as hérité de son côté trop gentil à l'opposé de Maxine qui elle, peut être une vraie tornade par moment. Mais dans l'ensemble, vous êtes un peu comme des gamines parfaite. Et pour finir, tu parlerais certainement de tes rêves. De ce que tu as toujours voulu faire et ce qui t'a poussé à donner le meilleur de toi-même pour y parvenir. Harvard, c'était plus une illusion qu'autre chose et pourtant, tu as été accepté. Alors quoi de mieux que d'aller dans l'université la plus prestigieuse du monde pour aller au bout de ses rêves ? Disons que tu pars avec des bonnes bases quoi. Et maintenant, tu n’as plus qu'à continuer à tracer ton chemin en espérant réussir exactement de la manière dont tu le veux. Et puis, y être avec ton double, ta moitié, c'est tellement mieux.

    BETWEEN SEPTEMBER 2012 TO MARCH 2016
    Quand tu repenses à tout ça, à tout ce que tu as traversé, tout ce que tu as pu vivre, tu te rends comptes que la vie peut totalement changer en un claquement de doigt. En y repensant, t’es carrément devenue l’opposé de ce que tu étais. Y a un côté effrayant à tout ça. Se dire qu’on peut basculer du jour au lendemain sans réellement le vouloir. Se dire qu’il suffit parfois d’une seule et minime action pour que plus rien ne soit pareil. T’étais cette gamine heureuse et insouciante, t’as intégré Harvard en passant les sat’s haut la main et rien ne prédisait ce qui allait se produire par la suite. Pour ainsi dire, tes trois premières années furent d’un calme plat. La routine, aller en cours, bosser toujours plus dire, passer ton temps libre en compagnie de ton double. Histoire bien peu intéressante, d’un calme terrifiant mais qui suffisait amplement à te rendre heureuse. Puis tout a dérapé. Parce que forcément, tu ne serais pas celle que tu étais aujourd’hui si les évènements n’avaient pas constitués à te précipiter dans ta chute. T’avais à peine vingt et un an, Quincy par choix et des rêves pleins la tête. Tout allait bien dans le meilleur des mondes et pour la première fois, tu tombais amoureuse. Adriel. Oh, jamais tu ne pourras oublier la courte relation que vous avez pu partager. Parce qu’il te faisait rire et qu’en un temps record, il était devenu le centre de ton monde. D’aussi loin que tu te souviennes, t’étais incapable de te rappeler comment un homme de sa trempe pouvait s’intéresser à une fille aussi inexistante que toi. Mais ça marchait plutôt bien. Faut croire que le proverbe clamant que les opposés s’attirent est plutôt vrai. Du moins, là il l’était. Alors tu te complaisais dans cette relation toute belle te permettant d’avancer toujours un peu plus loin. Puis ce fut le début de la fin. Y avait ce type dont tu ne citerais pas le prénom. Ce mec qui de base était un de tes proches. Ton ami si tu peux dire les choses comme ça. Et t’adorais passer du temps avec lui, si bien que t’aurais jamais pensé qu’il puisse être de cette trempe-là. C’était un soir de septembre, tu t’en rappellerais toute ta vie. Il était tard, l’année venait à peine de reprendre et toi, t’étais assise en tailleur sur ton lit finissant de relire tes notes comme bien des fois. L’avantager de vivre dans une maison est sûrement le fait qu’on peut être en contact avec tout le monde sans trop de souci, la convivialité et tout ça. Mais le désavantage est que tout le monde peut entrer comme dans un moulin sans forcément chercher bien loin. Et si dans un premier temps la surprise de le voir dans ta chambre était au summum, tu le laissais pourtant entrer sans poser trop de question. C’était ton ami, pourquoi te méfierais-tu une seule seconde ? Tu ne rentreras pas dans les détails pour la suite. Parce que premièrement, c’est toujours aussi douloureux et deuxièmement parce que personne n’a vraiment besoin de savoir comment ça a pu se dérouler de A à Z. Les victimes de viol sont souvent bafouées, pas prise au sérieux voir même complètement dénigré. T’as du l’aguicher aussi, c’est de ta faute. – Tu portais quoi ? Un décolleté plongeant et un mini short ? – Oh si tu voulais vraiment pas, suffisait de dire non. Triste réalité et descente aux enfers par la même occasion. T’avais du mal à réaliser qu’un truc pareil puisse t’arriver et si les premières semaines tu gardais le silence, tu finissais par t’exiler. Rentrer en Suisse t’avais paru être la meilleure idée. Rentrer chez toi, près de tes parents, te ressourcer un peu et peut-être te reconstruire un peu, repartir à zéro. Un brin idéaliste au fond. Parce que malgré les deux mois passés là-bas, rien ne s’arrangeait vraiment. Et force était de constater qu’à part lamentablement gâcher tes chances dans l’université la plus prestigieuse du monde, tu ne faisais pas grand-chose. C’était limite un débat qui éclatait en toi perdu entre ce que tu devais f aire et ce que tu avais envie. Alors quand tu reprenais la route en direction des Etats-Unis, c’était complètement changé que t’y remettais les pieds. Exit la gentille fille ne cherchant les problèmes à personne. Adieu celle laissant les autres l’écraser sous prétexte que chercher le conflit n’était pas intéressant. Etre sympa avec le monde entier ne t’avais rien apporté et sous la carapace que tu avais commencé à te forger ne restait plus que la rancœur et la haine envers ceux qui n’avais pas vu tes appels au secours. Retourner à la Quincy ? Blague de l’année. Tu n’étais plus la même et tu n’avais certainement pas envie de venir en aide aux autres. Pour quoi faire ? Non, Mather serait définitivement mieux. Et tu te laissais sombrer dans ce nouveau monde pseudo hippie te complaisant dans l’alcool et les tests de diverses drogues. Tu devenais cette fille que t’aurais jamais souhaité être parce que tu te fichais de tout le reste et que tu n’avais certainement pas envie d’accorder de l’importance à quoi que ce soit. Dans quel but ? Le destin est une connerie magistrale que les gens tentent de mettre en avant mais à quoi sert le destin si une cumulation de bonne action n’entraîne qu’une peine infinie ? Parce que t’avais été salie de la pire des façons qu’il soit et rien de ce que tu avais pu faire dans le passé ne méritait un fardeau comme celui-là. Et puis parfois, tu te surprenais à te sentir un peu plus vivante. La cause ? Aaron. Ce mec de la mather house que tu regardais parfois à la dérobée. Son côté bad boy avait suffi à te charmer. Et de fil en aiguille tu finissais par être en couple avec lui, pour le meilleur comme pour le pire. Tu saurais pas expliquer cette connexion entre vous parce qu’après réflexion, t’avais l’impression que ça ne matchait que de ton côté à toi. Et peut-être que chaque moment passé avec lui, chaque moment où t’avais senti à quel point c’était terriblement sincère n’était qu’une illusion de ton cerveau pour te faire croire que la lumière au bout du tunnel était vraiment là. Des mois de relation pour finalement te faire jeter comme le dernier des déchets. T’as jamais vraiment compris pourquoi et t’as pas non plus cherché. Sois disant qu’il n’était pas amoureux, que tu n’étais qu’un passe-temps.. Des conneries du genre qu’il avait dit. T’avais écouté sans broncher, le visage fermé et le cœur en morceaux. L’espoir fait vivre mais l’espoir tue aussi à petit feu. T’es consciente de ne pas avoir forcément fait les bons choix, de ne pas avoir été dans la bonne direction et plutôt que tenter de trouver du réconfort dans les bras de ton double, tu prenais la fuite encore une fois. Fallait croire que t’étais bonne à ça.

    BETWEEN MARCH 2016 TO JANUARY 2017
    T’étais plus la fille parfaite. Tes parents vous voyez partir en lambeaux, Maxine et toi, pour des raisons totalement différentes. Et c’était peut-être la raison pour laquelle ils acceptaient finalement que tu prennes le large. T’allais mal, ça faisait un moment que plus rien n’allait alors pourquoi forcer les choses ? Pourquoi te laisser sombrer à l’université quand tu n’étais déjà plus que l’ombre de toi-même ? Tu forçais les choses, tapaient des crises incessantes et finalement, t’avais ce que tu voulais. Ce « droit » de partir pour de bon, de te ressourcer où bon te semblait. Ce « droit » de tout abandonner derrière toi, y compris ta jumelle. Et tu ne te faisais pas prier parce que t’avais ce besoin de vivre à nouveau. De ressentir les choses, d’être libre. T’avais besoin de revivre. De ne plus être morte de l’intérieur. En bon cliché, tu choisissais les Seychelles, parce que t’avais l’argent pour t’y rendre et que le côté paradisiaque t’avait tout de même aguiché. Ouais, les Seychelles ce serait parfait. Et tu partais sans te retourner, sans penser une seule seconde à ceux que tu laissais derrière toi, persuadée que de toute façon, ce serait bien mieux comme ça. C’est un an que t’as passé loin de tout le monde donnant si peu de nouvelle que c’était presque comme si tu n’existais pas. Mais t’avais besoin de ça, besoin de ce nouveau départ, de faire ce que bon te semblait et surtout d’oublier tout le reste. Puis tu l’avais rencontré. Jaden qu’il s’appelait. Méfiante de tes anciennes relation, t’avais mis ce qui te semblais être un temps fou avant de te laisser apprivoiser. A lui tourner autour sans pourtant ne jamais rien lui donner. Mais il est connu qu’à ce genre de jeu, on finit toujours par perdre. Et c’est ce que tu avais fait. Perdre, littéralement. Les heures étaient devenues des jours, les jours des semaines et les semaines des mois. Tu retombais amoureuse quand tu pensais que ce n’était plus vraiment possible. Mais comme l’amour n’a jamais été réputé pour être fair-play, fallait bien que tu t’embarques dans l’amour le plus destructeur qui soit. L’emprise qu’il avait sur toi, tu ne la comprenais pas, elle était juste là. Il était capable de contrôler chacun de tes faits et gestes, capable de te faire faire ce que tu ne voulais pas. Parce que rien n’était trop beau pour lui plaire et que terrifiée à l’idée de le perdre, t’étais prête à n’importe quoi. Et c’est sûrement quand il t’a senti un peu trop à sa merci qu’il a réellement pris le dessus. Montré son vrai visage. L’homme gentil et romantique n’était qu’une illusion visant à mieux te faire tomber dans ses filets. Et jour après jour, c’était la même rengaine. Regarde toi deux minutes, t’es beaucoup trop grosse. – Faudrait que tu comprennes que je suis le seul à vouloir de toi. Qui voudraient d’une fille comme toi ? – Tu sens le pathétique à des milliers de kilomètre. – T’es l’être le plus insignifiant qui soit.- Pour ne citer que le meilleur. Du lynchage sept jours sur sept. Il avait cette capacité de te rabaisser, de te faire sentir comme si tu n’étais rien, comme si tu n’en valais pas la peine. Le pire dans tout ça ? T’y croyais dur comme fer à ses paroles. T’y crois toujours. Tu n’étais personne, indigne d’intérêt et tu te laissais chaque jour un peu plus rabaissé. Tu n’avais pas conscience à ce moment-là des dégâts que ça pouvait faire sur ta propre estime de toi. Tu laissais juste faire parce que t’étais persuadée de ne pas avoir le choix. T’étais comme prise au piège, incapable de te sortir de tout ça. T’essayais même pas parce qu’au fond, ça n’avait plus vraiment d’importance. On t’avait prouvé à mainte reprise que tu n’avais pas le droit à ce bonheur auquel tu pouvais aspirer, à quoi bon se battre dans le vide pas vrai ? Tu l’avais laissé faire, tu l’avais laissé effacer tout ce qu’il pouvait y avoir bon en toi. Tu l’avais laissé te mettre si bas qu’il serait pratiquement impossible pour toi de te relever. Et puis tant pis, tu t’en fichais. Les coups de pression, les coups bas, ça ne cessait jamais. T’étais jamais assez bien t’agissais jamais de la bonne façon. C’était ce qu’il répétait à chaque fois. Jusqu’à ce que le dernier rempart en toi se brise pour de bon. Et tu ne cherchais même pas à lutter, parce qu'au fond, t’étais juste fatiguée. Puis il y a eu la fois de trop. La fois où après un énième reproche, tu te risquais à l’envoyer balader. T’étais pas dans un bon jour diras-t-on. Et tu pourrais jamais décrire la colère sur son visage ni même l’acharnement par la suite. L’enfer, le calvaire, jusqu’à ce que tu prennes de nouveau la fuite.

    SINCE JANUARY 2017
    Fuir encore et toujours ça pourrait limite être ton credo en y réfléchissant bien. Parce qu’à chaque fois que la situation est devenue trop compliqué, c’est ce que tu as fait. Certains comprendront tes raisons, d’autres pas et au fond, tu t’en fiche bien. Personne ne peut réellement juger tes actions sans être passé par ce par quoi tu es passé. Puis comme partout, il y a des gens plus fort que d’autres. Y a ceux qui arrivent à se relever et ceux qui se laisse couler. Il va s’en dire que tu fais sans aucun doute partie de la seconde catégorie. Alors non, plus jamais tu ne seras cette fille-là. Plus jamais tu ne laisseras quiconque te dire que tu n’es rien. Même si c’est la vérité, même si c’est le cas, plus personne n’aura jamais le droit de te dire un truc pareil. C’est sûrement ton historique qui a permis ta réadmission à Harvard, le viol, les souffrances, c’est suffisant pour excuser tes absences et puisque t’avais fui pour revenir à tes bases, c’était naturellement sur la voie de l’université que tu remettais les pieds. Changée, méconnaissable. Et t’osais dire à Maxine que c’était pour elle que t’étais de nouveau là. Vrai et faux en même temps. Elle t’avait manqué parce qu’elle était ton double et la seule ici-bas à ne jamais te juger. Mais t’étais surtout revenu pour échapper à ton bourreau. Le problème ? T’étais.. A l’opposé de ton toi habituel. La vie forge le caractère, elle a donc forgé le tien. Froide et hautaine, tu sembles ne plus avoir de compassion pour qui que ce soit. A rire aux nez des autres, à les mépriser la plupart du temps. Tu proclames être au-dessus du petit peuple comme tu te plais à les appeler ces derniers temps. Tu vaux mieux que tous les autres parce que tu es Agathe et qu’eux ne sont rien. Tu méprises ceux qui croisent ta route te contentant de jeter des regards glacials et des piques en tout genre. Tu méprises tout le monde et en particulier toi. Mais plus jamais tu ne laisseras à quelqu’un le loisir de te descendre plus bas que terre. Plus jamais tu ne montreras la moindre faiblesse à la face du monde puisque tout le monde semble se plaire à les utiliser contre toi. T’es détestable et aigri. Violente et caractérielle. La reine des glaces qu’on murmure sur ton passage. Mais au fond, t’es juste une gamine apeurée. T’as créé un rôle monté de toute pièce pour qu’on ne puisse plus jamais t’atteindre. T’as choisi de fausser ton identité pour qu’on ne puisse plus jamais te briser. Et comme toute carapace, elle n’est pas infaillible. Les gens, les souvenirs et le temps créent des fissurent laissant parfois entrevoir la Agathe que tu es réellement. Et probablement qu’avec un peu d’effort, tu pourrais cesser de jouer un rôle avec le monde entier. Encore faut-il y arriver.
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    Cabot | Dunster | Eliot | Lowell | Mather | Quincy | Winthrop

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