« Tu ne regrettes pas le baiser ? Parfait. » C’était une bonne chose à savoir et je continuais de laisser mes mains la masser. Je ne contrôlais pas mes gestes car j’aimais voir la réaction de sa peau quand je lui mets de l’huile sur son dos...Je continue quelques instants quand je ne l’entends plus parler et ce n’est pas quelque chose d’habituelle donc je m’inquiète rapidement, mais j’ai une arme pour la réveiller. Je dépose plusieurs baisers sur le haut de son dos avant de l’entendre me parler et je riais doucement. « Pourtant tu m’as dis que je massais bien donc tu aurais pu t’endormir...» Elle tourne légèrement sa tête vers la mienne et je laisse mes yeux se poser sur ses lèvres avant de passer délicatement ma langue sur les miennes. Elle frissonne à nouveau et doucement j’avance ma tête vers la sienne avant de lui déposer un tendre baiser tout en le prolongeant avec envie. Quelques instants après je recule de quelques centimètres tout en chuchotant. « Tu vois pas besoin de perdre pour un baiser de ma part...» Et je confirme qu’elle embrasse bien, la preuve est que j’en redemande encore mais silencieusement puisque je veux qu'elle agisse à son tour.

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❝ Peach vs Mario ❞
AMBRE & @NICOLAS DE LUXEMBOURG

Un baiser, puis deux et Ambre ne peut plus se contenter d'un massage. Elle attrape le premier coussin qui lui passe sous la main, se retourne pour faire face à Nicolas et plaque le coussin sur sa poitrine pour qu'il n'ait pas une vue plongeante dessus. Elle reste timide et pudique la petite, il ne pourra pas faire tomber toutes ses barrières en un claquement de doigt. Ses yeux trouvent ceux du jeune homme, elle sourit en y lisant la même envie qu'elle ressent, le désir qui revient. Elle mordille sa lèvre inférieure puis glisse les mains sous son tee shirt tout en lui disant : « On n'est pas à égalité si tu gardes ce tee shirt ! » Lorsqu'il le fait passer au dessus de sa tête elle attrape un de ses bras pour qu'il s'approche, et qu'elle l'embrasse assez sagement d'abord avant d'être prise par un élément de fougue, sa langue plus avide que jamais de trouver celle de Nico, de le sentir près d'elle, tout en gardant cette distance grâce au coussin. Il doit la maudire, ou la trouver ridicule, au choix, mais elle s'en fiche, s'il la veut, il a prend comme elle est. Avant même qu'il commence quoi que ce soit, elle lui glisse à l'oreille tout en lui mordillant : « Si tu comptes me laisser sur ma faim encore une fois, arrête tout de suite... » Pas de message pour lui signifier qu'elle est prête, qu'elle a ce besoin au creux de son ventre, ce désir qui a besoin d'être nourri, libéré.