mensonge que tu aperçois. visage plus crispé, respiration plus rapide et pourtant soutenu par la pression de cette habitable. tu l'analyses depuis des jours alors ce petit changement de comportement, tu t'en rends compte. tu n'es pas surprise. solution à toute alternative, tu lui proposes de remonter, si ça ne va pas. les paroles qui rassure, ça va. perles d'eau qui goutent sur ta peau. tes cheveux sont trempés, accrochés à ton derme encore mouillé. le regard qui cherche celui de l'étudiant à travers les vitres. les paroles s'envolent mais tu ne le vois plus. tu réponds pas tout de suite, silence qui s'installe. tu te lèves. tête qui apparait et regard qui se croise. " bienvenue dans ma tête scott " parenthèse troublante. métaphore qui relève de la vérité. tu t'avances, le regard entre ses cuisses. les bras croisées contre ta poitrine, tu ne bouges pas." ta respiration a changé. " la tienne est calme, même si la chaleur est pesante. tu t'avances, un pied sur la banquette tu te brandit jusqu'à lui. les mains qui entourent ses cuisses et qui te permettent de ne pas tomber. visage face à face. " personne ne serait à l'aise ici scott. " t'en est presque convaincu. visage que tu détailles et que t'approches pour lui murmurer à l'oreille " toi, tu fais semblant. "  

Le regard qui parcourt son corps. Passe au rayon x. ça ne le dérange pas Scott. Il a l’habitude d’attiser la contemplation. Que ce soit positivement ou négativement. Ça l’importe peu. Même si les yeux d’Ollie se font lointains. Elle était ici sans être ici. Le silence inconfortable s’étend autour de lui. Il ne les a jamais aimés. Tous ces mutismes. Dans sa tête. La parole enfin émise, elle personnifie son esprit. S’étire jusqu’à lui, la sirène. Balance à autre voix ce qu’il sait déjà. La lourdeur de sa respiration. Une lourdeur dont il commence à s’accommoder. Poigne sur ses cuisses, elle se juge à sa hauteur. Stabilisation précaire. Prédatrice des profondeurs. Bulle d’air teinté d’un éclairage bleuté. Sur elle, les eaux dansent. Donne l’illusion d’avoir les pupilles dilatées. Sombres. Dévie jusqu’à son oreille. Envahit le conduit auditif de son murmure. « Ça t’plais ça.. » Rétorque contre sa joue. Dans la chevelure humide de la brune, il passe une main. Accroche des mèches. Tiraillement. Contre lui, il la bloque. Prend le gouvernail de son équilibre. « D’imaginer que j’le suis pas .. » La respiration qui se stabilise. Il retrouve ses codes l’étudiant. « …mais regarde.. » Enroule son poing autour de la pointe de ses mèches. Tire d’un coup sec sa tête. Légèrement arquée, il croise enfin son regard. « …j’le suis déjà.. à l’aise. »

[justify]à l'aise dans ce milieu qui était le tient. tu te hisses à sa hauteur. corps en équilibre, tes mains te permettent de ne pas tomber en arrière. visage qui s'approche, joues qui se frôlent. tes paroles se noient à l'intérieur de son esprit, implante encore un peu plus ce jeux malsain. parce que tu l'aimes ce jeu. alors que tu pensais avoir l'avantage, ses paroles se heurtent à tes tympans. sa respiration devient plus calme, moins oppressé par les lieux. tu sais qu'il va attaquer. main qui se fraye un chemin dans ton cou. tu grimaces au tiraillement de ces petites mèches de cheveux. " et qu'est-ce qui me plait ? " barrière docile que tu mettais sur tout le monde. une de tes mains quitte son appuie pour se placer au niveau de son coude. légère pression. prête à retenir cette main, s'il décidait de te lâcher. ses doigts se resserrent sur ton cou. coincé à l'intérieur de ta tête ollie.  mouvement brusque en arrière, doigts qui se pressent un peu plus contre son coude. le corps légèrement suspendu en arrière. " normal que tu t'adaptes vite " vos regards se croisent. les yeux qui interrogent. tu places ta dernière mains valide derrière son cou à lui. doigts graciles qui s'entremêlent à la frontière de ses cheveux mouillé. suspendu à lui, tu prends ce risque, de tomber mais tu ne tomberas pas toute seul. visage qui cherche à l'affronté, à retrouver cette place qu'il avait y a quelques secondes. tu grimaces en sentant sa résistance. lèvres qui s'écartent " c'est le même bordel dans ta tête scott " du moins tu supposes ollie.

Assure ses appuis en touchant son coude.Gémissement. Résonne contre la paroi. Ombres aquatiques qui en frôlent l’extérieur. La maintenant par les cheveux, il l’immobilise. S’affronte les prunelles. Luisent dans la pénombre de la bulle. Jusqu’à sa nuque, la main de la brune se fraie un passage. S’accroche. Même bordel. « C’quoi qui l’cause ? » De son bras disponible, il vient l’encercler par la taille. La ramène à lui d’un coup sec. Sur sa combinaison, il sent son bas de maillot de bain s’y accrocher. Devine le tissu qui frotte contre son intimité à elle. « Ton bordel. » La disparition de son père ? Une enfance compliquée ? Ou c’est tout son présent qu’il l’est ? Proximité étroite. Les dernières gouttes d’eaux, scintille sur son visage. Souligne ses orbes. Relâchant sa chevelure, il appose ses deux mains sur sa chute de reins. Juste à la naissance de ses fesses.

prise au piège, tu resserres ton emprise sur lui. tu refuses de tomber toute seule. les regards qui s'affrontent, sans jugement. la question était évidente, qui de vous deux allaient dépasser la limite, celle que vous vous étiez imposer silencieusement. question en suspend. corps qui s'appellent, ta peau réactive. l'épiderme qui se redresse en sentant ses doigts sur ta taille. geste assuré qui te pousse contre lui. corps qui s'entrechoquent. respiration qui saute une inspiration. myocarde qui manque un battement. " tu le sais déjà " il en avait eu écho. disparition dévastatrice d'un père, cet évènement avait ruiné toute les chances que tu t'étais laissée. protégeant définitivement ce coeur pourtant déjà blessé par le passé. amour douloureux d'une mère trop absente pour s'en rendre compte. enfance solitaire et rebelle. il y en avait des choses ici. rangé et balayer pour ne pas y penser. bas de maillot de bain qui se colle au niveau de son intimité. trop tôt pour sentir quoi ce soit. tu refuses d'être la seule à sentir ces battements de trop. tes mains ne bougent pas. " et toi scott ? ton bordel ? il cache quoi ? " question qui resterait sans doute en suspend. contrairement à lui, tu ne sais pratiquement rien de lui. tu devines simplement. sa main glissent vers celle poser sur ta taille, elles descendent pour venir valser avec la chutes de tes reins. mouvement en avant. ton visage qui s'approche, corps qui se presse un peu plus contre lui. intimité masculine que tu devines, qui s'écrase contre le bas de ton maillot de bain. tes doigts se mélangent à ses cheveux, délicatement tu tires dessus pour le pousser à pencher sa tête sur le côté. animal. tes lèvres effleurent la peau de son cou. narines qui flirtent avec le parfum salé avant que tes canines viennent lui mordillé délicatement la peau. " comme toi " peau marqué, tes lèvres se referment délicatement en des baiser qui apaise. " il est bon de ne pas tout savoir " visage qui se recule, lippe qui frôle sa joue et qui viennent stagner au dessus de ses lippes. une distance dérisoire mais bien présente. respiration qui se mélange. regard qui ne vacille pas. " la seule chose à noter, c'est que tu as trouver une adversaire à ta taille "

Avait-ils tous un parent déviant ? Quelque chose qui n’allait pas. Qui ne fonctionnait pas. Il ne connait pas la peine d’Ollie. Ne sait même pas qu’elle sensation ça doit être, d’avoir un père. Un vrai. Suffisamment pour que sa disparition la détruise, parce que c’était ça. Pas vrai ? ça et d’autre chose. Mêlés dans une étreinte, les émotions de la brune l’atteigne, mais sans qu’il puisse totalement les comprendre. Il ressent juste ce mélange. Tape dans son plexus solaire. « Qui te dis que j’en ai un ? » Il ne s’attend pas spécialement à une réponse. D’ailleurs, il préfère ne pas en avoir. Passant ainsi, à l’action pour qu’elle oublie. Prend possession de sa chute de rein. La peau brulante sous ses paumes. Attise le désir. Fait taire l’angoisse du lieu. Parce qu’il pourra jouer le comédien autant qu’il veut, il déteste son ressenti. Phalange glisse dans ses cheveux. Contorsionne sa tête. Le corps dominant. Elle se fait séductrice. Ondule sur lui. Les canines possessives, marquent sa peau. Provoque le coup de jus familier. Celui qui prend aux tripes. L’hypnotique gamine utilise les mots. Le toucher. Pour l’atteindre. De lui, elle se recule légèrement. Le nargue de ses lippes. Lié par les orbes. « Tu l’crois vraiment ? » Sur ses reins, il exerce une pression plus forte. « Que t’es d’taille ? » S’entrelace leurs souffles. Les lèvres si proches. Descendent enfin, ses mains. Prend appuie sur le maillot de bain humide. « T’es sûr d’toi ? » Répète la question. Lui fait sentir son érection. Volontairement. Excité par le jeu de pouvoir. Sans l’embrasser, il presse ses lèvres sur les siennes. Superficiellement. En douceur, les lippes bougent. Chuchotent la pensée. « Où j’te laisse l’croire pour t’baiser ? » Froideur. Recule sa tête pour prendre appuie contre la vitre. Lâche son cul, alors qu’elle est totalement assise sur lui. Ses bras eux, retombent sur le côté. « Jouer avec toi en t’laissant croire qu’tu maîtrise la situation. Seulement, t’maîtrise rien Ollie. Tu l’pense juste. » Cherche le déclencheur. Pour la mettre hors d’elle. Voir ce dont elle est capable. Là dans sa tête, parce qu’elle l’y a fait entrer d’elle-même. Il a pas eu besoin de forcer. Elle l’a fait toute seule. Emmêlée toute seule dans ses pièges.

persuadée. tu savais les reconnaitre les personnes comme toi, tourmentées par un passé ou un présent trop inconfortable. barrière que vous construisez contre les autres, comme toi, il y a des choses qu'il est bon de ne pas savoir, d'ignorer. plus forte et moins pitoyable, c'est l'image que tu as de toi aujourd'hui. cette bulle aussi inconfortable que malaisante, retraçait à la perfection l'état d'esprit dans lequel tu pouvais être. les choses étaient plus claire depuis que tu tenais éloigné tout le monde de ce cercle. question qui s'évapore au contact de ses doigts sur tes reins. corps qu'il rapproche au siens. ses mains qui retiennent ton cul au dessus de lui. le visage légèrement plus haut. tu le surplombes d'un demi centimètre et pour une fois, tu le regardes d'en bas. les questions s'enchainent machinalement, les yeux captivés par ses lèvres et cette voix. la gorge qui se resserre synonyme d'une attaque bien préparé de ton adversaire. tu résistes, parce qu'il le faut, parce que tu te l'étais pratiquement promis ollie. il ne te laisse pas le temps de répondre, sa main presse ton corps sur son intimité. impossible d'ignorer l'effet que tu lui fais. visage qui s'avance, lippe qui touche légèrement les tiennes. toi, tu restes immobile, paroles qui s'échappent et qui claquent contre tes lèvres. prise au piège par une attaque trop importante. sa tête se recule, ses mains qui relâchent la pression et qui retombent. il te cherche, tu le sais. " la question " tes jambes se replient pour te poser sur tes genoux encadrant parfaitement les cuisses de l'étudiant. cul posé contre son intimité déjà bien raidi. il t'observe. tes mains se posent sur ton torse. ton buste s'abaisse, tes seins qui se pressent contre son torse. " qui baise qui scott ? " parce que tu refuses d'être la proie. une de tes mains relâche la pression et vient desserrer ton haut de maillot de bain. un simple geste et le tissus glisse sur la banquette. visage qui s'approche du siens " si moi, je ne maitrise rien. il est évident que c'est la même chose pour toi. "

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Reprend contenance. La paume sur le torse, elle le repousse. Allonge la carcasse sur la banquette. Grincement. Du métal. Le bruit ne l’inquiète même plus. Allant jusqu’à faire abstraction de l’endroit. Dans la cage de ses bras. A sa merci. Il patiente. Attend une réaction qui ne tarde pas. Serpente sur lui la brune. Ses pulpeuses sur le derme de son pec. Remonte lentement, alors que sa langue s’y mêle. Abysse. La noirceur de ses onyx. Dardées sur lui. Capture son souffle. Fait pulser le sang dans ses veines. Elle parle la gamine. Utilise des phrases qui n’ont aucun sens. Plus maintenant. Elle sait aussi bien que lui qu’elle ne décide plus. Seul le jeu a le pouvoir de prendre les décisions. Revenu à lui, elle cède. Presse ses lèvres sur les siennes. Aperçu. De son goût. D’elle. La serpentine cherche la sienne. L’étreint. Elle le possède Ollie. La frustration à peine soulagée, elle se libère. Les libère. Presque automatiquement, il y répond. La lèvre matraquée, elle le mordille. Tire dessus, alors que sa main y met de la douceur. Ephémère. Pas le temps d’agir, elle s’arrache déjà. S’empresse de prendre sa combinaison. Et lui ? Il exulte. Affiche un sourire satisfait, tandis qu’à son tour, il se relève. Passe ses bras dans le vêtement pour le refermer correctement. Dans sa tête, il a plein d’idée, mais il décide de faire une pause. De la laisser croire qu’elle maîtrise encore la situation. « J’te suis. » Il attrape le matériel de plongée. Commence doucement à le mettre en place.