je n'aime pas du tout la tournure qu'ont prises les choses. les mots échangés entre vous, ils ne sont pas beaux. je quitte ruben qui semble vouloir se charger de mon père et rejoins khol. je l'embarque dehors pour apaiser les esprits. faire redescendre un peu la pression. le joint quitte mes doigts pour rejoindre les siens. j'ai pas envie que le dudley parte maintenant. pas dans ce mood là en tout cas. il m'a prévenu de son impulsivité. j'ai pu le constater de mes propres yeux. « je ne m'excuse pas en son nom khol, je m'excuse pour moi là. je ne pensais pas que cette soirée allait tourner ainsi et je m'excuse que t'ai dû subir ça. profite, c'est très rare que je m'excuse alors accepte les » je ne le fais jamais, ce n'est pas dans mes habitudes. je tiens plutôt de mon père pour ça. « écoute je comprends qu'il y ai des tensions, si j'avais su pour vous deux, je ne vous aurais pas réuni dans la même pièce. s'il a menti c'est uniquement pour me protéger.. il sait à quel point c'est compliqué avec mon père, je joue gros à coucher avec des hommes. il a menti juste parce que je lui ai demandé de nier en bloc qu'on couche ensemble lui et moi. je comprends que tu veuilles partir mais je maintiens que cette soirée peut t'apporter. prends le temps d'en réfléchir ok ? je vais aller parler avec lui, il n'est pas comme ça d'habitude. » j'attrape le joint et fume une longue taffe avant de la recracher en l'air. « des photos sont prises ce soir ... et on m'a déjà demandé le nom du créateur de ma chemise » mince sourire sur mes lèvres, ça va peut-être t'aider à te détendre.

- @Khol Canova @Ruben Strauss

Pourquoi est-ce qu'il fait tout ça ? Si ce n'est pas dans ses habitudes... Je ne capte pas. Je finis par me faire et simplement hocher de la tête. Parce que ses excuses, je peux les accepter, mais ce n'est pas à lui que j'en veux. Défendre Ruben est sûrement normal, mais j'ai la rancune tenace. Mes yeux ne cessent pas de cracher l'amertume envers le timide, quand pourtant peu de jours avant les choses étaient bien plus belles. Je ne réponds rien, parce que je n'ai absolument plus rien à répondre. Et c'est là que les choses deviennent souvent dangereuses. Si ça pouvait me faire sourire, ça le ferait.. mais je n'y arrive pas. "- Je suis sincèrement touché qu'on ait remarqué ta chemise et qu'on t'a demandé le créateur. Après tout, c'était aussi l'objectif de la soirée." Je tourne les yeux vers l'intérieur, jusqu'à finir par voir la tête plus inquiète et je finis par hausser les épaules. "- Fait ce qui te tente." Parce que je n'ai pas envie de me battre contre deux. Je suis toujours orgueilleux et j'en ai la bile envers le timide. Je tourne les talons pour rentrer, quand je m'arrête proche de lui. "- Je sais que t'as fait ton boulot.. mais la prochaine fois.. cherche plus loin que ton nez." L'ouverture d'esprit ne semblait pas être son fort. Et d'un claquement le masque se remet, quand je n'ai nulle envie de mettre plus d'embarras à qui que ce soit et j'affiche un sourire plus doux. "- Je sais que sans toi, Hans serait complètement perdu. Donc continue, s'il te plaît." Je lance un regard derrière, sachant que le concerné se rapproche et je m'éloigne, d'un pas qui semble plus léger. Mais la drogue fait son effet, mais aussi parce que j'en ai glissé au départ que je ne ferais pas de scandale. Lorsque mes yeux se posent sur eux, ce n'est qu'un sentiment de solitude, au fond, qui se creuse. Nulle jalousie et je me contente de me taire, prenant un verre pour le porter à mes lèvres. D'attendre que ces photos se fassent et de les laisser tranquilles.

- @Hans Weatfield @Ruben Strauss

Je cherchais Hans du regard mais celui sur qui je tombe, c'est Khol. Après tant d'émotions, j'ai cru qu'il allait venir me démolir pour les mots que je ne regrettais malheureusement pas. Je suis bien trop bête pour aller au bout de mes actes. Mon regard se perds dans celui de Khol, je déplorais que ça se soit passé comme ça. Je ne cherchais pas à lui répondre, je n'en ai pas la force. Je ne sais pas comment prendre ces derniers mots. J'ai du mal à y croire qu'il me dise ça. Y croit-il vraiment ? Il s'éloigne, je ne le retiens pas plus. Mon regard tombe sur Hans, le palpitant s'affole. Je voudrais pleurer, encore. Je le sais que je suis qu'un pleurnichard. Et si je lui parle, je ne pourrais pas me retenir. Alors je trouve "sa femme" et me penche vers elle. -- Va avec Hans. Show must go on. Je l'invite à aller vers lui quand moi je le fuis pour trouver un micro et un verre bien rempli de champagne. L'autre, je l'ai vidé avant de parler à son père. A chacun son masque. -- Excusez moi, nous voulions vous remercier d'être venu ce soir. Hans et Aspasia Weatfield voulaient vous remercier d'être venus. Je tends ma main vers le couple de la soirée. -- Et mettez des lunettes de soleil face à un amour aussi lumineux que le leur. On leur souhaite que du bonheur. Un toast pour eux, s'il vous plait ! Je lève mon verre vers Hans et accompagné de la foule, nous buvons à leur santé. Je dépose le micro dans la main de l'organisateur de la soirée avant de me fondre dans la foule. Je vide mon verre d'une traite et je vais au bar pour me prendre quelque chose de plus fort. Je sais que je suis toujours aussi à réagir comme ça. Je ne pouvais pas affronter Hans comme ça.

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un peu de weed pour détendre l'atmosphère et tenter de le faire rester. je n'ai pas envie que khol parte maintenant. c'est trop tôt. l'impression qu'il pourrait tirer avantage de cette soirée. je veux l'aider. « c'était sur que j'allais avoir des remarques sur la chemise, elle est magnifique » j'aime beaucoup ce qu'il fait. il a réussi à créer une pièce unique qui ressemble beaucoup à ma personnalité. c'est très bien joué de sa part. la talent est là, faut le mettre en avant. moi qui n'ait aucun talent, je ne peux qu'admirer. et contre toute attente, le dudley me laisse en plan pour rentrer à l'intérieur. fais chier. le joint est à peine entamé, j'aime pas gâcher. je prends une dernière et longue taffe avant de devoir le jeter à contre coeur. je rentre à mon tour et les vois parler tous les deux. je m'approche mais les deux me fuient. je reste comme un con, tout seul. ne sachant pas vraiment quoi faire.  j'attrape une nouveau verre sur le plateau d'un serveur. je ne suis clairement pas prêt pour ce qui va suivre. ruben prend la parole devant tout le monde. mon regard vire de l'incompréhension à la noirceur. ah l'enfoiré. je le tue du regard. tous les yeux se braquent sur moi et aspasia. je n'arrive pas à détacher mon regard du pfo. j'ai la haine. comment il ose me faire ça en sachant que je ne suis absolument pas à l'aise avec le fait de jouer les amoureux. c'est la pression de la main d'aspasia qui me fait revenir à la raison. je tente d'afficher un sourire le plus naturel possible. mon regard dérive sur mon père qui applaudit. il semble y croire. tout le monde trinque pour nous. je fais de même et vide le contenu de mon verre plein dans le gosier. je ne comprends pas la réaction de ruben. c'était pas le plan initial. il veut jouer ? parfait. un chaste baiser sur la joue d'aspasia et je grimpe sur la petite scène pour prendre le micro à mon tour, bien décidé à me venger « bonsoir à tous. comme l'a signalé mon très cher assistant, nous tenions à vous remercier d'être présents ici ce soir. aspasia, mon amour, je profite de ce toast pour te remercier également, merci d'être présente à mes côtés et de m'apporter autant d'amour. je voudrais également remercier mon ami, le créateur khol canova. à qui je dois cette magnifique chemise. tu as tout mon soutien et mon admiration. merci à tous et profitez bien de cette délicieuse soirée. » sourire hypocrite puis je descends de la scène. mes pas me conduisent directement au bar où je prends une nouvelle coupe de champagne. je ne devrais pas boire autant mais pour l'instant, je ne trouve que ce refuge là.

- @Khol Canova @Ruben Strauss

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Je vous déteste.
Vous êtes des.... Le mot ne me vient pas et le show continue. Ruben en vient à humilier directement Hans sur scène et j'en serre si fort le verre qu'il éclate, mais il s'enfonce juste assez dans ma peau pour éviter que j'en échappe une quelconque goutte. Je viens le poser sur la table avant qu'on le remarque et je plonge la main blessée dans mon pantalon. Noir, on ne verra rien. Je me fou de la possible douleur parce que là, il n'y a rien.
Plonge, Khol.
Revient en arrière et plonge.
C'est pour ça que je m'éloigne des humains. Que je ne m'accroche pas. Car ce sont eux, les pires animaux.
Je remarque comme Hans est mal à l'aise à cause du timide et j'en ai un pincement au cœur qui ne devrait même pas exister. Puis, à son tour sur scène. L'ovation tombe mal. Vengeance.
Vous me prenez pour un con. Tous les deux.
Je ne suis pas votre clown de service et et mes yeux deviennent sombres. Les menaces silencieuses de mon impulsivité qui se révèlent avant même que j'en ai conscience moi-même. Heureusement personne ne reconnaît vraiment mon visage et je me détourne. L'alcool chez les deux ziggoto... Je ne deviendrais absolument pas leur gardienne.
Plonge, Khol.
Enfonce toi dans le gouffre.
Et c'est cette voix que j'écoute. Dans mon portefeuille, j'attrape dans une pochette trois comprimés. Différents. C'est ce que j'ai et j'avais pas ce que c'est. Assurément de l'ecstasy poura pilule mauve, peut-être un analgésique pour un blanc comme la morphine.. j'en sais rien. Un anxiolytique comme l'ativan ?
Au diable.
Je suis le cauchemar. Je deviendrais mon propre Silent Hill.
Mes yeux croisent ceux de Hans, alors que de ma main aux allures rubescentes j'en avale les trois d'une traite du deuxième verre de champagne.
On se reverra tous en enfer.
Je tourne les talons et cette fois je compte les laisser. Parce que je ne suis pas quelqu'un qu'on utilise.
Bienvenue dans mon shit show.

- @Hans Weatfield @Ruben Strauss

C'était une pulsion malsaine. Je le reconnais. Parce que je sais que ça lui fait. Accoudé au bar, je noyais mon désespoir. J'ai l'impression de me perdre avec ces histoires. Et Hans me réponds toujours. Il sait comment me toucher aussi. Me rendre la douleur que je lui inflige. Si je ne sais pas contrôler mes émotions ? En réalité, si. Un peu. Je me pince férocement les lèvres quand il reprends la parole devant tout le monde. J'étais l'assistant. elle, sa femme. khol, son ami. j'avais le sentiment de ne plus rien être. Alors que les yeux sont braqués aussi sur Khol, pour son talent. J'ai pas le droit de le nier même si je suis en colère. Je tourne le dos à la foule pour me concentrer sur ce verre. Les minutes passent. Quand j'en écoule un nouveau verre que je remarque qu'Hans est aussi au bar. Je le fixe du regard, avale mon verre pour le rejoindre. Je fais signe au serveur. -- Un nouveau verre pour le meilleur des patrons, s'il vous plat ! Et un pour moi aussi ! Je viens poser ma main sur son épaule, la serrant avec force. Ma proximité ne peut choquer personne. Nous travaillons ensemble après tout. -- Va falloir qu'on parle. que je chuchote à son égard, par le courage des verres que je me suis enfilé avant de le retrouver.

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je déteste ça, je le fais à contre coeur mes pas quittent la scène. je me dirige vers le bar pour prendre une nouvelle coupe de champagne. je vais finir bourré dans un petit quart d'heure si ça continue comme ça. le show a certainement convaincu mon père, je l'espère en tout cas. ruben s'approche de moi, mon regard ne s'est pas adouci. « le meilleur des patrons » que je répète, agacé. j'aime pas du tout la tournure des événements. main sur mon épaule. « je crois aussi » voix tranchante. glaciale presque. il faut qu'on discute, c'est indéniable. je relève les yeux en direction de khol et ce que je vois ne me plait pas du tout. il met quelque chose à sa bouche. quelque chose qu'il avale avec du champagne. il ne faut pas être débile pour comprendre ce qu'li vient de faire. « il a prit un truc, fait chier » je grogne entre mes dents. « suis moi, on discutera après » et je prends la direction de la sortie. je suis khol jusqu'à l'extérieur. je ne prends pas la peine de prévenir aspasia ou mon père. on le rattrape bien vite. « hé khol » j'arrive à sa hauteur. « j'espère que t'en as pour nous aussi ? » il me fait chier. royalement chier. les esprits se sont échauffés, il faut calmer le jeu tout de suite.

- @Ruben Strauss @Khol Canova

( TW : sang, drogue )

J'en ai la main qui chauffe. Saloperie... Mais je me fou du reste, maintenant. J'ai juste l'envie de m'enfuir et de ne plus revenir. Quand la dépression avec laquelle je me bats depuis des années me frappe et revient comme un boulet de canon... Ce secret que je tente de garder. Que personne ne sait vraiment les ténèbres qui m'envahisse. Pas de pitié. Soit fort. Soit ce que les autres demandent. Sourit, Khol.
Mais je n'ai pas envie. Je n'ai plus envie.
La température est plus fraîche à l'extérieur et je soupire, alors que mes mains sont plongées dans mes poches et que je m'apprête à quitter l'endroit. Peut-être sans un regard derrière, même si je vais avoir des regrets. Mais cette voix... Elle vient à mes oreilles et je m'arrête. J'suis obligé parce qu'il me rattrape et cette fois, mes yeux se plongent dans les siens. Il rêve, s'il croit ça.
"Vous avez bien commencés à vous péter la gueule comme des grands et à embrouiller vos têtes avec l'alcool comme des buveurs de fûts... Alors laissez moi mon putain de poison et lâchez moi. Vous m'avez demandé de bien me tenir et contrairement à vous.. je l'ai fait."
Les pupilles réagissent en s'agrandissant, formant ainsi la sorte de drogue que j'avais ingéré. Soit le contraire d'un psychostimulant qui aurait fini par contracter la pupille. Non, là c'est le contraire. Les deux me font chier. Un m'a blessé. L'autre... Qu'est-ce que je dois vraiment en penser..? Les scandales, ce n'est pas moi qui l'ai ai fait. Ce sont eux. Moi j'ai tenu ma promesse en restant tranquille. Et je semble être le seul au fond qui y tien vraiment. Quand mes valeurs finissent par être bafouées et j'en suis presque malade. Mes yeux tombent dans deux de Hans et cette fois, quelques secondes le masque tombe pour une profondeur des plus chagrinée, avant que le masque ne se remette en place. Si j'en avais passé aussi un bon moment avec Ruben il y a moins de quelques jours... Tout semblait s'être envolé comme si rien n'avait d'importance et au final, je me rends compte que j'ai été bien idiot. Et que c'est pour ça que je ne devrais laisser personne entrer dans ma vie. Mon coeur me fait mal et l'Italien d'autrefois craque. Juste un peu. Un peu plus, dans son intérieur. Mais je ne démontre aucune émotion depuis que le masque s'était remis.

- @Hans Weatfield @Ruben Strauss

On était enfin d'accord de ça. On doit parler. Je me recule pour le laisser passer mais son regard est attiré plus loin. réflexe, je le suis et remarque Khol.  -- Pardon ? je savais Khol capable de beaucoup de choses mais nous n'avions jamais parlé de drogue dans sa vie. la priorité change pour nous deux, je le suis jusqu'à Khol alors que mon inquiétude pour le ténébreux me tourmentait. Lorsqu'on arrive à lui, j'aurais bien demandé plus doucement que l'héritier mais il n'a jamais été comme ça. on ne le changera pas. la réaction de Khol ne me surprends pas. Mon regard s'évade un instant parce que je sais très bien que j'ai mal agi. Avec Hans, on a pas fait les choses correctement. Moi le premier, je le sais. -- Khol, bon sang... je suis vraiment désolé. On a réagi sans penser aux conséquences. On a... perdu le contrôle. On voulait pas te blesser... Tu le sais que je le veux pas... Parce qu'on arrive pas à contrôler quand on s'embrouille tous les deux. Je me rapproche et prends la main de Khol entre les miennes, bien que je sois tremblant sous l'émotion. Je regarde Hans, un peu fébrile. -- On devrait se poser à l'hôtel pour s'assurer qu'il aille bien avec ce qu'il a pris. Parce que chez moi, c'est trop petit. Chez Hans, ce n'est pas possible non plus. Et je ne sais pas du tout où Khol peut vivre mais au final, il faut qu'on s'isole sans risque d'être pris en photographie par un paparazzi. Quelques gouttes avaient déjà frôlées mes joues en sortant mais le temps continuait de virer. il pleut. c'est encore léger mais ça allait être plus fort. Je n'osais pas dire plus de mon côté. Je reconnaissais ma faute et je voulais juste que les choses s'apaisent.

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il a prit un truc. je ne sais pas quoi. un cachet surement. je n'ai pas vu la couleur mais ça n'a finalement aucune importance. le comportement de khol va changer et on ne peut plus rien faire pour changer ça. il se barre de la réception. on le suit avec ruben, jusqu'à le rattraper. je lui demande de partager parce qu'on a déjà eu cette conversation lui et moi. je le titille un peu pour voir sa réaction mais il m'envoie chier. mes yeux ne quittent pas les siens et j'ai un frisson en captant ses émotions. il me fait quoi là ? je ne suis pas certain de comprendre. peut-être que si ? il me fait chier encore une fois. je ne suis pas le mec le plus empathique du monde. j'ai du mal à capter les messages sous entendus. silencieux. ruben s'excuse. mes yeux s'abaissent pour le voir prendre la main du dudley. mes sourcils se froncent une nouvelle fois en captant son autre main. je la prend entre les miennes; « tu t'es fait ça quand ? khol, tu pisses le sang... » mon pouce caresse délicatement le dos de sa main, la partie épargnée par les blessures. « je, ouais » je lâche la main du dudley et recule d'un pas. « ne bougez surtout pas, je vais chercher la voiture » et je repars en courant à l'intérieur chercher ma veste et les clés de voiture. je démarre en trombe, à en faire déraper les pneus. j'arrive de nouveau devant eux, me penche pour ouvrir la porte passager de l'intérieur. « allez grimpe, on va à l'hôtel.. » je ne peux pas les emmener chez moi, pas avec mon père dans les parages, c'est trop dangereux. je croise le regard de ruben dans le rétroviseur intérieur. cette soirée nous échappe totalement à tous les trois. ma main se pose doucement sur la cuisse de khol, il me fait peur ce con. « t'as pris quoi exactement khol ? qu'on sache à quoi s'attendre.. » ma voix est calme, douce. j'ai pas envie de l'accabler davantage.

- @Khol Canova @Ruben Strauss