• J'ai toujours été joueur, mais très mauvais perdant, et le truc bien avec ce soir, c'est qu'il n'y a rien à perdre et rien à gagner, donc je ne risque pas de gueuler. J'ai toujours aimé les actions vérités, j'me souviens d'ailleurs d'un rêve où j'ai débarqué dans un action vérité en tant que livreur de pizza, c'est pour dire. Sauf que là, j'avais vu @Ashleigh H. Strauss dans son coin, limite éteinte, elle ne faisait pas grand chose, on aurait pu croire à une maman qui était là pour surveiller ces gosses et les copains de ces gosses, j'étais pas vraiment habitué à la voir comme ça pour tout dire. Alors arrivant à son niveau, je lui tendis un verre ne lui laissant pas d'autres choix que de l'accepter. "Ah je préfère ça !" Et je sais qu'elle aussi, elle est joueuse, après tout, ce n'est pas une Mather pour rien, elle n'est pas là pour faire de la figuration. Alors je la regarde aller tirer son bout de papier, elle me fait savoir que c'est en mon honneur d'ailleurs, trop de bonté en elle dit donc. "Fait gaffe si c'est en mon honneur tu risques d'avoir un truc assez chaud à faire, j'dis ça j'dis rien après..." Un sourire sur le visage, si ce papier est réellement lié à moi comme par magie, elle risque d'avoir une action à faire, elle est pas là pour raconter sa vie et dire des vérités, on veut du fun nous. •

- Avec plaisir. Et je vois pas du tout de quoi tu parles, tu dois délirer. Pauvre conne. Visiblement, notre petite altercation sur Tinder quelques heures plus tôt ne suffit pas à Louve. Elle en redemande. Je ne daigne même pas la regarder piocher son  papier, qu'elle aille se faire foutre. Elle a quand même eu raison sur un point; elle a réussit à me retrouver ici, mais si elle compte gâcher ma soirée par sa présence, elle se plante, comme toujours. Elle n'allait pas être déçue d'être enfin sortie de sa prison dorée. Je lui souffle avant de m'éloigner d'elle : - On dirait que t'as pas été suffisamment satisfaisante avec mon père pour qu'il te garde lui aussi, décidément, c'est l'histoire de ta vie Perol. Je pars siroter mon whisky un peu plus loin, ne manquant rien des piques assassins de Dina ni de de la vitesse avec laquelle elle a accouru pour suivre le Mather. Toutes les mêmes. Elles jouent les grandes, font les fières et viennent quémander juste après avec un regard de chiot tout juste abandonné à la SPA. Il n'y a décidément pas une putain de gonzesse pour rattraper l'autre. Adossé contre le mur, mon whisky dans une main et l'autre enfoncée dans la poche de mon jean's, j'observe le spectacle, on se croirait au beau milieu d'un zoo. " Prends deux shoots et fais la roue " bordel, comme si cette idiote de Louve n'avait pas déjà assez bu. De loin, je la fixe, les sourcils froncés, mais le regard vide. Je pense à sa petite robe rouge, ma petite robe rouge qui allait en dévoiler beaucoup trop si par chance, elle ne se fracassait pas la gueule en tentant sa roue et instinctivement, je serre les dents. Allez, ridiculise toi bébé, tu n'es plus à ça près.

@Louve Perol @Dina J. Ricci

Question intéressante pour le bizut. Surtout à un mec. Alors tu écoutes attentivement sa réponse, et tes yeux s'écarquillent quand ledit bizut te propose de les utiliser avec toi. Ben dit donc c'est qu'il manque pas de culot lui. Faire du rentre dedans à la présidente, devant tout le monde, il a pas froid aux yeux. Et t'aimes bien. Ouais t'aimes bien, t'étais exactement comme ça. Tu es comme ça, sauf que hélas pour lui, t'es indisponible. T'es pas sur le marché. Sinon t'aurais pas dit non, c'est clair. Bien essayé, demande à mon petit ami voir ce qu'il en pense que tu réponds, lui faisant comprendre que c'est foutu pour lui. Ou alors il aime les nanas prises. Puis voilà que Abel en rajoute quand tu pioches ton papier sur une future action à faire. On va voir ça... que tu t'amuses, dépliant le papier lentement en regardant le jeune homme. Tu rigoles avant même de lire l'action à voix haute et tu lances un regard au barbu. Tes désirs sont apparemment des ordres. Je dois retirer un vêtement. Faisant une bouilli du papier dans ta paume de main, tu le balances sur la table. Jetant un regard à tous, tes mains se posent sur le bas de ton haut, tirant dessus pour le faire passer au dessus de ta tête et ainsi révéler un soutien gorge rouge. Pas pudique pour un sous, fière de ton corps, tu n'éprouves aucune gêne à exhiber ta poitrine à tous les membres de ta maison. Tu bois alors une grande gorgée de ton verre, laissant le choix à qui le veut de prendre la relève. C'est assez chaud pour toi ? que tu demandes à Abel, rieuse.

• J'me souviens aussi d'un autre rêve, un rêve où dedans elle était là, @Ashleigh H. Strauss, l'un des rêves les plus étranges de cette année. On était des super-héros ou je ne sais quelle merde du genre. Elle était habillé en Latex, on volait, on buttait des méchants, ou peut-être que les méchants c'était nous je ne sais plus trop, et je crois qu'on a finit sur la plage ou une connerie du genre. Super chelou ce qu'il se passe dans mon esprit par moment, l'imagination, surement. Alors elle tire un bout de papier, un sourire aux lèvres, j'attends le verdict, savoir si j'ai porté bonheur, et ça ne tarde pas à se confirmer. "Tu vois ! Je te l'avais dit !" Bon ça aurait été une vérité j'aurais eu l'air con, mais vu que c'est pas le cas, on s'en branle. Alors je la regarde faire, me demandant si elle va jouer la carte de prude en retirant une chaussette ou une connerie du genre, ou tout simplement laisser sortir la Mather qui est en elle. La deuxième est la bonne. Elle retire son haut, se baladant désormais en soutiens-gorge, me demandant par la même occasion si c'est assez chaud pour moi. "Ca commence à l'être, mais disons que j'en ai vu d'autres tu vois ! Mais bon, j'me dis que je suis pas le seul à me retrouver en sous-vêtements !" On est deux dans la même galère maintenant. Enfin, galère faut le dire vite hein. •

En regardant ton papier, tu peux pas t’empêcher de ricaner toute seule. A croire que le karma a frappé Basile. Ou toi, t’en sais trop rien au final. T’es certaine d’y arriver. Deux shoots et faire la roue. T’es plutôt bonne quand on parle de gymnastique ou de souplesse, danse classique oblige. Mais vu ce que tu t’es descendu, t’en es beaucoup moins sûre. Au pire, tu te retrouveras la gueule parterre, étalée de tout ton long pour le plus grand plaisir de l’autre tête de con. Et puis ? Qu’est-ce que ça pourrait bien te foutre ? Après votre petite discussion, c’est pas ça qui te fouterait le plus la honte. Enfin, encore faudrait-il que tu prêtes attention à ce que peuvent bien penser les autres d’une manière générale. T’es relativement à l’aise lorsqu’il s’agit de t’afficher, alors une fois de plus ou une fois de moins, ça n’a plus d’importance. Et alors que tu t’apprêtes à te lancer en te remplissant le premier shooter à ras bord, Basile en rajoute une couche. La seule réaction que ça te provoque, c’est un large sourire en sa direction alors qu’il tourne les talons. Il est bien intéressé par ta vie pour un type qui n’en aurait soi-disant rien à foutre. Alors t’envoies balader tes talons un peu plus loin pour te préparer à la roue de ta vie. T’enfiles le premier verre, puis le second. Et tu t’élances, les deux bras bien tendus au dessus de ta tête, ta robe légèrement relevée. Tu roules. T’as l’espoir de bien atterrir, jusqu’au moment où ta robe décide de glisser sur ton visage, offrant une pleine vue sur tes sous-vêtements pas suffisamment couvrants. Oups. Et puisque par réflexe tu te mets à rire, ton bras lâche l’affaire pour te laisser te rétamer au sol. « Et merde… » que tu balances en pouffant de rire, un peu emportée par l’alcool. T’essayes de te relever tant bien que mal, comme un môme qui essaye de marcher pour la première fois, les deux bras tendus de chaque côté pour tenir en équilibre. Dans ton impatience habituelle, tu perds pas un instant pour aller retrouver le comptoir du bar qui t’aidait jusqu’ici à tenir debout comme il se doit. Et de suite, tes yeux se braquent sur Basile, à la recherche d’une quelconque réaction de sa part.

@basile mulliez

Bien sûr Abel joue de la situation, il est vrai que c'est mon bizuteur et il peux donner les défis qu'il souhaite, petit sourire charmeur se dessinant sur mes lèvres. « Ça serait plutôt cool ! » Ben oui ça me plairait bien au contraire, c'est pas moi qui refuserait. En tout cas il se mets à parler avec la présidente Ashleigh et elle commence aussi à jouer, elle a droit à une action, retirer un vêtement. Elle retire son haut pour se retrouver en soutien gorge rouge, très joli. Avant ça, Jayson à peine arrivé a eu droit à une question aussi coquine que la mienne, du coup je le branche un peu voir beaucoup. « Moi j'veux bien essayer les sex toy avec toi. » Que lui disais-je en lui adressant un clin d'oeil.

@Abel I. Galinha @Ashleigh H. Strauss @Jayson M-Disney

Alors que Louve tarde à déchiffrer son papier, Ashleigh, elle, tombe le haut. Ma langue humidifie mes lèvres, reflex animal. Je l'observe d'un œil jusqu'à ce qu'elle nous laisse profiter de son soutien-gorge rouge. Rouge. Comme la robe de Louve.. Mon regard se tourne aussitôt vers elle, elle dose son shooter, nan, elle sur-dose son shooter. J'ai une violente envie de lui faire avaler son joli sourire narquois. Elle avale le premier et dévore le second, amusée. Dans la foulée, elle s'élance et il faut avouer qu'elle s'en sort plutôt mal pour une nana déjà bien éméchée. Enfin, ça c'était avant que sa putain de robe ne se relève et laisse découvrir à la vue de tout le monde ses sous-vêtements à elle aussi. Elle se marre et se laisse tomber sur le sol, le cul à moitié à l'air. Malgré la chaleur vibrante qui chatouille mon bas-ventre à la vue de son corps, ce corps que je connais par cœur, ce corps dont j'ai rêvé et que j'ai apprivoisé, que j'ai senti frémir sous mes doigts, je sens aussi mes mâchoires se serrer et mon sang battre vigoureusement dans mes tempes. Elle se relève, souriante et titubante pendant que les mecs se régalent du spectacle. Et puis, elle ose le faire. Elle plante son regard dans le mien, victorieuse et insolente, elle ne le lâche pas. C'est trop. Je jette mon verre nerveusement sur le comptoir et me dirige vers elle, j'attrape fermement son poignet et le plaque derrière son dos, la forçant à coller son corps contre le mien. Je sens sa respiration s’accélérer et son souffle chaud sur mon cou. - C'est presque rassurant de voir que t'as pas plus de respect pour moi que tu en as pour toi-même. que je lui murmure sèchement. Cette idiote n'a même pas prit le temps de réajuster sa robe. De ma main libre que je glisse indécemment le long de ses côtes puis sur ses hanches, doucement, je rabaisse sa robe. Le paradoxe entre ma voix tranchante et mes gestes lents est net, tant mieux. J'aime la déstabiliser. C'est à mon tour d'ancrer mes yeux noirs dans les siens. - Tu te souviens quand une fois je t'ai dis que t'étais différente des autres ?. Je colle encore un peu plus son corps contre le mien, je m'approche doucement de son oreille pour qu'elle seule puisse m'entendre et je lui jette : - J'me suis pas trompé. T'es pire.

@Louve Perol

Elle a la répartit facile la Dina. Dommage que ce soit contre Silas. Après, moi ça me fait bien rire. J’en oublie même qu’il m’a demandé si j’avais quelque chose en tête pour la fin de la soirée. Enfin, jusqu’à ce qu’il disparaisse à l’extérieur avec un joint et que je vois ma sœur un peu plus loin. Eh merde. Elle ne sait toujours pas qui je suis et j’peux absolument rien dire. Ça me gonfle, mais j’ai promis à Sloan de lui donner du temps alors je prends sur moi et suis les tourtereaux à l’extérieur. Lorsque j’arrive, Dina est si près de Silas que j’vois tout de suite le portrait. J’approche d’eux histoire qu’ils me voient et lâche : « Hey Silas, c’est ton tour à l’intérieur, quelqu’un a donné ton nom. » C’est faux, mais ça, Dina n’en sais rien. Si tu voulais pas que j’te sauve Silas, t’as qu’à m’ignorer. Sinon, bah c’est cadeau. Je leur souris tous les deux et attrape le joint dans les mains du brun pour l’allumer.

@A. Silas Rothschild @Dina J. Ricci

Les défis se succèdent, entre une demoiselle (Louve) qui nous offre une roue avant de se rétamer royalement et la présidente (Ash') qui nous propose une jolie vue sur son soutif, le doute n'est plus permis. On est bien à une soirée Mathers, l'alcool coule à flot et bientôt, on cherchera qui est sobre dans l'assemblée. En ce qui me concerne, pas besoin de remplir mon verre puisque ma coloc vint m'en apporter un nouveau après m'avoir menacé d'une mort atroce, laissant glisser son doigt le long de son cou. Amusant quand je suis bourré ? Possible oui mais j'ai comme l'intuition que, vu la descente de certains ce soir, d'autres seront surement plus fun que moi dans une heure. Le regard amusé, je répondais à son affirmation: " Quelle obsession ? Tu sais bien que j'ai une aversion pour les rousses depuis ma dernière petite-amie. En particulier pour toi ! ". Je buvais une gorgée du breuvage offert pas la rouquine. Combien de temps on va faire ça Scarlett ? Parce que moi je suis tenace et je n'ai aucun doute sur le fait que tu l'es tout autant, voire plus...