Elle lâche des phrases que l’Estrella moins fatiguée n’dirait surement pas.. Alors ça t’fait sourire, tu t’prends même à imaginer c’qu’elle ferait. Mais ça, c’est parce que t’es bourré et complètement pété, hein. Allongé sur l’côté, c’est à ton tour de jouer des pinceaux sur l’artiste de nuit. Le pinceau noir glisse sur sa peau. Elle réagit instantanément, dent qui mordille ta lèvre de satisfaction. Tu roules des yeux vers le ciel quand elle t’parle du fait qu’tu n’sois pas rentré accompagné ce soir. Chuut, n’interrompt pas l’artiste. qu’tu grognes, retrempant le pinceau dans la peinture fraîche avant de le reposer sur sa peau. C’que tu dessines n’a aucun sens. Ce n’sont que des lignes qui se croisent et s’entrecroisent. Ses doigts viennent déboutonner quelques boutons de sa chemise de nuit, laissant plus de place à ton pinceau fou. Des cercles autour de son nombril, quelques points au-dessus. Tu manques de couleur. qu’tu souffles en attrapant un autre pinceau et en l’trempant dans la peinture orange qui était sortie. Tu fais quelques petites étoiles par-ci, par là. D’autres lignes qui viennent caresser ses hanches. Hm.. Il manque la patte du tigre. Et ce sont tes doigts qu’tu viens tremper dans la peinture et laisser glisser sur le ventre de l’abimée.

@Estrella Morales

@Hugo Butler —

la fatigue, le joint. t'aides sans doute. tu as toujours été un peu plus réserver avec lui. sur tes gardes, ne contrôlant pas l'homme qui se trouvait devant toi. tu as pris soin de ne pas tout montrer de toi. tu souris lorsqu'il t'ordonne de te taire, en règle général, tu ne l'aurai pas écouter. la, tu gardes le silence. bah que tu viens croiser derrière ta tête. tu regardes le plafond, ta peau frisonne. t'essayes de penser à autre chose, t'essayes de ne t'exciter pour rien. tu viens déboutonner quelques boutons de ta chemise. tissus qui cache encore ta poitrine. tu remets tes bras derrière ta tête, et t'essayes d'imaginer ce qu'il te fait. tu penses déceler des étoiles mais tu n'en es pas sûr. jambe gauche qui se relève légèrement. " les couleurs sont là bas si tu veux. " tu lui indiques du regard mais il ne semble pas y prêter attention. respiration qui se coupe lorsque tu sens d'avantage de froid. tu redresses ton visage et tu t'aperçois que son doigt est devenu le pinceau. lèvre que tu mors, tu fais tomber ta tête en arrière. " c'est froid. " froid et chaud en même temps. moment que tu ne devrais pas sensuelle. certaines images de ton rêve te montent à la tête. dos qui se cambre légèrement, comme pour lui donner plus d'accès à la partie qu'il peint. sans faire exprès, le tissus se dégage un peu plus, laissant apparaitre le bas de tes seins.    

 

Tes doigts deviennent pinceaux. Ils glissent sur la peau de l’abimée, laissant des traits grossiers sur leur passage. Son corps se cambre, sa chemise se dégage petit à petit laissant apparaître le rebondit de ses seins. Tes grosses patounes repassent et effacent les petits symboles que tu as dessiné précédemment. Son corps se noircit sous ton passage. Regarde moi. qu’tu souffles en retirant le joint d’entre ses lèvres pour le poser dans le cendrier. Tu veux contempler ton œuvre, celle d’un moment d’absence, celle où tu découvres les courbes de l’abimée. C’est abstrait, sauvage, ça t’plait. Tu t’redresses complètement et t’mets à califourchon sur Estrella. Là, t’as un meilleur point de vue. Tu t’mordilles la lèvre et trempes cette fois tes deux mains dans la peinture. Tu agrippes ses hanches et remontes doucement le long de ses côtes, remontant le tissu de sa chemise dans la foulée, laissant complètement apparaître sa poitrine. Putain. Tu traces le contour de ses deux seins du bout des doigts avant de plonger la main dans la peinture pour en attraper une grosse quantité.. Et là, au-dessus de sa poitrine, tu laisses la peinture froide goutter et venir déposer des petites billes noires pendant qu’tes yeux ne quittent pas son visage si expressif.

@Estrella Morales

@Hugo Butler —

okay.. tu l'avais pas vu venir estrella. homme mystérieux qui se trouve être fascinant. réceptive, ton corps se cambre pour lui donner plus d'accès. paupière qui se ferme comme pour savourer plus facilement. tu sens ta respiration s'accélérer légèrement, tu la contrôles assez.- enfin c'est ce que tu penses - doigts qui tournoient le long de ton nombril. il t'indique de le regarder. tu ouvres les yeux et tu penches légèrement ta tête sur le côté pour planter tes prunelles dans les siennes. là... vous vous écartez de tout distraction artistique. tu le sais et putain que sa te plait. il se redresse et vient se poster sur toi. nu comme un ver, au dessus de toi. tes prunelles vacillent. regard qui se plante dans le sien et qui regarde ses lèvres qu'il mord. mains fermes qui agrippent tes hanches, tu lâches un gémissement incontrôlé. doigts qui effleurent ta peau et qui remontent le long de tes côtes. tissus qui remontent lui aussi. tu décides de le retirer complètement. nudité dévoilé à moitié, tu restes encore en tangua. tu le regardes mais t'as une envie de fermer les yeux. doigts qui touchent, qui peignent. t'avales ta salive et là, tu peux pas t'empêcher de fermer les yeux en te pincent les lèvres. les yeux qui s'ouvrent de nouveau, tu le regardes prendre une poignet de peinture. mains au dessus de ta poitrine, tu sens ces perles de peinture sur ton corps. soupire qui se lâche de tes lèvres. tes joues qui se rougissent et corps qui finit par se cambrer d'avantage pour relever ton buste. visage face à face. mains qui servent d'appuies. tu te pinces les lèvres. " sa donne sa donc. " tu souris légèrement. tu prends toi aussi une poignet de peinture dans tes mains. liquide que tu laisses couler le long de son bras jusqu'à son épaule. mains qui se posent sur le haut de son torse.     

 

T’es un putain d’artiste en train d’créer sa plus belle œuvre. Tu planes à des années lumières au-dessus du vide, l’alcool et l’herbe qui inhibent tous tes sens. La chemise retirée, son corps à nu. Ou presque. L’abstrait sur sa peau, les perles de peinture qui tombent sur ses seins aux pointes durcies par le plaisir. Le contrôle est perdu. Sa voix qui résonne, tu comprends même pas d’quoi elle parle. Le cocktail alcool/herbe ? La peinture ? Tu t’en fou. Tu la dévore du regard et là, sous cette lueur tamisée, offerte et cambrée, le corps luisant de peinture noire et orange, tu la trouve belle. Cette artiste. Elle imite ta technique bien personnelle de peinture, laissant à son tour perler la peinture sur tes épaules. Ses mains qui viennent sur le haut de ton torse, qui abimeront surement la peinture qu’elle a commencé au beau milieu de la nuit. Tu t’penches, vient chopper un de ses tétons avec le bout de tes dents. Tu tires doucement dessus, le regard levé sur Estrella, cherchant sa réaction..

@Estrella Morales

@Hugo Butler —

l'artiste n'a plus envie de se reposer. corps réceptif à la moindre sensation, tu te laisses guider par tes envies. épiderme qui se redresse, tu as la chaire de poule à chaque goute qui s'écrase sur ta peau. tu décides de te redresser un peu, buste légèrement surélever. tes mains servent d'appuies, t'aident à ne pas tomber. tu prends toi aussi, une poignet de peinture dans tes mains et tu laisses glisser le liquide le long de son bras. ton regard suit ta main, les traces que tu lui fais. doigts qui viennent se poser sur le haut de son torse, tu peux facilement sentir sa clavicule. buste qui s'approche de toi, visage masculin qui plonge au niveau de tes seins. dents qui viennent jouer avec tes tétons. décharge électrique qui irradie dans ta culotte. " hmm..." ta tête bascule en arrière, cheveux dans les airs. respiration qui s'accélère. ta main pleine de peinture glisse dans son dos. touche, vadrouille. tu peux facilement, sentir que tu n'es pas la seule à être exciter. intimité qui se durcit contre toi. tu restes cette fois si silencieuse, tu t'allonges de nouveau, alors que lui continue. nouveau soupire qui s'échappe. ok. là t'es loin de tes pinceaux. " putain... " injure que tu ne contrôles pas. ces lèvres à lui, quitte le bout de tes seins. ta jambe gauche à moitié relever, tes mains le poussent sur le côté et vous roulez, tu décides de reprendre possession de ce moment. toi au dessus de lui. " c'est mieux comme sa " tu souris à moitié.

 

Son téton entre les dents, tu cherches un signe qui voudrait dire d’t’arrêter. Mais le gémissement qui glisse d’entre ses lèvres et ses mains qui s’aventurent dans ton dos t’intiment tout le contraire. Alors tu fais jouer ta langue sur son mamelon, le suce, le lèche. Puis tu passes à l’autre, le malmenant avec la même envie. Elle jure et vous fait rouler sur le côté. Ton dos qui s’retrouve sur le sol froid de la salle, un rire de surprise qui sort de ta bouche. Ses cheveux courts pendent de chaque côté de son visage lorsqu’elle sourit pour t’annoncer sa préférence dans cette position. Tu glisses une mèche de cheveux derrière son oreille et garde ta main contre sa joue. J’vais t’embrasser. qu’tu murmures, comme ayant laisser parler tes pensées plus que tu n’aurais souhaiter parler vraiment. Et pour illustrer tes propos, tu t’redresse et vient coller ton buste contre celui de l’artiste, plaquant tes lèvres contre les siennes. Ses jambes qui s’enroulent autour de ta taille, la peinture qui s’mélange entre vos corps. Le tigre ruiné, le tigre libéré.

@Estrella Morales

@Hugo Butler —

rouuuuur   préliminaire:

 

c'est chaud par ici !:

@Hugo Butler —

chauuud bouillant  :