La galère est là, enfilé un t-shirt puis son sweat par dessus. Son épaule qui commence déjà à bien le lancer et il est pour lui hors de question de prendre des médoc, parce que clairement ça ferait pas bon ménage avec ce qu'il a prévu pour la soirée. Il prend plutôt une clope, pour tenter de se détendre, comme si cela allait soulager le fait d'avoir bouger son épaule. Kassim l'a vraiment pas loupé quand il l'a cogné et clairement si sa proprio avait pas été là, pas sur que Bears se serait arrêté avant d'l'avoir envoyé à la morgue. Clef en main, clope au bec, téléphone et porte-feuille en poche, il se dirige vers l'arrêt de bus, celui qui le mènera jusque dans le centre ville. Et heureusement pour le Bostonien, c'est pas l'heure de pointe, alors il pourra aisément se poser sur un siège sans craindre de se faire bousculer ou autre, bien que vu sa dégaine, on l'esquive souvent et on le juge aussi aisément. Trop tatoué, un air un peu trop de racailles.

L'entrée du Nephilim, il est un habitué, on lui demande même plus sa pièce d'identité, il y passe trop de soirée, qu'il y ai des événements ou non. il traine aussi souvent au Queer lips à cause de son propriétaire qu'il connait plus que bien, mais y aller pour un date avec une demoiselle, c'est pas le bon plan. Il se dirige alors vers le bar et rapidement, il envoi un texto à la demoiselle pour l'informer de l'endroit où il l'attend. Ils prendront une table après, peut-être même à l'étage pour avoir la paix et quand même profité des show de la scène sans être bousculé, dérangé par x ou y.

@Ollie Browns

HJ : niveau blessure, elle peut facilement voir son oeil au beurre noir, le reste c'est des ecchymoses caché par les vêtements

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{  “ sweet devil”
feat  Leigh Bardugo }
crédit/ bricole - gif christophernolan feat. @Florian Martinez

depuis que t'es à boston. t'enchaines les rendez-vous sans lendemain, les soirées arrosés. tes cernes sont la preuve que tu profites. tu ne te mets aucune restriction, tu vies pleinement au détriment de tes heures de sommeil. ce soir, tu te serais endormi sans difficulté. tu le sais et pourtant, t'as prit la direction de ta salle de bain pour une petite douche revigorante. t'as accepté son invitation. conversations meets qui se sont enchainé. t'en as appris plus que nécessaire. ton objectif a toi, s'était pas de faire connaissance. tu t'habilles, simplement, tu t'embêtes pas. c'est souvent dans la simplicité que tu charmes le plus facilement. léger maquillage sur les yeux, cheveux encore mouillé. tu mets tes chaussures et tu pars direction le nephilim. tu décides de prendre les transports. tu préfères assurer tes arrières, tu tiens trop à ton permis de conduire pour le perdre aussi facilement. tu mets pas longtemps à arrivé, les transports sont plutôt calme. tellement différent de new-york. boston te semble plus calme, moins euphorique. tu reçois un message de florian. parfait, tu arrives de toute manière. tu rentres dans le bar, t'es une habituée. t'es venue ici y a même pas deux jours. tu le rejoins au bar, accoudé. tu viens lui tapoter légèrement l'épaule. " salut monsieur le blessé. " tu souris, tu pourrais lui faire la bise mais tu préfères avancer ta main. c'est ta manière à toi de tenir les rênes. tu viens t'asseoir à côté de lui. petite grimace. " ça va, t'as pas trop mal ? " ouai t'es gentille, tu préfères lui demander.  

Demoiselle qui se manifeste devant lui plus que rapidement, elle le salue d'ailleurs tout aussi vite, s'amusant un peu de son séjour à l'hôpital. "Salut jeune étrangère." Sur le coup, il a aucune autre idée de surnom à lui donner, peut-être sur son impatience de le voir ? Non trop incertain, alors ouais, il a misé sur le banal, le commun. Il fixe d'ailleurs un instant la main tendu devant lui. "Tu crois qu'on est en entretien ou quoi ?" Parce que c'est le seul comparatif à ce genre de poignée de main, surtout entre un homme et une femme. C'est absolument pas coutumier, d'où le fait qu'il lui laisse un vent complet. Il check ses potes, embrasse ses conquêtes, mais les poignées de mains, c'est bien un truc qu'il ne fait jamais, même durant son job de jardinier, faut dire que ses clients auraient probablement la trouille de finir avec les mains couvertes de terre. Il la regarde ensuite prendre place sur le tabouret à ses côtés. "Ouais, tranquille." Il a connu pire, c'est juste chiant qu'a chaque respiration, sa cage thoracique le lance, que chaque mouvement de son épaule droite soit plus que pénible, mais il faut le temps et après tout ira mieux à nouveau, pour probablement un délai assez court, mais c'est clair que plus jamais il ne provoquera Kassim comme il a pu le faire ce soir-là. "Et toi, comment tu vas ?" Le blond fait d'ailleurs signe au barman pour avoir son attention dès qu'il aura fini de préparer la commande en cours.