L'orientation et Dayn ce n'est pas encore ça, il s'avère peut-être intelligent, mais avoir le sens de l'orientation ici dans cette université le bloque encore. Surtout qu'il a dû faire un service pour son professeur. Donner un document important à son collègue. Il a demandé à des étudiants le chemin et à réussi à mener sa quête. Trouvant les architectures magnifiques et ce demandant pourquoi sur son campus cela n'était pas pareil.

Sur le chemin du retour, il vient à faire de longs trajets. Trouvant les couloirs immenses et ce demandant s'il n'était pas passé par là. Cherchant son portable il voit ce dernier presque décharger et soupire de désespoir. Il vient enfin après un moment à sortir pour se retrouver dehors. Regardant l'immense bâtisse qui se dressait devant lui, une bâtisse qui semblait impressionnante et encore plus à l'intérieur!

Il soupira une nouvelle fois en se demandant si la police allait faire son possible pour retrouver les coupables et les juger. Il vient masser l'endroit où se trouve une série de chiffre se rappelant du passé. Puis il vient à trouver un banc pour y venir s'asseoir ayant les images du passé.
Il vient à se posé mille questions. Pourquoi ils avaient fait cela, leurs but, leurs revendications, s'ils voulaient de l'argent ou autre.
Regardant une nouvelle fois sa série de chiffre, faisant rappel à son passé. Il tomba dans ses pensés oubliant qu'il n'était pas seul.

Il vient à sursauté entendant du bruit, puis il vit un étudiant qu'il détailla, il essaya de se cacher en remarquant qui cela était . Il observa en silence espérant ne pas être vu, mais il était bien obliger de se montrer pour sortir de cet endroit, maladroit comme il est, il tomba du banc, ce qui fit du bruit et se redressa en croisant le regard de son camarade étudiant!

C'est magnifique ici, comment vous faites pour ne pas vous perdre dans ses couloirs!

Ji-hun avait reçu quelques jours de congés pour raisons médicales et, après avoir passé trois nuits chez sa marraine d’accueil, il avait repris le trajet vers la faculté de médecine. Passer son temps à travailler lui avait fait oublier les préjudices subis, et toutes ces interrogations qui subsistaient sans qu’il ne trouve de réponse ; les forces de l’ordre non plus, d’ailleurs – il n’avait pas été rappelé depuis l’interrogatoire qu’ils avaient mené à l’hôpital. Soutenu par quelques connaissances, il avait trouvé la force de terminer sa journée malgré les nuits d’insomnie qu’il se trimballait depuis dimanche ; samedi, dans la nuit, on lui avait administré un somnifère pour qu’il puisse fermer les yeux. Les heures de formation doctorale achevée, il avait pris le bus en direction de la Pforzheimer House, car le moment était venu pour lui de reprendre place dans ses quartiers.

Après près d’une heure de transport en commun, il se retrouva incapable de passer les portes de la Maison Dorée. Ji-hun resta un instant devant le bâtiment, mais se résigna à faire demi-tour. Joyce, une comparse scientifique qui vivait à la Dudley, l’avait invité à passer la nuit avec elle en cas de besoin, mais le nord-coréen ne se sentit pas de rester dormir sur le campus. Après une dizaine de minutes à tourner en rond, il prévint la doctorante qu’il retournait sur Somerville, là où vivait sa famille d’accueil. Il fut déçu, aurait aimé retrouver cette vie en communauté dans laquelle il s’était à peine plongé, mais il fallait se faire une raison : c’était tôt, beaucoup trop tôt. Il soupira et reprit le chemin central pour trouver l’arrêt de bus. Son avancée fut toutefois retardée par la présence d’une personne qui tenta de se cacher de lui. Il fronça les sourcils, interrogateur.

Discret, tu n’es pas trop, constata-t-il lorsque ce dernier tomba du siège, tu fais ça, pourquoi ? Est-ce qu’il était entrain de faire quelque chose d’illégal pour s’agiter ainsi ? Lorsqu’il complimenta la PfoHo, le brun tourna la tête en direction de la bâtisse et hocha la tête. Effectivement, la résidence avait tout de même fière allure. On s’y fait, comme pour tout, répondit-il à son interlocuteur avant de passer ses mains dans ses poches. De la Dudley, loin tu es, un peu, commença-t-il avant d’enchérir : ici, tu fais quoi ? Avait-il besoin d’aide ?

Si ton père te voyait il serait sûrement en colère, tu serais d'ailleurs enfermer pour être incompétent ou alors autre. Frissonnant rien qu'à l'idée d'y penser . Tu viens à secouer la tête pour oublier ses idées, ses pensées. Tu as réussis à venir ici avec tout ce que tu as traverser et maintenant tu as une vie. Tu fais ton anniversaire, une chose que tu n'as jamais connu jusqu'à ce que tu atterrisses ici.

Ce sol américain que tu as t'en eu peur au début de sortir, que tu es rester enfermer dans ta chambre. Même dans la famille, pensant manger après eux. Encore habiter par ton ancienne vie, bien que ta mère adoptive te rassures tant de fois pour te dire que tu as le droit de faire cela. Un soupir vient sortir de ta bouche et tu viens relevé tes cheveux exposant ta série de chiffre.

Puis tu regardes ton camarade étudiant. Et tu souris tout de même à sa remarque, puis vient à répondre admirant toujours les bâtiments. Excuse-moi, c'est que je repense encore à ma maladresse sur ton sweat. Je pensais que tu voudrais en dehors un remboursement ou autre. A ce moment-là, tu as seulement envie d'être une mouche pour tes paroles totalement stupide. Puis tu regardes avec lui la bâtisse et tu essaies d'être plus détendu. Excuses-moi de ma curiosité, mais tu as un accent? J'ai cru entendre certaines phrases que tu réponds comme yoda et d'autre correctement...Après si tu veux savoir je fais aussi Yoda quand je panique, quand je suis maladroit. Tu regardes toujours la bâtisse et dis Je te comprends, j'ai eu du mal à me repérer sur Harvard. Oh oui, mais c'est un professeur qui m'a envoyer ici. Tu admires toujours l'architecture que tu trouves passionnant puis tu viens à le regarder. J'ai donné un papier à un de vos professeur, j'ai chercher son bureau. Et j'ai réussi à me perdre. Tu viens à regardé autour de toi et tu le regarde. Est-ce que ça te dérange d'accepter de faire connaissance avec moi? Enfin pour être ami si tu veux bien. Désoler je sais pas comment on fait, je n'ai pas vécu ici.

À l’évocation de la maladresse passée, Ji-hun se rappela qu’il avait été l’étudiant qui avait renversé sa boisson sur son sweat lors d’un événement dans les jardins de la Dudley. Ill émit un « oh » à la fois surpris et gêné que ça ait pu tant marquer son comparse. Ce n’était rien, se permit-il de le rassurer une fois encore. Son interlocuteur n’avait pas été le premier à laisser une tache sur le vêtement d’un autre, et le doctorant en avait connu des bien pires, lui qui bossait dans un café. Si, te rassurer, ça peut, commença-t-il, tout est parti. Il avait réussi à retirer entièrement le liquide coloré de son haut, et pouvait le remettre sans qu’on ne puisse deviner qu’il avait été la victime d’une bousculade. Ils vinrent ensuite à parler de l’architecture et de l’immensité de la bâtisse.

Sujet très vite passé aux oubliettes lorsque le plus jeune fit une remarque sur son accent. Ji-hun resta un moment stoïque, ne sachant pas véritablement comment il devait répondre à cette affirmation ; qu’avaient-ils tous avec Star Wars ? En linguistique, fort je n’ai jamais été , s’expliqua-t-il à nouveau, facilement le vocabulaire j’intègre, mais… groupe de mots par groupe de mots je traduis, de ma langue natale à l’anglais. Il hocha la tête pour appuyer ses dires. En Corée du Nord, il n’avait pas vraiment mis l’accent sur les langues étrangères, parce qu’il n’avait jamais imaginé quitter le pays où il était né, et les possibilités qu’il rencontre et parle à des étrangers étaient trop maigres pour qu’il trouve important de les intégrer.

Étonné, Ji-hun s’exclama : au quartier résidentiel, t’a demandé de venir un professeur ? Curieux, mais pas impossible vu les dires de son vis-à-vis ; peut-être paraît-il du bureau des présidents des Pforzheimers ? Amis, répéta-t-il d’un air interrogateur, connaissance on peut faire, oui. Il plissa les yeux. Loin de lui l’idée de refuser d’augmenter sa liste d’adresses. Plus son carnet s’enrichissait de contacts, plus le brun était heureux. Bien trop incapable de faire sans le reste du monde, sans s’accrocher à la société, sans compagnons de route. Il prenait à cœur chacune des relations qu’il construisait – parfois plus que ce qu’on lui rendait. Longtemps, sur Boston, tu vis, questionna-t-il l’Asiatique.

Il l'invita à prendre l’allée qui lui permettait de fuir la Maison Dorée ; il ne se sentait pas à l’aise de rester dans le coin.

Encore tout de même troubler et voulant donner quelque chose en retour à la hauteur de pouvoir effacé son erreur. Il ne pouvais oublier ce qu'il avait fait, bien que cela ai pu s'en aller avec un coup de lessive et un tour de tambour de machine, qu'il dût apprendre au moins cinq fois, avant de pouvoir être autonome.
Il regarda son camarade et la victime en question qui essaya de le rassuré, mais il lui dit tout de même déterminé comme il a apprit durant son enfance, son passé.

Peut-être, mais j'ai appris donné pour effacé de son erreur. Alors demande mois ce que tu veux. Je t'offre un repas si tu veux. Loin d'ici connaissant les actualités ça pourrait peut-être apaisé ton coeur.

Il le regarda quand il lui dit que tout était parti. Il commença d'ailleurs à calculer le temps, le litre d'eau et la lessive. Tout ça pour une bêtise commise par sa maladresse propre. Il resta un moment à fixer le sol et le regarda.

Peut-être, mais ça coûter de l'argent et électricité. Je ne peux accepter d'effacer ce que j'ai fais. Surtout sur un si beau sweat. Là où j'habitais je n'aurais pas eu de grasse autant. Alors dois-je te dire merci?

Agitant les mains pour le rassurer et le maître à l'aise, il vit l'erreur commise. Se passant une main sur sa nuque regardant le sol, venant masser cette dernière et replongeant dans ses erreurs linguistiques comme il faisait lorsqu'il était maladroit, stressé et en colère.

Pareil je suis ne t'inquiète. Maladroit, stressé ou en colère quand je suis.Coréen je suis

Se sentant se détendre petit à petit peu, il regarda son camarade Harvadien et viens à lui sourire. Puis il comprit rapidement sa phrase, il rit en se disant que s'était comme un dialecte coder entre eux deux. Et cela était agréable pour être honnête. Le reprendre était mal venu pour être honnête.

Oui un professeur m'a demander de venir jusqu'ici, j'avais fini mon cours.S'était sous enveloppe.
Oui amis...Pour être honnête...Ma mère souhaite que j'intègre la population...

Venant s'asseoir de nouveau en massant son poignet intérieur où se trouvait une série de chiffre. Il fixa un point vide et viens à expliquer après avoir entendu la dernière phrase.

Mes parents sont mes sauveurs. Arrivé ici, je ne savais pas parler un traitre mot anglais. Je refusé de me mélanger avec les gens.

Le jeune homme semblait déterminer à réparer son erreur. Devant tant d’insistance, Ji-hun réfléchit à une brève idée qui pourrait éviter à son allié asiatique de se torturer plus l’esprit avec cet incident. Un chocolat chaud , proposa-t-il, ou un café tu pourras m’offrir. Boisson qui lui permettait de carburer du lever au coucher, et de tenir ses yeux ouverts les nuits durant lesquelles il décidait d’avancer sur sa thèse, ou de réviser les notes prises lors de ses formations. Un café, c’était parfait. D’autant plus que ça avait été avec une tâche de liquide que son vis-à-vis et lui s’étaient rencontrés pour la première fois. À me remercier, tu ne dois plus, du coup, fit-il en souriant. Le plus jeune allait se racheter, et tous deux repartiraient sur de bonnes bases.

Vint le sujet de sa particularité linguistique, et il s’expliqua. Ce n’était pas faute de tenter de faire des efforts, mais ça n’entrait pas. Il misait beaucoup sur son entrée en doctorat. Il se disait que le fait de participer à des séminaires, et devoir défendre ses recherches devant un jury qui parlait anglais, allaient déclencher le mécanisme – automatisme mieux que traduction. Son camarade harvardien prouva qu’il pouvait également se laisser aller à un langage rempli de défauts de syntaxe. Ji-hun n’en comprit pas vraiment le sens, mais passa outre ce détail. Coréen oui, j’avais bien deviné , hocha-t-il la tête. Le physique ne trompait pas, il n’y avait qu’en de rares occasions où il était complexe de savoir de quel pays provenait un habitant du continent asiatique.

Le jeune homme s’assit de nouveau sur un banc, et le plus vieux arrêta de marcher. Ils étaient encore près de la Maison Pforzheimer pourtant, était-il fatigué ? Quelque part, tu as mal, interrogea le biochimiste. Il lui semblait avoir remarqué que son camarade avait l’affreuse manie de triturer son poignet à tout instant, était-il pris de démangeaisons ? Ta peau, tu devrais hydrater, lui conseilla-t-il. Surtout que le temps allait vite changer, il était de tradition qu’il y ait de la neige et du blizzard en hiver sur Boston, et la nouvelle saison arrivait à grand-pas. Le nord-coréen de Pyongyang était pressé de vivre les fêtes de fin d’année auprès de sa famille d’accueil ; son tout premier Noël, c’était excitant ! Tu t’appelles comment, déjà, demanda-t-il.