Nos regards s'accrochent et à ses mots, j'esquisse un sourire. "Alors je reste." Je murmure pour toute réponse, lorsqu'elle relâche sa prise, celle d'un verre qui s'écrase contre le sol et se brise. "Attention ! Lilly, attention !" Je m'exclame, avant de m'accroupir et de m'emparer de ses mains. "Une pelle et un balais, c'est bien mieux. Vous allez vous ouvrir, Lilly." À même hauteur, nos prunelles se retrouvent... "Laissez-moi faire, d'accord ?" Je murmure pour déposer ma main droite sur sa joue et caresser tendrement son visage, à l'aide de mon pouce.

Alors qu'elle était accroupie, prête à récupérer les morceaux, l'homme lz stoppa, prétextant qu'une pelle et un balai étaient bien mieux. De nouveau son regard entra en contact avec celui de l'homme. Elle en oublia totalement ce qu'il lui avait demandé. Ah si une pelle. Une pelle ? Elle secoua son visage et se leva à toute vitesse pour aller chercher ce qu'il fallait. Mais à peine sortie de la cuisine, qu'elle se posta contre le mur pour souffler un bon coup et calmer son cœur. Une pelle et un balai... une pelle et un balai. Après quelques secondes, elle revint avec ces deux ustensiles, les donna à Gresham. Je ... Je vais me préparer puis elle sortit de la cuisine, limite en courant. Une fois dans sa chambre, elle envoya un message a sa sœur.

Mon regard se pose sur ses lèvres et alors que je lui ai demandé un balais, elle se redresse afin d'aller en chercher un, ainsi qu'une pelle. Poussant un soupir en passant mes mains dans ma chevelure, mes lèvres charnues pincées, je saisis que je me suis fourvoyé, puisqu'à l'évidence, elle ne souhaite que nous nous embrassions. *Seigneur ! Je suis sot.* Je songe quand une fois qu'elle réapparaît, je me charge de tout nettoyer pour mettre à la poubelle les morceaux du verre brisé. Puis une fois cette tâche accomplie, j'erre dans les couloirs afin de retrouver Lilly-Ann. "Miss Borowski ?" Je l'appelle, pour me dire qu'il vaille mieux que je quitte leur appartement.

Après que sa sœur lui réponde elle chercha en vitesse ce qu'elle pouvait se mettre dessus. Pas trop sexy, mais pas gamine non plus. Oh et puis merde, elle retira ses vêtements et mit la première nuisette qui lui vint en main. A peine habillée qu'elle l'entendit l'appeler. Elle rangea ses habits et sortit de la chambre. Je suis la Professeur. Et elle se retrouva face à lui, en jolie nuisette grise.. bon c'était peut être un peu trop sexy. Mince. Elle baissa son regard, et croisa ses bras, fin de se cacher.

Poussant un soupir, je me saisi de mon cellulaire et réponds à un ami, étant perdu. Je lui demande même de l'aide - ce que je ne fais jamais - lorsque la miss apparaît, dans une superbe nuisette grise, mettant son corps de déesse en valeur. *Seigneur tout puissant ! Une telle beauté peut exister, réellement ?* Je l'interroge dans mes pensées, quand je remarque sa façon d'agir, puisqu'elle se cache, à l'aide de ses bras. "Lilly-Ann..." Je commence, lèvres pincées. "Vous êtes magnifique, ne vous cachez point." Me rapprochant, j'esquisse un doux sourire à son attention et la presse tout contre moi. "Tout va bien." Je murmure tout contre son oreille, pour lui demander : "Et si nous allions nous coucher ?" Puis j'embrasse avec douceur et amour son front, dans le but de la rassurer.

Alors qu'elle était en train de se cacher, Gresham tenta de la rassurer avec de jolies paroles. Ce qui eut le don de la faire encore plus rougir. Elle profita pleinement de son étreinte, en respirant sa douce odeur. Cette odeur qui la faisait se sentir en sécurité. Elle sourit lorsqu'il lui déposa ce baiser sur son front. Elle le regarda et sourit, timidement. Elle prit alors son courage à deux mains et entrelaça ses doigts dans les siens, afin d'aller dans sa chambre. Une fois dedans, elle regarda son thérapeute. Elle lâcha sa main pour aller se coucher au lit. Mais qu'elle idée avait elle eu de lui demander de dormir avec elle ?

Sans le moindre mot aucun, Lilly-Ann termine de me sourire et entrelace ses doigts avec les miens, afin de me faire pénétrer sa chambre. Fermant dernière nous, je la suis jusqu'à son lit, quand elle relâche sa prise et me fixe, prête à se mettre sous les couvertures. "Allongez-vous." Je prononce, rassurant, pour ôter mes souliers Louboutin et m'étendre naturellement sur son lit, sans me faufiler sous ses couvertures. "Venez." Je l'intime, afin qu'elle se rapproche et qu'ainsi, je puisse l'entourer de mes bras, malgré la barrière de la couverture.

Elle s'était alors faufilé dans son lit, comme si de rien n'était. Comme si elle allait dormir comme elle le faisait tous les jours. Elle pensait qu'il la rejoindrait, mais ce ne fut pas le cas. Enfin si. Mais il imposa cette barrière de la couverture. Alors lorsqu'il lui dit de venir, elle sortit d'en dehors de sa couverture, pour se positionner comme ils l'avaient été cette après midi. Posant sa tête sur son torse, elle prit son bras pour se l'entourer autour d'elle et commença à lui faire de petites papouilles. Elle ferma alors les yeux pour profiter pleinement de ce moment. Puis d'un coup elle se redressa, ses deux bras croisés sur son torse. Elle lui dit J'ai oublié la crème fraîche sur votre visage dit-elle en riant gentiment. Non, elle n'arriverait pas à dormir tout de suite.

Attendant qu'elle me rejoigne, je suis surpris lorsqu'elle quitte ses couvertures afin de me rejoindre. "Non, je..." Ce n'est guère ce que je souhaitais dire, mais tant pis. Nous voici à présent comme durant cette après-midi et tandis qu'elle se saisit de mon bras afin que je l'entoure de mes bras, je ferme les yeux lorsqu'elle m'offre de divines patouilles. Adorant cela, en ronronnant de plaisir, je rouvre mes prunelles lorsqu'elle se redresse et se poste face à moi. "Oh ! Je ne me suis essuyé le nez, c'est cela ?" Je l'interroge, puis demande : "Désirez-vous m'aider ?" Ma voix se fait plus rauque et ma virilité se fait plus ferme, plus dur encore.

Autant cette après midi sa présence l'avait apaisé et elle avait réussi à s'endormir autant ce soir, la situation était toute différente. Elle se retrouva donc à le regarder, positionnée sur son torse. N'ayant pas du tout dans l'idée de faire attention à son membre. Elle lui sourit et pointa son index sur son nez, tentant de retirer le peu de crème qu'il restait.  C'est bon vous êtes tout propre... Et alors que son doigt se trouvait sur son nez, celui ci descendit, pour commencer à faire le contour de ses lèvres. Ces lèvres si bien dessinées. Professeur Ewart ? demanda-t-elle, tout en continuant le tracé de sa bouche si bien dessinée.