Je suis absorbé par Zeus. Jusqu’à ce moment. Moment où j’entends un raclement de gorge. Je vois cette fille. Enfin cette chose. Autant être honnête. Elle est tout sauf belle comme ça. Mais je soupire. Je dois l’écouter en plus ? Je ne suis pas payé pour ça moi. Je pince légèrement mes lèvres. J’hoche la tête. Et il va te servir à payer pour l’association ton carnet ? Je fronce légèrement les sourcils. Je la regarde. Je penche même la tête sur le côté. Et j’ajoute. Sinon, il sert à rien ton carnet ma pauvre. Je tourne les yeux vers Zeus qui me regarde. Je soupire. Je regarde cette fille néanmoins avant de terminer par lui chuchoter. Evitons de déclencher une guerre. Tu devrais essayer les vêtements plus confortable et moins voyant la prochaine fois. Parce qu’à part les clochards, sauf peut-être les bons samaritains de ploucs rouges, tout gentils et bisounours, tu risques d’avoir du mal à te faire des amis. Je tourne les yeux vers mon meilleur ami face à moi. Il regarde Cléolya et même Maxine. Ils doivent être en pleine discussion.

@Abelard Z. De Belgique-S. @BAE-KIM JEONG[/color]

Putain, il est violent le mec (Franklin), est-ce qu'ils sont tous comme ça à la Eliot house ? Parce que ce serait chaud sinon. La belle croquait dans sa pomme pendant qu'il déblatérait ses innombrables critiques. Elle levait les yeux au ciel et faisait semblant de bâiller. Mais avec tout ça, elle gardait le sourire uniquement pour le narguer un peu. Quand il eut terminé, elle lâcha un soupir avant de finalement répondre. « Ce carnet, c'est la Death Note. Le carnet de la justice ! » La demoiselle gardait son sérieux bien qu'elle savait que ce jeune homme allait vite perdre patience. D'ailleurs, elle était bien curieuse de savoir combien de temps il pourrait tenir. « Notre monde est pourri. Beaucoup d'hommes le sont. Ceux-là méritent de mourir. Et si je voulais, je pourrais te renvoyer à la terre parce que t'es pourri toi aussi ! » Elle connait Death Note par cœur tout comme les citations du grand Yagami Raito. « Grâce à ce carnet, le monde va découvrir qu'il y a quelqu'un qui est là pour appliquer la sentence de la justice ! » Bae y allait à fond, elle s'amusait même de la situation. Elle cherchait à titiller la petite bête. « L'ange de la mort n'a pas besoin d'amis ! » Et elle tapote doucement l'épaule du garçon, le sourire béat et un tantinet provocateur.

Ce n'était pas un endroit pour moi, mais petit à petit, je m'habituais - presque - à être présente pour des œuvres caritatives. Je n'étais pas méchante et ça me tenait à cœur, déjà avant, mais c'était plus simple pour moi de faire un gros chèque, plutôt que d'être présente à ce genre d’événement. Maxine, m'avait piégé une fois, mais j'étais presque prête à recommencer de moi-même tellement le voyage et l'échange humain avait été intéressant, cependant, j'avais cette fâcheuse tendance à me mettre dans mon coin, pour être sûre de ne croiser personne de malade. Je répondais à l'étreinte de la belle quincy, lui adressant mon plus beau sourire.

« Ne le dis à personne, mais je suis presque contente d'être là aussi. » Que je soufflais après m'être approché d'elle presque gênée de ma réponse.

Et tout devait se passer comme on l'avait prévu, en dégustant des petits gâteaux, en échangeant avec les personnes présente, mais je croisais au loin le visage d'Hadès. Il était partout lui... Et qui disait Hadès, disait aussi Abélard, ce traître. Il arrivait vers nous la bouche en cœur, presque fière de venir vers moi. Depuis quand on était ami lui et moi ? La jolie brune, montrait les crocs et j'étais plus que fière d'elle. L'oisillon prenait son envol et comme une grande, alors je reculais, le sourire aux lèvres, appréciant cette scène sous tous les angles.

« Tu l'as entendu, on est venue ensemble, donc tu vois personne ne m'a forcé. » Que je soufflais amusée. « Cons et Gay ? Pourtant, c'est lui qu'est tout le temps scotché à toi, on devrait plutôt s'poser des questions sur vous les mecs. »

Et en fait, ils commençaient sérieusement à me pomper l'air ces deux-là. Déjà, parce que j'avais envie d'être là, ensuite parce qu'il manquait cruellement de respect à Elliot et troisièmement, je n'aimais pas le regard qu'ils posaient sur Maxine.

Très bien cette fille était perchée. Au moins c’est clair. Elle veut faire son délire. Délire trop énorme d’ailleurs. La drogue faudrait arrêter. C’est tout ce que j’ai à dire. Je soupire doucement. Je l’écoute. En entier. Jusqu’à la fin. J’ajoute finalement. La prochaine fois que tu fumes, fais tourner à tes potes Mathers, ça t’évitera une honte interminable et ma perte de temps. Et finalement. Je tourne les yeux vers Cléolya et Zeus. Ils sont en train de se disputer. Ou juste de péter un câble. Tous les deux ensembles. Je soupire. Finalement l’autre tarée. Elle était peut-être plus intéressant. Mais même ça c’était nul. Je soupire. Bah écoute, nous sommes gays et fiers ça te dérange ? Tu as un problème contre les gays ? Perso j’ai aucun problème. Je vais aller le voir d’ailleurs ton mec. Je vais lui faire des avances. Ça sera cool. On verra si ils les portent réellement Je décide de sourire. Elle va sa princesse de rien. Elle n’est rien en fait. Donc autant la remettre à sa place. Je décide de bousculer la personne dérangée au cerveau. Juste par la même occasion. J’en avais marre. Donc je faisais le gamin. J’ai le droit. J’ai tous les droits du monde. Et je regarde Zeus avant de rire. Oui je vais parler au petit peuple. Soit pas choqué. Faut bien les introduire un jour. Je suis d’humeur exécrable. Ce n’est pas ma faute. Toute cette histoire m’a soulé. D'habitude je suis le plus calme. Mais pas cette fois.

@Cléolya A. Strauss @Bae-Kim Jeong @Abelard Z. De Belgique-S.

Faut croire qu'elle vivait dans son monde de bisounours la petite Bae-Kim. À croire que tout le monde a un bon fond, mais en fait, il y avait bel et bien des tyrans. Des pourritures et c'était vraiment dommage de se comporter ainsi. Quand on meurt, ce sont nos actions qu'on prend avec nous et rien d'autre. Elle ne comprenait pas qu'il puisse y avoir d'aussi mauvaises personnes. Anyway, elle écoute une nouvelle fois ce jeune homme (Franklin) en laissant un rire lui échapper. « Je ne suis pas mather ! Et sois certain que ton nom sera gravé dans ce carnet. » Fit-elle en claquant sa langue contre son palais. Elle assistait ensuite à une dispute entre la jeune femme qu'elle voyait aux bras d'Elliot (Cléolya) et ce jeune homme qu'elle venait d'importuner. Tout ça est ridicule. Encore plus ridicule lorsque l'eliot fait exprès de la bousculer. Bae se tourne face à lui avant de balancer. « Tes parents auraient dû t'appeler grincheux ! Souris un peu ! » Hausse-t-elle de la voix pour lui faire parvenir ses mots. Secouant la tête, le sourire quand même satisfait, elle plaque le carnet contre sa poitrine, curieuse de voir comment les évènements vont se dérouler, parce qu'il y a clairement de l'huile sur le feu.

T'es franchement pas dans ton élément entre la bouffe pour pauvres et les dons. Franchement tu donnes assez dans l'année aux bonnes oeuvres pour qu'on t'épargne la misère du monde. Tu regardes autour de toi les gens. Harper qui fait un donc tu comprends pas franchement mais pourquoi pas. Zeph qui est faché contre toi alors que ça devrait être l'inverse. T'agresse verbalement une fille qui vient habillée en kangourou Janessa qui veut faire des free hugs comme disent les autres. Tu la regardes avant de la repousser et Harp fait pareil elle a bien raison. Tu la regardes Ils sont tarés ici qui fait ça? pas toi en tous cas. tu regardes Janessa même pas pour un bizutage va voir ailleurs. même pas pour rien du tous ca te dégoute c'est tous. Tu finis par aller chercher Cleolya qui est avec une fille dont tu ne connais pas le nom même si elle a des airs de ressemblance avec quelqu'un que t'apprécie, Agathe. Tu l'ignores et tu tires Cléolya vers toi tel un preux chevalier venant a sa rescousse. La naine qui lui sert d'amie se met a la tirer vers elle et tu la regardes Le jardin d'enfant c'est plus loin si tu laissais les grandes personnes parler. elle est pas si petite mais elle a une tête d'enfant et t'es tranchant. Tu l'entends Zeph ? Non mais franchement ou va le monde. oui c'est franchement plus ce que c'était. Zeph prend ca avec humour et tu le regardes alors qu'il se barre un peu plus loin. C'est alors que Cléo décide de faire sa "rebellion" C'est vrai que t'as l'aire fort à l'aise au milieu des ploucs. et ton meilleur ami prend une nouvelle fois le pic avec plus de légèreté que toi. Tu la regardes Aller tu peux disposez reste avec les autres. si elle veut rester avec les autres et se choper la gale. Une fille bizarre Bae Kim arrive avec un cahier et Zeph la remet en place. Il y a franchement des gens bons a enfermé. que tu reprends en la regardant avec dégout et un air pas assuré. L'asile est partout apparemment. T'ajustes ta cravate et tu finis par reprendre Oh regarde il y a tous nos amis les gays par là bas. Comme si ils avaient de quoi donner. oui des sportifs mais malheureusement rien dans la tête.

@Harper eleanor f. Kennedy @Franklin z. de spoelberch @Bae-Kim Jeong @Maxine Thomspers @Janessa Dickens @Cléolya A. Strauss

Regard sur Zeus. Regard intense sur Zeus. Il fait l’homme. J’adore. Mais quel homme. Quelle prestation. J’en suis totalement amoureux. Enfin de sa prestation. N’exagérons rien. Je souris. Il m’interpelle. Il fait attention à moi. J’en suis tout à fait heureux. Et cela me permet même de hocher la tête. Mais bon. Encore une fois. Cette fille continue de te faire. Je fronce les sourcils. Je devrais noter ton prénom. Ca ira plus vite comme ça. Mais bien sur. Une death note. Et le pire dans tout ça. Elle y est crue. Taré ses Mathers. Je commence à regarder Zeus qui indique sa remarque. J’acquiesce ces paroles. Et il ne restera plus que toi et moi. Ca va être long si on fait ça. Je le taquine. Je souris même. Mais sa remarque sur les rouges gays te fait rire. Alors lui. J’en prends note. J’avais eu envie de les voir. Juste pour parler argent. Ce qu’il n’avait pas. Mais ça sera compliqué avec eux. Leur gay attitude pue à des kilomètres. Je n’ai pas envie d’être malade après moi. Mais. Je regarde Zeus avant de soupirer. Bon. Si on se trouvait un truc plus intéressant à faire. J’avais payé. J’avais donné. J’avais ri. Je m’étais fait emmerder. Je peux m’amuser maintenant non ?

@Abelard Z. de Belgique-S. @Bae-Kim Jeong @Cléolya A. Strauss

« Promis, ton secret est bien gardé ! » promet-elle à son amie en lui faisant un clin d'oeil. Mais malheureusement, elles furent interrompues. Maxine voyait rouge. Intérieurement. Mais elle gardait toujours son sourire. Toujours garder son sourire même si vos interlocuteurs étaient profondément débiles. Alors que l'ami d'Abelard reprit la parole, la jeune femme se mit à bailler instantanément et l'ignora tout bonnement. Ses paroles étaient contradictoires et elle n'avait pas envie de faire remarquer à cet homme qu'il ne disait que des bêtises. À ce stade, il n'y avait rien à faire plus lui. Cléolya prit la peine de lui répondre, et leur ami commun ne fit, encore, que dire des bêtises plus illogiques les unes que les autres. Puis Abelard rouvrit sa bouche, ce qui fit rire Maxine. Bah voyons, elle pensait que la répartie d'Abelard allait relever le niveau. Eh bien, non ! « Si être une grande personne signifie être pathétique, méchant et fermé d'esprit, alors je suis ravie de ne pas en être une, Votre Majesté. Je ne peux pas croire que ma soeur s'est trompée à votre sujet, pas à ce point. » dit-elle en exagérant sa réaction. Sa soeur jumelle lui avait déjà parlé d'Abelard mais pas en ces termes. Il ne la connaissait pas ? Qu'importe. A Harvard, il n'était qu'un prince de Belgique. Il n'était connu que pour son argent. Maxine était connue pour son travail, pour avoir été présidente de la Cabot House et vice-présidente de la Quincy House. Maxine était plus influente que beaucoup de membres de la Eliot à Harvard, sûrement plus riche que beaucoup d'entre eux. Elle était fière d'elle, d'être connue autrement que par son argent. Elle était fière de ne pas être comme ces deux amis qui pétaient plus hauts que leur cul. Elle était fière, parce qu'elle savait qu'elle avait bien plus de valeur qu'eux deux réunis. « Complaisez-vous dans votre mépris, si ça peut vous rendre heureux. C'est bien dommage d'en être réduit à insulter de gays les membres de la Winthrop House parce que vous ne supportez pas qu'ils sont meilleurs que vous. » termina-t-elle avec un rire non dissimulé. Et puis, un membre de la confrérie d'Elias (Ernesto) vint à leur rencontre. Là, Maxine était en admiration. Elle ne savait pas qui était cet homme mais elle l'aimait déjà. Elle se fit clairement discrète, appréciant bien trop le nouveau spectacle qui se déroulait sous ses yeux.