Percuter par la froideur. La chaleur de son derme s’accroche à ses mains. Contre la voiture, il est repoussé. Dominé par la frénésie. A genoux, la vicieuse lève ses orbes vers lui. Offre à sa vue, l’excitante vision. Morsure. Lui coupe la respiration. Malmené par ses ardeurs à elle. « Sur tout ce qu’elle a dit. » Respiration plus rapide. Il s’ancre avec plus de force au sol pour garder le contrôle. Virevolte entre eux, les mensonges inventés. Main qui s’abaisse, il caresse du pouce ses lèvres. Beauté érotique. Se délecte de la perfection de ses traits. Du rosé de ses lippes pleine sur la blancheur ivoire. Presse l’intrusion pour simplement entrouvrir sa bouche, avant de faire marche arrière.

nourris ton âme. de lui. lèvres qui s'entrouvrent sur l'éclaire qui jailli. tu peux la ressentir cette chaleur qu'il dégage. langue qui joue également, apporte de la teneur à ces baisés avant de venir mordre cette fine peau. tire doucement pour en retirer que le côté agréable. le corps qui se tends, la respiration qui s'accélère. tu le sens tout ça. son corps réagit et ça te rassure ollie. les émeraudes qui s'élèvent à sa réponse. tu te stoppes, l'observes. parce que le manque de mot n'a jamais été un problème pour vous. les regards qui parlent. sa main s'abaisse. pouce qui dessine les lignes de tes lèvres. tu le laisses faire. immobile. la bouche qui s'entrouvre. offre l'image parfaite. celle qu'il retiendra sans doute. impose ta présence, une nouvelle fois dans cette tête déjà saturée. " je te crois scott " tu te redresses, la main qui revient chercher celle qu'il venait de laisser tomber. tu l'apportes toi même à ta joue, tête qui se penche dessus " j'ai compris que je me trompais mais " parce que tu l'as compris. " il faut que j'aille récupérer cette photo. " le regard qui se plante de nouveau.    

A lui, elle revient. Le corps qui lui fait à nouveau pleinement face. Constraste de sa paume sur sa joue délicate. Souligne les traits fins. Devine la vulnérabilité dans ses orbes. Celle qu’elle s’évertue à taire devant lui. « J’sais. » Résignation. « On s’en occupe avec Naim. »

expose cette fatalité. celle de ne pas pouvoir passer à autre chose. derme qui se réchauffe. je sais. simplicité. tu pourrais presque le remercier de ne pas poser trop de question. " okay... " sourire timide. " et après on fera comme si, cette photo n'avait jamais existé. " trop grande était la porte. tu ne te sens pas capable pour le moment de l'ouvrir de nouveau. doigts qui saisissent le col de son tee-shirt. apeurer, effrayer par ses choses que les autres voies.