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Les originesirlandaises, anglaises, américaines, ashkenazes, écossaises, suisse-allemandes, néerlandaises.
feat. zoey deutch
le 8 mars 1998 à dublin, irlande
irlandaise
célibataire, hétérosexuelle
4e année en théâtre, danse et média
riche
Le caractère
arrogante, capricieuse; doux résultat d’une enfance choyée, surprotégée. intéressée, égoïste, l’esprit calculateur. prétentieuse, aime vendre l’illusion de la perfection. hypocrite, mythomane en cas de nécessité. fougueuse, possessive, tempétueuse en relations amoureuses; loyale, généreuse en amitié. cartésienne, elle aime ou elle n’aime pas - sans juste milieu, sans dosage. perspicace, persévérante, parfois perfide. impatiente, coléreuse - ne jamais tester ses limites. ambitieuse, intelligente mais s’octroie parfois le rôle de la bimbo à des fins purement intéressés. franche, virulente, pimbêche, peste.
Les anecdotes
- ( 01 ) fille unique, petit joyau de papa et maman burnham, princesse bowie - baptisée, sans originalité d’après le célèbre chanteur - découvre le monde à travers des caprices concédés, d’un piédestal souvent érigé et d’une attention quintuplée. dans la capitale irlandaise, le bonheur de mini bowie primait sur tout le reste, au milieu de l’argent qui coulait à flot dans le cocon familial.
- ( 02 ) scolarité chaotique, socialement parlant. pour autrui. bowie terrorisait ses p’tits camarades, persuadée de régner sur la cour de récréation, recréant bêtement l’environnement familial dont elle était habituée - elle, en haut de l’échelle sociale. un en particulier attirait quotidiennement son attention à la miss, pauvre môme nommé lorcan. nombreux ont été les avertissements et alertes vis à vis de son comportement, mais lorsque des parents n’avoue aucun faux quant à leur bijou, que le mal est déjà propagé, aucune voie de retour ne peut être envisagée.
- ( 03 ) dusty. l’prénom tout aussi poétique que l’sien à bowie, son alter ego, son ancre réfugiée à l’autre du bout du monde, dans cette ville qu’elle apprend à apprivoiser chaque été. boston. dusty, boston. le répit de son quotidien irlandais, le renouveau estival chaque année. la lune et le soleil, le yin et le yang, deux cousines, deux inverses, deux personnalités diamétralement opposées mais qui se complétaient; c’était le plus grand mystère de son oncle. bowie versait son venin à quiconque contrait son chemin mais quand dusty rentrait dans l’équation, elle se réfrénait, écoutait. première et unique personne de sa vie à captiver son attention. son âme soeur.
- ( 04 ) superficielle assumée, son adolescence rime avec le monde du cinéma que son père lui a transmis. paillettes, tapis rouge, se fondre dans la vie d'une autre l'instant de quelques instants; bowie tombe amoureuse du théâtre, de la comédie et ne désire que poursuivre dans cet univers, se faire un nom, inconsciente face aux risques procurés par une quelconque notoriété. elle s’y plonge, à corps perdu, s’investit dans ces cours de théâtre, ces vidéos en ligne censées la mettre en avant. elle se crée ses personnages, ses alter egos.
- ( 05 ) à sa majorité, sa passion mêlée à son ambition ne l’arrête pas dans son projet. ambitieuse acharnée mais surtout réaliste bowie est consciente de la nécessité de cours approfondis, décide de poursuivre le vieux rêve de son père avant sa célébrité précoce; intégrer une prestigieuse université. princeton sera la cible et le grand gagnant.
- ( 06 ) dix-neuf ans, une année écoulée avant qu’elle ne reçoive officiellement son acceptation à princeton. fierté de papa et maman, qui ne cesseront jamais les louanges. ce que petite bowie ignorait - par manque d’intérêt notamment - c’est que papa burnham, parallèlement, se cache derrière ces louanges à son égard pour ignorer sa propre descente aux enfers. ancien acteur reconverti en avocat miteux, papa choisit le danger, guidé par l’angoisse et la stupidité, papa choisit l'addiction aux drogues. papa sombre profondément, sous le regard ignorant de femme et fille.
- ( 07 ) les cours de théâtre lui sont bénéfiques, miss bowie prend de l’assurance, des compétences, prend davantage de pouvoir social dans ces cercles fermées de relations dont elle a trouvé le secret pour s’y intégrer. bowie officialise son talent dans quelques rôles, bowie crée son propre destin et s'aventure à los angeles les weekends. elle trouve sa voie officielle, se passionne davantage pour ses études qui l’emmèneront plus haut que la pointe de la pyramide hollywoodienne, elle le sait. elle se perfectionne, déterminée à vivre l’illusion du monde du cinéma, menée par superficialité et hypocrisie. mais elle aussi, sait le faire.
- ( 08 ) cliché encore plus creusé de l'actrice à en devenir, son cœur n’a jamais cessé de vibrer pour les relations charnelles et éphémères. elle en veut pas de ces mensonges sur l’amour et les sentiments bowie, elle veut que profiter, quitte à entraîner le pauvre malheureux de partenaire avec elle, quitte à briser les valeureux soldats tombés à terre pendant la conquête.
- ( 09 ) ’papa est mort’. aussi concis, aussi brutal. trois mots, une phrase normalement constituée pourtant elle ne faisait aucun sens pour la bowie de l’année précédente. suicide apparemment. le poids d’une addiction irrattrapable. c’est ce qu’il dit dans sa lettre, au milieu des excuses adressées à femme et fille. au milieu d’aveux d’abord incompréhensibles et brouillons qu’elle ne parvenait pas à mettre en place, bowie. adultère, addictions, blanchissement.. enfant non reconnu.. la lettre pouvait s’apparenter à une liste de délits et crimes citées au hasard tant elle n’avait pas de sens. rien n’avait de sens. dusty y apparaissait sur cette lettre. milwaukee, également. une ville. rien n’avait strictement aucun sens. papa est mort.
- ( 10 ) donovan joyner, qu'il s’appelait. une des résolutions de l’énigme de la lettre. cette stupide et affreuse lettre qui l’avait encore plus forgé de marbre. si elle pensait ne plus être capable de ressentir avant, aujourd’hui, c’était encore pire. aucune larme n’avait été versée à l’enterrement, aucun mot de partagé avec les invités. personne n’avait gagné le privilège de ses mots dans cette situation, si ce n’est dusty. elle, comprenait. comme à son habitude. elle, l’avait encouragé à déchiffrer les reliques de papa et approfondir les recherches. elle, l’avait encouragé à venir sur boston pour le rencontrer, lui, donovan. elle, l’avait poussé à fermer la porte de sa vie au new jersey pour ouvrir une nouvelle au massachussetts, aux côtés de dusty, et de son oncle. aux côtés de ses proches, en compagnie de sa mère qu’elle s’était refusée à laisser pour morte. dusty était la raison de sa présence ici, oui, aucun doute sur ce point. mais comme à son habitude, comme papa et maman lui ont appris, elle se devait d’être en haut de l’échelle, bowie. sur ce piédestal - chose qu’elle ferait sans faute, à boston, à harvard, prête à dompter l’indomptable.
- Code:
<div class="card-user-bottin-students"><students class="text-s-bebas text-upper">ZOEY DEUTCH</students><span class="c-uno text-upper text-bold">@"Bowie Burnham"</span></div>
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