La familiaUn "je t'aime" qui le vit faire frôler son nez avec celui de sa petite amie avant qu'il ne l'embrasse et la chicane qui avait eu lieu à la piscine était derrière eux. Décompresser dans les jardins avaient quand même permis de réfléchir à toute cette nouvelle situation.

Puis, l'Espagnol expliquait à sa blonde qu'il allait se faire beau pour sa mère, bien rasé, bien coiffé, habillé classe, il comptait faire un sans faute. N'en fallait pas plus pour qu'Hazel, à la blague, quoique... joue les jalouses, ce qui anima un sourire chez le jeune homme.

-Je sais que mon style "beau garçon négligé" te plait, contrairement à ma mère.

Son style Jon Snow si vous préférez, ahah! Ceci dit, il imagine que son style plus "propre" ne déplait pas à Hazel non plus. Comme ça, si toutes les femmes de la maison Ortega sont contentes, c'est tant mieux. Le repas se passa sans incident, hormis l'arrivée d'Isabel. Alejandro savait qu'il aurait en elle une alliée, mais elle est quand même jeune et il ne veut pas lui en mettre plus sur les épaules qu'il n'en faut. Pour autant, il comptait tout lui dire, pas de cachotterie entre le frère et la sœur. Il y en a déjà assez entre les autres.

De son côté, Hazel était bien d'accord avec lui, de la normalité ferait du bien, même s'ils savaient tous les deux que ce détour/voyage en Espagne était tout sauf normal. Alejandro venait d'enlever son veston et commençait à déboutonner sa chemise, lorsque son amoureuse vint l'enlacer doucement. Il redressait alors la tête, sourire en coin, écoutant avec attention ce qu'elle lui disait.

-T'inquiètes, tu as ton style et en cas de critique de certains, tu peux toujours dire qu'en Afrique du Sud, c'est la tenue standard.

Alejandro tourne la tête pour croiser le fameux regard étincelant de son amoureuse.

-Tu m'aides à finir de me déshabiller? Après, je t'aiderai pour ta robe.

La familia La puissance du mot je t'aime...j'adorais ce petit moment juste après qu'on avait décidé de faire la paix tous les deux. C'est vrai que je lui en avais voulu, peut-être que ce petit moment loin l'un de l'autre avait été bénéfique mais en même temps, je devais apprendre à être moins une tête de mule et être plus sensible aux gens qui m'entoure, spécialement avec celui qui partageait ma vie. De plus, je n'aurais pas pu être fâcher longtemps contre lui, j'avais besoin de mon meilleur ami, de mon amoureux alors se faire la guerre quand on pouvait faire l'amour, c'était stupide, je choisissais l'amour au lieu. Je hochais la tête et riait légèrement, c'est vrai que j'aimais bien son look de Jon Snow, comment j'aimais bien à quoi il ressemblait dans son plus simple appareil. Je le dévorais du regard avec son look princier, définitivement je pourrais m'habituer à ce look, très différent mais qui le représentait quand même.

-''Alors tu fais bien de plaire à ta mère, moi je suis déjà conquis quand même. C'est énervant, tout look que tu abordes te va à ravir chéri.''.

L'Espagne me réservait des belles surprises et je sentais que ce n'était pas fini...Ce repas avait moins été digne du Red Wedding de Game of thrones que je l'aurais pensé! J'avais bien aimé faire la connaissance d'Isabel, elle était super jolie et aussi intelligente que son frère. J'avais hâte de revoir Flora le lendemain, j'allais sûrement en profiter pour tirer quelques révélations sur Alejandro, elle qui était si fier de son petit-fils adoptif. Cela allait bien correspondre au thème de la normalité qu'on allait chercher demain. Toujours enlacer dans ses bras, je n'osais pas trop bougé, j'étais bien en ce moment. Je souriais contre son torse à sa remarque:

-''Alors j'ai accompli mon devoir de petite amie ce soir. Avec plaisir.''.

Je me décollais de la chaleur de sa peau pour me poster devant lui et continuait de faire les boutons de sa chemise. Une fois entre ouverte, je laissais mes mains se poser délicatement sur son torse, caressant ses abdos au passage, remontant vers son torse pour ensuite glisser ses épaules et faire tomber sa chemise par terre. Mes mains se firent baladeuses sur son corps de rêve. Je collais mon corps contre le mien, mes mains s'attardèrent à caresser sa nuque et j'ébourrifais ses cheveux au passage. Mes lèvres capturèrent les siennes et laissait mes mains descendre un peu plus sensuellement vers sa taille où je défis sa ceinture et défaisait son pantalon. Je le voulais contre moi, en moi.


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La familiaAlejandro nota le regard qu'Hazel lui lançait tandis qu'ils terminaient de monter les marches. Apparemment, son style propre plaisait assez à la blonde, cela sentait à ses propos et à son regard. Il en était flatté. Il a beau être conscient d'avoir du style et d'être beau, sans fausse modestie, plaire à la fille qu'on aime, c'est essentiel.

-Je pense qu'à ce niveau, on se ressemble tous les deux.

Entendons nous, ils sont tous les deux des canons, un rien leur va. Hazel avait pu porté aujourd'hui une petite robe, un bikini et maintenant, quelque chose de plus stylé et exotique et tout allait à lui ravir. C'était important, pour Alejandro, d'avoir une petite amie qui parait bien, qui épate la galerie, mais qui en même temps, ne se prend pas pour une œuvre d'art qu'il ne faut pas toucher. Oui, il est exigeant, mais hey, quand on peut l'être!

Une fois dans la chambre, ils ont un petit moment d'affection, d'apaisement aussi, après une journée riche en émotions. Heureuse d'avoir accompli son devoir de petite amie, Hazel était toujours contre lui, tandis qu'il l'encerclait d'un bras, caressait la partie découverte de son ensemble pour toucher sa peau. À sa petite demande, sa copine ne se fit pas prier.

Alejandro put alors redécouvrir toute la sensualité, la tendresse, mais la passion aussi, de sa petite amie. Comme quoi, de petites caresses toutes simples peuvent parfois faire un sacré effet. Sourire en coin quand elle caressait son torse, ses abdos, zone un tantinet plus sensible, son sourire s'estompe un brin, son regard devient plus intense, alors qu'elle fait tomber la chemise. Il sentait alors que cette petite séance de déshabillage allait prendre une autre tournure.

La familia Je ne ressentais pas la pression de devoir remuer ciel et terre pour être la copine la mieux stylée d'Alejandro, disons que depuis qu'on formait un couple, j'avais toujours le désir de me surpasser, de le surprendre et le rendre fier de moi surtout, il venait du milieu de la mode, il était un connaisseur, ce qui me plaisait énormément alors pour jouer le jeu, je m'assurais qu'il note des changements dans ma garde-robe comme lingerie, c'était agréable de jouer les mannequins pour quelqu'un qui savait apprécier les vêtements qui pouvaient épouser les courbes d'une femme. Je lui souriais avant de rentrer dans sa chambre.

Cette première journée en terre espagnol avait été riche en émotion, mes prières les plus sincères allait avec la famille Ortega et surtout en secret, vers Alejandro, en espérant que l'état de santé de son grand-père soit mieux pour qu'il aille l'esprit tranquille et pas être obliger de penser à ce qui s'était passé chez le notaire. Si Alejandro voulait un peu d'aide pour se déshabiller, j'allais sûrement pas lui refuser cette requête et j'allais même y ajouter ma petite touche personnel.




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