The time is right your perfume fills my head
The stars get red and oh, the night's so blue
And then I go and spoil it all by saying something stupid

with @Wendy Witter & @Kristofer Vermeer
warning : aucun.
15.12.2022 WW HEADQUARTERS.

Il est fier comme un coq ce soir. Fraîchement douché après sa séance de sport, il avait revêtu une chemise cintré qui soulignait son corps d’Apollon, prêtant une attention toute particulière à son look avant de se rendre dans les locaux de la WW où Miss Witter avait concédé de lui donner rendez-vous. Il mettait ainsi tout en oeuvre pour qu’elle ne revienne pas sur sa décision. Loin d’être un charo en dépit des apparences, et du témoignage légèrement biaisé de certaines de ses coups d’un soir, si elle devait tourner les talons ou lui refuser finalement ce verre, il accepterait sa défaite. Ce n’était pas les jolies célibataires qui manquaient à Boston et qui pouvaient étancher sa soif et sa tristesse. Mais Wendy était tout de même une sacré paire de manches. Au-delà du fait d’être particulièrement séduisante avec son allure de Reine des glaces qui titillait son envie de la faire fondre, il devait bien avouer qu’à force de se faire rembarrer par elle, souvent à raison, il avait commencé à sérieusement l’apprécier. Raison pour laquelle il s’était légèrement pris la tête pour savoir où l’emmener et avait interrogé ses collègues et connaissances du coin pour trouver l’endroit idéal. Il se doutait qu’elle était habituée au luxe et aux endroits huppés et que les endroits un peu trop populaire et bondé ne lui conviendrait pas. Wendy Witter vue avec un acteur sans le sou ? Evidemment que non. Alors il pensait avoir trouvé un bon compromis.

Parvenu dans les locaux de l’entreprise de la belle, il avança d’un air assuré vers l’accueil où l’attendait une jeune femme qui discutait avec l’agent de sécurité, un flirt étant clairement en place entre les deux jeunes gens. Ce qui arracha un sourire au néerlandais. Ils cessèrent leurs roucoulades toutefois en le voyant arrivé à une heure si incongrue et il sentit immédiatement l’atmosphère se tendre. “Bonsoir.” les salua-t-il de la manière la plus détendue et amicale qui soit. “J’ai rendez-vous avec Mademoiselle Witter à 20 heures.” Au vu du regard sceptique qu’ils lui lancèrent, il se douta que cela ne devait pas arriver souvent, ou au contraire, que le nombre d’individus qui avaient tenté cette approche était bien trop fréquent. “Je l’ai invité à boire un verre et figurez-vous qu’à ma plus grande, et agréable, surprise, elle a accepté.” poursuivit-il. Il ne savait pas pourquoi il avait pris la peine de le préciser, peut-être pour les gagner à sa cause si elle lui posait un lapin. Le fait qu’elle lui ait proposé de venir la chercher sur son lieu de travail pesait cependant à sa faveur. Il n’attendrait pas à rien, seul au bar. Il adressa un sourire poli à la jeune femme tandis qu’elle appelait les étages pour s’enquérir de la véracité ou non de ce joli bobard.

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L’attente lui parut quasiment interminable alors qu’il observait, en apparence sereinement, l’agent d’accueil qui attendait d’être mise en relation avec son employeur. Le regard malicieux et l’oeil frisottant, il ne la lâcha pas des yeux et un sourire en coin, il ne put s’empêcher de faire remarquer : “Elle vous fait peur einh ? C’est ses yeux. Il paraît qu’en Grèce, elle a changé des gens en statue avec ces derniers.” Si la plaisanterie ne sembla pas faire mouche auprès de l’employée, il entendit l’agent de sécurité étouffer un ricanement bien malvenu compte tenu de la personne qui signait ses chèques à la fin du mois. Ravi d’avoir trouvé un allié, particulièrement surprenant, le néerlandais lui adressa un clin d’oeil complice, n’hésitant pas à rajouter : “Même si pour le coup, la dernière fois que je l’ai vu faire des squat à la salle de sport, c’est seulement une partie du corps des gens qu’elle a durci.” Cette fois-ci, la mine dégoûtée de la réceptionniste trouva écho dans le hochement de tête de l’agent de sécurité. Ce dernier avait intérêt à filer droit s’il voulait avoir l’espoir de conquérir le coeur de sa dulcinée. Kitt, quant à lui, semblait bien être le seul des lieux à avoir l'appétit aiguisé par la jolie rouquine. Ce qui n’était pas plus mal vu que c’était lui qui avait rendez-vous avec elle. Les mains glissées dans les poches de son pantalon, le bruit du combiné que l’on raccroche le ramena vers l’employée qui lui confirma qu’elle arrivait et qu’il pouvait l’attendre dans les fauteuils situés dans le hall. “Elle ne va pas s’enfuir par le sous-sol ?” demanda-t-il, craignant qu’elle ne parvienne à lui échapper mais on ne prit pas la peine de lui répondre.

Haussant les épaules, il se détourna du couple en devenir et se rapprocha quelque peu des ascenseurs, ne voulant courir aucun risque et s’attendant à ce qu’elle le fasse poireauter. Il en profita au passage pour redresser sa chemise et réajuster ses cheveux. Il n’avait pas envie de tendre le bâton pour se faire battre. Elle y prendrait un plaisir trop facile. Le bruit sec et caractéristique de ses talons l’attira telle une mouche et son sourire s’élargit en voyant sa silhouette sculpturale arriver vers lui. Au delà du fait qu’elle était tout autant séduisante en tenue de sport qu’en tenue de ville, il était ravi de constater qu’elle avait tenu sa promesse et n’avait pas profité de l’occasion pour continuer jusqu’au sous-sol ou le faire tant attendre qu’il aurait déclaré forfait. C’était une sérieuse victoire qu’il ne renierait pas et qu’il ne dissimulerait d’ailleurs pas. “Quel sourire ?” répondit-il alors que ses lèvres s’arquèrent plus encore. “Tu es radieuse.” la complimenta-t-il avant d’indiquer aux employés. “N’est-elle pas radieuse ?” Il leur adressa un signe de tête en guise de salutation avant d’ouvrir la porte à la belle businesswoman. “Ce n’est pas très loin.” lui indiqua-t-il, s’excusant par la même de ne pas la conduire en voiture, ce qui n’avait aucun sens au vu de la proximité des lieux et les difficultés de stationnement. “Au pire, si tu souhaites que je te ravisse dans mes bras tel ton prince charmant, mes muscles sont là pour ça entre autre chose.”

La menant tranquillement dans la petite ruelle dissimulée au bout de laquelle se trouvait le bar clandestin Yvonne’s, avec l’impression d’être un gangster des années 30 en galante compagnie, il fit preuve d’une honnêteté déroutante :  “Vous n’avez de cesse de me surprendre Miss Witter.”

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La barre était haute pour parvenir à séduire la belle mais Kitt ne doutait nullement de ses capacités en ce domaine. Il y parviendrait, quitte à se couvrir de ridicule une fois encore. Elle était un défi à relever et qu’il avait bien l’intention de remporter, avec son consentement lucide évidemment. Pour remporter la victoire, il devait posséder l’aval complet de l’incendiaire rouquine qui, de fait, devrait concéder sa défaite. Encore qu’il s’agissait néanmoins d’une victoire pour elle également, sans vouloir totalement se vanter, évidemment. “Mais toi, je t’invite à le faire.” répondit-il du tac au tac, invitant la belle à prendre ses rêves - à savoir la présence charmante de l’acteur à ses côtés et les nuits enfiévrées qui pourraient être à sa portée - avec la réalité - en l’occurrence plus sages que ses rêves les plus fous, mais c’était une simple question de temps. Alors qu’habituellement, l’attitude revêche de sa cible l’aurait fait fuir, il ne pouvait s’empêcher de revenir la titiller, la pousser dans ses retranchements et en redemander encore même lorsqu’elle ne faisait montre d’aucune réelle patience ou considération à son encontre. Sans doute développait-il là un côté légèrement masochiste, sous réserve que ce dernier n’était pas déjà présent en amont.

Parvenus rapidement devant le bar, il glissa ses mains dans ses poches, penchant la tête légèrement de côté sans prendre la peine de dissimuler sa volonté de la scruter. “En bien, je te rassure.” Même si elle n’avait pas vraiment besoin de l’être compte tenu de son ego démesuré qui trouvait l'écho de celui du comédien. “Pour être honnête, je ne pensais pas que tu finirais par accepter et moins encore que tu ne parviennes pas à te défiler.” Son oeil brun se teinta de malice. “A moins que je ne t’ai pris de court.” Une fossette se creusa sur sa joue et s’accentua quand elle lui retourna le compliment, l’expression sur son visage ne laissant aucun doute sur le fait que, pour le coup, ce n’était pas en bien de son côté. Qu’à cela ne tienne, le néerlandais en pris son parti et fit mine de se trouver dans une petite bulle inatteignable qu’elle ne parviendrait pas à faire éclater, aussi nombreuses les piques soient-elles. Elle avait accepté un verre ; elle était bien présente à ses côtés, plus belle que jamais. Il avait déjà gagné en quelque sorte. “En bien, j’imagine.” la titilla-t-il avant de lui ouvrir la porte comme le parfait gentleman qu’il pouvait être en charmante compagnie.

Des notes de jazz et le tintement des conversations résonnèrent à leurs oreilles sans que cela ne soit assourdissant comme dans n’importe quel bar de Boston où Kitt avait mis les pieds. L’atmosphère y était élégante et discrète autant que la clientèle. Ici, on venait pour conclure des marchés entre gens de bonne fortune. Ici, on y amenait sa maîtresse pendant que la légitime se prévoyait une soirée cocooning, persuadée que son époux était en dîner d’affaires ou travaillait tard. Ici, Kitt avait bien l’intention de démontrer à la belle Wendy qu’elle n’avait pas commis une erreur en acceptant le verre avec lui. Il tira la chaise pour l’installer dans un petit coin à l’écart et qui leur offrait autant une intimité qu’une vue appréciable sur la scène où une jeune femme promenait sa voix suave autour du pianiste. “J’ai entendu dire que leurs cocktails faisaient partie des meilleurs de Boston. Il fallait au moins ça pour toi.” la complimenta-t-elle. Il fit un signe discret au serveur pour l’empêcher de venir les voir immédiatement. Elle n’avait accepté qu’un verre : hors de question qu’elle le boive cul sec pour repartir en ayant la satisfaction d’avoir respecté sa promesse. “Dites moi, Miss Witter. Racontez-moi vos passions. Sauf botter les fesses d’hommes dans mon genre, bien entendu.”

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Un sourcil s’arqua à la réponse formulée par la jeune femme. Vivre dangereusement consistait à accepter de boire un verre avec lui. Cette réponse l’amusa, instillant la persistence de son sourire sur ses lèvres joueuses alors qu’il ne dissimulait pas l’examen profond du visage de son interlocutrice. Il avait le sentiment qu’elle n’était cependant pas du genre à se mettre en danger justement. de la jolie rouquine se dégageait un besoin de contrôle quasi vital qui s’il n’était pas pour déplaire à Kitt lui donnait tout autant envie de voler dans ses plumes comme si c’était tout autant essentiel pour lui que de respirer. “Ravi que tu te sois jetée à l’eau alors…” répliqua-t-il avant de poursuivre sur le ton de la plaisanterie une octave en dessous. “... et si tu as besoin d’aide pour te débarrasser de tes vêtements mouillés.” Le double sens de ses paroles se voulait choquant. Il n’avait pas l’intention de dissimuler ce qu’elle instiller en lui. Il n’avait jamais pris la peine de dissimuler quoi que ce soit, étant bien trop franc pour cela. Il en avait d’ailleurs fait les frais par le passé à son plus grand désavantage. Sans doute ce soir à nouveau mais seul l’avenir pouvait le lui révéler.

Quand elle lui indiqua ne pas boire d’alcool, il prit une mine surprise à l’instar du sentiment qui l’inondait. “Oh vraiment ?” Même si elle n’avait ni la tête, ni l'historique d’une éventuelle alcoolique, il devait bien avouer qu’il fut désarçonné par son affirmation durant quelques secondes, ayant bien du mal à imaginer qu’on ne puisse pas boire d’alcool à son âge. Néanmoins, il haussa les épaules et son regard glissa sur la carte. “Ca en fera plus pour moi.” répondit-il magnanime. “Tu pourras prendre une version virgin.” Une fossette se creusa dans sa joue en imaginant qu’elle était sans le moindre doute loin de l’être et qu’elle avait changé également de cette période où il l’avait rencontré et guère prêter d’attention. Ce n’était qu’une enfant, une adolescente à cette période, là était l’explication. Mais maintenant qu’elle était de nouveau face à lui, il avait bien du mal à comprendre comment on pouvait ne pas la remarquer. Elle était tout sauf oubliable. Ayant fait son choix, il reposa la carte et l’observa avec attention, tentant de deviner sur quel cocktail sa décision serait prise et ce que cela révèlerait de la jeune femme.

Il éclata de rire quand elle lui confirma son narcissisme exacerbé, un point sur lequel il ne pouvait lui formuler le moindre reproche étant de la même trempe. “Des passions somme toute largement compréhensibles.” répliqua-t-il, la voix encore chantante et amusée. Il lui semblait essentiel que lorsqu’on devait se résoudre à travailler, il était essentiel de faire quelque chose qui nous plaisait, qui faisait battre le coeur aussi fort que le sourire d’une jolie femme ou que la sensation ressentie dans un saut en élastique. A défaut, la vie ne valait pas le coup d’être vécue. “Et que je peux facilement partager.” Il haussa un sourcil évocateur avant de reprendre. “Mis à part le sport en salle, tu te prêtes à d’autres activités ? Des voyages ?” Il s’intéressait véritablement à elle, une petite voix en lui cherchant à dénouer le vrai du faux, à tenter de sonder ce qu’elle lui présentait. Etait-ce une carapace ou ne dissimulait-elle rien ? C’est ce moment là que choisit le serveur pour venir prendre leur commande. Par galanterie, il laissa Wendy répondre avant de commander une Vodka Cranberry à son tour.

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S’il fallait être honnête et il l’était sans le moindre doute, Kitt se retrouvait dans une situation des plus inédites. Habituellement, il ne convenait pas d’un rendez-vous que certains pourraient définir comme amoureux. Après tout, il avait tiré un trait sur ce genre de chose depuis sa précédente relation et n’avait nul envie de renouveler l’expérience, s’y étant brûler définitivement les ailes. Il se contentait de laisser libre court à ses bas instincts et de jeter son dévolu sur des proies faciles et consentantes. Comprendre des jeunes femmes ou des jeunes hommes qui ne souhaitaient pas s’impliquer davantage que sur un ou deux orgasmes réciproques, trois si l’on était suffisamment en forme. Lorsqu’il y avait un peu plus de challenge, il lui suffisait de deux ou trois phrases séductrices en conversation téléphonique ou lâchées au cours d’une soirée et l’affaire était dans le sac. La situation était, au surplus, inédite que la jolie Wendy Witter représentait une biche de choix. En y pensant bien, le terme biche n’était clairement pas appropriée : à son instar, elle était plutôt carnivore et croquait les hommes au petit déjeuner. Le challenge n’en était que plus intéressant même si le néerlandais naviguait donc en terre inconnu. Comme il le lui avait indiqué, elle était surprenante en tout point et même s’il en était toujours un peu déstabilisé, ce n’était jamais pour lui déplaire.

Il éclata d’un rire sincère et amusé avant de secouer la tête. Décidément, les piques qu’elle lui envoyait faisait mouche systématiquement, comme si elle savait où appuyer pour lui faire mal et le contraindre à fuir. Si son âge et l’apparence y attachées étaient une donnée sensible pour l’acteur, il n’allait pas pour autant mordre à l'hameçon et jeter l’éponge. Oh que non, au contraire. “Tu as peut-être des crèmes à conseiller du coup ? Histoire que j’ai une peau de bébé comme la tienne tout en continuant de boire de l’alcool en quantité et en enchaînant les orgasmes ?” demanda-t-il d’un air ingénu, sans se préoccuper de ses propos crus. Elle entrait dans le même jeu que lui de toute manière et c’était tellement agréable d’avoir une adversaire à sa taille, une jeune femme qui ne se laissait pas séduire si facilement et était capable de lui rendre coup pour coup, pique pour pique. Son oeil brilla de malice quand elle lui concéda que la perche tendue était facile et ne put s’empêcher de rebondir. “Contrairement à toi mais ça nous fait une passion commune alors. On ne peut que s’entendre finalement.” Ils n’avaient pas grand chose en commun certes, mais il appréciait de plus en plus sa compagnie et pas uniquement pour son physique. Le piquant dont elle faisait preuve le titillait toujours plus.

“Hé bien curieusement, oui, ça m’intéresse.” répondit-il avec sincérité, se surprenant lui même. “En temps habituel, j’aurais déjà l’affaire en constatant au bout de la deuxième fois que tu n’étais pas intéressé par un moment charnel avec moi.” Il avait pris le parti de l’honnêteté déconcertante, ne cherchant pas à tourner du pot et découvrant la vérité en même temps qu’il l’énonçait. “Evidemment, tu m’attires énormément et je ne serai pas opposé à l’idée de partager un moment plus intime avec toi, ayant l’instinct que ça marcherait entre nous et que les étincelles que l’on a dans nos conversations se retrouveraient indubitablement en chambre de manière explosive. Concrètement, je suis sûr que les orgasmes que je te donnerais n’auront d’égale que ceux que j’aurais avec toi.” ajouta-t-il sur un ton de conspirateur avant de reprendre de manière plus légère : “Mais au delà de l’alchimie sexuelle, je suis le premier surpris mais j’ai envie d’en découvrir plus sur toi, d’entendre tes prochaines piques et de partager des instants qui sont toujours épiques en ta compagnie.” Il rit doucement en secouant la tête. “Tu vas certainement m’assassiner de ton regard d’acier si je te le dis mais c’est vrai : tu n’es pas comme les autres. J'ai envie de rester, de te découvrir.” Il secoua les épaules. Elle pouvait le croire ou non, c’était son problème. Comme il lui avait promis, un verre et si elle ne voulait plus de ses perches, il ne les tenderait plus. Il était peut être un vaurien sans coeur, il n’en demeurait pas moins un gentleman sur ce point. “Oh, ceci explique donc ton teint de pêche et ta silhouette élancée alors ce régime.” plaisanta-t-il à moitié. “Je ne te serai donc même pas suffisant pour demain matin ?” Il s’interrompit quand le serveur leur apporta leur boisson et leva le verre pour trinquer avec la belle : “Aux bienheureux sur lesquels tu te feras les dents alors ?”