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Sujet: — la morsure du froid (rp libre)
par Winifred Leone
Aujourd'hui à 20:48
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par Winifred Leone
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— la morsure du froid (rp libre)
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L'air glacial la saisit dès qu'elle franchit la porte du bar; le contraste brutal avec la chaleur étouffante de la soirée la frappa comme une gifle. « Brrr. » Elle regrettait d'avoir opté pour sa petite robe noire, jolie mais bien trop légère pour cette fraîche soirée d'automne. Ses bras nus étaient traversés de frissons incontrôlables, et elle croisa les bras sur sa poitrine, cherchant à se réchauffer un peu (en vain), tout en vacillant sur ses talons.
L’alcool embrumait encore son esprit, et elle tituba légèrement en descendant les quelques marches qui menaient à la rue. Chaque pas demandait une concentration excessive, comme si elle devait convaincre son corps de suivre les ordres simples qu’elle lui donnait. Elle cligna des yeux, essayant de remettre de l’ordre dans ses pensées et de trouver un taxi avant que le froid ne l’achève.
Elle aperçut finalement un véhicule au coin de la rue, une lueur d’espoir allumant brièvement son regard vitreux. Elle leva une main tremblante pour indiquer sa présence. Le chauffeur la vit, ralentissant légèrement, mais à sa stupéfaction, une personne sortit soudainement de l’ombre et s’engouffra dans le véhicule avant qu'elle n'ait pu faire un seul pas de plus. « Hé! C'est MON taxi! Tu prendras le prochain. »
L’alcool embrumait encore son esprit, et elle tituba légèrement en descendant les quelques marches qui menaient à la rue. Chaque pas demandait une concentration excessive, comme si elle devait convaincre son corps de suivre les ordres simples qu’elle lui donnait. Elle cligna des yeux, essayant de remettre de l’ordre dans ses pensées et de trouver un taxi avant que le froid ne l’achève.
Elle aperçut finalement un véhicule au coin de la rue, une lueur d’espoir allumant brièvement son regard vitreux. Elle leva une main tremblante pour indiquer sa présence. Le chauffeur la vit, ralentissant légèrement, mais à sa stupéfaction, une personne sortit soudainement de l’ombre et s’engouffra dans le véhicule avant qu'elle n'ait pu faire un seul pas de plus. « Hé! C'est MON taxi! Tu prendras le prochain. »
Sujet: (rp libre) sugar, butter, flour
par Olive Desjardins-Parker
le Mer 9 Oct - 19:33
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par Olive Desjardins-Parker
le Mer 9 Oct - 19:33
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(rp libre) sugar, butter, flour
w/ #rplibre - avec quelqu'un avec qui je n'ai pas de rp en cours ça serait bien
Lorsque mon père m’a proposé ce concours de tartes en duo, je n’ai pas osé lui rappeler que je suis très mauvaise en cuisine. Ne se rend-il pas compte que si je ne les ai jamais invité à manger avec maman, il y a une raison ? Je ne sais pas. Mais une chose est sûre, avec tout ce qu’ils ont fait pour moi, je n’ai pas eu le cœur de refuser et c’est ainsi que je me retrouve dans un concours où il y a de grandes chances que je rentre bredouille. Tablier accroché autour de la taille, je le regarde et souffle Commis, c’est ce que je suis. Je ne veux empoisonner personne. Et ça serait bien ma chance de mélanger le sucre et le sel et nous offrir une tarte immangeable. Il m’indique que nous allons faire une tarte aux pommes - immanquable selon lui - et que je dois m’atteler aux découpages des pommes une fois que le feu vert sera donné. Ce n’est pas une épreuve de rapidité mais un peu quand même, il semblerait. Je dois les couper en lamelles fines c’est ça ? Et éviter de me couper un doigt, qu’il précise. Super papa, vraiment super. Lorsque le feu vert est donné, je file vers le lavabo pour laver les pommes et regarde mon voisin. Vous faites quoi de bon ? On aura le droit de goûter les créations des autres ? Ça, ça m’intéresse bien plus, bien que je ne sois pas une grande gourmande en temps normal.
Sujet: Halloween in real life | RPLIBRE
par Kōh Larsson
le Mer 9 Oct - 9:55
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par Kōh Larsson
le Mer 9 Oct - 9:55
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Halloween in real life | RPLIBRE
Halloween in real life
TW: sang | blessures | urgences
Date : 31.10.24
Une nuit comme les autres pour Koh, enfin sa troisième comme on lui a donné. Il est certes en stage, mais il apprend les nuits a l'hôpital et aujourd'hui c'est Halloween et cette fête et lui ce n'est plus vraiment son dada comme il dit. La dernière fois il est rester chez lui a regarder un film en compagnie de son chat et il était tranquille. D'ailleurs dans son immeuble il n’y a pas vraiment d'enfant, donc il ne risque pas de faire quoique ce soit pour donner des bonbons !
Se trouvant dans le service des urgences, car son référant lui a dit que en cette nuit, des idiots peuvent faire n'importe quoi. Il faut rester sur les ponts, il le regarde et ris doucement amusé de cette phrase. Puis plonger dans ses bouquins alors que la nuit est calme entre deux soins rapide et des patients a qui on leurs dit qu'ils doivent rester plus longtemps en vue de leurs état. Des griffures de chat ou morsure de chien. Koh vient fixer le plafond, la tête remplis de diagnostics, de blessures, de soins et autres. Il vient remonter ses lunettes sur sa tête et ferme un moment ses yeux. Ses oreilles toujours en alerte si son bipper sonne.
Puis il vient entendre une voix remplie de larmes et inquiétude qui le fait bondir de sa chaise. Ses lunettes revienne sur son nez. Puis il vient en courant vers la personne qui en panique a du mal a expliquer ce qui se passe. Koh observe la personne qui semble avoir du sang sur elle et calme comme toujours il vient demander a se calmer et lui expliquer doucement ce qui s'est passer.
Contexte :
1 choix:Vous venez aux urgences et vous avez blesser une personne qui s'amusait a faire peur dans la rue
2 choix: Vous amenez une personne blesser à cause d'une personne qui s'amusait a faire peur
#RPLIBRE
Sujet: Une soirée arrosée. (rp libre)
par Wyatt Baxter
le Mar 8 Oct - 17:02
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par Wyatt Baxter
le Mar 8 Oct - 17:02
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Une soirée arrosée. (rp libre)
Le week-end dernier, j’ai passé deux jours merveilleux en compagnie de ma sœur jumelle. Nous avons était à Paris, c’était la fashion week : pour le coup, comme j’adore la mode, j’avais passé un superbe moment. C’était la première fois, que j’allais à Paris, c’était incroyable. Les monuments,
les restaurants, les musées. La cuisine française est exceptionnelle. J’adore voyager partout dans le monde et je pense que Paris est dans mon top trois de mes destinations préférées. Généralement, je préfère me rendre sur des iles paradisiaques, mais avec ma sœur on avais besoin de voir autre chose. En ce moment, je me sens bien, je suis heureux dans ma vie : les études à Harvard se passent bien, je suis un élève studieux, j’essaye de montrer le bon exemple chaque jour. Ma sœur aussi, retrouve peu à peu le sourire, et je me dis que j’en suis peut-être pour quelque chose. Je suis très protecteur avec elle. Si un mec lui fait du mal, je sors les gants de boxe. Nous sommes en plein milieu de la semaine, je suis toujours acharné dans mes études de médecine, mais ce soir, je me suis accordé un petit moment.
J’avais besoin de me changer les idées, je me suis donc rendu dans un bar, il n'y avait pas beaucoup de monde, j’étais assis au comptoir du bar quand le serveur vient vers moi pour prendre ma commande : bonsoir, j’aimerais un verre de bourbon svp.
Dis-je en souriant légèrement. J’étais sur mon téléphone portable et je répondais a quelque message sur telegram.
#rplibre
Sujet: (TW) It will never be the same • Libre
par Neal T. Hood-Spritz
le Lun 7 Oct - 17:21
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par Neal T. Hood-Spritz
le Lun 7 Oct - 17:21
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(TW) It will never be the same • Libre
TW : anxiété, désir de mort, mort, mutilation, blessureMardi 8 octobre. Soirée.
Assis sur le banc dans les vestiaires du personnel au Lord Hobo, je ne bougeais pas. Mes yeux étaient rivés sur le sol ou peut-être plus sur cette main droite qui n'avait plus que trois doigts. Le cœur cognait vivement dans la poitrine. Le souffle était difficile à saisir. Pourtant, je ne bougeais pas de l'endroit où je me trouvais. J'attendais simplement que ça passe. J'attendais juste que l'instant se calme. Je restais là à subir en silence. Quelques secondes. Quelques minutes. Je ne saurais vous dire combien de temps ça durait, combien de temps j'étais charcuté par mes propres pensées. Lorsque le cœur finissait par se calmer, la main encore entière attrapait la canne dont je ne pouvais plus me passer pour marcher. Jambe droite trop foutue en l'air. La porte des vestiaires était poussée. Le brouhaha me prenait aussitôt aux tripes. Je déglutissais difficilement avançant avec lenteur et gardant les yeux baissés. Gamin amoché par la vie. Gosse qui n'était pas certain de se relever cette fois. Être humain qui regrettait de fouler encore la Terre si c'était pour n'être plus que cette ombre. Fade. Détruite. Prisonnière. Mes prunelles sombres se fermaient un instant avant que je ne rouvre les yeux relevant la tête. Les clients semblaient affluer ce soir au bar. J'hésitais. Est-ce que je pouvais vraiment essayer ? Est-ce que je voulais vraiment tenter ? Je finissais par m'approcher du comptoir interpellant une des personnes qui semblait attendre. Je prenais la commande et je me lançais pour la première fois depuis que l'horreur s'était abattue sur mon être. Le début de la préparation se passait bien même si j'étais plus lent que mes habitudes passées. Mais, soudainement, une bouteille m'échappait des mains... Non. Elle m'échappait de la main charcutée parce que, pris dans ma préparation, j'avais oublié que les doigts n'étaient plus là pour une bonne prise. Le « Putain... » m'échappait dans un murmure tandis que le corps se reculait légèrement du comptoir. Je fixais les débris au sol sentant le cœur se mettre à cogner plus fort. L'envie de disparaître était aussi intense que cette douleur qui cognait dans mon être. Gamin incapable. Gosse foutu en l'air. J'avais envie d'éclater en sanglots, mais je restais juste là à fixer le désastre mordillant ma lèvre.
Assis sur le banc dans les vestiaires du personnel au Lord Hobo, je ne bougeais pas. Mes yeux étaient rivés sur le sol ou peut-être plus sur cette main droite qui n'avait plus que trois doigts. Le cœur cognait vivement dans la poitrine. Le souffle était difficile à saisir. Pourtant, je ne bougeais pas de l'endroit où je me trouvais. J'attendais simplement que ça passe. J'attendais juste que l'instant se calme. Je restais là à subir en silence. Quelques secondes. Quelques minutes. Je ne saurais vous dire combien de temps ça durait, combien de temps j'étais charcuté par mes propres pensées. Lorsque le cœur finissait par se calmer, la main encore entière attrapait la canne dont je ne pouvais plus me passer pour marcher. Jambe droite trop foutue en l'air. La porte des vestiaires était poussée. Le brouhaha me prenait aussitôt aux tripes. Je déglutissais difficilement avançant avec lenteur et gardant les yeux baissés. Gamin amoché par la vie. Gosse qui n'était pas certain de se relever cette fois. Être humain qui regrettait de fouler encore la Terre si c'était pour n'être plus que cette ombre. Fade. Détruite. Prisonnière. Mes prunelles sombres se fermaient un instant avant que je ne rouvre les yeux relevant la tête. Les clients semblaient affluer ce soir au bar. J'hésitais. Est-ce que je pouvais vraiment essayer ? Est-ce que je voulais vraiment tenter ? Je finissais par m'approcher du comptoir interpellant une des personnes qui semblait attendre. Je prenais la commande et je me lançais pour la première fois depuis que l'horreur s'était abattue sur mon être. Le début de la préparation se passait bien même si j'étais plus lent que mes habitudes passées. Mais, soudainement, une bouteille m'échappait des mains... Non. Elle m'échappait de la main charcutée parce que, pris dans ma préparation, j'avais oublié que les doigts n'étaient plus là pour une bonne prise. Le « Putain... » m'échappait dans un murmure tandis que le corps se reculait légèrement du comptoir. Je fixais les débris au sol sentant le cœur se mettre à cogner plus fort. L'envie de disparaître était aussi intense que cette douleur qui cognait dans mon être. Gamin incapable. Gosse foutu en l'air. J'avais envie d'éclater en sanglots, mais je restais juste là à fixer le désastre mordillant ma lèvre.
#rplibre
Sujet: Down (rp libre)
par Lukas O. Spritz-Hood
le Lun 7 Oct - 2:25
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par Lukas O. Spritz-Hood
le Lun 7 Oct - 2:25
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Down (rp libre)
10/10/2024 fin de journée.TW: épuisement physique et mentale.
Les bras chargés de course pour la semaine, l’épuisement sur le visage, comme si chaque geste était une lutte de longue haleine, le corps qui lutte, l’esprit qui lutte pour garder le contrôle en public, là où avant je me serai probablement laissé aller sans peine sans avoir rien a faire du regard des gens. Mais peut être que cette fois ci c'était la fois de trop, le jour de trop. Un simple sac qui lâche, les courses au sol, le corps qui lâche, les nerfs qui lâches, totalement et les larmes qui ne cesse de couler incapable de me relever ou de repartir. Rejoindre la voiture ou quoi que ce soit. Je restais là au sol avec ma culpabilité et d'avoir tout foutu en l'air.
#rplibre.
Sujet: Fantomatique sont les ombres + Erza
par Scott Guerin
le Dim 6 Oct - 14:40
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par Scott Guerin
le Dim 6 Oct - 14:40
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Fantomatique sont les ombres + Erza
@ — Gouttes d’eaux. S’abattent sur les vitres. Pénombre. Quelques lampes de bureaux encore allumés, confèrent une aura sinistre au lieu. Aura renforcé par le vent qui rugie dehors. Trop fort pour ne pas s’infiltrer sous les vitres. Fantomatiques ombres. Glisse dans les recoins obscures de la bibliothèque. Silencieuse. Observent de leur orbes vides, l’étudiant. Etalé sur son bureau. Paupières closes. La carcasse dont le thorax se soulève à chaque respiration étouffée, gît endormie. Indifférent à l’atmosphère. A l’heure. Paisible. Les traits détendus, offrent la vision d’un être différent. Livre épais en guise d’oreiller, imprime ses lettres sur sa joue. Claquement sourd. Brusque. Perturbe la quiétude. Soubresaut discret. Le sort des bras de Morphée. Les yeux qui s’ouvrent, encore brulant de sommeil. Il se redresse. La nuque courbaturée. Se frotte les yeux , avant de chercher la source.
#rplibre
Sujet: For a dinner (libre)
par Isabella Harper
le Jeu 3 Oct - 21:14
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par Isabella Harper
le Jeu 3 Oct - 21:14
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For a dinner (libre)
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Une file immense se tient devant elle, l’avancée est lente mais elle en vaut la peine. Isabella s’intéresse assez peu à la gastronomie d’habitude mais seulement voilà, cela fait des mois que son frère lui parle l’ouverture exceptionnelle du restaurant d’un chef japonais à Boston, un restaurant qui ne restera là que quelques semaines. Il l’a longuement supplié de venir avec lui ce jour-là, craignant certainement que sa femme lui reproche encore une fois ses goûts culinaires étranges. Problème, au dernier moment, il s’est retrouvé malade au point de ne pas pouvoir faire un pas dehors. Isabella, ayant passé des semaines entières à entendre parler de ce restaurant, a eu envie de maintenir sa venue en espérant pouvoir faire un rapport détaillé à son aîné. Tout le concept est étudié autour du thème de l'éphémère et aucune réservation n’a été autorisée, il y a des tables pour deux, quatre et six et une grande table pour les gens venus seuls, et pour le reste Isabella ne sait absolument rien de ce qui l’attend. Plus les gens avancent, plus elle craint d’avoir attendu presque deux heures pour rien. Elle arrive finalement face à une femme avec un petit carnet à la main qui la regarde avec un sourire désolé. “Pardonnez-moi, il nous reste plus que des places pour les couples.” Et voilà, la sentence est tombée, pas de dîner pour elle ce soir. Elle prend quand même le temps de s’amuser un peu de la situation alors que les gens commencent déjà à râler derrière elle : des places spécialement pour les couples dans un restaurant sur le thème de l'éphémère, c’est quand même le comble de l’ironie. Soudainement la jeune femme semble avoir une illumation en regardant la personne derrière Isabella. “Oh excusez-moi, vous êtes peut-être venu ensemble”. Elle se retourne vers l’individu.e et ils échangez un regard entendu avant de confirmer. “Oui c’est ça, on est ensemble”. Un peu gênée par la situation, Isabella attrape doucement l’inconnu.e par le bras pour le/la rapprocher d’elle. Le repas s’annonce décidément plein de surprises.
Sujet: Solitude lunaire (libre)
par Fallon Hardley
le Mer 2 Oct - 2:37
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par Fallon Hardley
le Mer 2 Oct - 2:37
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Solitude lunaire (libre)
tw ; ras for the moment Hameau pâle bougeant au gré du vent, d'une lenteur excessive. Musique douce des vagues qui s'écrasent contre les rochers. Bouteille en main, je soupire immodérément, cheveux au vent, navigant entre les nuages assombris du superbe ciel noir, d’un crépuscule lumineux, tourmenté par le poids exorbitant des confidences acquises. De ce que je pense pouvoir échapper. Des conseils reçus par mon meilleur ami pour ne plus faire d'erreur. Je porte la bouteille à mes lèvres, goulot qui touche mes pulpeuses pour laisser passer le liquide. Il est brûlant. Réchauffant. Faciès assis au bord du quai, les jambes pendantes dans le vide, se balançant au-dessus de l'eau. Le regard perdu pourtant sur l'horizon, contraste avec un besoin de solitude. De pouvoir y trouver les réponses existentielles. Brise de vent qui soulève légèrement ma robe tandis qu'une paume s'abat immédiatement sur mes cuisses pour bloquer le tissu.
#rplibre #libre
Sujet: walk and alcohol (rémi)
par Jazz Baumann
le Mar 1 Oct - 20:55
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par Jazz Baumann
le Mar 1 Oct - 20:55
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walk and alcohol (rémi)
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Les voix finirent par se taire derrière toi. La porte du restaurant se ferma rapidement. Tu soupiras doucement, appréciant le peu de silence que pouvait t’offrir cette rue. T’as été bouffé avec des potes de médecine, de quoi faire ressortir les bons souvenirs. Tu remis bien ta veste en jeans sur tes épaules et tu commenças à avancer en direction de ton logement. Le temps te permettait d’y aller à pied, au lieu de prendre un taxi. Tu croisas quelques personnes sur le chemin, bien souvent des groupes. Pourtant tu remarquas au loin une ombre qui semblait ne pas marcher droit. Tu préféras ne pas y faire attention, loin de toi l’envie de t’imposer. Tu poursuivis ton chemin jusqu’à entendre un fracas de poubelle qui tombe. Tu te retournes d’un coup, et entendis un gémissement de douleur. Tu traversas la route, en faisant attention à ce qu’il y avait autour de toi. « tout va bien ? » demandas-tu en aidant cette personne à se redresser. Ça sentait pas la rose avec les détritus par terre.
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