Allongée à plat ventre sur ce lit, vêtu de sous-vêtements en dentelles noirs, robe qui traîne sur le sol et les pieds qui balancent dans le vide, le bout de ton nez est plongé dans cette poudre blanche qui y est ensuite aspirée. Deux fois, tu réitères le mouvement pour finalement te tourner sur le dos. Pliant le papier, tu tends le bras et le fourres dans ton sac, dans un coin bien à l'abri. Quelques minutes plus tard, c'est un sourire qui étire les trait de ton faciès. Le corps beaucoup plus libre, semble acquérir une légèreté immatérielle, ton esprit s'éclaircit d’une façon inouïe, tes sens doublent leurs facultés. Est-ce ça le sentiment de liberté ? T'avais enfin pu te procurer de la bonne substance, celle qui te fera oublier. Ce soir, t'as éteint la lumière sur tes pensées. Ce soir, t'es dans cette chambre et tu te sens pousser des ailes. Si bien, que tu te redresses pour aller mettre de la musique. Qu'importe, du moment que ça te fait bouger. Jambes qui grimpent de nouveau sur le lit, ovale levé vers le plafond, les paupières fermées, tu bouges ton corps tout doucement d'abord, vivant ensuite pleinement la musique. Tu le sens qui circule en toi et qui te pénètre. Ineffable bien-être. Tu te mets à danser et à sautiller sur le lit, car à cet instant, oui, on peut dire que tu as retrouvé ta joie de vivre. Que tu as la paix dans le cœur. À cet instant, tu n'es plus toi. Tu n'es plus Julia. Tu es cet ange déchu qui a fait le mauvais choix, mais qui pourtant, se sent libéré de la douleur.

#rplibre #libre

silhouette qui se faufile devant toi. qui attire ton attention tant ses mouvements te semblent étrange. curiosité profonde et mal placée, fait ce que tu sais faire de mieux ollie. tu la suis discrètement, tapi dans l'ombre. tu l'observes faire. observe l'entrée où elle vient de s'engouffrer. les âmes égarés, tu les ressens toute suite. attire l'âme perdu qu'il y a au fond de toi. les regards se noient, s'abreuvent dans la luxure la plus totale. tu la suis, refuse un verre qu'on venait de te proposer. tu passes les couloirs des chambres obscur. désir qui s'y échappe, tu les entends ses soupires. ceux qui cherchent comme toi à noyer ce qui a dans ton crâne. elle referme cette porte et t'attends. intrusive ollie. t'aurais aimé qu'on te laisse tranquille pourtant au son de la musique. tes doigts viennent taper contre la porte de cette chambre. imaginant sans doute le pire.  

La machine est en marche, plus rien ni personne ne pourrait t'arrêter dans cette folie que tu découvres Julia. Acuité prodigieuse qu'est cette nouvelle façon de voir et d’apprécier les choses de la vie. S'enivrer pour stimuler son intellect, rien de mieux comme méthode pour taire les tourments. Abandon complet de ton corps qui se mouve au son de la musique saisissant au passage tes imaginations et tes idées qui se forment. Soudain, un bruit sourd te ramène sur terre. Sourcils haussés, adrénaline qui grimpe en flèche, la lèvre pincée, tu marches à pas de louve vers la porte ne sachant même pas pourquoi en fait. Pourquoi veux-tu être silencieuse ? Poignet de porte que tu baisses puis pousses lentement vers toi. Découvre son visage. — Ollie ? Mot balancé sur un ton jovial. Main se saisit de la sienne, la fait entrer de force pour la plaquer contre le dos de la porte. Ollie. Ollie. Ollie. Elle a frappé à la mauvaise porte malheureusement. Orbes qui fixent les siens, regard à l'encre noire. — Trop tard. Elle arrive trop tard Ollie. Tu as déjà pris ta décision. Le visage qui se niche dans son cou, hume son odeur, puis termine sa course à l'entrée de son oreille. — N'essaye même pas de me raisonner. Parce que ça ne marchera pas. Ça ne marchera plus. Tu as décidé d'abandonner ton humanité pour vivre pleinement la descente aux enfers. Tes jambes reculent et s'éloignent de sa carcasse.

@Ollie Browns

tension perceptible, palpable. la porte s'ouvre et son visage apparait dans le creux de la porte. les doigts qui saisissent ta main, tu n'as pas le temps de parler. elle te fait rentrer. abysse. noirceur de l'âme. t'es là, à l'intérieur. dos qui claque contre la porte, elle t'arrache une grimace. fait naitre ce qu'il ne faut pas. cette instabilité que toi même tu as laisser derrière toi. parce que là, elle t'insupporte. approche son visage dans le creux de ton cou, vicieuse attaque. le nez qui frôle l'épiderme, qui installe le mal aise. toi, tu ne bouges pas. canine qui s'approche de tes oreilles. ta mâchoire se resserre. elle te souffle ses dernières paroles. menace qui plane au dessus de ta tête. " sinon quoi ? " tu te décolles du mur. provoque parce que finalement, t'es peut-être pas celle qui devrait la sauver de tout ça. blessure profonde qui s'entrouvre, qui surgit de nouveau. " sinon rien ! "  décide de sortir ton téléphone, déverrouille ton combiner et actionne le lecteur vidéo. téléphone que tu positionnes devant toi. " histoire que tu te souviennes exactement, de ce soir-là julia " t'avances dans la chambre ignorant sa présence à elle. corps qui la percute volontairement. marquant son esprit flouter. elle voulait jouer à la conne ? t'allais jouer ollie. " salut tout le monde alors ce soir, on est dans une maison close ou t'as décider toi julia steiner de jouer à la conne. " approche de là, où elle s'est shooter. table basse crasseuse. " et là, c'est la où tu viens de t'envoyer ton premier raille ! allez julia fait un coucou à la caméra. " tourne la caméra et positionne le téléphone en hauteur. main qui s'agite et sourire faux qui s'affiche. tu filmes son visage, appuie là, ou elle pourrait avoir mal.  " et surtout ! on passe un petit coucou à ta mère et à ton petit frère. salut petit frère de julia, surtout ne croit pas que ça... " gigote le sachez blanc " c'est de la farine ! " tourne ton visage vers elle. tu décides enfin à arrêter ce manège. tu coupes la vidéo et tu reprends vers elle. " cette vidéo servira d'éloge funèbre alooors va-y continue ! "  

Carnage dans ta tête lorsqu'elle se décolle de la porte pour percuter légèrement ton corps. Portable qu'elle tient en main, objet de menace. L'arme de ton crime. Rire nerveux lorsqu'elle abat ses mots. Joue maigrement avec ton point faible. Ton frère, évidemment... Instinctivement, tu fais coucou à la caméra comme si ses mots ne t'atteignent pas. Vile créature Ollie. Mais ça te plaît ce soir. Allez savoir pourquoi. La drogue évidemment. L'adrénaline. La colère qu'elle suscite en toi. Qu'elle provoque volontairement. — Ça ne m'atteint pas. Mensonge au gré de cette solitude qui brouille ta conscience. Vive douleur à nouveau dans le cœur. Tu n'aimes pas ça, Julia. Tu n'aimes pas ces vérités qu'elle balance. Et avant qu'elle ne coupe la vidéo... — C'est cette même farine que t'as utilisé pour t'évader Ollie. Alors balance ce que tu veux, tu y as touché toi aussi. Fière de ta connerie, tu laisses un sourire étirer ton ovale. Pas qui se rapproche d'elle, qu'elle balance la vidéo si cela lui fait plaisir, mais tu ne céderas pas à son chantage. Pensée néfaste qui t'empêche de voir la réalité, tu la pousses sur le lit, chevauche son corps alors qu'elle est étalée contre les draps. Doigts qui viennent glisser dans ses cheveux, descendent plus bas, caressent lentement le bras qui tient l'arme du crime. — Dégage de cette chambre. T'as refusé qu'on te vienne en aide lorsque t'en avais besoin, alors pourquoi tu t'acharnes à vouloir m'aider ? Elle l'a vécu, elle sait que dans ces moments t'as besoin de personne, juste d'oublier qu'importe la manière que tu as choisi pour le faire. Ta main libre se hisse sous son haut, légère caresse sur son nombril, diversion pour arriver à tes fins. Celui de lui prendre des mains, son portable. Mission accomplie, tu balances l'objet contre le mur en face, s'écrase en morceaux sur le sol et tu t'allonges à ses côtés. — Vas-y, échappe toi de mon enfer. T'as rien à y faire. Parce qu'importe ce qu'elle te dira, ce qu'elle fera pour te ramener à la raison, t'en as juste pas envie. Butée jusqu'au bout, fermée surtout, tu ne l'écouteras pas.

@Ollie Browns

utilise ses faiblesses pour noyer cette illusion. poussière blanche qui virevolte dans l'air. ça te dégoute putain quand tu sais que ses derniers instinct ont été baigner d'illusion. renvoie le présent à ton passé douloureux d'il y a quelques mois. lui. ce nom qui résonne constamment en toi. il te renvoie à la culpabilité naissance d'avoir mit ta colère de côté pour te concentrer sur d'autres choses. acerbe son ses mots. elle cherche à se protéger, de toi pourtant tu ne l'épargnes pas. la mâchoire qui se resserre d'avantage. tu balayes la poussière blanche par terre. ruine son prochain raille. " pour m'évader moi, je baisais avec ton ex. je me remplissais pas les narines " cru son les paroles. le téléphone entre les mains, elle s'approche, te pousse en arrière pour que tu tombes dans le lit. machiavel. elle vient sur toi, t'immobilise trop facilement. caresse l'arrête de ton corps. " on pourrait presque croire que tu bosses ici ! " tant ses caresses sont maitrisé pour un esprit détraquer.. " parce que moi, mes émotions, mes ressentiments, j'ai pas chercher à les effacés. toi, tu veux effacés pour recommencer ensuite. tsais même pas dans quelle cercle vicieux tu t'embarques..." impossible de bouger. force que tu ne soupçonnais pas. sa main passe la barrière, celle de ton haut avec l'autre main. elle se saisit de ton téléphone et le balance contre le mur. mille morceau, ajoute une note supplémentaire. tu vas finir par te la faire. elle se pose sur le côté du lit. visage fermé. tu sors du lit. tu te diriges vers la petite table et tu te saisies de sa réserve. celle qui trône là. tu marches ensuite jusqu'au chiote. ouvre le sachet et balance la poudre. " t'as pas compris, ton enfer ! sa sera moi, déteste moi tant que tu veux julia j'en ai rien à foutre " tire la chasse d'eau sans aucun scrupule.

Les mots d'Ollie sont crus, n'étant pas épargnée, elle use minutieusement de ta patience. Elle sort la carte de la diablesse pour te déstabiliser. Rire qui s'échappe entre tes canines. Tu sais bien qu'elle veut te piquer, qu'elle veut te blesser là où ça fait mal. Qu'elle cherche encore une part d'humanité en toi. — Mh alors je devrais peut-être baiser mon ex ? C'était à charge de revanche, mais tu te reprends aussitôt. — Toi, tu baisais mon ex qui ne l'est pas en passant, moi, j'ai envie de sniffer de la coke. Chacun à sa manière propre de faire face à ses tourments. Balancent tes pulpeuses en haussant les épaules. Immobile sous toi, tu mènes la danse. — Et ? Qu'est-ce que t'en as à foutre ? Que tu bosses ici ou pas, ne regarde que toi. Que tu foutes ta vie en l'air ou pas, ne regarde que toi. Pourquoi faut-il toujours que quelqu'un se donne à cœur joie pour te faire la morale ? T'as toujours été clean dans tes baskets, qu'on te laisse faire tes propres erreurs bordel. Mais même ça, t'en as pas le droit. Portable en morceau, tu peux enfin respirer de nouveau. Allongée sur le lit, les ténébreuses suivent le trajet de la sulfureuse. On aurait dit une bombe à retardement. — Ce n'est pas parce que t'as vécu ce carnage que ça te donne le droit de m'en priver. Si j'ai envie de les effacer de cette manière, c'est mon choix. Mon choix Ollie, pas le tien, ni celui de quelqu'un d'autre. Rire qui s'élève, corps recroquevillé, tu ne la regardes plus, mais sais ce qu'elle fait. Tu l'entends. T'entends la chasse d'eau effacer toute trace de substance. Soupire lasse. — Arrête de délirer. Toi ? Mon enfer ? Tu comptes me suivre à la trace maintenant ? Parce qu'ouai, tu t'es débarrassé du petit sachet ce soir, mais je m'en procurerais encore et encore... Et encore... Et encore... Voix qui s'éteint à petit feu. Tu snifferas à divers endroits, à l'abri de son regard. Elle n'y verra que du feu Ollie. Et quand tu souhaites quelque chose, tu l'obtiens toujours, Julia. Allongée maintenant sur le dos, tu applaudis dans le vide. — Bravoooo ! Belle prestation. Maintenant, si t'as terminé, tu peux t'en aller ? À moins que... Haut du corps qui se redresse légèrement, insolentes sont tes gestes. Tu tapotes le lit, près de toi, l'invites presque à tes côtés, sous-entendus au bout de la serpentine. Dernière carte que t'uses, parce que tu sais qu'elle la fera partir. Parce que tu sais qu'elle ne s'invitera pas dans ce lit, parce qu'elle sait ce que cela signifie. Et t'auras gagné. Tu te laisses tomber, crinière qui forme une demi-cascade sur les draps et fermant les paupières, t'attends impatientiement le claquement de porte, signe pour toi, qu'elle s'en est allée.

@Ollie Browns

" - essaye ! " prononce les paroles avant d'entendre les autres. " - ce que j'en ai à foutre ? c'est que moi, je dois te regarder faire ça ! te foutre en l'air. " toi, t'étais restée discrète malgré le bordel qui entoure t'a vis. tu t'étais seulement terrer silencieusement dans les profondeurs. n'infligeant aucune image désagréable du tourment qui encombre ta tête. " ton choix et la finalité par contre, c'est toi qui l'infligera aux autres ! " respiration que tu reprends. " parce que c'est les autres qui te voient, parce que si tu vas trop loin, c'est les autres qui devront subir le choix que t'as fait. " marque une pause. elle te fatigue. épuise les forces que tu as en toi pour ne pas te barrer maintenant. tu pourrais la laisser, répondre à ses attentes mais tu le feras pas ollie. " je compte rien faire du tout. le simple faite que je sois là, sa t'emmerde déjà ! Alors, non je vais pas te suivre à la trace mais par contre, ça. ce moment qui est en train de se passer. tu l'oublieras pas parce que mon but c'est de rentrer dans ta tête que tu le veuilles ou non. " d'infiltrer la moindre petite culpabilité qui pourrait naitre en toi. même si elle n'existe pas aujourd'hui. demain sera sans doute différent. tu nourris ce fin espoir, d'être assez virulente pour marquer ce qui pour toi te semble endormi. sors des chiotte, applaudissement que tu ignores. ignore les paroles, tu ne partiras pas. tu t'avances vers le fauteuil. assise, tu balances ta tête en arrière. marque un temps d'arrêt. tu pourrais appeler jules, pour reprendre le relais mais t'as plus de téléphone.

— Il ne m'intéresse plus. Lui, comme tout le reste des hommes. Comme ce fichu sentiment qu'est l'amour. T'en avais plus rien à cirer de tout ça, de toutes ces conneries. Tout ce dont t'as besoin aujourd'hui, c'est de t'amuser. Ne plus penser à demain, juste vivre l'instant présent, car demain n'existe pas, n'existe plus du moins dans ton vocabulaire. Elle n'a pas encore saisi Ollie, elle n'a pas compris que tu n'as pas besoin de toutes ces vérités qu'elle te crache à la gueule. Elle n'a pas encore compris que tu as besoin de faire ton deuil toute seule. — Si j'ai choisi cette chambre, c'est justement pour être à l'abri des regards. Pour que personne ne me voit. Je ne t'ai pas demandé de me suivre. Je ne t'ai pas demandé d'entrer dans cette chambre. Ça, c'était ton choix. Celui d'assister à ta descente en enfer... Tenace est la sulfureuse, son obstination te surprendra toujours. Elle s'installe sur le canapé tandis que tu te redresses du lit, enfile de nouveau robe et talons. Point d’ancrage qui se fissure, le cœur et l’âme meurtris. Ta colère fait rage à présent, et elle t'y oblige Ollie, à employer la manière forte. — Tu veux entrer dans ma tête mh ? Très bien, vas-y jusqu'au bout alors ! Lueur de défi qui brille dans tes ténébreuses. Sans même lui laisser le temps de rouvrir la bouche, tes lèvres chevauchent les siennes sans aucune tendresse. Mains appuyées contre le dos du canapé, pression nécessaire sur les lèvres d'Ollie afin de lui pencher la tête en arrière. Puis, tu recules l'ovale en tirant sur sa pulpe inférieure, morsure volontaire. — T'entreras dans ma tête que si moi, je t'y autorise. T'entends ? Veston que tu passes sur tes épaules. — Reste ici si tu veux ! Mieux encore, t'as qu'à appeler mon ex j'sais plus quoi pour qu'il vienne te baiser. Au moins, qu'elle serve à quelque chose cette réservation. Clin d'œil envoyé à l'intention de ton interlocutrice, c'est toi qui claques la porte. Talons qui résonnent à nouveau dans les couloirs.

@Ollie Browns

amour trop intense. chute libre qui se dessine sous tes yeux. ce sentiment est étrangé ollie, toi, tu souffres d'un autre manque d'amour. le seule que tu as été véritablement capable d'accepter. pour une fois, tu décides de la fermer. tu l'écoutes et fous ta rancoeur de côté. assise sur le canapé. tu la regardes même pas. " tellement discrète c'est vrai. " tu l'avais vu à des kilomètres. tu l'entends qui s'active autour de toi, le visage en arrière qui fixe le plafond. tu sens secrètement que la fuite est proche. toi, tu ne partiras pas. l'enfer, c'est ton monde. elle s'approche, trop vite pour percevoir quoi que soit. les mots qui répondent et le corps aussitôt suspendu au dessus de toi. le visage qui se redresse. fatalement, ses lèvre s'abattent lourdement sur les tiennes. les yeux qui s'écartent parce que ce baisé, tu t'y attendais pas. sensation d'amertume, de charogne. le genou qui se replie, qui la pousse mais elle résiste. lèvres qui forcent sur les tiennes restées fermer. force tellement que ta tête bascule en arrière. tes mains qui s'abattent sur ses épaules pour la repousser. dents qui viennent cisaillé ta lèvre. Elle se recule et elle a raison. doigts qui viennent ramasser la goute de sang qu'elle vient de laisser. tu le regardes ce sang. diabolique julia. " va te faire foutre. " claque la porte, manque les représailles. dommage, tu les gardes pour une autre fois.