Même si Alejandro avait l'impression de plaire à Margaux, même si elle l'attirait et qu'il se doutait que c'était réciproque, pour autant, il était loin d'être certain qu'elle accepterait ses avances plus entreprenantes. Règle numéro un avec les filles: ne jamais les prendre pour acquise.

Mais dès que le baiser se fit prolonger, qu'elle se collait un peu plus à son corps, qu'elle partageait cette même énergie que lui, se mettant sans mal au diapason, toute source d'inquiétude s'envola et c'était bien tant mieux! Même Margaux lui enlevait son t-shirt, Alejandro levant brièvement les bras, esquissant un sourire après, son regard toujours dans celui de la Montet.

-Alors je pense qu'on va passer un autre bon moment.

S'ils en ont tous les deux envies et qu'ils sont tous les deux célibataires, jeunes et beaux, ce seraient stupides de ne pas en profiter, si? C'était au tour de la belle brune de découvrir le corps du jeune homme, où elle allait bientôt déposer des baisers, attention qu'il adore. Quand après, elle attrape sa nuque, Alejandro ne se fait pas prier et répond présent à nouveau, embrassant Margaux de plus belle, une main contre sa joue, glissait vers son cou, l'autre rivée contre la porte, comme un soutien.

Après ce nouvel échange où la température ne fit que monter, le beau brun fit glisser ses lèvres et sa langue contre le cou de la belle, sa main sur l'autre versant, il s'attardait un peu plus dans le creux du cou, avant même de descendre plus bas et d'aller déposer un baiser sur le dessus d'un de ses seins, avant de remonter avec la pointe de sa langue, puis de revenir l'embrasser encore. Il bouillait de désir pour elle, mais souriait, bien heureux de la tournure de toute cette histoire.

Spoiler:

Je ne pouvais pas résister à cette tentation, j'avais envie de découvrir l'effet qu'il pouvait me procurer et je dois avouer que je ne suis pas déçue du résultat encore plus lorsque je viens à retirer son t-shirt. Damn, il est canon, je bave presque en le découvrant. Ça oui, on va passer un autre bon moment, je vais tout faire pour. Je craque et alors? Peu importe, je me suis retenue jusque là, j'ai le droit de me laisser aller cette fois-ci, maintenant qu'il n'a plus aucune obligation et que j'ai bien compris que je ne le laissais pas totalement indifférent. Il me fait frissonner, ses lèvres contre ma peau, mon sein sa langue, je vais finir par lui sauter dessus, mais je retiens ces pulsions encore un peu. Mes lèvres se posent contre son torse, je laisse glisser doucement ma langue contre ses abdominaux parfaitement bien dessiner, je profite à fond. Je me décale, le pousse doucement pour me dégager de son emprise. Je me recule, marchant à reculons sans quitter le Dunster des yeux, je défais le bouton de mon jean puis le descends le long de mes jambes C'est comme ça que j'aurais dû poser J'esquisse un sourire amusé tandis que mon regard est plus coquin. Je me retrouve en sous-vêtements, j'avais retirée mon jean et mes chaussures, mais je portais toujours la veste d'Alejandro sur moi.

Spoiler:

Après un nouveau baiser, encore un peu plus intense, plus naturelle aussi, dans le sens où ils apprenaient vite à se connaître, ce fut au tour de Margaux de découvrir le corps de son amant. À nouveau, les lèvres de la belle se posaient contre son torse, près du petit crucifix qu'il porte au bout de sa chaîne, mais en prime, elle s'aventurait plus bas, vers ses abdos et le désir commençait vraiment à se faire sentir chez lui, alimentant une tension de plus en plus évidente physiquement. Un peu plus et il croyait que... non, elle remonte finalement et Alejandro devait avoir les yeux qui brillaient en ce moment. Il aime comment elle le pousse ensuite, s'avère son égal et non pas juste à attendre que le mec fasse tout. Le beau brun joue le jeu, recule, ne la lâche pas des yeux et arrête quand elle arrête, moment où il a droit à un mini-striptease. Margaux ne portait plus que sa veste et ses sous-vêtements. Une belle vue vous dites? Vous n'en avez pas idée.

-Non, cette image, je préfère la garder que pour moi.

D'ailleurs, il sortait son cellulaire de la poche de son pantalon et le posait sur le meuble le plus proche. Après, il enlevait vite fait ses chaussures et chaussettes pour se retrouver pieds nus.

Les deux amants étaient de bonne humeur, ils se lâchaient. Il ne pourrait pas dire pourquoi, mais cette journée avait permis qu'il se sente à l'aise avec Margaux. Combiné cela au désir intense qui l'habitait depuis qu'il l'avait vu en soutif, mais aussi au surtout, au regard intense qu'elle lui faisait et désormais, il ne se privait plus.