les rayons du soleil qui illuminent naturellement le teint de ta peau. c'est plus bronzé que tu te montres ce soir,. silhouette que tu mets en valeur. accroche le regard des autres par cette simple robe beige pailleté. (la robe) accompagnée d'alys, tu t'étais laissée trainer à une soirée qui se passait à ton hôtel. les verres s'enchainent et le besoin de prendre l'air devient pressant.  l'esprit embrumé mais encore sur pied, tu te retires pour venir marcher dans le sable encore tiède. rapidement, tu montres les premières difficulté. les talons qui s'enfoncent dans le sable, apportent de la difficulté. résignée. tu décides de t'assoir sur le sable, verre que tu déposes délicatement à côté de toi. le premier pied que tu ramènes vers toi, pour tenter de retirer la lanières de tes talons. tu ne l'as sens pas la présence, celle qui se faufile derrière toi. ombre qui approche alors que toi, t'essayes de te libérer.

Âmes vagabondes. Sans attache. Danse. Boit. S’abandonne dans l’ivresse folle. Leurs voix font échos à la musique jusqu’à se fondre en elle. Devenant à leur tour lyric. Et parmis eux, apparaît la silhouette hypnotique. Évolue dans une robe qui ne cache rien de ses courbes. Au contraire. Sur elle, La lumière s’accroche. Elle l’auréole. Transcende la foule pour fuir vers la plage. Suiveur. Rode autour de son sombre. Piste sa trace jusqu’à la suivre sur le sable. Lippes pleine d’ironie, observe son cinéma. Les pas étouffés par les grains, il s’avance. Se positionne près d’elle. Se noie dans l’effet de surprise quand sa main s’appose sur son poignet. « Laisse moi faire. » Décale son bras pour coincer les lanières entre ses doigts. En un clin d’œil, il la fait glisser. Attarde son touché sur sa cheville. Velours. « L’autre. » Prononce ses mots, alors qu’il tourne son visage vers elle. Capte son regard.

l'apaisement. l'esprit qui s'est mis en pause. aider par le trop plein d'alcool, par l'euphorie du spring break. arbore ce sourire presque étrange sur tes lèvres. consciente de l'image que tu renvoies. tu ne fais toujours pas attention à l'ombre, celle qui joue sur l'effet de surprise. les doigts qui prennent contact avec ton poignet. le corps qui se tends machinalement. le visage qui s'élève pour apporter une image au touché. le corps qui se détends aussitôt en le voyant lui. seulement lui. attire les émeraudes sur les détails. débardeur blanc qui fait ressortir sa peau bronzé et ses formes. tu les devines facilement ces tatouages dissimulés par le tissus.  tu pourrais presque les situées sans difficulté. " c'est dangereux ce que tu viens de faire " les doigts qui glissent, laisse l'ombre t'aider. le corps qui se penche en arrière pour lui laisser plus d'espace. sans difficulté, il retire la première lanière. les doigts qui stagnent sur ta cheville. provoque l'épiderme. décharge électriques." j'aurai pu te frapper " le corps qui pivote pour être face à lui. le sourire joueur sur les lèvres, tu l'écoutes. retire ta première jambe, pour venir ensuite apposé ton talon sur le haut de son torse. appuie légèrement. talon qui s'enfonce. la jambe maintenu en l'air, fait barrage. dévoile pratiquement tes dessous. appose ta marque sur son débardeur blanc " je l'aime bien ton débardeur mais c'est encore mieux comme ça scott." lourdeur des paroles qui s'éternisent sur son prénom.    

« T’aurais pu .. » Lentement, il fait glisser la sangle. Retire la chaussure, alors qu’elle s’étend un peu plus. ..mais tu l’as pas fait. Et c’est tout c’qui compte. » Dévoile sa silhouette longiligne. Rayon lunaire sur son tissu. Se reflète sur le brillant. Face à lui, elle se montre. Nargue son torse de son second talon. Contre son derme, la pointe stimule. Répand dans ses veines le frisson. L’adrénaline. Sur sa cheville, il enroule ses doigts. Flirte avec la lanière. Sans se décrocher de son regard, il l’en débarrasse. Retire la chaussure dont il rompe le contact, avant de la faire retomber sur le sable. « Et comme ça ? » Sur elle, il ressert sa prise. Tiré sur sa jambe qu’il fait passer près de ses côtes. Sa main droite, elle, s’aventure. Glisse sur l’extérieur de sa cuisse. Remonte jusqu’à la barrière de son tissu. Effleure le dessous de son cul. Opales mêlées dans les siennes. Sur ses lèvres, flotte un discret sourire. Plein de promesses.

provoque l'étincelle. allume le brasier. l'épiderme qui se redresse lorsqu'il encercle ton autre cheville. les regards qui se provoquent, jouent avec l'image qu'ils renvoient. fantasme lyrique. appuie l'aiguille un peu plus. images qui se bousculent aider par l'excédent d'alcool dans le sang. la chaussure qu'il retire puis qu'il fait tomber. contact rompu et épiderme qui en demande pourtant encore. comme ça ? silence qui s'installe, fait place à un jeu que vous connaissiez très bien. tire sur ta jambe, t'obliges à te rapprocher de lui. jambe maintenu entre ses côtes. tes mains se posent à l'arrière de ton buste, maintiennent ton équilibre. glissent les doigts sur l'extérieur de ta cuisse. trachée qui se resserre, les phalanges qui se noient dans le sable à mesure qu'il monte. souligne la ligne de tes fesses, l'avant presque suspendu au dessus de toi. ton sourire s'étire. " attention msieur. " buste qui se redresse, visage qui s'approche de lui. le corps qui continue sa mouvance, l'obligeant à reculer pour reprendre sa position initiale. main ferme poser sur son torse qui l'oblige à s'allonger. maintient cette position pour en profiter. complètement allongé sur le sable, tu passes ton autre jambe pour la placer de l'autre côté. glisses pour englober sa taille. ton buste qui s'abaisse sur le sien. " on ne touche pas avant d'avoir demander. " sourire provocateur sur les lèvres. le haut du corps qui se redresse, appuie de tout ton poids sur ce qui y a de plus sensible chez lui. " j'ai pas le souvenir que tu mets demandé scott. "    

Fausse menace. Coule de ses lippes alcoolisé. Le corps qui s’avance, il devine la lueur lubrique dans ses opales. Elle qui n’a plus de secret pour lui. Grain de sable. Roule sous son dos, alors qu’elle domine. Le corps lascive qui prend vie sur ses hanches. Déclenche le début du brasier. Sourire narquois. Flotte sur son visage. Elle sait y faire Ollie. Prendre les directive. Perturber son équilibre pour faire taire son besoin de domination. « Et toi ? T’as demander ? » Joue au jeu du question réponse. Favoris. Court sur elle, son regard. Lumières lointaines, forment un halo autour d’elle. Fait briller un peu plus sa robe si légère. Seconde peau. Devine le renflement de sa poitrine. Encaisse quand elle appuie son intimité sur son entre jambe.

mains qui maintiennent son torse allongé. élevé par rapport à lui, ton regard le toise d'en bas. admire l'image qui se joue devant toi. féline. les doigts se durcissent et les ongles se plantent. provoque les sensations, provoque le manque celui dont-il ignore encore la présence. buste qui s'abaisse, vient écraser sa poitrine sur lui. approche les canines pour venir mordre le lobe de son oreille. joue contre joue. tiraille avant de susurrer. " moi, je me sers sans demander ! " suave parole, celle qui parcourt l'épiderme. " s c o t t " appuie les syllabes. le sourire qui parcourt tes lippes. réanime cette flemme. machiavel. le jeu qui se met en route, tu te redresses de nouveau. tes griffes qui descendent le long de son torse, diminue la douleur le tissu. arrive en bas, les doigts vagabonds passent en dessous pour venir flirter avec sa peau chaude, main qui s'aplatit alors que l'autre se tend sur le côté pour choper le glaçon qui se trouvait dans ton verre. " je veux te manquer scott. " référence aux aveux du matin. apporte le cube froid à tes lèvres pour le faire ressortir aussitôt. surélève le débardeur, ton buste qui s'abaisse. visage qui se place au-dessus du sien. le regard qui affronte le sien. tu t'approches encore, viens faire glisser le glaçon sur sa bouche à lui.      

Maitresse. Domine le corps tendu. Lascive sirène. Ondule sur lui. Susurre. Les lèvres sadique. Glisse les mots dans sa tête. Ressac contre les tympans. Bruit des vagues qui accompagne sa torture. De nouveau, elle se redresse. Assoit plus durement le poids de son intimité sur sa virilité. Pupilles gorgées de désir. Alourdit par sa rangée de cil. Elle l’observe de sa hauteur. Trône avec sensualité sur lui. Sur eux. Ongles machiavels Mets à vif son derme. Extrait l’envie qui pulse dans ses veines. Brûlante, une de ses mains prends place sous le tissu. Pulpeuses pleines. Aspire le glaçon pour mieux le ressortir. Joue de sa froideur en effleurant sa propre bouche. Soubresaut. Secoue sa carcasse. Autant qu’elle à cet instant. « Fais-le. » Parle contre le cube. Clair obscure. Le visage qui baigne dans l’ombre. Fait face au sien. Entouré de lumière. « Provoque le. » Paumes qui fourmillent, s’apposent sur ses cuisses. Flirte avec le tissu de sa robe.