t'aurais pu poser plus de question ollie mais tu penses avoir deviné ce qui se cache sous cette réponse. finalement, tu n'es pas sûr de vouloir savoir. limite que tu t'imposes avec lui, depuis son changement de situation. tu ne veux pas changer pour le moment. tissus qui glisse le long de ta jambe, tu relèves le regard. il t'observe " pour regarder. " deuxième jambes, tu fais glisser le tissus de la même manière. l'observe discrètement toi aussi, curiosité mal placé ou souvenir du jeu. il retire son bombers, déboutonne sa chemise et laisse apparaitre ses tatouages. tes yeux captent son attention et face à lui, ton bras passe derrière ton dos. essaye d'attraper la fermeture éclaire de ta robe. " tu peux m'aider ? " silouhette qui se retourne, tu prends tes cheveux et les glisses sur le côté.  

Pour regarder. Donne de la contenance à ses mots, en changeant de jambe. Sur ses épaules, il fait glisser la chemise. Garde l’attention sur elle. Sur l’indiscernable. Le ressenti. La tension qui prend place en lui. Se glisse dans ses veines. Suit le réseau neurologique. Alerte son système quand elle se tourne. Dos à lui. Nuque dégagée. Formule sa demande. Pied nu, il s’avance sur le sol chauffé. Saisie la fermeture. Entre alors, en contact, le bruit de la fermeture abaissée avec le clapotis de l’eau. S’ouvre alors, la robe. Dénude son dos. Son derme au sous ton doré. A la sensualité de sa cambrure. Brièvement, des doigts froids en touche la tiédeur. Secondes éternelles. Son souffle la caresse. Il garde prisonnière, sa voix. Reste silencieux.

dos à lui. tu formules ce que tu ne peux pas faire toute seule. respiration qui se fait plus lente, tu te laisses surprendre en ne regardant pas. silhouette qui s'approche, tu le devines. il s'immobilise derrière toi. ses doigts saisissent la fermeture et la fait glisser. ta respiration se coupe machinalement. silence qui amène cette chaleur, celle que tu repousses. la robe s'ouvre et tes mains maintiennent le devant de ta robe. électrique épiderme. fraicheur qui se dessine dans ton dos. il laisse glisser ses doigts. souffle qui chatouille ta peau. tension qui renait et qui ravive ce quelques chose. gorge qui se serre, t'aspires enfin et tu te tournes comme pour couper le contact avec ta peau. visage finalement prêt l'un de l'autre. tu l'observes et finalement lui dis. " merci " corps qui frôle celui de scott, tu te faufiles sur le côté. robe que tu fais glissé et qui laisses apparaitre la dentelle noir. tu prends la serviette et décides finalement de ne pas l'attendre. " vient me rejoindre quand t'auras terminé. " tu t'empresses, comme pour calmer ce feu qu'il a provoquer. corps qui se jette pour plonger, se refroidir. tu l'attends au bord de la piscine.  

Sous ses doigts, sens le blocage. Plus de mouvement. La respiration suspendu dans le temps. Il en profite Scott. S’attarde sur le touché de son derme. Plane en lui. La sensation. Ravie un jeu endormie. Différent du premier. Différent sans savoir à quel point. L’atmosphère devenu lourde, elle évolue dedans. Se retourne pour lui faire face. Le menton relevé dans sa direction. Le fait plonger dans ses onyx. L’absorbe dans l’échange. Donne de l’épaisseur au lien qui les unies. Le remerciement franchit ses lippes. Semble lourd, tandis qu’elle s’échappe. Le frôle au passage. Sur sa silhouette, la robe glisse. Satin. A sa vue, la dentelle noire apparaît. Met en valeur la brune. Mirage. Se camouflé dans l’eau turquoise. Tout en écoutant ses mots, il s’approche. Reste face à elle. Immobile face au bassin. Défait sa ceinture. Se débarrasse du pantalon, avant de venir s’assoir. juste près d’elle. Coude contre genoux. Tourne l’ovale vers elle, les bras sur les genoux. « Pourquoi la piscine ? »

phrase d'arlan qui raisonne dans ton esprit.  ne fait pas n'importe quoi ollie c'est le conseil affiné qu'il t'avait donné concernant le deuil que tu étais en train de traversé. journée compliquée où tes émotions sont à fleur de pot, à leur paroxysme. tu décides de te faufile, chaleur qui s'atténue avec la fraicheur de l'eau. tu nages jusqu'au bord, les bras qui se croisent sur le rebord de la piscine. tu l'observes, il avance, retire sa ceinture puis son pantalon. visage qui se relève, dominer par la hauteur de l'étudiant. il s'avance et s'assoit prêt de toi. bras à quelques centimètre de sa cuisse. tu tournes ton visage, goute d'eau qui tombe sur ton visage. tu décides finalement de nager face à lui, tête qui s'immerge à moitié. recouvre tes lèvres, tu l'observes. finalement tu t'approches, les doigts qui se posent sur ses genoux et qui les incite à s'écarter. tes doigts se retirent et tu te positionnes entre ses jambes, tu ne le touches pas mais t'es proche. mouvement avec tes pieds et tes bras qui te gardent à la surface. " c'est plus facile de faire taire ses émotions sous l'eau. " hausse tes épaules, tu le regardes. " et puis j'ai plus les clés de l'aquarium. "  

Les mollets immergés, l’eau flirte avec le creux de ses genoux. Sirène. Chevelure aplati par le liquide. Luis les reflets. Fait naître des ombres sur son ovale à moitié noyé. Eclat dans les orbes. Capte son attention. Muet, il la regarde onduler dans l’eau. Naïade. Revient à lui. Aventureuse sont ses mains qui écartent ses cuisses. Frissons Donne une impulsion dans son bas ventre. Prédatrice. A-t-elle seulement conscience du jeu qui se profile ? Parce qu’il le voit. Lui. Attraction. Qu’il avait pu aisément étouffer. Pour celle qui triturait encore son âme. Mais maintenant ? Qui pouvait l’empêcher de redevenir l’ombre ? De ne plus faire d’effort. Des efforts vains, parce qu’il le sait. Il ne sera jamais suffisant. Incapable de donner plus. La carapace trop épaisse. Entrave la carcasse. Flotte. Entre ses cuisses. Le contact annulé. «  Et ça fonctionne ? » Avant bras en appuie, il se penche. Son visage plus proche.

dominante est sa position. le regard élevé vers lui, tu l'observes et renverses la tendance. doigts qui touchent ses cuisses pour les écartés. t'amorces l'illusion pour finalement les retirer. immobile, vos regards se cherchent. tu le sais et tu le sens ollie. les mêmes regard qu'ils pouvaient avoir lorsque vous jouez ensemble. visage qui immerge à la hauteur de tes lèvres. tu l'observes prendre appuie et se pencher vers toi. mouvement avec tes jambes, tu émerges. " tu devrais essayer " les bras qui s'enroulent autour de son cou et qui l'oblige à te rejoindre dans l'eau.

S’enroule sur sa nuque, les mains de la brune. Volontairement, il se laisse emporter. Pénètre la barrière aquatique. Corps ensevelie. L’eau tiède le percute. Engloutie son ovale. Rapidement, il revient à la surface. De ses mèches, gouttes des perles cristallines. Rencontre à nouveau ses orbes. « Et si c’pas efficace ? » Entame des rondes. Tourne autour d’elle en nageant. « Tu proposes quoi ? » Derriere elle, il s’arrête, tout en maintenant son torse hors de l’eau.

corps qui se laisse tomber sur le côté et qui éclabousse ton visage. tu souris enfin ollie. tu te recules un peu pour éviter les représailles. visage qui retrouve la surface, ses cheveux aplati. ton regard l'observe encore. attirée. questions qu'il pose. il se met à nager vers toi, te contourne et tourne autour de toi. silhouette qui s'arrête derrière toi, pose son autre question. corps qui se retourne pour lui faire face. " tout dépend. " tête que tu immerges sous l'eau, tu nages et passes sous ses jambes pour finalement remonter derrière lui. " si t'es du genre à utiliser une personne " toi ollie ? t'en serais capable mais tu t'es refuser de le faire pour le moment. utiliser quelqu'un pour contenir ta peine.  

Transperce la translucide. A nouveau, disparaît dans les profondeurs de la piscine. Ne représentant à ses yeux, qu’une silhouette floue. Entre ses jambes, elle passe. Lui arrache un sourire, car il voit bien qu’une part d’elle subsiste. Que peu importait la tournure du jeu, elle était toujours dedans. Ondulation. Il la sent derrière lui. Elle qui réapparaît. « Montre-moi. » Faible echo entre les murs. Il se retourne pour lui faire face. L’éclat machiavel brille dans ses prunelles. Sans la quitter des yeux, l’ombre se recule en nageant jusqu’à atteindre le bord. De part et d’autre, ses bras prennent appuient. Seules ses jambes, bouge superficiellement. « Comment tu utilises quelqu’un pour faire taire tes émotions. » Le défis prononcé. L’envie peut être d’étouffer la douleur qu’il devine dans chacun de ses mouvements. L’envie de la retrouver. De ne plus penser.