Je viens d'inviter une fille inconnue à aller boire un verre. On dirait moi il y a tout juste quelques mois. J'étais ce genre de mec a invité toutes les filles que je pouvais, n'importe quand, n'importe où et souvent je finissais par coucher avec elle pour ne plus jamais à revoir après. Maintenant que je suis à Cambridge tout a changé, du moins depuis que j'ai re croisé le regard d'Alexys. Je crois que ça a été the révélation pour moi, j'ai su sans vraiment le savoir de suite que je n'avais plus à courir après tous les petits culs. J'ai le mien, celui d'Alexys. Mais bon Jackie est une fille sympas alors pourquoi pas pour une fois prendre un verre sans rien après, du moins sans rien qui parle de sexe par la suite. Oui va te préparer je t'attends ici.. !

La jeune Lowell se dirigea vers le petit cabanon où elle avait laissé ses affaires. A l’abris des regards, elle enleva sa combinaison, se sécha bien comme il faut et enfila sa tenue avec laquelle elle était arrivée, bien moins tape à l’œil en ville qu’une combinaison de plongée. Elle remercia l’animateur encore une fois, assis à son petit bureau, puis retourna au près de Jorden. Au loin, elle regarda Jérémiah et constata qu’il n’était plus seul. Tant mieux pour lui. Un sourire clos sur les lèvres, elle était fin prête à aller boire ce verre. Alors Jorden, on y va ? Jackie sorti sa paire de solaire de son sac et les posa sur son nez.

Jackie est partie dans le petit cabanon pour se remettre en état de parti d'ici pendant que je suis resté là. J'ai constaté que Jeremiah a trouvé une autre demoiselle très jolie aussi. En espérant que avec celle là il est pas aussi brutus. Jackie est revenue préparée et bien plus belle qu'avec sa combinaison. Allons y belle demoiselle ! Je lui adressé un sourire avant de me mettre en marche pour sortir du parc et aller dans le bar le plus proche.

OUT

Nager avec les dauphins fut une très belle expérience que Jackie n’étais pas prête d’oublier. Mais n’allez pas croire que c’est de tout repos, c’est vivace ces bêtes là et mine de rien, c’est une activité qui fatigue. Alors quand Jorden lui avait proposé d’aller boire un verre, elle pensait aussi et surtout à la belle gaufre, ou la belle coupe de glace qu’elle pourrait s’enfiler pour calmer son appétit et reprendre des forces. Je te suis. annonça-t-elle fièrement avant d’emboiter le pas du garçon.

J'avais tout suivi de ler conversation, utilisant mon sens de l'ouïe et l'observation pour savoir la tournure des choses. Sa venue vers la gente féminine n'était jamais anodine. Sans doute avait-il cette conviction habituelle de se l'approprier l'espace d'un instant pour son plaisir personnel. J'avais cerné son personnage, après être fatalement tombée entre ses griffes. J'avais cependant plus de jugeote que toutes ces filles qui revenaient vers lui. Son charme ne laissait personne d'indifférent, ni même-moi, mais j'avais assez de force pour ne plus tomber dans ses filets. Je n'aimais absolument pas son comportement avec toutes ces femmes. J'étais officiellement une anti-polygamie. Sans hésiter, j'avais saisie cette opportunité pour le méprendre d'avantage. Je venais d'assister en live le inintérêt de cette brunette qui avait préféré passer son temps avec quelqu'un de plus méritant. “Ne soit pas si jalouse Kassio, une femme à la fois.” Malgré ce vent phénoménal qu'il venait de se prendre, il arrivait à garder la tête haute et ne perdait en rien l'estime qu'il a de lui. “Jalouse, moi?” Un rire moqueur s'échappa à la résonance de ses paroles. “Laisse-moi rire! Je suis loin de l'être.” Mon arrivée n'allait surement pas arrangé la situation dans laquelle il venait de se retrouver. Je n'étais surement pas là pour le plaindre ni le réconforter. Je n'agissais qu'en compagnie jusqu'à preuve du contraire, histoire de donner un coup sur son égo. “Tu sais comme moi qu’il est difficile de me résister.” Arg! Il m'énervait à être si sur de lui, bien qu'il n'avait pas tord pour le coup. Ou du moins, j'avais pris bonne résolution et mettais aujourd'hui tout en oeuvre pour ne plus lui succomber. Mon visage se crispa lorsqu'il s'approcha dangereusement de moi pour me souffler quelques mots. “Je vais te faire regretter ce baiser jusqu’à la fin de tes jours...” Je fis un pas en arrière pour m'écarter de lui. Je ne voulais pas rentrer dans son jeu, je ne prendrai surement pas le risque de lui faire l'honneur de gagner.  “Arrête d'être aussi sûr de toi Jeremiah. Ce baiser était le premier et à la fois le dernier.” La plage commençait à se vider. Les participants avaient déjà eu leur moment magique avec les dauphins et quittaient les lieux. “On dirait qu’il n’y a plus que nous,  toi, moi et quelques dauphins, comme c’est romantique.” Il ne pouvait s'empêcher de séduire en permanence. Sans doute ne se rendait-il même plus compte à force. “Je ne sais pas si  on peut vraiment appeler ça romantique.” Je trouvais toujours un moyen de le contredire afin qu'il redescende sur terre. J'étais venue ici dans l'unique but de nager avec des dauphins.

Même si elle n’accepterait probablement jamais de l’admettre, il y avait bien quelque chose de pétillant entre nous. Peu importe les mots que l’on disait, l’essentiel restait que nous échangions encore, et ça elle ne pourrait jamais me l’enlever. Ma fausse confiance n’était qu’une carapace pour ne pas paraître vulnérable ou accessible. J’avais été heurté, mais je ne laisserais pas les évènements ruiner le potentiel de cette journée. “Jalouse, moi? Laisse-moi rire! Je suis loin de l'être.” Évidemment, ça je le savais, mais ça l’aurait vraiment tué de prétendre? Il n’y avait pas de jeu quand on y participait seul. «On t’a déjà parler de l’égo du mâle? C’est pas un mythe je t’assure.» Je n’associais en rien ma maladie à mon genre, j’étais un cas bien à part, mais l’image semblait mieux connu de tous. Elle ne me laissait aucune chance d'alléger l’ambiance, insistant fermement sur son point de vue. “Arrête d'être aussi sûr de toi Jeremiah. Ce baiser était le premier et à la fois le dernier.” Cette remarque me fis sourire. «Un seul suffisait. De toutes manières tu n’es pas mon genre, et je ne suis évidemment pas le tien, alors que dirais-tu de rester amis, hum?» En constatant le départ des autres participants, je lui fis remarquer le fait que nous étions dorénavant seuls. Évidemment, la romance n’était pas à l’horaire, mais elle me contredit encore. En faisant cela, elle alimentait mon envie de la mettre en colère, oh si seulement elle savait… «Enfin, amis… Sans être complètement platonique, on pourrait toujours ajouter un peu de piquant de nos échanges, qu’en dis-tu?» J’arquai un sourcils, impatient de voir son visage se crisper d’indignations. Je savais que son coeur appartenait déjà à un autre idiot de mon espèce, sinon pire, mais quand apprendra-t-elle la leçon? Sans trop attendre, je retirai mon t-shirt et le laissai glisser sur le sol, prêt à aller nager. «Bon maintenant c’est ton tours, déshabille toi.» Je la fixais sans broncher, la déshabillant déjà du regard sans politesse. Un fin sourire narquois naquis juste là, au bord de mes lèvres.

“On t’a déjà parler de l’égo du mâle? C’est pas un mythe je t’assure.” Je connaissais tout à fait ce point si particulier chez les hommes. Le sien était tellement flagrant et envahissant qu'il fallait bien qu'au moins une personne de mon genre vienne le remettre à sa place bien gentiment. “Pas désolée de venir briser le tien alors.” Je ne mesurais jamais l'ampleur de mes paroles et m'assurais de toujours bien aller dans son contre-sens. Je n'éprouvais aucune pitié pour lui, et ne voulais pas agir de manière réconfortante envers lui. Il devait surement avoir une longue liste de demoiselles à ses petits soins. Je ne voulais juste pas être assez bête pour finir dans ses filets. Pourtant cette erreur était arrivée une fois, et sans doute ce baiser ne l'aurait-il pas été s'il n'apportait pas autant d'importance à sa polygamie. “Un seul suffisait. De toutes manières tu n’es pas mon genre, et je ne suis évidemment pas le tien, alors que dirais-tu de rester amis, hum? Enfin, amis… Sans être complètement platonique, on pourrait toujours ajouter un peu de piquant de nos échanges, qu’en dis-tu?” Mes bras se croisaient sous ma poitrine alors que je restais immobile à écouter la moindre débilité qui sortait de sa bouche. Et plus il parlait, plus les traits de mon visage se durcissaient. Je fronças légèrement les sourcils alors que mon regard se fâchait. “Même pas en rêve. Je crois que rien n'est possible entre nous, pas même l'illusion d'une amitié pimentée. Ne penses pas que je me joindrai un jour à ta meute de biches addictive.” Je ne le détestais pas, et pourtant je le méprenais à chaque fois. Je n'aimais juste pas cette manière qu'il avait de se comporter avec les femmes. J'étais presque dégoutée de le voir jouer inconsciemment avec le coeur de la gente féminine. Et pourtant je me rendais compte que j'aimais un homme dans son genre, si pas pire. Peut-être misais-je toute ma colère sur Jeremiah parce que j'étais incapable d'en avoir pour un autre en particulier. Peu importe. Pendant que nous parlions, la plage avait eu le temps de se vider complètement jusqu'à nous laisser plus qu'à deux. Jeremiah ne perdit pas de temps et ôta son t-shirt, paré à commencer l'activité. Je détournais le regard, l'obligeant à fixer son visage, et seulement son visage. Je ne voulais pas qu'il me surprenne entrain de scruter le moindre de ses muscles parfaitement dessinés sur son torse. “Bon maintenant c’est ton tours, déshabille toi.”  Il m'avait dit ça comme si je devais le prendre pour un ordre. Je restais pourtant perplexe, remarquant très vite ce sourire qu'il portait fièrement aux bords des lèvres. “Je ne le fais pas parce que tu me l'as demandé, mais bien parce que je suis venue ici pour nager avec les dauphins.” lui dis-je après un soupire alors que j'ôtais cette fine robe qui recouvrait mon corps pour me retrouver en maillot de bain. “Ne t'avises pas de te rincer l'oeil.” lui lançais-je à la seconde qui suivait.

Elle avait du piquant cette femme, ce n’était pas du tout déplaisant. Bien qu’en chacune de ses phrases elle m’insultait à demi, je n’étais pas assez mou pour me laisser influencer. Mon moral variait peu, je décidais moi-même du degré de ma bonne humeur, ne laissant pratiquement personne me faire du mal ou me faire du bien. Il était impératif que je ne demeure indéfiniment que moi, une entité à part complète qui demeure un constante dans le temps et l’espace. J’aimais notre dynamique presque autant que j’aimais le fait qu’elle considérait notre passé comme était une de ses erreurs. Au moins elle n’arrivait pas à se débarrasser du souvenir. L’important était toujours de marquer. Elle ne sembla pas adopter immédiatement l’envie de partager une relation améliorée avec moi. Surprenant. Elle afficha une mine sévère, croisa les bras sur son ventre. “Même pas en rêve. Je crois que rien n'est possible entre nous, pas même l'illusion d'une amitié pimentée. Ne penses pas que je me joindrai un jour à ta meute de biches addictive.” Elle en disait beaucoup en peu de mots. Elle faillit me clouer le bec, si seulement je n’avais pas toujours besoin d’avoir le dernier mot en tout genre de situation. «Seulement amis alors. Je comprend, de toutes manières tu fais déjà partie de la meute d’un autre si je me souviens bien, c’était quoi déjà son nom?» C’est elle qui avait commencer après tout et je ne faisais pas la moitié des crimes contre l’amour des femmes que cet autre idiot faisait alors elle pouvait se calmer sur les insultes. Je prenais soin de mes amours, de mes amies, mon intention n’était jamais de faire mal… enfin sauf dans le cas très privilégié de Kassiopéa. Je me déshabillai pour accélérer le processus, lui ordonnant d’en faire de même. Elle fixa ses yeux à mon visage, n’en dérogeant jamais. Dans son espoir de passer inaperçue elle ne faisait qu’ajouter à son étrangeté. «Tu peux regarder, ça ne te tueras pas.» Un sourire narquois se fixa à mes lèvres. Elle se dévêtis à son tours, laissant sa robe tomber sur le sol. “Je ne le fais pas parce que tu me l'as demandé, mais bien parce que je suis venue ici pour nager avec les dauphins. Ne t'avises pas de te rincer l'oeil.” Trop tard, mes yeux parcouraient déjà ses courbes, ses arrêts, la splendeur de son corps au allure parfaite. Je lui trouverais bien un défaut physique un jour. «Essaie donc de m’en empêcher.» Je la provoquai d’un regard noir juste avant d’hausser les épaules et de me glisser dans l’eau d’un bon visant à l’éclabousser. Je me retournai vers elle, pataugeant des jambes en glissant une main dans mes cheveux trempés pour les dégager de mes yeux. «En bon gentleman, je laisse la dame y aller d’abord.» Je pointai l’instructeur qui semblait avoir une discussion profonde avec un dauphin. Je n’avais pas peur non, mais je voulais bien voir ce qui m’attendais en la prenant pour cobaye.

Je le provoquais, le lynchais alors qu'il était tout de ce qu'il y a de plus innocent. Je passais débilement mes nerfs sur lui, le cherchant jusqu'à l'insulter. J'agissais sans aucune pitié, ne mesurant même pas la tournure de mes paroles, me laissant emporter dans ce tourbillon fatal qui ne lui était même pas adressé. C'était évident qu'à un moment donné tous mes pics se retournent contre moi. “Seulement amis alors. Je comprend, de toutes manières tu fais déjà partie de la meute d’un autre si je me souviens bien, c’était quoi déjà son nom?” Si je me montrais invincible, persuadée qu'il ne m'arriverait rien, Jeremiah avait su particulièrement touché un point sensible. Mon air hautain s'était littéralement transformé, figeant mon visage tout entier alors que je subissais sa réplique. J'étais complètement devenue vulnérable, je ne pouvais rien faire à ça à part faire face à la réalité de ma situation. Il avait totalement raison, et c'est bien ça le problème. “Je te déteste encore plus de m'avoir dit ça.” Je serrais nerveusement les dents, sentant tout à coup la stupidité m'envahir d'une vague catastrophique. Je n'avais eu que ce que je méritais et je ne prenais même pas la peine de rétorquer au risque de me retrouver plus bas que sous terre. Je me sentais humiliée, humiliée par cette vérité qui me consumait chaque jour. J'étais la victime du pire amour qu'il puisse exister, et j'en voulais à mon coeur d'avoir choisi cet homme plutôt qu'un autre. Je le renouvellerai volontiers si seulement j'avais eu l'entière domination de mes sentiments. Je secouais la tête discrètement, remettant mes idées en place, voulant à tout prix bâcler cette conversation trop sensible avant de l'étaler. Mon regard fuyant n'était pas passé inaperçu. “Tu peux regarder, ça ne te tueras pas.” La discrétion n'avait jamais été mon point fort. Lorsque je voulais voiler un fait, je ne faisais qu'empirer l'état de la situation jusqu'à me faire prendre. “Je ne te donnerai pas ce plaisir.” Mes yeux ne voulaient rien savoir et se laissaient porté vers lui profitant d'un quart de seconde pour se régaler. Je ne voulais pas en abuser, au risque de trop flatter son ego. Je me joignais ensuite à lui, enlevant cette robe qui me collait à la peau. “Essaie donc de m’en empêcher.” Je m'attendais à ce genre de réponse, il n'avait aucune gêne et ne se priverais en aucun de voir l'oeuvre d'une femme. “Tu as raison en fait, si j'étais toi j'en profiterai, car tes yeux ne se régaleront qu'une seule fois.” Un sourire narguant se posa sur mes lèvres. D'un bon, il se retrouvait dans l'eau, ne manquant pas l'occasion de m'éclabousser. Je grimaçais en sentant ses gouttes d'eau s'accrocher à ma peau avant de me glisser à mon tour. “En bon gentleman, je laisse la dame y aller d’abord.” Mon regard suivait la direction que son doigt pointant, dévisageant cet homme communiquant avec un dauphin. “J'aurai trop peur de le déranger.” Je trouvais l'excuse la plus stupide pour ne pas passer la première. Je n'aimais pas débuter quelque chose sans savoir quoi faire, j'avais besoin d'une démonstration avant ça.

Je n’étais pas complètement insouciant, quelque part je savais toujours quand je dépassais les bornes du verbalisable et quand j’agissais en parfait connard. Cette fois je n’avais rien calculer, elle avait commencer alors je la relançais sur ces propres faiblesses, c’était ainsi que ça fonctionnait. En parlant de son coeur, elle se replia dans sa carapace, je ne l’avais encore jamais connu aussi frêle. J’avais peur de la briser, de l’approcher, peur de faire quelque chose d’irréparable. “Je te déteste encore plus de m'avoir dit ça.” Je baissai la tête sur le sol, elle n’avait effectivement sans doute pas besoin de moi pour lui rappeler sa situation. Je suis vraiment con. «Je suis désolé, ce n’était pas ma place.» Murmurais-je en ne sachant pas avoir le respect de la regarder dans les yeux en m’excusant, j’étais pourtant sincère. Le sujet changea rapidement à la légèreté, au moins sur ce terrain il n’y avait aucun risque de dommage véritable. Elle m’agaçait et je me vengeais, sans méchanceté aucune. Je n’étais pas le monstre qu’elle m’estimait être, loin de là. Elle refusa, malgré ma suggestion, de me regarder autre chose que le visage. Je n’avais jamais été du genre pudique, j’ignorais ce qui la retenait d’agir naturellement, avait-elle peur de trop aimer? «Crains-tu ne pas pouvoir te retenir de me sauter dessus Sanchez?» Un rire m’échappa, je m’attendais à recevoir une des ces remarques cinglantes d’une minute à l’autre. Je n’allais pas lui mentir sur une chose qu’elle savait déjà pertinemment bien. Elle était magnifique. “Tu as raison en fait, si j'étais toi j'en profiterai, car tes yeux ne se régaleront qu'une seule fois.” J’arquai un sourcils, elle ne manquait pas du culot dans ces menaces, je ne pouvais que la prendre légèrement cependant. « Comme si tu arriverais à te passer de moi, c’est pas sérieux.» Je plongeai dans l’eau en l’éclaboussant autant que je le pouvais. Elle me rejoignis quelques secondes plus tard, ses cheveux trempés la rendant d’autant plus irrésistible. Je la croquerais bien, mais je n’étais pas du genre à m’attarder sur une femme non-consentante. Je soupirai en voyant qu’elle n’avait pas non plus envie de passer la première. «Bon, tous les deux ensembles alors.» Je lui attrapai la main pour l’entraîner avec moi vers l’avant, l’eau n’était pas assez creuse pour nous permettre de nager encore, mais bientôt je dû lui lâcher la main pour me permettre d’avancer. L’instructeur nous sourit d’une manière un peu trop accueillante, visiblement il adorait son métier. Ils nous invita tous les deux à s’approcher et à venir flatter l’animal marin. J’avais peur de la texture que ça pouvait avoir, cette fois j’attendis réellement qu’elle passe la première. «Tu me diras comment c’est.» Vu de près, le dauphin n’avait plus l’air si innocent, sa mâchoire était énorme et élancée, il me croquerait une jambe sans mal.