Vous pouvez être certain qu'après une telle douche, il ne restait plus l'ombre d'un grain de sable sur le corps d'Alejandro et probablement pas bien bien plus sur le corps d'Hazel. Ça promettait pour la suite et déjà, Hazel se retournait et l'embrassait avec des baisers énergiques qui signifiaient, selon ce qu'en pense l'Espagnol en tout cas, que non seulement elle a apprécié, mais qu'elle a peut-être encore plus hâte à la prise deux. Ça tombe bien, lui aussi! Encore essoufflé, il laissait échapper, avant de répondre plus concrètement à la proposition de sa copine:
-Te quiero, también.
Rentrer à l'intérieur? Oui, c'est la suite logique. Du coup, après un petit baiser spontané sur le front de sa copine, il éteignait la douche. Pas question de gaspiller de l'eau plus longtemps.
-Si, rentrons et pour le reste, on verra. C'est les vacances.
Et qui a dit que les lunes de miel ne doivent arriver qu'une fois dans une vie? Sourire en coin, le beau brun ramasse ses affaires, mais ne se rhabille pas, à quoi bon de toute façon? Il se dirige ensuite pour rentrer, pose ses affaires pour qu'elles sèchent, sa planche debout contre le mur et rentrait à l'intérieur du bungalow pour se retourner vers Hazel.
-Est-ce que ça vaut la peine que je me rhabille?
Après, peut-être qu'elle aime déshabiller son homme aussi!
Je devais être la fille la plus propre d'Hawaï après un examen soigneusement prodiguée par mon petit ami, il s'était assuré d'une main de fer et d'amour surtout que je n'allais pas salir notre petit nid rien qu'à nous. J'avais goûté au paradis et je ne pouvais pas m'empêcher d'avoir hâte à la suite, vouloir vivre ce genre d'événements grâce à Alejandro, c'était une vraie drogue. Après lui avoir donner un dernier baiser sur les lèvres, c'était le moment d'aller à l'intérieur. La lune commençait à être bien haute dans le ciel, un petit vent caressait la flore d'Hawaï, on allait être bien à l'intérieur, surtout avec Santo qu'on négligeait un peu mais il était habitué de voir ses maîtres dans des moments d'affection.
Les vacances étaient loin d'être terminés alors on avait tout le temps qu'on voulait pour réaliser nos moindres petits désirs. Je rentrais la première et posait ma planche, mes trucs mouillées pour qu'il sèche. Je me prenais toujours en tenue d'ève, j'allais mettre Santo dans sa cage, signe pour lui qu'il allait devoir aller faire dodo. Je revenais et m'appuyait contre le cadre de la porte, le regardant de son entrejambe à ses yeux, amoureusement. Je posais un doigt sur mon menton, pensive:
''Tu peux oui, tu me donnes des idées, tu risques de te retrouver nu en peu de temps mais sois mon inspiration du moment.''.
Je tentais de contrôler mes pulsions, je voulais lui rendre service à mon tour, le plaisir était toujours agréable partager à deux après tout.
Hazel mettait Santo dans sa cage? Roh, c'est triste ça. Il n'a pas un petit panier où dormir, un truc du genre? Alejandro n'aime pas trop la vue de son animal en cage et s'il le remarque... Sa petite amie revenue vers lui, le jeune homme pas gêner le moins du monde de sa nudité et du reste, sa petite amie était dans la même tenue que lui, il demandait si cela valait la peine qu'il se rhabille et la réponse fut oui. Enfin, était-ce le cas? -Donc je me rhabille?
Hey oui! Avec un sourire amusé, Alejandro acquiesce et passe à nouveau à côté d'Hazel et déposait un baiser sur la joue de sa petite amie, avant de filer à la chambre pour se rhabiller vite fait. Caleçon, paire de shorts et shirt blanc style débardeur, rien de trop compliqué. Sa petite amie aussi devait se rhabiller non? En tout cas, il allait la rejoindre, la regarder, mine de rien.
J'avais apporté une petite cage pour Santo malgré que je préférais nettement le voir se prélasser dans son panier. C'était rare que je le mettais en cage malgré que sa ne serait pas la première fois qu'il verrait ses maîtres dans des démonstrations affectueuses. Il me faisait ses petits yeux tellement triste que je ne pouvais pas m'empêcher de céder et le délivrait pour qu'il aille dans son panier, si un jour j'aurais la chance d'être mère, il faudrait que j'apprenne à ne pas céder à ce genre de chantage émotif. Je lui disais qu'il pouvait se rhabiller malgré que c'était vraiment une exception, c'était seulement pour le déshabiller le plus lentement possible, une forme de chantage. Pendant qu'il me passait sous le nez, j'en profitais pour tirer une bouteille d'huile aux arômes enivrantes et je m'en étalais sur le corps. Alejandro revenait quelques secondes et je me retournais vers lui, comblant l'espace entre nous. Je passais mes bras autour de sa taille et déposait un baiser fiévreux contre son cou:
''Tu en as trop mis à mon goût mi amor.''.
Je laissais glisser mes mains très doucement sur lui. Je commençais en passant mes mains sous son débardeur pour venir lui retirer. Le regardant toujours aussi amoureusement, je lançais son vêtement dans un coin et fit glisser mes doigts le long de son torse pour venir caresser ses abdos très lentement et le forçait à reculer jusqu'à notre chambre. Une fois dans nos quartiers, je souriais et passait mes mains le long de l'élastique de son short et de son calecon.
''Tu m'as pris au sérieux, c'est pour mieux te déshabiller.''.
Mon corps contre le sien, je fis baisser ce qu'il portait en lui donnant des baisers chauds le long de ses abdos que j'aimais tant, je prenais son membre entre mes mains et commençait à le caresser de douces caresses.
Alejandro avait été surpris de noter qu'Hazel mettait Santo en cage, elle qui laisse un félin se promener librement dans un campement. Du coup, il n'était pas surpris d'apercevoir, à son retour, son chien dans son panier, tranquille, mais visiblement plus heureux. La bête devait avoir usé de ce que l'Espagnol appelle gentiment "la face" pour convaincre sa maîtresse de se montrer plus gentille. Un truc qu'il use aussi, à l'occasion seulement!
Parlant de la maîtresse, Hazel, ne s'était pas rhabillée le moins du monde. Elle veut le rendre fou ou quoi? Sans doute. D'ailleurs, comme elle se rapprochait, le beau brun posait ses mains chaque côté du corps de la blonde et eut l'impression que le toucher était différent que d'habitude. L'odeur aussi. Ce n'était pas du parfum par contre. Intrigant!
-Ah? Ce ne sont que des shorts et un débardeur... Et toi, qu'est-ce que tu as mis?
Déjà, le beau brun levait les bras en l'air, puisque le débardeur se faisait remonter et s'en retrouvait déshabiller. Sourire amusé sur les lèvres, il sentait bien que sa blonde avait une petite idée derrière la tête. Puis, elle le caressait et le jeune homme ne résiste pas plus longtemps à la tentation de venir l'embrasser, si elle le permet. Puis, Hazel le fit reculer dans la chambre et lui adressait tout gentiment un reproche. Alejandro eut un léger rire. -Tu es drôle mi amor, mais je t'adore.
Son amante contre lui, cela avait le don de déjà l'animer, mais la suite, disons que la suite ne regardait qu'eux.
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