LE DIMANCHE 14 AVRIL AU SOIR
(tw) stagne les corps devant l'entrée de la maison. tu ne bouges pas, obnubilé par ces révélations à lui. provoque les battements, ceux que tu ne contrôle pas où plus depuis qu'il est là. qu'tu sois proche. raisonne les syllabes, ceux que tu avais espérer entendre. vent frais qui s'infiltre par la porte restée ouverte. glace le sang. les mots qu'ils déversent encore. le regard qui s'attarde plus que d'habitude, qui comprends la tournure de cette échange. " arrête de lutter alors. " corps qui s'avance, se presse contre le sien. tu l'obliges à reculer, mains qui passent derrière sa nuque, tu viens saisir les rebords de la porte pour la refermer derrière lui. dos masculin qui s'écrase contre le bois bruni, tu l'emprisonnes. les paumes qui s'aplatissent contre le bois.  " parce que " visage qui s'approche, nez qui effleure la peau de son cou. souffle qui titille l'épiderme. provoque les sensations. canines qui viennent mordre tendrement la peau de son cou. " J'en ai marre aussi  " visage qui se reposte devant lui, lèvres à quelques centimètres. " de te garder loin de moi. "            - @Scott Guerin

Brise nocturne. Tente une percée dans ses poumons. Lui qui a la respiration difficile. Les mots avoués, il patiente. Attend de voir ce qu’elle va faire. Il se demande même si ce n’est pas elle qui va fuir cette fois. Et puis .. Il le sent. Son corps qui se presse contre le sien. Qui le contamine de sa tiedeur fébrile. Claque la porte. Alors, qu’elle le repousse contre le bois de la porte. Carcasse tendu. Accueil les gestes avec supplices. Lente agonie, quand elle prend la parole. Les lèvres si proche des siennes. Elle met un terme à la fuite. Balance ses dernières cartes. Vérité douloureuse. Bloqué contre la porte, il parvient à refréner le soubresaut fugueur. Celui qui d’ordinaire le met sur ressort. Le propulse facilement au rang de fugueur. Cette fois, il tient bon. Ignorant au passage, les fourmillements désagréables qui parcourt ses jambes et ses bras. “Tu sais c’que ça veut dire .. si j’arrête ?” Souffle sur ses pulpeuses. L’air bloqué dans la trachée, il retient son souffle. Lève ses émeraudes dans ses opales.

LE DIMANCHE 14 AVRIL AU SOIR
(tw) laisse place à l'envie. cette envie de ne plus réfléchir, de foncer tête baissé dans cet élan. visage tellement proche du sien, tu sais ce que ça veut dire... si j'arrête. tu le sais, mais tu veux l'entendre dire. le regard qui vacille entre ses lippes et son regard. cul qui se penche en arrière, les paumes qui glissent le long de la porte. nez qui s'approche pour venir frôler le sien. tes bras se tendent, encadre son visage. veste en cuir qui se révèle un peu plus, découvre ta peau bruni. " qu'est-ce que ça veut dire, si t'arrêtes ? " le regard qui se plante dans le sien. tes dents qui viennent mordre l'intérieur de tes lèvres. " scott ? "        - @Scott Guerin