les joies de la cohabitation Je savais que j'avais un bel avenir devant moi, desfois je redoutais le monde des adultes mais malheureusement on ne pouvait pas rester jeune éternellement et j'aimais bien tenter de prédire ce que l'avenir me réservait surtout depuis que j'étais en couple avec Alejandro, tout était beaucoup plus beau et prometteur. J'adhérais à ses plans, c'était ce qui serait le mieux, voyager serait notre récompense pour ce dur travail qu'aurait été les années universitaires.

-''C'est parfait comme plan mon amour. Une année sabbatique pour voir le monde et ce qu'il y a à nous offrir, toi et moi je demande pas mieux.'' .

Rejoindre les Dunsters avait été mon second choix et surtout depuis le semestre passé, j'y songeais sérieusement mais je ne voulais pas que mon chéri pense que je le rejoins pour le surveiller ou jouer la copine peau de colle quoi, les Dunsters c'était quand même les Pousouffles de Harvard et Alejandro y était, c'était pas que des avantages en ce moment? Mais si.

''Peut-être, j'y pense mais en même temps, je suis bien chez les Quincy.''.

Que des questions qui resterait sans hypothèses pour le moment mais ce n'était pas urgent, j'avais encore quelques jours pour méditer sur la question. La chaleur revenait et je commençais à avoir de nouveau envie d'assouvir mes pulsions sur mon copain alors je devais aller me doucher pour me changer les idées. Je ne répondais pas à Alejandro, je lui fis simplement un clin d'oeil dragueur. Je le laissais pour filer à la salle de bains, je enlevais ma tenue et rentrait dans le bain chaud , je me permettais même de mettre du savon à bulles. Un vrai traitement royal.

Je commençais à me laver les cheveux rapidement, me parfumer le corps avec une lotion pour le bain et même raser un peu mes jambes pour terminer sauf que je me coupais comme débutante, je ne pouvais pas m'empêcher de lâcher un:

''AIE!!! AH SA FAIT MAL!''.

Les joies de la cohabitationHazel était assez enthousiaste pour son idée qu'il partageait pour la première fois avec sa petite amie. Il se doutait qu'elle serait pour, mais c'est lui qui était pris de quelques doutes, qu'il gardait pour sa personne pour le moment. Pour ce qui était des Quincy, si jamais Hazel quittait sa maison, Alejandro ne voyait pas pourquoi la belle blonde ne pourrait pas rejoindre les Dunsters. Elle en a les attributs et puis il y est aussi alors...

-C'est toi qui voit et ne quitte pas ta maison si tu t'y sens bien.

Si le beau brun avait quitté la Eliot, c'était parce qu'il sentait qu'il y était bien plus entouré d'ennemis que d'amis. Hazel partit ensuite prendre un bain, après un clin d’œil qui l'avait assez intrigué. Tranquille dans le salon, Alejandro lisait, quand soudain, il entendit sa petite amie se lamenter depuis la salle de bain. Que se passait-il? Le jeune homme resta quand même assis, mais détourna le regard de son ordinateur et de la télévision?

-Hazel?! Ça va?!

Sa petite amie pouvait être maladroite parfois, alors c'était inutile de s'inquiéter pour rien. Enfin, maladroite ou casse-cou, sans doute un peu les deux, mais c'était plutôt mignon.

les joies de la cohabitation J'avouais que je ne dirais pas non à rejoindre les Dunsters malgré que je me sentais à la maison chez les Quincy, pas seulement parce que j'étais la plus belle des Quincy avec Feryel et Mira mais parce que leurs valeurs étaient les miennes, rejoindre les Dunsters sa serait rejoindre les grosses têtes de Harvard et surtout rejoindre Alejandro quoi je ne savais pas si tout le monde s'entendait avec lui mais un Ortega ne devait jamais être vraiment seul dans son entourage. Je l'embrassais une dernière fois:

''On verra bien mon amour, l'idée me tente quand même.''.

Même si je ne disais pas non à ce qu'il me rejoint pour prendre un bain, je me disais que je ferais sa vite pour revenir auprès de lui. Je sentais bonne, les cheveux lavés, ma peau parfumé sauf que je venais de me couper en me rasant, j'étais bête bordel. J'avais crié de douleur sur le coup, oups il m'avait entendu.

''Oui sa va Alejandro, je me suis seulement coupée en me rasant les jambes.''.

Je sortais de la baignoire, mettait mes cheveux dans une serviette, une autre autour de mon corps et je cherchais des pansements. Il en avait plus dans la salle de bains, j'allais dans notre chambre pour remettre ma tenue que j'avais et lui lançait:

''Mi amor, tu m'apportes un pansement? sa saigne beaucup, je suis maladroite.''.

Les joies de la cohabitationC'était à Hazel de réfléchir à tout cela et Alejandro avait décidé de ne pas l'influencer à prendre une ou l'autre décision. C'est bon parfois de ne pas être trop envahissant et de ne pas toujours dire ce qu'on préférerait et etc. De toute façon, s'il avait une préférence qui lui tiendrait à cœur, le beau brun l'aurait laissé savoir.

Un peu plus tard, tandis que chacun était paisible de son côté, sa blonde lâche un cri soudain qui pousse l'Espagnol à s'inquiéter un brin. Que se passait-il donc? Hazel s'était coupée en se rasant les jambes, mais disait que ça allait.

-Ah d'accord. Et ça saigne beaucoup? Si tu veux, je vais chercher la trousse, elle est dans la cuisine.

Oui, Alejandro a une trousse de premiers soins chez lui. Que fait-elle sous l'évier dans la cuisine? Hey bien sa mère lui a ordonné de le mettre à cet endroit, apparemment, c'est la pièce où les gens se blessent le plus selon un magazine espagnol quelconque et Alejandro a obéi, en bon fils qu'il est.

Comme les choses semblent sous contrôle du côté d'Hazel, Alejandro retourne dans le salon, mais se lève et prend le temps d'observer un instant le soleil qui se couchait. Finalement, il tourne la tête, appeler par sa copine, le beau brun vint à la rescousse avec la fameuse petite trousse.

-Me voilà. Faut faire attention mi estrella.

Ale' plaçait la trousse sur le lit et s'agenouillait auprès de sa copine. Aussi bien bien faire les choses après tout. Il en sort un pansement, invite Hazel à allonger sa jambe, qu'il tient doucement et y pose le fameux pansement, avant de déposer un baiser contre la jambe de gazelle de sa petite amie.

les joies de la cohabitation C'était une question presque existentielle le choix de confrérie, je ne voulais pas faire la petite amie envahissante en suivant Alejandro dans ses moindres faits et gestes, je lui faisais confiance et surtout je l'aimais alors pour moi, c'était une question bien au dela du choix de confrérie. C'était philosophique, peut-être même un peu trop vu que je me coupais en me rasant, comme une débutante, la honte quoi. Après être sorti du bain mousseux que j'avais pris seule, je lui disais assez fort pour qu'il m'entend:

''Oui sa saigne beaucoup, je me suis pas raté! Oui bon idée.''.

Je me rendais dans notre chambre en évitant de me mettre du sang partout, je voudrais pas que notre chambre, notre petit nid d'amour quoi se transforme en scène de crime improvisé. J'avais réussi à enfiler mon mini-short et mon soutif sans faire de trace que mon chevalier arriva avec la trousse de secours. Je lui souris, gêné et finir par répondre:

''Je sais chéri, une petite gaffe encore. Je suis un vrai désastre quoi.''.

Je tendais la jambe et le laissait faire, il était si attentionné. Je lui souriais et lui caressait la joue, comment lui trouver des défauts à cette homme? Je lui dis:

''Tu mérites une médaille pour me supporter moi et mes gaffes. Je t'aime Alejandro Ortega. Tu ferais un bon infirmier en plus, j'aime les hommes en uniforme.''.

C'était bien moi, toujours prête à rire après une situation dans laquelle je m'étais mise.

Les joies de la cohabitationCe n'était pas la journée d'Hazel. Déjà, quelques soucis avec la paella et maintenant, elle se coupait en se rasant. Rien de bien grave, heureusement. Une fois dans la chambre, Alejandro décidait de prendre la situation en main, ahah!

-Un désastre? Mais non. Puis je me sens utile comme ça.

Après le bisou, le beau brun tapotait la jambe de sa copine avant de se relever. Voilà qu'elle l'accueillait comme un héro, ce qui avait le don de le faire sourire, légèrement rire même.

-L'uniforme d'infirmier? Bof, c'est mieux pompier ou officier dans l'armée.

Surtout l'uniforme officiel, cela fait impératrice Sissi et le prince Franz, non? Ensuite, il faisait signe à Hazel pour qu'elle se lève et glissait ses mains pour caresser le côté de son corps, la tenant un peu ainsi.

-Je t'aime Hazel, même avec tes petites gaffes... en autant qu'elle ne mette pas ma vie en danger.

Tandis qu'il disait cela, en espagnol bien sûr, Alejandro plaçait une mèche de cheveu rebelle de sa copine et après, il avait un léger rire, avant d'embrasser sa petite amie. La scène parfaite en somme, mais le plus important, c'est qu'Alejandro était parfaitement heureux.

Après cette petite scène dans la chambre, le couple retourna sur le balcon finir la bouteille de vin qu'ils avaient entamé un peu plus tôt. L'Espagnol insiste toujours pour ne pas laisser traîner de bouteille de vin dans le frigo, une hérésie selon lui. Cela leur permettait de discuter de tout et de rien, surtout de la politique américaine, qui arrivait à un point tournant sans doute. Alejandro avouait d'ailleurs vouloir aller à une levée de fonds démocrate et tenter d'y laisser un chèque, au moins encourager Hillary quoi. Trump, pour l'Espagnol, ce serait... la catastrophe. Quand les cloches de minuit sonnèrent, le couple se dirigea vers leur beau grand lit et y prirent place. Un dernier baiser, un bonne nuit en espagnol et Alejandro s'endormit presque tout de suite, un sourire en coin, sa petite amie contre lui. Il ne se voyait pas dormir autrement. Le lendemain matin en revanche, le réveil ne sera pas si facile que cela pour l'Espagnol, qui avait pourtant parler d'aller faire du jogging, tout ça, mais finalement, le visage détendu, la respiration douce, le beau brun semblait plutôt parti pour faire la grasse matinée, malgré lui.

les joies de la cohabitation J'avais vraiment hâte que cette journée se termine, définitivement il y avait aucune chance que j'avais pu bien faire aujourd'hui, à part de faire l'amour à mon petit ami mais c'était un détail, je savais que j'étais douée mais j'aurais voulu l'impressionner, qu'il puisse dire qu'il était fier de moi mais je ne pouvais que me consoler en disant que demain serait une meilleure journée, parce que je ne pouvais rien accomplir de productif aujourd'hui et en cette soirée alors le mieux que la lune se lève, le mieux sa saurait pour moi. Sa remarque me faisait sourire:

''Tu es toujours utile mi amor, par exemple tu montres que tu serais un père attentionné dans le futur.''.

Une belle qualité, pas que je t'étais enceinte en ce moment, ce n'était pas le cas, je notais juste sa manière d'agir haha. Je me relevais et enlevait ma serviette de mes cheveux pour qu'il sèche mieux. C'est sûr que pompier ou policier, c'était encore mieux mais je ne jugeais aucun travail, chaque métier était important. Je m'étais rassise mais me relevait à sa demande et je me laissais attirer à lui, profitant de ses caresses. Je le regardais, mes bras autour de son cou. Je pensais à mes mots en espagnol et lui répondait:

''Ah mais ce qui compte que tu m'aimes même avec mes défauts haha. Ta vie ne peut être qu'en danger, lorsque j'ai faim.''.

Je rigolais bien sûr sans mentionner quel faim. Un petit baiser échanger, c'était parfait. Je me sentais vedette de mon propre film d'amour en compagnie d'Alejandro. J'étais heureuse et j'étais convaincue que vivre entre les murs de la Quincy House n'allait pas me manquer plus que sa. Une conversation autour du vin s'imposait et c'était simple, il fallait partager sa vie avec un partenaire qui nous comprenne et il fallait pas gaspiller de vin. Je trouvais sa dommage que la politique de Donald Trump pouvait inquiéter autant mon petit ami, c'était simplement incroyable ce que Trump avait l'intention de faire si il remportait la présidence. J'encourageais même Alejandro à participer à une levée de fond de Hilary Clinton, j'étais une fan:

-''Elle a bien représenter l'État de New York au Sénat non? Je crois qu'il tienne quelque chose en son honneur la semaine prochaine, on pourrait y aller.''.

Je serais où l'histoire serait, point final. On était tellement engagés dans la conversation que minuit sonnait et je ne disais pas non à me mettre au lit, fini les désastres! Je me positionnais pour dormir contre lui comme je le faisais tout le temps et le sommeil m'emportait aussitôt, le coeur léger.

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Je dormais comme un bébé malgré les rêves bizarres que j'avais pu avoir. Je me sentais tellement paresseuse en ce moment, moi qui était censé être à la salle de sport dans une demi-heure, je m'octroyais de tricher aujourd'hui. J'ouvrais paresseuse les yeux et vit Alejandro toujours endormi, il était si beau. Je mettais sur le côté et lui caressait son dos. Les yeux fermés, je lui dis:

''Buenas Dia Senior Ortega, on fait la grâce matinée ce matin à ce que je vois.''.

Les joies de la cohabitationSi Alejandro disait aimé se sentir utile, Hazel soulignait que non seulement il l'était toujours, mais qu'en prime, il ferait un bon père. Cette phrase le fit doucement sourire. D'abord, parce que c'était si gentil et si bien dit, mais aussi, parce qu'avoir des enfants fait certainement parti des plans d'Alejandro. D'abord le mariage, puis, les enfants suivront. Cela a toujours été son plan de  vie si on peut dire. Hazel sera-t-elle un jour la mère de ses enfants? Amoureux, mais rationnel, il préfère y aller une étape à la fois.

Puis, ils eurent leur petit moment amoureux. Bien sûr que de l'extérieur, ce moment peut paraître un peu too much, mais pour eux, c'est important d'exprimer ce qu'ils ressentent, surtout Alejandro, un romantique dans l'âme. Pas romantique dans le sens pétale de rose et champagne, mais plutôt dans le style écrivain du XIXe siècle.

-Juste pour être clair, de quel faim parle-t-on ma belle?

La réponse d'Hazel le fera probablement rire, encore plus si elle garde le mystère. Une fois dehors, ils parlaient de politique américaine, entre autre. Naturellement, Hazel se rangeait à son avis. On peut dire que Trump fait l'unanimité contre lui, du moins, chez les gens raisonnables.

-Je ne pourrais pas dire, tout ce que je peux dire, c'est que je ne veux pas de Trump à la présidence. Citoyen américain ou non, je suis citoyen de ce monde et je n'ai pas envie qu'un riche narcissique le sabote... Certainement qu'on va y aller et comme je te disais, je compte bien remettre un chèque.

Peu importe à qui ou à quoi, un superpac ou autre. Il y a bien des façons de donner de l'argent en politique américaine. Dans un sens, ils ne font pas semblant d'être plus blanc que neige, ils admettent volontiers leur corruption.

Trêve de politique, c'était l'heure d'aller au lit. Minuit, c'est un peu tôt pour Alejandro, qui aime bien se coucher à une ou deux heures du matin, mais d'un autre côté, ça avait été une bonne journée et puis fallait s'habituer à un rythme de vie plus raisonnable, la rentrée se rapprochant.

Le lendemain, désormais couché sur le ventre, l'Espagnol devait avoir gigoté un brin dans son sommeil. Il devait être environ 9h30, peut-être un peu plus ou un peu moins, lorsqu'Hazel se mit à caresser son dos, doux geste qui finit par le réveiller. Oh, c'était pénible ce matin.

-Euhm... il est quelle heure?

Une fois que la belle blonde lui dit l'heure, Alejandro plongeait sa tête contre l'oreiller, cherchant à échapper aux rayons de soleil qui enveloppait de lumière toute la chambre.

-Je peux pas dormir encore un peu? Roh... je veux un câlin au moins.

L'Espagnol se mit sur le côté et accueillait alors volontiers sa petite amie dans ses bras. C'est possible d'être si mignonne le matin? Déjà, avoir Hazel contre lui, c'était un bon petit moment et puis ça avait le don de le réveiller un peu plus, allez savoir pourquoi. Le beau brun eut un sourire amusé.

-Dis, tu ne peux pas être ma petite amie toi, tu es trop belle. Non non, je dois encore être en train de rêver.

les joies de la cohabitation Je ne savais pas ce que la vie allait nous réserver, notre futur s'annonçait plutôt beau et si je devais être un jour, la future madame Ortega et élever une mini-bande de Jon Snow et de Daenerys Tagaryen, je ne plaindrais pas parce qu'Alejandro avait fait ses preuves depuis longtemps et à chaque jour, j'en apprenais sur lui et il m'émerveillait par sa compassion pour les autres et son savoir-faire, mama Ortega pouvait être fière de son fils. On partageait un petit moment de couple comme on pourrait le voir dans les films ou à la télé-série, c'était important la communication dans un couple, c'était ce qui faisait qu'on pouvait se supporter l'un et l'autre sans se prendre la tête.

Allais-je vraiment lui confirmer de quel faim, je lui parlais? Ma réponse était simple: un simple clin d'oeil coquin, il le saurait assez bien vite surtout si sa vie était en jeu haha. Je l'écoutais parler, une discussion sur la politique américaine était bien, j,adorais même. Je finissais de boire le fond de mon verre de vin et hochait la tête, il ne pouvait pas mieux résumer.

-''Tu as raison chéri, comment les gens peuvent penser à voter pour cette homme? C'est un riche homme d'affaires qui a du temps à perdre et qui pense qui peut occuper le poste de président et diriger ce pays comme on dirige une entreprise. Je rajouterais un zéro de ma contribution personnelle.''.

On pouvait faire une bonne action dans tous les sens non? L'heure de dormir arrivait et je ne disais pas non après ma journée d'échecs consécutive. La nuit se passait bien et je profitais encore de la présence d'Alejandro à mes côtés pour me coller contre lui et lui flatter le dos. Je lui dis la mauvaise nouvelle:

''Il est déjà 10h mi amor.''.

On était épuisés sans vraiment sans rendre compte. Je protestais, non il pouvait pas dormir encore ce matin, il fallait qu'il gagne son sommeil ce matin. Je prenais l'ouverture qu'il me tendait pour me coller contre lui et lui faire un câlin malgré mon affreuse tête de ce matin. Sa remarque me faisait rire et je le poussais sur le dos et grimpait sur son torse avant de lui murmurer sensuellement:

''Êtes-vous sûr monsieur Ortega? C'est gentil tes compliment mon amour...Peut-être que je suis la réalisation de ton fantasme que tu gardes enfouis au fond de toi.''.

Les joies de la cohabitationLe lendemain matin, le réveil n'était pas aussi facile qu'Alejandro aurait aimé, mais avec une Hazel prêt de soi, c'est toujours plus facile, agréable en tout cas. Quoique quitter le lit tant qu'elle ne le quittait pas restait difficile. La belle blonde lui fit savoir qu'il était 10h. Déjà? Ses yeux s’écarquillèrent, mais l'instant d'après, le beau brun se cachait la tête dans l'oreiller, espérant pouvoir dormir encore un peu.

Au moins, Alejandro eut droit à son câlin, à défaut de pouvoir dormir. Le jeune homme avait bien compris qu'il n'arriverait pas à dormir avec sa blonde près de lui. Sauf que sa petite amie le fit doucement rouler sur le dos et elle se retrouvait sur son corps. Euhm, ce n'était pas désagréable, il caressait à son tour le dos et l'arrière d'une jambe de sa copine, qui murmurait quelques mots à son oreille.

-Dans ce cas, mon fantasme dépasse mon imaginaire, tu réalises?

Ses mains se mirent à explorer son "fantasme". Bah quoi? Autant en profiter non? Les mains de l'Espagnol glissait à l'intérieur du shorty de la blonde pour caresser ses fesses, ce qui le fit sourire.

-Rondes, mais fermes comme je les aime. Aucun doute, c'est mon fantasme.

Le jeune homme se met à rire, avant de planter son regard dans celui d'Hazel et de venir l'embrasser, doucement, juste comme ça. Au terme du baiser, il donnait une petite tape et lançait un regard d'ange à sa Hazel chérie.