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I LOVE HARVARD
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    Family moment. PV
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    Lien du postLun 2 Jan 2017 - 23:38
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    « A vos ordres madame Maconahey » murmura-t-il avec un sourire séducteur avant qu’elle ne vienne le cueillir de ses lèvres. Dieu qu’il aimait l’embrasser. Summer l’avait rendu totalement accro à elle, c’était hallucinant comme en l’espace d’un an, elle était devenue le centre névralgique de sa vie -putain, il pensait de manière imagée ce soir. Puis, la quittant à regret, il essaya de l’habiller au plus vite histoire de quitter l’appartement rapidement et de pouvoir l’entrainer ailleurs pour de très longues minutes mais sa femme ne semblait pas pressée. Voilà qu’elle souhaitait prendre les deux Maconahey restant, en photo. « Moi c’est toi qu’il faut que je prenne » grommela-t-il dans sa barbe qu’Ashlynn se faisait une joie de tirer de ses petits doigts. Néanmoins, il joua le jeu, s’écriant « poupée » le moment venu pour mieux observer d’un œil attendri, la photo de famille qu’elle venait de prendre. « On demandera à maman de nous prendre tous les trois en photo » décréta-t-il car hors de question que de ne pas immortaliser leur petit trio -car après, il espérait ardemment qu’il formerait un quatuor. « Allez, let’s go ! » s’écria-t-il et les voilà partis pour rejoindre la maison de Grace.

    Vingt minutes plus tard, Matthew leur ouvrait et Paris continua de jouer les parfaits gentlemen, saluant ses frères et sœurs ainsi que John qui, visiblement, était également de la fête. « Vous allez avoir une sacrée surprise » pouffa son petit frère mais sur le coup, le Dunster s’en foutait royalement. « Salut maman, salut John ! Fleur pour toi, poignée de main pour toi » dit-il rapidement en attrapant l’énorme bouquet des bras de sa femme pour le coller dans ceux de sa mère puis, il serra la main de son beau-père. « Summer a un petit problème avec sa robe, on revient… c’est qu’il faut que tout soit parfait pour ce soir » dit-il en se tournant vers sa femme pour la soulever de terre en enroulant un bras autour de sa taille et la conduire dans la chambre de sa mère où une fois la porte fermée, il se jetait sur ses lèvres. « Putain, j’ai cru qu’on y arriverait jamais » s’exclama-t-il dans un chuchotement avant de l’embrasser à nouveau. « Désolée bébé, tu paraderas très vite dans ta sublime robe mais là tu vois, j’ai envie de te montrer combien tu es magnifique à mes yeux… Une objection à ça ? »



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    Lien du postMar 3 Jan 2017 - 14:16
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    La présence de mon père sur les lieux n’était pas vraiment une surprise. En fait, il était venus nous voir quelques semaines plus tôt pour nous annoncer qu’il n’était toujours pas décidé à faire la paix avec ma mère et que, pour la première fois de sa vie, il ne ferait pas Noël avec sa femme et ses enfants. Enfin avec les 3 autres enfants. Je ne vous raconte pas le bordel pour aller calmer les esprits de tout le monde par téléphone. Ma première sœur, je vous passe les détails ; mon frère lui, se demandait si cela lui permettait de pouvoir enfin passer noël avec son mec, et… et ma petite sœur ? Elle avait juste eu l’idée de me supplier de venir la chercher, et de ne pas la laisser avec maman. J’avais dû demander à ma fratrie de ne pas être aussi égoïste que papa, et de rester avec maman pour les fêtes parce qu’elle allait en avoir besoin. Forcément, chacun m’avait pensé shooté ou bourrée ce jour-là, car jamais je n’avais pris la défense de ma mère…

    Donc, mon père semblait ravi de passer les fêtes chez les Maconahey et dans un sens, je ne pouvais pas lui en tenir rigueur. Je l’aimais si fort que l’idée de l’avoir à mes côtés pour le réveillon me faisait plaisir, et ce même si j’avais envie de le traiter d’égoïste pour ce qu’il faisait…en même temps, n’avait-il pas le droit de l’être un peu ?

    Je divaguais un peu sur ce sujet intérieurement quand, je sentais Paris me pressé à côté de lui, s’emparant du bouquet de fleur pour le tendre à Grace ; puis saluer mon père à la hâte sans me laisser vraiment le temps d’en faire de même. Je me laissais tirer par le bras, avec un air de « désolée, j’y suis pour rien.. » à l’attention de toute la famille. Puis une fois dans la chambre de Grace, je me mettais à rire « Ma parole tu es complètement dingue ! » Cependant, je profitais de notre proximité, pour entourer le cou de mon homme de mes bras avant de me laisser entrainer dans un baiser sulfureux. Bon bah là c’est sûr, la robe avait fait de l’effet. Et pour être honnête, je pouvais clairement dire que son costume aussi. Je reprenais mon souffle après notre premier baiser échanger, et l’écoutais me demander si j’avais une objection quant au fait qu’il allait me faire ma fête avant tout autre chose. Mon regard trahissait déjà ma réponse : mes pupilles se dilataient à tel point qu’il ne donnait plus l’impression d’être d’un bleu Crystal, mais plutôt noir profond, et je me mordais le coin de la lèvre inférieure avant de lui dire dans un souffle « Je n’ai qu’une condition à faire valoir ! » déclarais-je avant d’implorer Paris dans un baiser tout aussi fougueux que le premier, mes mots s’étouffant à moitié contre nos lèvres scellés « Je t’en supplie, ne déchire pas ma petite culotte, pour CETTE FOIS ! J’y tiens réellement à celle-là, et on a un dîner de famille respectable à assurer derrière ! » Mes mains lâchais le cou de Paris pour venir s’agripper au col de sa chemise d’abord – pour l’attirer un peu plus à moi et approfondir le baiser – puis très vite, elles descendirent sur son torse pour chercher nerveusement les boutons de son gilet qui couvrait sa belle chemise blanche. Je n’avais qu’une hâte : la lui retirer et le découvrir également de sa chemise pour venir toucher sa peau brulante




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    Lien du postMar 3 Jan 2017 - 17:53
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    Paris n’était pas romantique. Summer le savait, tout le monde le savait. Il ne savait également pas se tenir et encore moins en présence de sa famille. Grace les avait même regardé partir avant de donner 20$ à sa petite fille Danika qui avait parié sur les chances que son frère ne tienne pas la soirée avant de vouloir faire un câlin à sa femme. Bon, la petite était un peu naïve concernant la nature du câlin mais ce n’était qu’un détail. « Dingue de toi oui, ça c’est sûr » murmura-t-il contre ses lèvres qu’il capturait sous les siennes dans des baisers tous plus passionnés les uns que les autres. Summer n’était pas en reste, réclamant ces fameux baisers alors qu’il la plaquait un peu plus contre le mur. « Une condition ? » grogna-t-il dans l’espoir de la dissuader de refuser ou de marchander avec lui mais quand elle lui exposa celle-ci, il éclata de rire. « Promis, je l’épargnerai pour cause de trêve de Noël… tu as vu, je sais être raisonnable » lui dit-il avec un sourire canaille pour mieux se perdre dans un autre baiser tout aussi langoureux que les précédents mais bien vite, en sentant les doigts de sa femme commencer à s’attaquer à son gilet, il l’écarta. « Attends, deux secondes » dit-il avant de glisser ses mains sous sa robe pour lui retirer lentement sa petite culotte et la balancer dans un coin de la chambre. « Comme ça, je suis certain de ne pas faire de bêtise » reprit-il l’air d’être fier de lui. Le Dunster attira alors sa femme à lui, ses lèvres venant conquérir le creux de son cou alors que ses mains caressaient lascivement son dos pour trouver cette foutue fermeture éclair. Bordel, il aurait dû vérifier avant comment elle s’ouvrait. Finalement, il réussit à trouver le mécanisme qu’il abaissa lentement, ses doigts s’infiltrant entre sa peau chaude et les pans ouverts de sa robe. « Tu crois qu’on a combien de temps devant nous avant que notre absence soit suspecte ? » lui demanda-t-il avant de reprendre ses lèvres dans un long et passionné baiser alors que sa robe atterrissait finalement à ses pieds, la laissant presque nue entre ses bras musclés.



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    Lien du postMar 3 Jan 2017 - 22:18
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    Je gloussais contre les lèvres du Dunster alors qu’il me disait être dingue à cause de moi « Ah bon alors ça va, me voilà rassurer ! » plaisantais-je en profitant clairement de son corps contre le mien. Toujours cette même pulsion, cette même sensation quand il m’étreignait. J’avais l’impression d’être enfermé dans un cocon, d’être en sécurité contre lui alors qu’en même temps se jouait la plus grosse des aventures passionnées entre nous ! Sentiment contradictoire. Sincèrement, avec le temps, j’avais eu peur des on-dit de mes proches. Vous savez, ceux qui sont en couple depuis un certain temps, qui vous regarde batifolé avec votre homme d’un air amusé ; ceux-là même qui viennent vous dire après cela « Profites-en, ça ne dure qu’un temps…dans quelques mois, il se laissera, il rentrera dans une routine avec toi…et le pire, c’est que tu t’en contenteras ! » Mon dieu ! Quand j’avais écouté ce genre de chose, j’avais commencé à imaginer ma vie routinière avec Paris, en grimaçant un peu au départ…et puis finalement, à mesure que les images venaient à mon esprit, j’avais fini par me dire « ouais, bah c’est pas mal non plus ! C’est sympa, réconfortant. Sécurisant même, ce que je vois ! » Et voilà. Voilà ce que mes amis avaient voulu me dire : même le quotidien pépère j’étais à l’accepter. Était-ce mal ? Je n’en sais rien ! Je ne pense pas…mais quoiqu’il en soit, je ne pouvais constater qu’une chose : La routine avec Paris ??! Franchement, elle a de quoi être excitante ! Si la routine, c’était : faire la même chose tous les jours, avoir ses petites manies, ses habitudes ou ses rituels ? Eh bien, soit ! Parce que les rituels incontournable chez Paris, c’était : Sexe le matin, sexe le soir ! (sauf dans des cas de force majeurs ! Alors ouais, je la veux bien moi la routine ! Comme ce soir par exemple !

    Bien que franchement, ce ne soit pas tous les soirs que mon homme se mettrait à m’enlever aux yeux et à la barde de toute sa famille, sans se cacher réellement de ses intentions. Pas la peine d’annoncer qu’on allait checker une tache sur ma robe : Tout le monde savait qu’il n’y en avait pas ! Mais okay, allons-y gaiement et jouons le jeu : tant qu’au final, on en arrivait à CA !
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    Je tâtonnais nerveusement son torse pour chercher les boutons de son gilets, quand enfin, j’en trouvais un que j’allais pouvoir sacrifier ! Les baisers que nous échangions ne m’aidaient pas à être très habile, mais il était pourtant hors de question de me passer des lèvres de Parsi en cet instant. Je le désirais dès la minute où j’avais posé mes yeux sur lui à l’appartement. AH NAN, Rectification : je le désirais à la minute où j’avais posé mes yeux sur lui il y a 13 mois, à l’hôpital. Depuis, j’avais pu assouvir mon désir à mainte reprise, mais apparemment je suis comme une sorte de puit sans fond : je ne peux pas être rassasié. Les deux autres boutons cédèrent à la pression que je leur mettais quand soudain, Paris me stoppait dans mon élan « Quoi ? Qu’est-ce qu’il y a ? » Demandais-je, déjà complètement sonnée par nos baisers. Je sentis ses mains glisser sous ma robe et comprenait enfin le message. Sans lâcher son regard, je souriais malicieusement alors qu’il retirait ma culotte, et posais mes mains sur ses épaules, en suivant sa descente « Quel gentleman » déclarais-je en me moquant, comme si le fait de penser à laisser intacte mes sous-vêtements résultait d’une sorte de manière imparable chez les grands de ce monde. Mais la lenteur de Paris à effectuer ce geste commençait à me faire perdre patience, si bien qu’au moment où mon sous-vêtement toucha le sol, j’attrapais le tissu de son gilets pour le remonter bien vite jusqu’à moi, pour venir entourer sa taille, et agripper les hanche de mon mari pour presser son bassin contre moi, pendant que lui tentait de défaire ma robe. « Tu veux mon avis : notre absence est déjà suspecte. Alors techniquement, on n’a pas vraiment de temps. Mais on s’en fout ! » Je m’emparais sauvagement de ses lèvres au moment où la robe s’échouait à mes pieds. Quasiment nue devant lui, je me décidais à pousser Paris d’un mouvement de bassin, mon dos quittant le mur contre lequel il m’avait plaqué lors qu’on était entré. J’avançais vers lui, et continuait de le pousser pour qu’il avance en marche arrière, et une fois que ses jambes touchait le cadran de lit, je m’écartais de Paris pour le pousser sur le matelas. Allongé ainsi devant moi, je l’observais un instant, ne perdant toujours pas mon sourire malicieux. Je passais alors ma langue sur mes lèvres, histoire de récupérer tout infime restant de goût des lèvres du Dunster, et imaginant déjà celui à venir lorsque je viendrais embrasser sa peau. Restant là, debout devant lui, je prenais moi-même l’initiative de dégrafer mon soutien-gorge pour le retirer sous ses yeux, et seulement ceci fait, j’avançais d’un pas pour me placer entre les jambes de mon mari qui touchaient encore le sol « T’es pas le seul à être complètement dingue… » Murmurais-je, revenait sur ses propos de tout à l’heure « Je suis complètement, mais alors COM-PLÉ-TE-MENT dingue moi aussi… » De lui, il n’y avait pas besoin de le signifier. Je tendais ensuite les bras vers lui, ou plutôt vers son bas-ventre, pour prendre le temps de dé-ceinturer son pantalon. Quand je dis prendre le temps, c’est prendre le temps de venir caresser ses cuisses de bas en haut, en remontant toujours dangereusement au plus près de son entrejambe, et redescendre lentement ensuite. Je m’appliquais à prodiguer ses caresses sur l’extérieur de ses cuisses également, suivant de près leur galbe jusqu’à la naissance de ses fesses….et à nouveau je redescendais. Puis finalement, vint le moment pour moi de pencher mon corps à quelques centimètres au-dessus de lui, mes mains continuant leurs caresses pour partir de ses genoux et remonter sensuellement jusqu’à son torse. Et là, je regardais la chemise de Paris avec une légère excitation : Cette chemise s’apparentait presque à un emballage de cadeaux que je rêvais de déchirer. « Hmmm…tu n’imagines pas à quel point je suis contente de pouvoir ouvrir mon cadeau de noël avant l’heure ! » chuchotais-je, tout en déboutonnant la chemise de mon amant maintenant.




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    Lien du postMar 3 Jan 2017 - 22:38
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    « Tu sais que tu mériterais des fessées avec un petit fouet quand tu me dis ça ? » grommela-t-il. Comment pouvait-elle s’imaginer qu’il ne puisse pas être carrément dingue d’elle ? Depuis un an, Paris ne vivait que pour et par elle. Summer était son oxygène. Grâce à elle, il avait réussi tant bien que mal à mettre son passé derrière lui et surtout sa fâcheuse manie de se perdre dans la violence. Oh, il subsistait encore des traces car on ne change pas en un jour mais il apprenait grâce à elle et surtout pour elle. La dernière chose qu’il voulait, c’était de la perdre. Cette femme était vitale à son existence et il avait l’impression que jamais, il ne pourrait se rassasier d’elle. Il fut un temps, ça avait été sa crainte : se lasser d’elle malgré tout l’amour qu’il ressentait. Le temps s’était chargé de lui montrer combien il avait été con de penser ainsi. Le corps de Summer était jouissif, orgasmique. Elle pouvait porter un jogging, ne pas avoir été encore chez l’esthéticienne, il s’en foutait, il la voulait ardemment. Par moment, il se demandait s’il n’avait pas échangé la violence pour une Summersexualité exacerbée… Puis, dans ces moments là, il se disait qu’il s’en foutait complétement. Sa femme était toujours partante pour s’envoyer en l’air alors à quoi bon se faire des nœuds au cerveau ? Cela n’en valait pas la peine.

    Ce soir, une nouvelle fois, elle lui avait clairement montré que le désir était toujours aussi présent, aussi fougueux et le Dunster était certain que même lorsque sa poitrine ressemblerait à deux vieux gants de toilette rabougris, il l’aimerait toujours et la désirerait toujours. La vision n’était peut-être pas glorieuse mais dans son esprit, Paris était certain de toujours la voir comme lors de leur première rencontre : une petite blonde à l’air sérieux et qui se voulait autoritaire malgré les petites rougeurs et son regard admiratif. Le Dunster avait toujours su déceler l’intérêt que la gente féminine lui portait et pourtant, Summer avait continué à lui tenir tête et à le traiter comme un homme lambda. Avec le recul, il se disait déjà que lors de leur première rencontre, il avait eu envie de l’étendre sur le bureau. A cette époque-là, il n’en avait peut-être pas vraiment eu conscience mais lui le savait à présent : il avait rencontré la femme de sa vie dans une blouse blanche.

    « Je suis pas un gentleman, j’ai pas envie que tu me fasses la gueule toute la soirée parce que j’aurais ENCORE foutu en l’air une de ses petites culottes… puis, j’ai pas envie de te filer mon calbut car ça va m’excitait et je doute que ma mère apprécie que j’ai une érection en voyant sa dinde de noël farcie » répliqua-t-il avec un petit sourire canaille tandis qu’elle le forçait à remonter tout contre elle pour l’embrasser. Vous saviez à quel point il aimait embrasser les lèvres sucrées de sa femme ? Le mieux, c’était quand elle mangeait une pêche et qu’il venait cueillir la petite perle de jus au coin de ses lèvres. Bon sang, même dans ses pensées, il rêvait de lui faire l’amour… Il devenait vraiment grave avec le temps mais tant pis encore une fois : IL LA VOULAIT POINT BARRE ! Que celui ou celle que cela gêne, aille se pendre à la première pole dance qu’il ou elle trouvera. « Bah… ouais on s’en fout » dit-il avec fierté. Quel homme ne serait pas fier de voir cette créature de rêve s’en foutre totalement que son père sache qu’elle s’envoyait en l’air dans la chambre de sa belle-mère ? Certainement pas lui. Summer était une véritable tigresse qu’il allait une nouvelle fois adorer soumettre à son bon vouloir.

    Enfin pour le moment, c’était elle qui prenait les rennes en le repoussant jusqu’au lit où il s’affala dessus pour mieux se redresser sur ses coudes et l’observer, attentif à ses moindres faits et gestes. Junior semblait s’affoler dans son pantalon quand elle dégrafa son soutien-gorge : A MOI, A MOI ; semblait-il dire. « T’es… putain t’es la femme la plus bandante de la terre » grogna-t-il en appréciant le spectacle. Avec ses talons, nue, elle était l’incarnation même de la luxure à ses yeux. Sa femme vint jouer avec ses nerfs et il grogna à mainte reprise. « Putain mais tu peux pas faire comme tous les gosses que je connais et déchirer l’emballage pour jouer avec ton jouet ? » râla-t-il tant il avait envie qu’elle le caresse, qu’elle le touche, qu’elle le prenne dans sa bouche. Bon sang mais elle allait lui flinguer le peu de neurone qui lui restait depuis qu’il l’avait aperçu dans cette robe dorée. D’ailleurs, il ne tarda pas à l’aider dans sa tâche du déboutonnage tant il avait envie de passer aux choses sérieuses. Oui, la patience n’était pas son fort mais promis pour les résolutions de 2017, il tâcherait UN JOUR de prendre son temps avec elle. Bah il avait 365 jours devant lui pour réaliser cet exploit.



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