C’était une des rare fois que je devais m’avouer vaincu après des ébats aussi intenses. C’était plus fort que moi, je ressentais ce sentiment d’avoir atteint le bonheur, un sentiment de bien-être malgré que je possédais toujours ce dernier depuis que j’étais en couple avec Alejandro. J’aimais toujours pigmenter les dernières secondes de la danse endiablé parce que le final était ce qu’il y avait de meilleur. Haletante, je sentais mon cœur qui tentait de reprendre une respiration normal. Je riais lorsqu’Alejandro se laissait tomber sur le côté et aussi tôt, je posais ma tête contre son épaule, mon bras autour de lui, je prenais ce qui me restait de libre pour tirer les draps pour nous couvrir la taille malgré cette chaleur digne de la forêt d’Amazonie. Tout était parfait, je ne pouvais pas demander mieux, j’étais comblée et amoureuse du plus bel Espagnol qui avait franchi cette Terre, il avait battu depuis longtemps le girl crush que j’avais eu pendant des années sur Rafael Nadal. Je tournais la tête pour croiser son regard et lui répondit:

''Je suis loin de m'avouer vaincu mon amour mais je dois te dire que j'ai peut-être besoin d'une pause c'est vrai.''.

Léger éclat de rire, j'étais étonnée moi-même c'est vrai. Il adorait faire l'amour avec moi? Tant mieux parce que c'était réciproque.

''Gracias, le sentiment est partagé en tout cas.''.

Ces vacances dépassaient toutes mes attentes et sérieusement, je boudais du fait qu'il faudrait retourner à la réalité. Caressant son torse, je me collais un peu plus contre lui. Dans ses bras, c'était l'endroit où je me sentais le plus en sécurité sur Terre. Je lui lançais à la blague avec un mélange de sérieux:

-''J'ai déjà des idées pour le prochain round, on va voir comment tu es en forme. Sérieusement, on est obligés de retourner à la réalité? Je déménagerais ici demain matin.''




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