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I LOVE HARVARD
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  • I laugh a little harder and I smile a lot more ft Joyce (24.09)
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    Ji-hun HwangMembre de la Pforzheimer House
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    Ji-hun Hwang
    Membre de la Pforzheimer House
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    Lieu de naissance : Hamheung, ville de la région de Hamgyeong du sud. La Corée du Nord l'a vu naître, l'a élevé. Elle a forgé une partie de l'homme qu'il est aujourd'hui, mais c'est sur un tout autre continent qu'il désire construire son avenir.
    Quartier.s d'habitation & Colocation : Il a vécu la Pforzheimer House durant une année, l'a quitté en juillet pour s'installer provisoirement chez un ami, à Chinatown, Boston, le temps de déménager dans un studio au 499 Beacon St.
    Situation sentimentale : Il a retrouvé les champs, un petit peu plus d'un mois avant le printemps. Maintenant que n'existe plus de pression, la relation peut enfin préparer sa floraison ; dans une relation avec Lilia, demoiselle qu'il connaît depuis un an déjà ; 2024년 2월 16일
    Études & Métiers : doctorant en pharmacologie, au sein du laboratoire de l'école de médecine, il assiste également son superviseur dans ses recherches et participe activement à des conférences. En-dehors de ça, il fait du tutorat en sciences et en coréen ; ça paye bien mieux que serveur à la Luna Caffe, même si sa passion pour les latte art ne s'est pas envolée.
    Date d'inscription : 16/04/2022
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    Lien du postMar 3 Jan - 14:27
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    Une gorgée pour elle, une gorgée pour lui. Égalité parfaite qui, toutefois, la plaçait plus près de porter le fameux « pull moche ». Et ce n’était pas pour déplaire au jeune homme qui s’autorisa une pause dans le jeu. Un simple aller-retour jusqu’à la poubelle remplie d’un restaurant qui lui permit d’apprêter ses lèvres d’un plus grand sourire. Satisfaction extrême d’apprendre qu’elle lui avait donné accès à ses premières vidéos hot, quand il l’avait pensé adepte de ce genre de pratique, puisque souvent et longtemps éloignée de son compagnon de l’époque. Information qui le fit marcher de façon plus assurée, accompagné d’une certaine fierté. Tant pis pour l’aveu qu’il avait dû faire en échange, parce que ça valait le coup. Il jeta donc son mégot au-dessus des ordures après avoir vérifié qu’il l’avait complètement éteint, et retrouva la jeune femme à l’endroit où il l’avait laissée plus tôt. Son sourire avait repris la forme initiale d’une simple esquisse, et il ne fit rien paraître de cette bonne humeur qui l’avait submergé le temps du « va » pour se dissiper au moment du « revient ».

    Son côté gentleman aurait voulu qu’il la joue plus cool, mais la partie « Pforzheimer » de sa personnalité prit l’avantage ; pas de quartier, il était là pour gagner. Alors il trouva de quoi marquer des points et pensa aussitôt au fait qu’il semblait plus habituel d’inviter de potentiel(le)s partenaires aux États-Unis quand ça l’était moins dans son pays. Alors, homme ou femme, il était gagnant, puisqu’il savait qu’elle avait eu des copains, mais aussi une copine. Il confia qu’il n’avait jamais invité de blonde, de brune, de rousse, dans sa chambre – de sa vie, avant elle. Ça valait donc pour Boston, mais aussi en Corée du Nord. À l’heure où ils parlaient, aucune demoiselle n’avait pu approcher d’aussi près son monde. Il avait toujours pensé que ça serait déplaisant de voir une personne du sexe opposé tourner autour de ses affaires, s’intéresser à ses passions, ses loisirs. Il n’avait jamais essayé d’aller bien loin dans les échanges intellectuelles, même s’il avait toujours espéré finir sa vie avec une épouse plus intelligente que sotte. L’avait-il rêvé ? Il ne le saura malheureusement jamais.

    Il la vit pester, et ça lui donna encore plus envie de continuer à jouer ; c’était marrant, – vraiment marrant ! II sortit de nouveau son paquet déjà bien entamé, et piqua un deuxième tube à l’intérieur. Le briquet entre les doigts, il fit aller la roulette. Après quelques étincelles, une jolie apostrophe orangée apparut et mit le feu à la cigarette qu’il avait coincée à sa bouche. Je n’espère pas, fit-il avant de lâcher une énième bouffée dans le vent ; qu’elle ait dit son dernier mot, parce que : quand c’est trop facile, je n’aime pas. Qu’elle se batte, corps et âme dans leur duel, il aimait le challenge et détestait les filles qui se la jouaient « faciles » ; barbant ! Il attendit son attaque, main à présent dans le fond de sa poche de pantalon. La peau de ses extrémités commençait à prendre une petite teinte rosée dans la fraîcheur de cette soirée d’automne. Elle trouva un autre terrain sur lequel le confronter, et il fut plutôt surpris de cet aveu. Avec ton ex, même pas, demanda-t-il, parce qu’un militaire avait forcément un rythme d’entraînement, même de retour à la maison.

    Sa caserne avait-elle été trop loin de l’endroit où elle vivait, préférait-il découvrir d’autres états, d’autres continents, que venir passer son temps libre avec elle ? On n’allait pas à la guerre tous les premiers du mois, pas vrai ? Il la fixa, tentant de deviner ce qui avait bien pu les empêcher de s’exercer ensemble – même juste pour faire semblant –, parce qu’il n’osa pas la questionner, et réclamer des détails sur ce passé qu’il tentait de lui faire oublier ; en vain ? Ce fut son tour de répondre, alors il commença : un sport plutôt individuel je pratique… Il ne faisait pas de relais, se concentrait sur ses temps. Il n’avait jamais demandé à quiconque de l’accompagner, et les personnes qui le faisaient travailler sur ses capacités physiques et mentales ne comptaient pas vraiment. Toutefois… À l’armée, j’avais un binôme, ça compte, l’interrogea-t-il. Ils s’étaient mutuellement choisis pour effectuer les exercices qui allaient par paires, et ne s’étaient jamais quittés jusqu’à ce que […] En-dehors de l’armée, il avait été une énergie solitaire, lui aussi.

    À mon tour, reprit-il tout de suite après. Il réfléchit en fumant sa cigarette à intervalles réguliers, les yeux voguant de-ci de-là, à la recherche d’une idée. Ce fut sans compter sur l’interruption d’un homme qui, après s’être stoppé devant la ruelle où Joyce et Ji-hun s’étaient isolés, l’emprunta également pour les rejoindre. Il s’arrêta devant eux et lança un coup de menton vers l’asiatique après les avoir salué. T’aurais pas une clope s’te plaît, mon gars, qu’il demanda au fumeur, d’une voix qui supposait qu’il avait déjà entamé sa soirée de quelques verres. Le nord-coréen répondit par l’affirmative et fouina de nouveau à l’endroit où il avait remis son paquet pour offrir la boîte ouverte à l’inconnu. Ce dernier tira sur le mégot sortant et le coinça entre ses lèvres sèches. Il galéra avec ses allumettes pour les tenir loin du vent, alors le doctorant proposa de donner un coup de main ; ça allait tout de même bien mieux avec l’allume-gaz. M’ci, t’es un bon, toi, lança-t-il familièrement au brun qui hocha la tête poliment ; pas de quoi en faire tout un plat.

    Les yeux bleu-vert se tournèrent vers la biologiste, et ils matèrent furtivement son apparence avant de la fixer étrangement. Ji-hun observa le comportement de l’homme qui devait avoir leur âge, plus ou moins, mais ne dit, ni ne fit, rien. La situation ne supposait pas qu’il intervienne, en tout cas.  T’es une vraie bombe, qu’il remarqua en faisant aller son pouce bien haut pour accentuer ses dires, c’est ta copine ou ta petite-copine* ? Le nageur haussa les sourcils et ouvrit un peu plus les yeux d’incompréhension. Pardon, montra-t-il qu’il ne comprenait pas la nuance, et encore moins la question du coup. L’Américain demanda que l’on patiente, le temps qu’il se délecte d’une grande et longue – très longue – inspiration de nicotine. Tu la baises ou tu la baises pas, qu’il reformula sans aucune once de gêne quant à la vulgarité des propos. Euh… non, répondit-il de façon légère, bien qu'un poil hésitant ; ils ne s'étaient pas unis, s'étaient juste touchés, ça ne comptait donc pas. Le mec ivre applaudit en faisant basculer sa tête en avant ; qu’est-ce qui se passait ?

    Ji-hun le regarda, impassible. Il avait parfois fait face à des gens alcoolisés ou/et complètement shoutés en Corée du Nord, alors ça ne l’effrayait pas – pas plus que ça –, tant que les limites étaient respectées. Dis-lui quand même, qu’elle est beauté. Tu peux, c’est gratos, qu’il s’exclama en venant tapoter l’épaule du sportif, comme s’il compatissait d'on-ne-savait-quoi. Il répéta son geste si longtemps que ça parut une éternité. Je le ferai, acquiesça le biochimiste avant que l’individu ne les salue d’un signe de main, et reparte en titubant vers la grande rue. Où on en était je ne sais plus…, avoua-t-il en tournant la tête, après avoir suivi de ses agates la silhouette masculine disparaître. Il la dévisagea un instant, plantant ses billes ici et là, puis sortit, naturellement : tu es… « beauté ». Son sourire s’élargit avant que des éclats ne viennent bousculer le vent qui s’engouffrait dans l’allée. Il ne se moquait pas du type, c’était la situation qui avait été marrante. On ne lui avait jamais demandé s’il « baisait » une femme aussi ouvertement. Une première qu’il n’allait pas oublier de sitôt, c’était certain.

    @Joyce Millett

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    Lien du postLun 9 Jan - 10:59
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    Non, Joyce était bien loin d’avoir dit son dernier mot et même si elle était probablement moins compétitive que le tout nouveau membre de la Pfo il lui importait de défendre ses couleurs et, plus particulièrement, son style vestimentaire pour les fêtes. Non, clairement, elle n’allait pas lui offrir une victoire facile et si elle devait accepter la défaite, elle s’assurerait que celle-ci soit là moins lamentable possible ; histoire au moins d’équilibrer un peu l’ivresse des gorgées à boire pendant le dessert. À ce rythme là ils risquaient de finir tous les deux bourrés ; c’était probablement une bonne chose qu’ils aient décidé de ne pas prendre leur vélo pour venir, le retour aurait risqué de tanguer entre le vin et le champagne.
    Bien décidée, donc, à ne pas se laisser écraser sans rien dire, elle cherche quelque chose qui pourrait la faire remonter tout en lui permettant d’apprendre des choses sur lui. Un peu moins intime cette fois, car elle n’a pas envie que toute leur relation tourne uniquement autour de ça et que le but n’est pas non plus de les émoustiller ; cette soirée n’est pas faite pour cela et elle se doute qu’elle aura déjà assez de peine à ne pas lui proposer de monter dans sa chambre au retour. Son choix se porte donc sur le sport puisqu’elle connaît sa passion pour la natation – ce qui fait de lui un nageur bien plus rapide que celle qui avait grandi sur l’eau – et elle creuse dans cette direction, curieuse de savoir s’il avait avec lui un partenaire, quelqu’un pour l’encourager et avec qui partager les victoires comme les défaites. Cependant, sa réponse n’est pas tout à fait celle à laquelle elle s’attendait puisqu’il semble plus interpellé par le fait qu’elle n’ait jamais fait du sport avec Denzel… Souvenirs qui remontent quand elle n’y pensait plus, elle hausse néanmoins les épaules désireuse de ne pas basculer dans le pathos d’une relation qui n’existe plus.

    – Il préférait s’entraîner à la salle ou avec ses coéquipiers. Quand il était là, il profitait que je sois en cours pour y aller.

    Finalement quand elle réfléchissait à cette relation, elle réalisait qu’ils ne partageaient pas tant de choses en dehors d’un lit. Ça avait été un coup de coeur, oui, un coup de foudre même selon l’expression commune, mais s’ils étaient rapidement tombés amoureux c’était sans véritablement se connaître. Il n’avait eu que peu de temps pour cela après tout avant qu’il ne doive repartir à la guerre. Et tout s’était enchaîné très vite, ils s’étaient précipités pour beaucoup de choses, emménageant ensemble rapidement, se projetant sans prendre en compte leur sensibilité respective. Pas étonnant qu’à un moment le bateau prenne l’eau ; elle aurait simplement préféré que ça ne se fasse pas dans ces conditions. 
    La question, cependant, n’a pas été posé pour elle ou pour repenser au marin et elle préfère écouter la réponse que lui donne Jay. Sourire taquin sur les lèvres, elle n’hésite pas à trancher sur les règles.

    – Bien sûr que ça compte !

    Il ne faut pas non plus qu’elle se prenne trop de retard dans la figure ! Et la biologiste espère bien que la prochaine proposition de son adversaire rééquilibrera les choses afin de maintenir un peu le suspens sur le véritable gagnant de cette compétition pour laquelle elle se prête un peu trop au jeu. Attendant avec une certaine impatience que le couperet tombe, celui-ci est cependant interrompu en plein vol par la présence d’un inconnu dans la ruelle qui se joint au duo avec une question flottant sur les lèvres. Il souhaite une cigarette et si les poches de Joyce sont vides – elle n’en n’a même pas en fait, dans sa robe –, ce n’est pas le cas de celle du doctorant qui tire son paquet pour le tendre à l’homme qui les a opportunément. À la voix t à l’air hagard qui se dessine sur ses traits quand il avance d’un pas presque titubant, il ne doit pas en être à son premier verre, même s’ils ne semblent pas tellement méchant. Joyce cependant à vu, vécu et entendu trop d’histoires pour se sentir complètement détendue, et si elle n’a pas peur sur le moment, elle n’est pas complètement tranquille pour autant, légèrement tendue comme si le froid avait parvenu à s’infiltrer sous la veste prêtée. Dans la nuit, quelques allumettes craquent, mais aucune ne parviennent à faire rougeoyer l’extrémité du cylindre bicolore ; son compagnon de soirée tire encore l’homme de l’impasse en lui passant son briquet, bien plus efficace dans les volutes du vent nocturne. 
    Tout aurait pu s’arrêter là, chacun retournant à son occupation et le duo pouvant reprendre son jeu. Mais les yeux de l’inconnu se tournent vers celle à qui il ne s’est pas encore véritablement intéressé, la déshabillant presque du regard. Sueur froide qui parcourt l’échine de la plus jeune qui se tend un peu plus encore, se redressant à la manière de ces animaux qui veulent paraître plus grand et effrayant pour intimider leurs adversaires ; rien n’indique pourtant encore que ce soit le cas dans cette situation, mais Joyce n’apprécie pas vraiment cet échange silencieux et encore moins la remarque qu’il lui abandonne et qui fige des éclairs dans ses prunelles. Elle a très envie de l’envoyer balader, mais ne trouve pas les bons mots pour cela, s’empêtre dans ses pensées et il a déjà reporté son attention plus loin revenant à Jay pour lui poser une question qu’il ne semble pas bien saisir. Nuage de fumée, seconde qui s’écoulent et s’écroulent, rien dans la situation n’est là pour rassurer la doctorante qui sert fort les poings contre ses cuisses.  La suite est pire encore, d’une vulgarité crasse qui la fait reculer d’un pas. L’impression affreuse d’être prise en otage par ce type ivre et de ne pas pouvoir réagir ; elle écoute à peine la réponse donnée, concentrée sur les gestes de l’homme et se demandant si elle doit intervenir et comment intervenir surtout. S’il commençait à montrer une once de violence, valait-il mieux courir vers le restaurant trouver de l’aider ou rester pour aider Jay ?
    L’inconnu cependant, ne semble pas d’humeur pour une baston et balance un dernier « conseil » avant de tapoter de trop nombreuses fois l’épaule du nageur, comme s’il attendait la validation de celui-ci. Enfin,  il leur abandonne un dernier geste de la main et ressort de l’allée alors que le corps de Joyce peut enfin se détendre, même si ses poings restent encore serrés ; elle se sent bête de n’avoir pas mis un frein plus tôt à cet imbécile.

    Le doctorant ne semble pas voir la tension que la situation a laissé sur elle et il s’amuse de la situation, reprenant les mots sur sa prétendue beauté. Ça ne la fait pas rire pour autant, pas même sourire un peu. Elle est simplement énervée et, quelque part, un peu blessée que des inconnus puissent s’arroger ainsi le pouvoir de commenter son physique.

    – Tant mieux si tu le penses, mais je n’ai pas vraiment envie de connaître l’avis d’un individu que je ne connais pas sur mon apparence.

    Un frisson de colère dévale son échine pendant qu’elle observe encore le bout de l’allée parure laquelle il a tourné, disparaissant derrière les murs.

    – Est-ce que je lui ai fait un commentaire, moi, sur ses yeux globuleux et son nez de travers ?

    Elle reporte son attention sur celui qui l’a invité ce soir et s’en veut de s’être laissée emporter, ne souhaite pas non plus gâcher le si bon moment qu’ils passaient ensemble. 

    – Pardon.
    Ji-hun HwangMembre de la Pforzheimer House
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    Lien du postDim 15 Jan - 14:29
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    Une gorgée de plus pour elle, une gorgée de plus pour lui. Ils étaient à égalité quand Ji-hun avait encore un coup d’avance. Il était heureux, le nord-coréen, et s’apprêtait à donner un énième – et peut-être dernier – coup de grâce à Joyce quand les pas d’un inconnu se dirigèrent vers eux. Sa présence mit le jeu auquel ils s’amusaient en pause, et le doctorant tendit l’oreille vers la voix inaudible du jeune homme. Alcoolisé, il mâchait ses mots et ne semblait pas en état de faire des efforts pour se faire comprendre. Le regard planté sur ces lèvres qui ne bougeaient pas assez, l’Asiatique comprit tout de même sa demande, et n’hésita pas à lui fournir la cigarette demandée. Il le lança prendre le tube qu’il avait relevé de son paquet et accueillit le remerciement sans dire mot. Il pensa qu’il allait tourner les talons, mais il resta planté à leurs côtés pour tenter d’allumer le bout du tube. Plusieurs essais qui ne furent pas fructueux, si bien que Ji-hun eut l’élan de lui prêter mains fortes en lui cédant son briquet. Il actionna lui-même la roulette pour espérer gagner du temps, en vain.

    L’homme posta ses yeux rouges sur la silhouette de la scientifique, et éveilla ainsi quelques vieux souvenirs. Si le biochimiste sembla rester de glace face à la manière dont l’homme arpenta les courbes de sa partenaire de soirée, il n’en fut pas moins observateur, prêt à agir si la situation dégénérait. Ses rétines suivirent ce pouce qui s’activa dans le froid de cette nuit d’automne, et lui continua de tirer sur le filtre de cette attitude posée qu’on lui connaissait bien. Il ne dit rien, ne fit rien, parce qu’on ne savait jamais ce qui pouvait se passer quand on attaquait en premier un mec qui avait abusé de quelques verres. Pour l’heure, il n’avait fait que complimenter la beauté de Joyce, et même si sa façon de parler avait été un peu trop familière à son goût, il ne pensait pas qu’il l’avait heurtée ; probablement à tort. La suite fut un peu plus floue pour le nord-coréen qui ne comprit pas la subtilité des propos. Girl friend, girlfriend, quelle différence ? Il demanda alors un peu plus de précision, et fut si choqué par les mots utilisés qu’il ne sut comment réagir, si ce ne fut être totalement honnête dans sa réponse.

    Il n’avait jamais fait face à tant de vulgarité, et ne sut comment interpréter les petites tapes qu’il reçut à l’épaule ; compassion ou félicitations ? Il ne se tendit pas pour autant, préféra jouer le jeu, plutôt que de se mettre dans l’embarras. Il n’était pas du genre à réagir à chaud, savait que s’il donnait le premier coup de poing pour calmer les ardeurs de son vis-à-vis, celui-ci répondra sans attendre, que son opposant ait fait son service militaire ou pas. Ils se seraient cognés, la bataille aurait ameuté les gens des bars alentours – peut-être même du restaurant où Joyce et lui avaient occupé une table, et ça se serait mal fini. Pour l’un, pour l’autre, probablement pour les deux. Car on savait comment fonctionnait la justice, et elle n’était pas toujours aussi juste qu’elle le prétendait : dans un état second à cause du taux d’alcool dans son sang, l’irrespectueux n’aurait pris qu’un avertissement. Qu’en aurait-il été pour le réfugié ? Loin d’être décidé à perdre son visa et sa place dans cette société, il lui fallait rester prudent, parce qu’on ne savait jamais. Il se montra patient, bien qu’aux aguets.

    Après un geste d’au revoir qui parut durer une éternité, l’individu finit par tourner les talons et disparaitre au bout de la rue, à la recherche d’autres personnes à accoster très probablement. La scène se rejoua dans la tête du nord-coréen qui finit par en rire. Première situation aussi loufoque pour lui, il était aussi choqué qu’amusé. Ce ne fut par contre pas le cas de la jolie demoiselle à ses côtés qui ne trouva rien de drôle, tant et si bien qu’elle s’exprima de manière bien négative. Ji-hun la regarda se plaindre, extérioriser sa colère – sa peur ? Il sourit à son pardon et n’eût d’autre élan que de l’étreindre de ses bras. Après avoir tirer une latte de sa clope, il éloigna cette dernière et passa l’un de ses membres supérieurs autour des épaules de sa comparse. Il la serra contre lui pour l’apaiser. Sa main tapota la veste qu’elle portait, et sa tête se logea contre la sienne. Leurs cœurs battaient à quelques centimètres l’un de l’autre, et il put sentir que le sien s’était emballé. Te faire du mal, je ne l’aurais pas laissé , avoua-t-il qu’il aurait stoppé l’homme s’il avait été trop loin.

    Parce qu’elle comptait pour lui, qu’il tenait à elle d’une certaine façon. Il n’avait pas encore acquis les mêmes notions du bien et du mal, car beaucoup de ses compatriotes nord-coréens avaient abusé de leur pouvoir pour attirer des femmes dans leurs bras – et parfois de la mauvaise manière qui soit, impunément –, mais il apprenait, était d’accord pour voir autrement. De te toucher, le temps il n’aurait pas eu, ajouta-t-il avant d’inspirer profondément, profitant de cette accolade pour sentir son parfum, pour cueillir un peu de ce qu’ils étaient – en-dehors des draps. On ne le connaissait pas réactif, et pourtant. Il aurait suffi qu'un doigt, qu'un pas, franchisse la barrière invisible de laquelle il avait entouré le corps de Joyce, et il n’aurait fait qu’une bouchée du type. Commode, jusqu’au point de non retour. Il tourna légèrement la tête, et embrassa les cheveux de Joyce. Baiser qui signa aussi la fin du réconfort. Il retira son bras, reprit sa place initiale et lança un clin d’œil complice à la jeune femme ; il aurait tout donné pour la mettre en sécurité. La cigarette s’était consumée dans le vent.

    Il prit une dernière bouffée et l’écrasa sous sa semelle. On va rentrer, à avoir froid, je commence un peu, l’avertit-il. Et il valait mieux qu’il ne tombe pas malade, parce qu’il avait beaucoup de travail et d’heures à effectuer à la Luna Caffe pour compenser celles qu’il allait donner au club de natation. Il retrouva la poubelle dans laquelle il avait jeté son premier mégot, et y enfouit le deuxième avant de rejoindre la demoiselle. Il tendit ses doigts afin qu’elle y entremêle les siens. Il en profita pour baiser son revers de main avant de la guider vers l’entrée du restaurant où il se stoppa. Phalanges sur la poignée de porte, il n’entra pas tout de suite et se tourna vers Joyce. Ne perdant pas le nord lui non plus, il sourit malicieusement et déclara : avant toi… autant à quelqu’un, je n’ai jamais écrit… Et ceci signa le résultat final du jeu.

    @Joyce Millett



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