Life indeed can be fun.
with @Yohan Hackman & @Salvatore Denaro
warning : sorcellerie, alcool.
18.09.23 Seth & Salvatore's flat.

Nouvelle année, nouveaux dangers. Salvatore fronça les sourcils après avoir envoyé un smiley provocateur à l’idiot qui s’amusait à le menacer par messagerie interposée sans avoir les couilles de le faire à visage découvert. Ce n’était ni la première, ni la dernière fois qu’un Denaro recevait de telles tentatives d’intimidation. Même si c’était véritablement la première fois qu’il devait y faire face depuis qu’il avait posé les pieds sur le sol américain. Cela n’allait cependant ni l’empêcher de dormir, ni l’empêcher de profiter de la soirée avec Yohan. Ils avaient décidé de mener une rébellion silencieuse contre son colocataire et lui montrait qu’il n’y avait rien de plus plaisant que d’être dénudé et vulnérable à la maison. Il n’était pas des plus mécontent à l’idée de visualiser les muscles du beau poseur en dehors d’une séance de dessin ou de sculpture et même s’il ne se faisait guère d’illusions sur la fin de la soirée, il pouvait toujours faire du lèche vitrine. Cela n’avait rien de bien méchant. Il adressa le code d’accès à Yohann par message avant de se rendre dans la cuisine, vêtu uniquement d’un slip kangourou blanc qui laissait peu de place à l’imagination mais dans lequel il était particulièrement à son aise. Il avait fait le plein de bières avant et s’en servit une avant d’allumer une bougie dont les effluves de cannelle veillait davantage à la protection des lieux qu’à une ambiance romantique. Sur la flamme de cette dernière, il alluma deux-trois bâtonnets d’encens avant de se mettre à couper des carottes et céleris comme guise d’apéritif, entre autres choses. La sonnerie à la porte le fit tant sursauter qu’il manqua de se couper la pulpe de son index. Instinctivement, il le passa dans sa bouche, s’assurant qu’aucun goût ferreux ne l’envahissait, tandis qu’il se rendit dans l’entrée pour ouvrir au visiteur du soir. "Buonaserra" l'accueillit-il, sortant son doigt de sa bouche en un pop résonnant.

Soirée cocasse en perspective, tu le sais d'ors et déjà, t'as d'ailleurs préféré ommettre quelque détails à Ange pour ne pas l'inquiété inutilement ou autres, parce que c'est juste un jeu, t'es pas du genre à dérapé et même si par moment tu te demandes encore ce que tu peux faire avec le propriétaire du QL, tu ne comptes plus rien faire de ta propre initiative pour briser votre couple... T'as eu assez mal quand t'as vrillé par jalousie à cause de ses échanges avec cet autre type, t'as assez douiller, mais clairement tu sais que si il venait réellement à te tromper, sans qu'aucun doute ne puisse être émis, tu lui tournerais le dos pour de bon. T'es un brin maso, mais t'es pas con au point de te faire du mal pour rien. T'es assez terre à terre pour faire la part des choses quand il le faut... Et ce même si avec le Murray tu te découvres des nouvelles réactions que tu ne soupçonnais même pas.

Ton doigts presse maintenant la sonnette, t'attends devant la porte de Salvatore, l'ayant prévenu un peu plus tôt que tu te m'étais en route pour chez lui. T'es vêtu simplement, même si tu restes bien habillé, parce que le style passe avant tout, même le fait que tu vas vite te outre en calebar pour passer la soirée avec lui pour provoquer son coloc. Tu sais même pas qui est s'est autre gars mais t'es pas vraiment du genre à avoir un soucis avec la nudité. Y a déjà tellement de monde qui t'ont vu à poil qu'un de plus ne changera pas grand chose. T'es pas exhibitionniste pour autant cependant.

Un sourire fend tes lèvres quand la porte s'ouvre et que t'observe la mimique de l'italien. Doigt en bouche qui sort de façon sonore. Tu laisses entendre un rire. "Je suis bien content que tu m'es jamais sucé." Parce que les bruits sonores et la mauvaises gestion de la langue et tout dans le genre, tu n'en es pas friand, cela peut gâcher le moment.

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Le sicilien éclata de rire face à la réflexion de son invité en secouant la tête. Belle entrée en matière mais il avait tendu le bâton pour se faire battre sans le moindre doute. “Ca peut encore se faire, gattino mio.” Il s’effaça pour le laisser passer et refermer la porte derrière lui. Seth n’était pas encore présent mais cela faisait partie de son plan. Il avait bien l’intention de lui offrir le spectacle de deux corps à moitié nu devant la télévision lors de son retour dans les lieux. Histoire que pour changer, il grommelle et lève les yeux au ciel en maudissant son colocataire. “Et promis, il y aura moins de sang alors.” Il le suivit dans l’entrée avant de redonner un coup de langue sur son doigt blessé qui ne saignait déjà plus. “Sauf si c’est ton kiff. On peut s’arranger.” Aucun fantasme et autre goût excentrique n’arrêtait l’étudiant en art. Quand on était de la famille Denaro, on ne s’arrêtait pas à ce genre d’a priori. “Je peux te prendre tes affaires ?” lui proposa-t-il pour les accrocher sur le porte-manteau dans l’entrée qu’il avait déniché dans la rue et remis en état. “Mets toi à l’aise.” Qu’il prenne exemple sur lui et se balade en slip ou moins s’il le désirait. Dieu savait combien le modèle avait l’habitude de se dévêtir.

Retournant dans la cuisine, ondulant son long corps longiligne pour se glisser derrière le bar. “Que désires-tu ?” Il ouvrit la porte du réfrigérateur. “On a quelques bières, de quoi faire des pina coladas, du chianti et du prosecco.” Il referma l’appareil ménager avant que le froid ne durcisse ses tétons et ne rétrécisse ce qu’il avait dans le calebard avant d’ouvrir les placards. “Je crois que Seth a du whisky quelque part.” grimaça-t-il. “Voire même du cognac.” Un alcool typique du genre de la famille à laquelle il appartenait et qui aurait manqué une syncope en sachant qu’il vivait avec un authentique mafieux excentrique qui verse dans les sciences occultes. Mais compte tenu des préférences sexuelles de Seth, la famille de ce dernier avait déjà fort à faire.

Tu laisses entendre un rire. "Je crois pas non, sauf si tu arrives convaincre Ange de faire un plan à trois." Tu plaisantes sur ça, tu donnes pas vraiment ton aval, parce que t'as pas envie de partager ton mec, mais si jamais ton copain venait à te le proposer tu pourrais probablement faire une concession pour cela, pour lui. Trop bon, trop con comme on dit. "Non, sans façon, trouve-toi un autre cobaye pour t'es délire sanguinaire et masochiste." Toi t'es ok pour le fun, pas pour te faire torturer, t'as déjà assez morflé comme ça et Ange et torture parfois assez bien l'esprit, t'as pas besoin de t'adonner à des plaisirs sexuels de ce type. Meurtrir ton corps n'est pas un désir que tu as, même si tu ne doutes pas que pour certain c'est réellement un plaisir.

A sa demande, tu lui laisses ta veste et tu te débarrasse aussi de tes chaussures. "Tu veux que pour la blague je dois laisser des fringues un peu partout depuis l'entrée ?" Faire croire à son coloc que vous vous êtes bien éclaté tout les deux en direction de la chambre du Sicilien avant de vous poser tout les deux dans le canapé juste en boxer ?

Tu le suis dans sa cuisine et rigole à ses propos. "Tu veux le faire aussi en lui piquant ses réserves d'alcool ?" C'est une idée, une proposition assez drôle, tu ne connais pas encore son colocataire, mais il est certain qu'il va probablement te prendre directement en grippe avec tout ça. Pas la meilleure impression que tu puisses faire c'est certain, mais c'est Salvatore qui a une mauvaise influence sur toi. "Je vais prendre une bière pour commencer on verra ensuite." Tu sais pas à quoi ressemble Seth, tu sais pas non plus comment il pourrait réagir en voyant que vous avez taper dans sa réserve d'alcool alors tu préfères te la jouer un peu plus tranquille pour le moment car le coloc, il en aura déjà bien à faire de vous deux en calbute.

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18.09.23 Seth & Salvatore's flat.

“Pfffff, j’arrive même pas à le convaincre de coucher avec moi.” éclata-t-il de rire, voyant mal comment un plan à trois serait envisageable si un plan à deux avait toujours été compromis. Il finirait par croire qu’Ange n’était rien d’autre qu’un allumeur s’il ne savait qu’il était désormais en couple avec son charmant invité ce soir. Invité avec qui il ne s’était jamais rien passé curieusement. Peut être que le Sicilien était bien trop sage ; ou se traînait une réputation de queutard invétéré susceptible de transmettre toutes les maladies sexuelles transmissibles possibles et imaginables. C’était sans doute la deuxième option d’ailleurs. “Vous êtes bien trop sages malgré les apparences sous tous ces tatouages.” Il hocha la tête d’un air faussement désabusé que l’étincelle d’amusement dans son regard ruinait quelque peu. “Bwarf, il a l’habitude : je laisse traîner toutes mes affaires partout. Le nombre de fois où il m’a jeté un de mes caleçons sales à la figure.” plaisanta-t-il aux dépens de son colocataire. Il ne savait pas à quelle heure il allait rentrer mais il l’entendait déjà le maudire et hurler qu’il était là et qu’il ne voulait pas voir ses fesses poilues avec une autre paire de fesses sur le canapé.

“Hé, ce qui est à lui est à moi et ce qui est à moi reste à moi.” Il n’y avait pas plus possessif et jaloux que l’italien quand il s’agissait de personnes à qui il tenait. Et dans le même temps, semblable à sa famille et ce qu’il avait connu depuis qu’il avait appris à trottiner, il considérait que tout lui appartenait. Seth en faisait partie. Sous des airs indifférents, il n’appréciait pas tellement tous ces mecs qu’il ramenait chez eux et qui ne trouvait jamais grâce à ses yeux. Mais plutôt mourir que de l’admettre. Il haussa les épaules en sortant un bocal d’olives vertes qu’il fit voler jusque dans sa bouche avant de servir le restant dans un petit bol orné de dessins ésotériques. Double emploi pour ses affaires. Il se retourna vers le réfrigérateur et en sortit deux bières fraîches de marque et de degré différents, les décapsulant. “Prend celle que tu veux.” proposa-t-il à son invité avant de continuer à préparer des petits amuse-bouches italiens qu’il posa sur la table basse entre le canapé et la télévision. “Film ou jeux vidéos ?” demanda-t-il à Yohan, lui laissant à nouveau le choix comme le bon hôte qu’il était. “Je te préviens que je suis capable de te mettre une dérouillée à Mario Kart.”

"En même temps, je te rappelle que je suis en couple avec lui maintenant." Tu rigoles un peu, mais c'est clair que tu l'aurais mauvaise si il te balançait cash qu'il se tape ton mec. "Mais ouais, étonnant que tu ne te le sois jamais tapé. Je pensais pas croisé quelqu'un qui le connait aussi qui puisse être capable de me dire ça sérieusement." Après tout, t'avais quand même rencontre Ange d'une façon des plus particulières et il voulait baiser avec toi juste parce que le sexe est pour lui une drogue. "Ou alors, t'es pas à son goût." Après tout entre le sicilien et toi, il y a quelques différences bien marquante, que cela soit la couleur des cheveux ou la carrure. t'es plus large d'épaule que lui. "Ouais, un véritable enfant de coeur." Plaisantes-tu, même si ouais, dans le fond tu es loin de te donner à ce genre de plaisir, t'as beaucoup trop de principe et autre règles que tu t'imposes. A se demander ce qui vous relie Ange et toi tellement vous pouvez être en opposition. "Il ne tiquerait pas même si ça appartient à un autre ?" T'en fait presque la moue.

T'éclates de rire à sa réponse, le fait qu'il assume à ce point sa possessivité et même pire, sa jalousie. Au moins il sait comment il est. Tu te poses sur le canapé, le laissant préparer le tout, t'as pas envie d'être dans ses pates alors qu'il semble si bien savoir comment gérer le tout. Il prendrai probablement plus de temps à te dire où trouver ce qu'il lui faut qu'à le prendre lui même. Tu le regardes donc s'afférer et tu prends la bière la plus proche de toi quand il les poses sur la table. "T'as prévu un apéro pour combien de personne là ?" Rigoles tu en voyant les amuses-bouches prendre de plus en plus de place sur la table. "Super Smash bros. plutôt ?"

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“Et alors ? Ca m’intéresse aussi les plans à trois, surtout avec toi dans l’équation.” Il adressa un clin d’oeil amusé à son invité, ne ratant jamais une occasion pour le chauffer. Il savait évidemment que ce n’était qu’une manière de s’amuser et qu’il n’y avait rien de bien sérieux là-dedans. Mais il ne pouvait s’en empêcher : il était italien après tout. C’était dans ses veines d’être dans la séduction en permanence. Un sourire se dessina sur les traits du méditerranéen avant qu’il ne réponde de manière particulièrement mélodramatique : “Du coup, dois-je le prendre comme si j’étais doté d’une laideur repoussante ? Trop de tatouages peut être ?” Il jeta un coup d’oeil furtif à la silhouette de Yohan. “Ou pas assez de muscles.” Il faut dire que son physique avait plus à voir avec celui d’une chenille que d’un gorille, mais bon, cette dernière se transformait en beau papillon un jour, même si de manière éphémère. Salvatore avait bien conscience en tout état de cause qu’avec son style de vie et ses origines, les chances pour qu’il aient des tempes grises un jour étaient extrêmement faibles.

“Ca ? Mais y a quasi rien sur la table ! Mamma mia !! Vous ne savez pas ce qui est bon pour vous.” Il hocha négativement la tête, avant de se baisser pour allumer la console et s’emparer des manettes. En se laissant tomber dans le canapé, il en tendit une à son invité alors que l’écran s’allumait sur les différents jeux déjà installés dans cette dernière. “Tu as peur que je te mette une dérouillée, hein ?” le titilla-t-il, clairement amusé tandis qu’il sélectionnait le jeu de combat. “Même avec Princesse Peach je peux te donner la fessée.” continua-t-il de le provoquer avant de s’emparer d’un bout de carotte qu’il trempa dans une sauce à la crème et aux oignons faite maison. “Du coup, c’est du sérieux entre vous ?” l’interrogea-t-il, un peu déçu il est vrai de n’avoir pas eu la présence d’esprit de goûter à ce physique d’Apollon tant qu’il en avait l’occasion.

Tu laisses entendre un rire à ses propos, surtout pour le compliment qu'il te jette. "Je commence à douter de la possibilité qu'Ange te dis oui si c'est surtout parce que tu me désires moi." En fait, tu ne sais même pas si ton copain est du genre jaloux est possessif, si il te voyait à te faire draguer par un autre comment est-ce qu'il réagirait ? T'en as vraiment aucune idée. Tu l'observes alors faire un petit drama, faisant mine de se vexer. "J'en sais rien mec, faut lui demander à lui pourquoi il t'a jamais baiser." T'es pas dans la tête de ton mec et même si tu sors avec, t'as toujours du mal à le comprendre et savoir ce à quoi il peut bien penser. En fait, tu ne sais même pas pourquoi il a commencé à t'aimer, pareil pour toi en fait, tu sais pas ce qui a fait que vous vous êtes plu mutuellement alors que vous êtes si différent. Est-ce justement pour cela ? Le challenge de l'impossible ? T'en as aucune idée et poser la question au Murray n'est pas réellement une éventualité.

Tu te permets alors un commentaire sur les amuses bouches qu'il a mit sur la table alors que tu prends une première olive. Il te manque de te faire perdre ton olive avec son exclamation, te faisant rire comme un idiot. L'olive finalement avalée, il se saisit de la manette que lui tend l'italien. "J'ai des années d'entrainement, mon frère est un geek je te rappelle." Bien que tu ne jouais en réalité pas tant que cela avec lui, chacun de vous ayant vraiment des goûts diamétralement opposé. "Je vais te foutre un coup de jus avec Pikachu alors." Le pika-pi qui va vite vous agacé à chaque attaque que tu feras, mais pourquoi pas faire les cons comme ça après tout t'es là pour prendre du bon temps.

T'es soudainement surpris par sa question qui tombe de nulle part, tu le fixes un instant. "Ouais ?" T'es pas certain en fait, tu ne sais pas à quel moment Ange pourrait te lâcher à cause de tout ses démons et ses travers, tu sais pas si pour lui c'est sérieux à ce point ou pas.

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18.09.23 Seth & Salvatore's flat.

Une petite moue accueillit la réponse de son partenaire de jeu, littéralement parlant malheureusement pour les hormones du sicilien, avant qu’elle ne cède la place à un ricanement bienvenu. « Hé je suis pour l’amour des peuples, moi. La possessivité et la jalousie, ce n’est jamais bon. » Enfin, il pouvait dire ça mais dès lors qu’on touchait à sa sœur cadette, c’était une bien autre histoire et ses cauchemars continuaient de se s’en souvenir. Il avait cependant bien compris que cette conversation n’irait pas bien loin et son ego devrait s’en contenter. Il pouvait au moins montrer qu’il pouvait battre à plat de couture sur Yohan sur un terrain, celui des jeux vidéos. Ou peut-être pas. « Ah, et tu ne me le dis que maintenant ? » s’offusqua faussement l’italien qui appuya n’importe comment sur sa manette dès lors que l’écran de télévision leur donna le signal de départ. Il avait toujours eu la même technique depuis son adolescence et les combats passés avec ses frères à jouer à Street Fighter ou Soulcalibur. Plutôt que de s’ennuyer à apprendre par cœur les combinaisons possibles pour faire une attaque qui renverrait dans ses cordes son adversaire, il se contentait d’appuyer n’importe comment et avec rage sur les boutons en espérant qu’au bout d’un moment une super attaque finirait par en naître. Tournant la manette tel une véritable, comme si cela pouvait l’aider d’une quelconque manière que ce soit, il ragea lorsque l’affreux pokemon donna un coup de jus à sa princesse, faisant voler ses jupons de manière dramatique. « Bastardo ! »

Il dut attendre que les étoiles cessent de tourner autour de la tête de sa belle pour reprendre le combat acharné visant à se battre désormais avec une distance suffisante pour éviter que cela ne se reproduise. “Tu vas te prendre un coup d’ombrelle, tu vas rien comprendre mon gars.” Tout en écrasant les boutons dans tous les sens, il profita de la surprise qu’avait instillé sa question pour infliger quelques coups bien vicieux en écoutant la réponse de son interlocuteur. “C’est pas un ouais très serein ça.” le titilla-t-il avant de reprendre. “Si tu veux pas en parler et juste te faire éclater par un 36 fillette, y a pas de souci.” L'objectif de cette soirée était, de toute manière, de s’amuser et de passer un chouette moment, sans prise de tête. Une soirée simple entre amis.