Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityI made the promise, to make you smile again... ft. Joyce (02.06)
I LOVE HARVARD
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    I made the promise, to make you smile again... ft. Joyce (02.06)
    Ji-hun HwangMembre de la Pforzheimer House
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    Ji-hun Hwang
    Membre de la Pforzheimer House
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    Âge : 28
    Lieu de naissance : Hamheung, ville de la région de Hamgyeong du sud. La Corée du Nord l'a vu naître, l'a élevé. Elle a forgé une partie de l'homme qu'il est aujourd'hui, mais c'est sur un tout autre continent qu'il désire construire son avenir.
    Quartier.s d'habitation & Colocation : Il a vécu la Pforzheimer House durant une année, l'a quitté en juillet pour s'installer provisoirement chez un ami, à Chinatown, Boston, le temps de déménager dans un studio au 499 Beacon St.
    Situation sentimentale : Il a retrouvé les champs, un petit peu plus d'un mois avant le printemps. Maintenant que n'existe plus de pression, la relation peut enfin préparer sa floraison ; dans une relation avec Lilia, demoiselle qu'il connaît depuis un an déjà ; 2024년 2월 16일
    Études & Métiers : doctorant en pharmacologie, au sein du laboratoire de l'école de médecine, il assiste également son superviseur dans ses recherches et participe activement à des conférences. En-dehors de ça, il fait du tutorat en sciences et en coréen ; ça paye bien mieux que serveur à la Luna Caffe, même si sa passion pour les latte art ne s'est pas envolée.
    Date d'inscription : 16/04/2022
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    Warning : régime totalitaire, sanctions (ex : camp de concentration, travail forcé, exécution publique), patriarcat social / juridique, tortures / actes de barbarie, détention provisoire, violences policières (Japon), ablation d'un rein, 18+, racisme / discrimination / bashing subis, grossesse extra-utérine de son ex-copine / maladie : insuffisance rénale.
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    Profil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t146952-meetsachussets-jho
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    Lien du postMar 31 Mai - 11:19
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    Près d’un mois et demi était passé depuis cette fameuse rencontre avec sa dame de l’eau, plus d’un mois que Ji-hun s’était donné l’objectif de sauver ce pinnipède au doux prénom. Il n’avait aucune affection particulière pour l’animal, mais avait compris que ce dernier avait le pouvoir de dessiner un sourire radieux sur les lippes de l’étudiante aux cheveux décolorés, celle qu’il avait apprécié observer pour sa particularité capillaire – entre autres. Il avait quitté le parc aquatique une trentaine de jours plus tôt mais était revenu quelques fois la semaine suivante, pour prendre des nouvelles du phoque auprès d’un autre soigneur. Il avait évité la jeune femme volontairement, afin qu’elle puisse se concentrer sur le chiot marin, afin qu’il puisse réfléchir de façon raisonnée à ce qu’il allait entreprendre – ou pas – pour satisfaire son besoin de voir heureux le monde qui gravitait autour de lui ; jusqu’où était-il prêt à aller, quels sacrifices étaient-ils prêt à faire ?

    Il lui avait fallu deux semaines pour se décider à avancer sur le projet complètement loufoque qui avait mûri dans sa tête. Les diverses phases s’étaient détaillées dans son esprit, comme ça avait été le cas en période d’épidémies dans sa Corée du Nord natale. En faisant appel à sa mémoire, il avait réécrit sur papier les données du dossier de Loki auxquelles il avait eues accès, et trente-deux heures plus tard, il s’était mis sur les recherches. De la lecture de chapitres à la quête de toxines, de la conception aux premiers essais sur cellules vivantes, des ajustements à la validation de l’antidote pour le spécimen en question. Il y avait passé jour et nuit, nuit et jour, entre les différents apprentissages qu’il devait mener à bien, les quelques sorties qu’il s’était autorisées et son travail au Luna Caffe qu’il n'avait pas mis de côté. Quelques semaines écoulées donc, avant qu’il ne décide de retrouver l’aquarium et d’utiliser cet abonnement auquel il avait souscrit pour l’année.

    La lanière du sac à dos sur l’épaule, il naviguait dans les allées de l’établissement avec précaution. À l’intérieur, dans une pochette de protection, glissée dans l’un des compartiment à la fermeture éclair scellée, résidait les prises d'antidote qui allaient colorer de nouveau le quotidien de Joyce. Ji-hun croisa quelques employés qu’il avait accostés fin avril, mais ne fit que les saluer puisqu’aujourd’hui il désirait revoir une seule et unique personne. Elle, rien qu’elle. N’était-elle pas à l’aquarium ? Les minutes passaient sur le cadran de sa montre, et aucune des chevelures croisées ne ressemblait à celle de sa dame de l’eau. Le temps lui était compté, il se devait d’aller bosser, mais ne pouvait repartir sans avoir fait part de ce qu’il avait entrepris et réussi à la biologiste. Il s’arrêta un instant, sa paume vint se plaquer à l’arrière de son crâne. Ses cheveux coupés en dégradé circulèrent entre ses doigts jusqu’à ce que l’idée d’aller voir du côté des blanchons lui apparut comme évidence.

    Ils avaient retrouvé leur place à l’intérieur après avoir subi les examens nécessaires, et tous semblaient en excellente santé. Joyce, l’interpella-t-il en la reconnaissant de dos. L'accent ne pouvait faire aucun doute sur son identité. Il s’avança pour la retrouver, le sourire ancré sur ses lèvres bombées. Deviner, vous ne pourrez jamais, s’exclama-t-il, tout en ouvrant son sac à dos. Il récupéra les fioles emballées, dans lesquelles il avait enfermé le médicament spécialement conçu pour Loki, et les pointa vers la jeune femme. J’ai réussi , conclut-il en maintenant le paquet entre ses doigts, la toxine qui éradique, j’ai trouvé dans poissons… Il partit dans une explication scientifique de ses recherches, parcourut chaque étape de la conception pour donner de la valeur à son travail, pour qu’elle puisse lui donner toute sa confiance. Il remarqua ces traits sur son visage, mais son cerveau exigeait de lui qu’il continue à déballer des informations rassurantes.

    … Des tests, j’ai réalisé sur cellules vivantes identiques. Huit jours de prise pour Loki, pour cinq kilogrammes un millilitre de cet antidote. De guérir, quatre-vingt-six pourcent de chance, c'est…, s’arrêta-t-il soudainement ; merveilleux. Il était tout sourire, parce que son médicament ne comprenait aucun risque pour l’animal, qui plus était, mais pourquoi ne semblait-elle pas heureuse de la nouvelle ? Il l’observa un court instant avant d’ouvrir de nouveau sa bouche : Joyce ?

    @Joyce Millett
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    Lien du postMar 7 Juin - 17:32
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    Tour de sa vie prise par un raz de marée, découpée par les vagues, le béton lui-même s'est écroulé pour laisser la nature reprendre ses droits. Joyce déconstruite qui a trop longtemps hanté les couloirs de sa vie plutôt que de les affronter. Il faut remonter les échafaudages, construire une charpente pour soutenir tout ce qui a été brisé et doit apprendre à se relever. Repousser les idées noires pour avancer, redevenir cette sirène souriante qui regardait le monde avec des yeux si grands, fascinés de voir toutes les couleurs qui existaient.
    Retrouver quelques part ces couleurs ternies.
    C'est pas facile tous les jours. Ca ne l'est pas quand elle repense aux derniers messages échangés avec Denzel. Ca ne l'est pas, non plus, le soir dans son lit, lorsque les pensées tournent trop vite dans sa tête. Ca ne l'est toujours pas à l'aquarium, quand elle regard le bassin des phoques qui a retrouvé ses animaux et qui pourtant aura pour l'éternité une impression de vide depuis que les cris de Loki ne s'y trouvent plus. Blanchon qui a poussé son dernier soupir entre elle et le marin - ça ne peut plus être son marin, il faut qu'elle apprenne à penser autrement -, blanchon qui s'est envolé. Au moins, là où il n'est, où que cela puisse bien être, il ne souffle plus. Sur la fin, sa respiration était devenue intolérable, insupportable, comme s'il pouvait expier à chaque seconde, ce qu'il avait d'ailleurs terminé par faire.

    Puis tout s'était enchaîné. Les examens, la fin de l'année, le bal avec Denzel qui ne s'était pas mal déroulé mais ne s'était pas aussi bien déroulé, cette conversation avec son ex - il fallait qu'elle apprenne à penser à lui ainsi - qui n'arrivait jamais et qu'elle avait fini par couper court. L'aquarium lui avait donné une semaine de vacances sous prétexte de compenser les heures supp qu'elle avait fait, mais surtout parce que tout le monde ici savait à quel point le décès de Loki l'avait touchée. Joyce ne savait pas vraiment si cette semaine loin des créatures marines lui avait véritablement fait du bien, mais au moins elle était revenue avec une détermination nouvelle.
    Même si passer devant le bassin qui avait repris vie sans lui était toujours délicat.

    Une serpillère à la main, elle s'occupe à nettoyer le vomi d'un enfant qui aurait mieux faire de manger un peu moins de gâteau au goûter d'anniversaire visiblement organisé avec ses amis. Juste devant le bassin sur lequel elle relève les yeux, pensive, se rappelant l'avoir vu nager comme d'autre dansent dans cette eau si translucide. Les deux autres petits blanchons ont l'air bien perdus désormais et elle se perd elle-même dans sa contemplation jusqu'à ce que son prénom la fasse sursauter. Une voix qu'elle connaît mais qu'elle n'arrive pas à remettre avant que la suite s'ancre dans son dos et qu'elle se retourne pour découvrir Jay.
    Elle est surprise de le retrouver là, ne s'y attendait pas après leur dernière rencontre à la cafétéria. Petit sourire alors qu'il ne lui laisse pas en placer une, s'emballant sur cette histoire de remède qu'il avait évoqué la dernière fois, la surprenant. Elle ne pensait pas qu'il irait jusqu'au bout, que c'était juste des mots en l'air, des mots comme ça pour la consoler. Et puis l'idée même avait glissé de la tête de la biologiste, ses pensées bien trop préoccupées pour s'en rappeler. Mais le voilà là, le remède miracle entre les pattes, ce qui devrait lui arracher un sourire, une joie certaine, et pourtant remue surtout les sentiments en elle. La joie qui devrait l'étreindre se tait et il finit par le remarquer, s'interrompant dans sa diatribe.
    Les mots sont encore difficiles et mettent un peu de temps à franchir ses lèvres, mais sont nécessaire et son menton ne tremble pas quand ils sortent.

    - Jay c'est... c'est trop tard. Loki est mort il y a environ un mois.

    Un soupire effleure ses lèvres et son regard se perd un instant avant de revenir vers lui. Elle n'imagine pas tout le temps qu'il a dû y consacrer et se sent désolée pour tout ça.

    - C'est trop tard pour lui, mais... il y aura sans doute d'autres Loki. D'autres malades... Tu devrais le présenter à d'autres aquariums, le cas pourrait se reproduire.

    Que la mort du blanchon n'ait pas servi à rien.
    Ji-hun HwangMembre de la Pforzheimer House
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    Lien du postJeu 9 Juin - 0:52
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    Il avait débité un nombre record de mots, sans une seule fois s’être trompé sur la diction. Si son accent et la déconstruction des phrases étaient restés intacts depuis, le discours aurait pu être applaudi, comme s’il l’avait répété inlassablement jusqu’à ce jour ; et ça avait été un peu le cas, à dire vrai. Devant lui, il avait une scientifique à convaincre, une biologiste spécialisée dans les espèces marines quand lui n’avait consacré ses années d’études qu’à l’Homme. Était-ce si différent ? Pas vraiment, car la façon de procéder restait identique, mais il n’était pas aisé de s’immiscer dans le domaine de prédilection d’un autre, - encore moins d’une femme comme Joyce, qui avait montré une part d’elle peu commode. Il avait eu beau remarqué l’air peu enjoué de sa vis-à-vis, il avait continué, jusqu’à presque se lasser de cette mine contrite quand il lui offrait là le moyen de mettre fin aux souffrances internes de Loki, ce phoque auquel elle tenait tant.

    Elle peina, énormément. Et même un jeune homme, aussi peu habitué à être confronté à ce genre d’émotions, tel que lui pouvait voir que quelque chose n’allait pas. Cette salive qui trouva difficile à se frayer un chemin, cet air déconfit qui prit possession de ses traits, à la fois triste et désolée, puis cette voix tremblante. L’annonce eut du mal à être comprise, Ji-hun fronça les sourcils. Ce ne fut qu’au moment où elle décida de se tourner vers la vitre qui enfermait les ex-camarades du pinnipède malade que le Nord-coréen osa avaler la pilule – et elle fut compliquée à passer. Aujourd’hui, elle lui annonçait qu’il avait échoué, et c’était bien la première fois de sa vie qu’il ne rendait pas un travail dans les délais impartis. Il baissa le regard sur l’allée, et secoua la tête en signe de désapprobation. Il ne pouvait pas en être ainsi, il le refusait, quand bien même la sentence ne pouvait être révoquée. Comment avait-il pu faillir ? Les autres soigneurs l’avaient pourtant rassuré.

    Et il ne sut vraiment quand le tutoiement s’était invité dans leur conversation, mais…C’était pour toi, réussit-il à articuler. Pas pour le phoque, ni aucun autre, juste pour elle et son sourire qu’il voulait retrouver accroché à ses lèvres. Il releva ses marrons sur elle, et se permit de parcourir ses rétines avant de sentir ses chairs épaisses grelotter d’impuissance. Désolé, je suis vraiment , fit-il, offrant ainsi ces condoléances qu’il s’était refusé d’admettre. Son excuse avait aussi un arrière-goût d’échec. Rester avec toi, j’aurais dû , s’en voulut-il d’avoir fait autrement, pensant que la laisser tranquille avait été la meilleure solution qu’il eut trouvée ; balivernes ! Il reporta son attention sur les fioles d’antidote. Un autre moyen, je vais trouver, affirma-t-il, fort convainquant, Joyce, te faire sourire, j’y arriverai. Convaincu. Ji-hun n'était pas le genre d'hommes à perdre sa détermination aussi facilement ; d'autres remèdes existaient bien.

    D’ordinaire, il aurait demandé simplement des données devant cette  nouvelle – comment, pourquoi,…- mais, à la place, plus que tout, à cette mission qu’il s’était donnée, il s’engageait. De moi, tu as peur, demanda-t-il subitement ; est-ce qu’elle le craignait, se sentait peu à l’aise à ses côtés ? Si c’était le cas, celle-ci serait l’unique raison pour laquelle il pourrait abandonner l’idée de lui faire retrouver cette part de bonheur. Les aiguilles de sa montre avançaient plus vite qu'il ne l'aurait pensé, et un coup d'oeil dessus lui rappela que d'autres obligations l'attendaient à la Luna Caffe. Elle ne le détestait pas, avait tout simplement mal interprété ses intentions, c'était ce qu'elle avait dit, pas vrai ? Quand... Devant une problématique, en travaux pratiques tu te retrouves... La sensation, tu sais, la questionna-t-il. Ces griffes que l'on posait sur le papier à la recherche de solutions, ces essais qui ne menaient pas toujours au bon résultat mais que l'on accumulait.

    C'est ça, un peu, tenta-t-il de décrire. On passait souvent par tous les états, mais atteindre le résultat était satisfaisant, à l'arrivée. Dans cette histoire, tous deux se retrouveraient gagnants.

    @Joyce Millett
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    Lien du postMar 14 Juin - 16:19
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    C'était pas juste un exercice. Pas un examen sur lequel on demandait de s'étendre à l'aide de formules chimiques et de calculs qu'on enchaînait les uns aux autres en espérant avoir le plus de points possibles. Pas juste une éprouvette qu'on devait analyser sous un microscope. Un article à écrire pour une revue scientifique. Non c'était bien différent, c'était la vie et sa fulgurance, le maintenant, le tout de suite. Il fallait agir directement, se lancer dans le banc de poisson sans trop réfléchir, ne pas se laisser entraîner par le courant. C'était le vivant, l'essence même de la biologie, et le vivant ça mourait. Le vivant ça mourait trop vite et Loki faisait désormais partie de cette catégorie. Il fallait s'avouer cette vérité, rien n'était un jeu et pourtant tout les avait vaincus.
    La gorge de Joyce se serre, mais elle vainc les larmes ; elle a assez gorgé de sel son coussin pour les années à venir et une certaine fierté réside toujours. Ne pas trop s'épancher alors qu'elle écoute d'une oreille presque distraite les condoléances de celui qui est arrivé vers elle, si heureux, avec un remède qui vient trop tard.

    – Tu pouvais pas deviner que les choses iraient aussi vite, c'est déjà gentil d'avoir passé tout ce temps là-dessus, tu avais sûrement d'autres choses à faire.

    Malgré les circonstances, le geste la touchait. Elle n'en connaissait pas beaucoup des personnes prêtes à sacrifier un bout de leur temps pour sauver un phoque, ou un sourire, quelles qu'aient été les intentions de Jay tout au long de ses recherches. Et elle le pensait sincèrement quand elle disait qu'un autre phoque, ou autre mammifère marin, pourrait un jour en avoir besoin. Ça pourrait sauver d'autres vies, que l'histoire de Loki ne fasse pas simplement flop avant d'être enterrée par les vagues. Que tout soit ne soit pas inutile, que ça puisse rimer à quelque chose.
    Elle reporte son regard sur lui, un sourire triste étirant ses lèvres. Elle n'avait pas été totalement seule au moment où le blanchon avait poussé son dernier souffle – difficile souffle que cela avait d'ailleurs été, au moins la souffrance était partie en même temps que lui. Au moins, Denzel avait été là, son phare dans la tempête, quelqu'un à qui se rattraper même si… même si c'était compliqué, flou, insupportablement pas résolu comme histoire. Mais différent. Et malgré tout ce qui s'était déroulé entre eux, il était arrivé au bon moment, comme si Loki l'avait attendu, comme s'il avait désiré mourir auprès de ces deux êtres qui lui avaient appris à nager. Pour les rassembler une ultime fois ? Elle n'avait pas les pensées assez claires pour démêler tout ça.
    Les mots de Jay l'en extirpe cependant et elle le regarde surprise. Peur ? Non, il était plutôt arrivé dans un mauvais moment de sa vie, avait débarqué quand la joie désertait son visage, mais de là à la faire basculer dans la peur… Il y avait d'autres choses qui l'effrayait pourtant : les araignées, les silhouettes trop imposantes qu'elle croisait dans des ruelles trop obscures en rentrant la nuit, le feu, l'idée que sa mère vive la même chose que sa grand-mère. Mais lui ? Non, vraiment pas, tout juste l'intriguait-il un peu avec cet intérêt surprenant pour son sourire.
    Mais elle n'a pas le temps de répondre, tout juste de secouer négativement la tête, que déjà il continue, lui expliquant qu'il les voit presque comme une problématique, elle et son sourire. Joyce passée au microscope, ça pourrait presque la faire rire si elle ne se tenait pas dans ce lieu encore trop brûlant de drame pour elle – elle aurait l'impression de trahir Loki en s'amusant dans un endroit pareil.

    – Tu me vois… comme une expérience ?

    Curieuse manière d'imaginer quelqu'un.

    – Et non, tu ne me fais pas peur. Vraiment pas.
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    Lien du postMar 14 Juin - 23:57
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    Là, il aurait peut-être dû l’être auprès du phoque, lui aussi, histoire de garder un œil sur les paramètres enregistrées par les soigneurs, et les résultats des diverses analyses, plutôt que de se laisser berner par l’un des employés qui avait trouvé plus rassurant de mentir sur les données que de lui dire la vérité. Il aurait dû rester avec elle, non pas pour l’accompagner dans la douleur mais pour s’assurer que les éléments n’allaient pas piétiner les vingt pourcent d’espoir sur lesquels ils avaient pu compter. Elle aurait dû être la tendresse et l’empathie, et lui la force et l’optimisme. Deux individus qui auraient dû se rallier plutôt que faire expérience à part ; le pinnipède en avait subi les conséquences et Ji-hun se sentait complètement démuni devant cette finalité. Il avait vu des êtres vivants mourir, mais cette mort avait un goût amer – et ça n’avait rien à voir avec l’antidote qu’il tenait encore fermement de ses doigts.

    D’autres choses à faire ? Ça avait été à ce moment-là qu’il avait décidé de lâcher davantage de détermination, en jurant de trouver une toute autre façon de lui rendre cette joie qu’elle avait laissée exploser face à Loki. Il lui avait dit, et le répéterait sans se lasser si besoin était, mais : rien ni personne ne pouvait prendre son sourire, parce qu’elle était plus jolie lorsqu’elle l’arborait sur ses lèvres ; parce que ça rendait heureux de savoir que les autres l’étaient. Et cette manière de vivre pouvait en surprendre plus d’un, et on savait que les différences pouvaient parfois faire peur. Alors il avait préféré décrire ce qui l’animait avant de lui demander si sa présence l'incommodait. Le défi de ma vie, c’est la santé des autres, lâcha-t-il tout simplement avant d’oser lui adresser un faible sourire. La santé, c’était vague. Elle pouvait être mentale, physique, et passait par la connexion de l’esprit au corps, ce qu’on pouvait globalement appeler « bien-être ».

    Expliquer pourquoi, c’est complexe, détourna t’il pour la première fois son regard, parce qu’il n’avait pas travaillé cette partie de la conversation, cherchait encore ses mots après toutes ces nuits de travaux acharnés, autant linguistique que scientifique. Même si elle avait été la personne la plus compréhensive du monde, Joyce n’était pas prête à entendre parler de sa société et du citoyen  endoctriné qu’il avait été/était toujours quelque part, pour avoir gardé quelques lignes d’éducation à la Juche. C’était simple : à l’heure d’aujourd’hui, il ne s’était ouvert qu’au mentor de l’association qui l’avait sauvée d’un aller simple pour la Corée du Sud où ses pleines capacités n’auraient pas été reconnues à leur juste valeur. Il n’était pas volontaire à divulguer son histoire à davantage de gens. Il voulait rester Ji-hun, l’étudiant étranger doué en sciences qui possédait un accent charmant, et pas être décrit comme le réfugié nord-coréen.

    Si tu as besoin…, laissa-t-il en suspens avant de reporter son attention sur la jeune femme aux cheveux ternes. Il secoua la tête avant de reprendre : ici, souvent, vous dites ça. Mais pour le penser, il n’y a que peu de personnes… Combien de fois avait-il eu l’occasion d’entendre ces quatre mots de la bouche d’individus ? Ils étaient censés représenter le soutien, la présence et la disponibilité, mais de ses observations il avait constaté que ça n’avait jamais tenu vraiment. Dans le département de littérature, j’étudie tous les jours, et le midi, au réfectoire je mange, l’informa-t-il, me retrouver là-bas, tu pourras, quand tu auras besoin. Quand, plutôt que si. La supposition n’était pas la bienvenue ici, puisqu’il la savait d’ores et déjà traverser une période difficile. Je suis sincère , voulut-il être certain qu’elle puisse le croire et ne prenne ceci pour une phrase toute trouvée, toute faite, qu’il avait lâché pour faire bien.

    Pour ça , relèva-t-il les fioles, beaucoup trop strictes elles sont, vos réglementations sanitaires. D’établissement animalier, aucun n’en voudra. Elle était au courant autant que lui que les chances qu’il puisse aider d’autres blanchons restaient minces – quasi inexistantes. Mais regrets, jamais je ne ressentirai , affirma-t-il avant de continuer, aujourd’hui, compter sur d’autres, tu sais que tu peux, pas vrai ? Il n’était pas obligatoire de s’accrocher aux vieux rochers, ceux en formation pouvaient avoir une force tout aussi puissante, si ce n’était plus. Du nouveau, elle en avait besoin. Elle devait prendre de l’élan, pour se détacher des socles vétustes sur lesquelles elle était restée clouée. Qui m’attend, j’ai du travail, finit-il par s’excuser en rangeant le paquet qui renfermait le remède, qu’on se croise, ce n'est pas la dernière fois. Il pouvait lui en faire la promesse. Il tendit sa main, de façon à ce qu’ils puissent repartir sur de bonnes bases.

    Elle et lui, d’une certaine manière, pour une raison ou une autre, étaient faits pour collaborer. Ma mission terminée, te laisser tranquille, je le ferai, dit-il en serrant la main de sa comparse scientifique, c’est ma parole. Et il avait déjà prouvé qu’il n’en avait qu’une…

    @Joyce Millett
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    Lien du postLun 20 Juin - 12:46
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    La biologie établissait clairement les choses : le vivant vivait, puis mourrait. Destin de tous, que ce soit la plus petite forme unicellulaire à l'amas complexe d'un mammifère comme Loki. Il y avait une fin, comme un cycle, rien jamais n'était éternel, probablement pas même l'univers, rien ne pouvait déroger à cette règle, à ces états. Des faits auxquels il fallait bien se plier, qu'il fallait bien accepter. Sur le papier après tout, ce n'était pas différent de l'orbite d'une planète ou de la force exercée par la gravité. Personne n'était ému par de l'eau gelée après tout, ça aussi ça restait un état de la matière. Pourtant, il y avait quelque chose de bien plus émotionnel lié à la mort, de difficilement explicable ou compréhensible. Bouleversement de leur réalité, parce qu'ils savaient que tout, y compris leur propre vie, leurs propres pensées, tendaient à ça. Alors ils se donnaient des buts, des choses à atteindre, des distraction pour détourner leur attention, jusqu'au jour où la mort réapparaissait, intransigeante, emportant des êtres chers pour rappeler à ceux qui les entouraient leur propre mortalité, la fragilité de la vie et des liens qui les unissaient aux autres.
    Le but de Jay, c'est les autres, le bien-être plus exactement, une santé à laquelle il dédie ses études, mais également d'autres de ses moments comme le prouve sa présence à l'aquarium. Pas si inhabituel, dans le fond, combien font le choix de se sacrifier pour les autres ? Les médecins, les pompiers, les enseignants… de manière générale tout ce qui touchait à la santé et au social. Mais quand on y réfléchissait bien, la culture aussi cherchait à faire sourire les gens, et il fallait bien des agriculteurs pour nourrir la population, des personnes pour transformer tout ça et d'autres pour le transmettre. Société construite en équilibre sur ces notions de bonheur et de partage, simplement que certains n'en avaient plus conscience, que ça c'était noyé dans autre chose, un certain individualisme remué par le capitalisme. On en oubliait parfois les raisons de son travail, de ses passions, ne restait plus que l'égoïsme d'avoir un salaire à la fin du mois pour se procurer la certitude d'avoir un toit au-dessus de la tête. Les États-Unis étaient-elles trop narcissiques ? Centrée sur elle-même à ne plus voir les voisins, à ne pas oser relever leur souffrance pour ne pas vouloir perdre du temps à les aider ? Peut-être bien, mais ce n'est sûrement pas le lieu pour dérouler de telles idées. Parce que Joyce aussi est un peu égoïste et qu'elle a plus envie de laisser vivre son deuil et de découvrir cet homme qui a tant souhaité l'aider sans rien attendre en retour, que de se lancer dans de grands débats philosophiques.

    – D'a... d'accord.

    Elle n'a pas la force de creuser plus, pas l'énergie aujourd'hui, et se contente d'un simple sourire.

    – Tu as bien choisi tes études, alors.

    Plein de médicaments à découvrir pour pallier aux malheurs du monde, un véritable but et pas un simple intérêt pour tout ça. Sinon comment pouvait bien naître la passion ? Il fallait toujours viser une finalité, comme la vie, finalement, qui un jour atteignait la mort. Pour donner du sens, essayer en tout cas.
    Lorsqu'il reprend la parole pour lui dire qu'il serait présent au besoin, elle a envie de le croire et inscrit machinalement dans sa mémoire les informations ; sa présence au réfectoire le midi, puis à la bibliothèque qu'elle connaît bien pour y avoir passé une bonne partie du semestre. Elle n'est pas sûre d'avoir le temps d'y passer cet été, beaucoup de choses encore sur l'huile, mais Joyce ne doute pas qu'au besoin, elle saura retrouver l'inconnu. Harvard n'est pas si grande après tout, et quelque chose lui souffle qu'elle pourrait bien le croiser dans les laboratoires après la rentrée.

    Dernier regard qui s'accroche aux fioles, celles qui apparemment ne peuvent pas servir. Elle aimerait avoir la force de se battre Joyce, affirmer que tout ce travail n'a pas été fait pour rien, qu'elle peut l'aider à passer les réglementation, à essayer de trouver des tests pour que ça puisse marcher, être utilisé ailleurs, pas que Loki ne devienne deux, dix, cent dans les aquariums autour du monde. Mais l'énergie lui manque une fois de plus et elle laisse passer la chance, se contentant de l'écouter en hochant la tête avant qu'il ne fasse une esquisse de départ, lui annonçant qu'il soit aller bosser – et elle devrait d'ailleurs y retourner car les poissons ne vont pas se nourrir tout seul.
    Mais le départ ne s'amorce pas tout de suite, il préfère d'abord lui offrir une phrase, comme une promesse, qui fait presque rire la biologiste marine. Imaginer être une mission, le but de la quête de Jay, Jay Bond, agent 007. C'est plutôt rigolo, et elle veut bien l'accepter ; après tout il faut savoir remettre des couleurs dans sa vie, la tristesse ne peut pas durer toujours. Ça fait trop longtemps qu'elle se laisse abattre, depuis sa séparation avec Denzel plus rien ne va et un jour, il faut apprendre à se relever. Même les bateaux ne dérivent pas pour toujours : soit ils coulent au fond de l'océan, soit ils retrouvent la Terre. À elle de faire le bon choix.

    – Ça marche, dit-elle en serrant sa main.

    Dernier sourire qu'elle lui laisse avant de reculer de quelques pas, agitant sa main en guise d'au revoir.

    – Travaille bien. Et à bientôt, Jay.
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