le trajet se déroulait plutôt jusqu'à présent. Jusqu'à qu'un freinage assez brute et dangereux, projettent les passagers à l'autre bout de la cabine. tu n'avais pas le temps de t’apercevoir ou même de réaliser ce qu'il se passait. Tl'u sens une barre de fer qui s'est brisée pendant l'accident qui traverser le flanc droit. Malgré toi, tu lâches un cri de douleur. Le métal avait réussi à s’enfoncer dans ton corps. Sous le coup de la douleur, tu t'étais évanouie pendant quelques secondes avant d'ouvrir tes yeux. Tout était flou. passant une main le long de ton corps, tu sens du sang sur tes mains. tu lâches en te mordant les lèvres jusqu'au sang pour éviter de crier à cause de la douleur. " S'il vous plait, aidez-moi."

BLESSURE : Barre de métal dans le flanc droit qui a empalé fionna.

tu peux pas t'empêcher de faire une petite mine excédée quand il te demande à quelle heure vous devez récupérer maddie. aucune mémoire, c'est dingue - dix-huit heures trente. j'te jure... alzheimer te guettes, c'est violent... - tu pouffes de rire puis poses ta tête sur son épaule histoire de te reposer un peu, ta migraine devenant un peu plus fort avec le bruit de la foule. tempes qui tambourinent, t'essayes de prendre sur toi, parce qu'évidemment, t'as aucun cachet pour calmer la douleur... une main caressant tendrement sa cuisse, t'hausses les épaules, lui disant simplement - ça va, elle est pas tout le temps là... vraiment ça me dérange pas. et puis, si ça me saoulerais je serais pas venue habiter avec toi. je savais que si je venais maddie serait là. - t'es pas le genre de meuf à prendre des décisions sur un coup de tête. elle voit aussi sa mère quelques fois et ces fois là, t'en profite ouais, mais non, maddie te déranges pas. t'as pas toutes les responsabilités qu'a mickey. à part si vraiment il trouve personne, c'est toi qui l'amène chez le doc ou à la nounou... mais ça reste très rare. et puis, au fond, faut avouer que ton rêve c'est de fonder une famille un jour, une famille solide et au fond de toi tu le sais, tu le veux plus que tout.. c'est la fonder avec lui. t'en parles pas, parce que c'est trop tôt, vraiment trop tôt, mais t'y peux rien, t'es vraiment tombée amoureuse, comme une folle. tu lèves les yeux au ciel, puis grimage - tu m'as jamais présenté en même temps, donc non j'ai pas parlé avec elle... ah bha tiens, elle arrive.. - voilà la soeur de mickey qui se ramène vers vous. apparemment, elle te porte pas dans son coeur. c'est pas bien grave, ça te fais juste chier pour lui qui est entre vous deux. si vraiment elle t'aime pas, sans même te connaître, alors qu'elle sait que tu rends son frère heureux... tu peux rien pour elle. rien de plus puéril pour toi et tu préfères même pas insister. et puis, t'es pas assez en forme pour écouter quoi que ce soit. et putain.. tu sais pas c'qui se passe là. t'as l'impression que c'est le truc de trop, ta tête qui explose à cause de cette migraine. comme ci t'étais possédée. le mal qui s'accentue, le bruit qui résonne un peu plus dans ta tête... de la fumée. tes yeux qui brûlent, tes membres qui se tétanisent. t'essayes de parler, mais impossible, rien de sort. la fumée t'étouffe, te coupe le souffle... t'as chaud, t'as froid, t'es secouée, t'as une impression d’apocalypse d'un coup... et t'as l'impression de flotter. tu sais pas si c'est réel ou autre... c'est le trou noir d'un coup. 

@Mickey Ainsworth @Camille Ainsworth

Tout s'est passé tellement vite, que t'as rien vu venir. Tu discutais tranquillement avec ta meilleure amie quand soudain, un bruit à vous percer les tympans se fit entendre, le wagon freine et de la chaleur intense s'y propage. T'as fermé les yeux et serré le bras de @Carmella Moore, mais le choc est immense. Vous êtes projetés et malmenée dans tous les sens. Le wagon vous plonge dans le noir total le temps de quelques secondes, et lorsque vous êtes de nouveaux éclairés, c'est le sang, des corps blessés et inertes que tu vois. Premier choc, parce que toi, t'arrives plus à bouger de là où tu te trouves... tu commences à sentir des picotements le long de tes membres d'un seul côté de ton corps et ta vision se trouble...

Un bruit sourd, une projection violente, puis plus rien. Seulement une obscurité totale et une absence d'une durée indéterminée. Jusqu'à ce que les oreilles sifflantes et le mal de crâne ne me ramène à la réalité, un sentiment d'étouffement que je ne comprends que lorsque ma vision flou devient de plus en plus clair. Mon regard se pose dans celui de la personne qui m'écrase, 40 kilos sur la cage thoracique mais surtout, un regard que je ne connais que trop bien pour le croiser de temps en temps à l'hôpital, un regard vide de toute vie, un regard d'une gamine innocente qui avait encore tant à vivre. La panique qui s'empare de mon esprit, qui balance ce cadavre alors que dans un cri d'effroi, ce geste brusque me fait prendre conscience qu'un gravât immense surement dû à une projection suite à l'explosion bloque ma cheville et mon tibia. La respiration se fait de plus en plus saccadée, mêlant douleur insupportable et peur panique en constatant les dégâts autour de moi. Des corps jonchent le sol du métro, les cris et les pleurs s'évadent au loin, participant encore plus à l'ambiance cauchemardesque.

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{ intrigue, red line w. 1 }
crédit/ giphy ✰ w/ everyone ?

les sms ne passent plus, portion de métro où ça ne capte jamais, elle a l'habitude. soojin, elle finit par ranger son téléphone dans son sac, hausse les épaules. de toutes manières, sihan ne termine pas avant une heure. elle a le temps de rentrer chez elle, de prendre une douche, de se faire belle pour ses beaux yeux. de préparer son sac pour passer le week end chez lui, parce qu'elle a promis, soojin, elle a promis un week end p a r f a i t s'il acceptait de goûter un escargot au restaurant français. et c'est le genre de plaisir simple qu'elle aime en ce moment, la coréenne. le genre de chose qui lui donne envie de croire que peut-être qu'elle est pas maudite après tout. peut-être bien qu'elle l'aime. et elle relève les yeux pour regarder les arrêts, soo, sauf qu'elle les lira jamais. le cerveau n'a pas le temps d'assimiler la situation, que la poupée se retrouve projetée à l'autre bout du wagon, s'écrase contre une paroi rigide, sans trop savoir ce dont il s'agit. barre de fer, plafond, vitre... un choc, puis un second quand le wagon se retourne et s'effondre. et dans le chaos environnant, elle s'écroule, la gamine. tombe au milieu des corps qui se confondent, s'affolent, quand de son côté, elle n'a même pas conscience de ce qui lui arrive. polytraumatisme, la silhouette frêle reste au sol, immobile. inconsciente. plaie à l'arrière de la tête, pronostic vital engagé. désolé sihan, elle sera pas à l'heure pour le restaurant français.

@Sihan Harrison (pour que tu puisses lire bisous)
( hj : pour des raisons évidentes, soo ne va plus intervenir dans le tg, mais libre à ceux qui le peuvent de la mettre en sécurité là où elle se fera pas piétiner )

Je crois que Cléolya me déteste actuellement. Je l'ai forcé à prendre le métro. En vrai j'ai du le prendre deux ou trois fois dans ma vie. Seulement pas obligation. Mais bon je n'avais pas envie d'attendre mon chauffeur, et je préférais me poser chez moi ou chez elle pour qu'on puisse parler plus librement, sans avoir des yeux qui se posent sur nous tous les deux cinq minutes. " Soit patiente, ça fait seulement quelques minutes. " Je souris amusé alors que finalement elle vient à rejoindre un autre mec que je ne connais pas. Elle fait rapidement les présentations entre moi et ce fameux Alan. Mais on n'a pas vraiment le temps d'en dire plus que d'un coup tout bascule. Le métro vient à freiner brusquement, nous faisant basculer brutalement. Je ne comprends rien à ce qui se passe. Et le métro étant blindé de monde, on ne peut rien faire. Je me retrouve violemment projeté, cognant ma tête violemment contre le sol, me faisant instantanément prendre connaissance. Je la reprends quelques secondes plus tard. C'est le chaos autour de moi, et une douleur affreuse vient à me faire baisser le regard vers mon flanc. Et là j'ai cru tourner de l'oeil aussi. J'ai vu cette barre me transpercer. Je tremble. Mes larmes coulent. Mouvements de panique pour les gens moins blessé qui sans le faire exprès me bascule me faisant hurler de douleur. " CLEO ! " Que j'essaye de crier. Je pose mes mains sur la barre en fer et rien que de la toucher, je pourrais hurler de douleur. Mes mains sont pleins de sang. Je tente de rester calme mais je panique parce que je ne vois pas Cléolya. " S'il te plaît, dit moi que tu vas bien... " Et je m'en veux de l'avoir embarqué dedans.

BLESSURE : Barre de métal dans le flanc gauche qui a empalé Dim

@Cléolya A. Strauss @Alan Landrum

Ce moment, malgré qu'on soit tous les deux dans un lieu public, il était à l'image de nous. En accord, câlin, souriant. J'aimais être avec toi et te sentir contre moi, j'aimais capter ton regard du mien, même quand tu te foutais de ma gueule. « Gniagniagnia, arrête de te foutre de ma gueule » J'te tire la langue, bien qu'on finissait par être tous les deux câlins l'un envers l'autre. C'est comme ça, pas autrement. En tout cas, ce petit moment de confidence à propos de ma fille me faisait du bien, me rassurait — non pas que j'ai réellement besoin de l'être mais bon, je crache pas dessus. Et alors qu'on était posé, calmement, je remarquais Halston qui n'était pas si loin et je décidais de lui envoyer un message. Ouais, dans toute ma splendeur, je savais qu'elle ne pourrait pas résister à l'envie de me répondre. Et en même temps, je voulais savoir si toi et elle aviez eu des interactions. De ce que tu me dis, non. Ok, faudrait vraiment que je fasse en sorte que oui. Enfin, c'est peut-être maintenant en fin de compte, puisque Halston avait décidé de venir nous rejoindre, chose que je n'aurais pas cru possible étant donné que tu étais là. « Vu ta tronche de cake, je crois pas non » que je disais, tout sourire, ma main se resserrant autour de la cuisse de ma petite amie. Ouais, peut-être que j'étais un peu mal à l'aise en fin de compte, je m'étais pas préparé à ça. Mais mon sourire, il s'effaçait quand tout se mit à dégénérer. Autour de nous, ça devenait le chaos. Le train se penchait bien trop, vite, trop fort et j'étais malgré moi projeté loin de ma sœur et de ma petite amie. Ma tête heurte quelque chose, mon corps s'écrase où il peut, et c'est immédiatement le trou noir. Impossible de sentir le sang se répandre dans ma bouche, contre ma tempe. Impossible de sentir que le mal était bien plus grave qu'il n'y paraissait.

Lui qui pensait s'être trouvé un coin assez "tranquille" sans trop de passage pour éviter d'être dérangé toutes les deux secondes par quelqu'un qui veut passer ou autre, il a mal calculé son coup là, Wade. Sa mâchoire se crispe lorsque une première personne lui marche sur le pied mais il ne dit rien. Flemme de couper sa musique pour obtenir une excuse qui ne changera absolument rien au final. Nan au lieu de ça il décide de changer de place pour se mettre un peu plus au centre, que ce soit ici ou ailleurs, ce sera toujours la merde de toute façon. C'est pour ça d'ailleurs qu'une femme le bouscule à nouveau. Il pose sa main sur son dos dans un réflexe bienveillant au moment où celle-ci se retourne. Leilah. Un fin sourire vient alors prendre place sur son visage impassible. Rencontre étonnante venant égayer l'espace de quelques minutes son trajet de métro. "C'est comme ça qu'on m'appelle." Qu'il répond d'un ton calme en soutenant son regard. Regard dont il ne dénote aucune once de colère ou de haine, cette fois. Est-ce qu'il aurait véritablement réussi à arranger les choses entre eux ? Question qui restera en suspens encore un moment puisque quelques secondes plus tard à peine, le wagon pile dans un fracas ressemblant étrangement à... une explosion ?  C'est tout juste ce à quoi il a le temps de passer avant de se sentir partir en arrière, son crâne venant violemment heurter il ne sait trop quoi avant de retomber fermement au sol. Des secondes ? Des minutes ? Des heures ? Il ne sait pas combien de temps il est resté là, allongé par terre, incapable de se relever. Mais quand sa vision redevient nette, c'est la cohue totale. Des cris, des pleurs, du sang, des corps inertes un peu partout, il a l'impression de vivre un cauchemar éveillé. Grimaçant de douleur, il finit par se redresser, jetant un coup d'oeil autour de lui avant de porter son regard sur Leilah, ignorant le bourdonnement pénible dans ses oreilles ou cette sensation de chaleur et d'écoulement qu'il ressent à l'arrière du crâne. "Lei... ?"