Quand t’étais venu dans ma chambre à la Mather et que tu m’avais demandé si je voulais aller au bal avec toi, je n’avais pas hésité. T’es fun, t’es mon pote et on s’entend plutôt bien alors pourquoi te dire non. Et on s’était surtout dit qu’on allait s’amuser et faire chier le maximum de gens possible. Toi et moi, on est sur la même longueur d’onde lorsqu’il s’agit d’embêter le monde. On avait une table plutôt cool, je connaissais la plupart des personnes présentes et j’étais contente que mon meilleur ami soit à cette table même si clairement j’étais aussi un peu jalouse mais en même temps avec Maverick, il y a toujours eu trop de possessivité. Quoiqu’il en soit, je passe une bonne partie de mon temps à discuter avec toi, on raconte un peu de la merde, on se moque aussi, et le karma finira par nous frapper fort tous les deux. Cela dit, je crois que j’ai assez donné n’est ce pas ? Tu me prends encore une fois par surprise lorsque tu me demandes de venir danser avec toi. Je crois que t’as pas idée de mes talents de danseuse. Mais j’accepte tout de même volontiers. Les désirs de mon president sont des ordres te dis-je avec un petit sourire. Je crois que ça va être drôle sur la piste. j’espère que tu n’as pas peur du ridicule m’exclame-je. Moi je n’ai pas peur en tout cas !

Finalement, il n'y en a pas un pour rattraper l'autre. Les conneries, on les enchaînes, on s'encourage même à les faire et résultat, on passe une super soirée. Tu vois, j'ai eu un bon feeling dès les minutes qui ont suivis l'invitation au bal que je t'ai faites, je sentais que je n'avais pas fait une erreur en t'invitant. Puis je te dirais que vu mon état en ce moment, c'est quasiment un miracle que tu ais acceptée de venir en ma compagnie. Je veux dire, je m'efforce de sourire bien évidemment, de ne pas penser aux merdes qui occupent parfois un peu trop mon esprit, mais ce n'est pas toujours facile. Le sourire disparaît parfois, le temps de quelques secondes, voire quelques minutes, mais il refait son apparition quand tu me sors une énième connerie. T'es vraiment en train de devenir une bonne amie ce soir Apple. Je prends ta main dans la mienne et on prends la direction de la piste de danse déjà bien envahis par le peuple harvardien. On se fraye un chemin, on se fait une petite place, on donne des petits coups d'épaules, puis je me tourne vers toi, commençant à me déhancher de cette façon très étrange que je peux avoir de danser. "Si tu te fous de ma gueule, je ne t'offrirais plus jamais de Doritos !", que je crie pour me faire entendre. Et attention ! Je le ferais !

Je n’ai pas envie de prendre les choses au sérieux. La vie est déjà bien trop sérieuse alors pourquoi s’encombrer en plus de ça, d’un trop plein de sérieux. Toi et moi, on aime rire et profiter des bonnes choses. Et je ne parle pas de sexe car nous n’avons jamais couchés ensemble. Je ne sais pas si c’est positif ou bien négatif d’ailleurs. Non, en vrai, je me fiche pas mal de ça. Je ne te parle pas pour finir par coucher avec toi, bien que tu sois mignon, attention. Ce soir, je fais un gros effort car tu le sais, l’accident et le coma ne m’ont vraiment pas aidés. Tu ne sais pas que j’ai perdu un enfant, un petit pois qui était le fruit d’une nuit torride avec mon meilleur ami. Personne ne le sait, du moins je ne sais pas si Maverick l’a dit à quelqu’un et je n’espère pas qu’il l’ait fait. Quoiqu’il en soit, toi et moi ce soir, on profite et la piste de danse va avoir bien chaud. Je garde ta main dans la mienne et une fois sur la piste, les choses sérieuses vont commencer. J’ouvre la bouchée en grand, je fais mine d’être choquée parce que tu oserais me priver de Doritos. Hors de question Landrum. tu n’oserais pas mec la j’oublie vite monsieur le président. Je souris. Un petit sourire en coin et commence à me dandiner. Tu sais je suis pas une très bonne danseuse et je commence à essayer de bouger mon ventre. Puis mes bras, ça va être drôle tu sais.

C'était impossible pour toi de savoir la situation dans laquelle tu t'étais mise, parce que clairement, tu t'en voulais qu'elle parte, tu lui as même tenu la main jusqu'à la dernière seconde. Mais t'as l'impression d'être horrible maintenant. Tu viens soupirer, voyant ta soeur finalement arriver et tu rigoles à sa petite remarque Arrête donc d'essayer de m'embobiner Cha, ça ne marche pas avec moi. Si tu avais un mgnifique et beau cavalier, déjà il serait passer à l'interrogatoire prononces-tu avant d'embrasser le front de ta petite soeur chérie. Et voilà qu'elle demande pour Teddy, tu hoches la tête doucement Non Tu n'avais pas envie de lui parler de ton râteau en fait, c'était stupide mais tu avais aussi ta petite fièreté à toi n'est ce pas ? Les boules non ?


@Charlotte De Luxembourg

tu venais enfin de découvrir le visage de ton correspondant. tu étais un peu plus soulagée de voir à quoi il ressemblait. pouvant mettre un visage à celui qui tu as confié tes secrets, les plus intimes. après avoir parlé pendant un long moment avec @Ombrage McKinely il était d'aller danser. danser est une chose que tu avais toujours aimée depuis ton plus jeune âge. Ombrage savait que tu dansais, mais il allait pouvoir le découvrir par lui-même. Tenant sa main dans la tienne, il t'accompagnait sur la piste de danse. où pas mal de duos étaient présents. posant tes bras autour du cou de l'homme de vingt-six ans, tu commences doucement à te balancer de gauche à droite pour lui montrer le rythme. tu étais totalement en confiance avec lui, te sentant agréablement bien à ses côtés. tu avais l'impression de le connaître depuis toujours.

@Ombrage McKinely

Après avoir enfin découvert ma cavalière, mais également ma correspondante depuis quelques temps maintenant, les choses semblaient moins compliquées et surtout, plus agréable. Après avoir échangé avec elle quelques paroles, ayant trainasser dans les environs, j’avais décidé de l’inviter à danser. En réalité, je danse comme un pied…Je ne vais pas mentir, ce n’est pas avec la danse que je risque de séduire qui que ce soit hein. Mais, j’ai retenu pas mal de choses de nos correspondances, notamment le fait qu’elle, elle aime danser. Donc, j’allais faire un effort, pour elle en tout cas. Me dirigeant vers la piste de danse avec elle, je me fraye un chemin parmi les couples avant de laisser la jeune femme poser ses mains atour de mon cou alors que les miennes, elles, se posent sur ses hanches. « Bon, je te préviens, je ne danse pas super pieds. » Dis-je en souriant avec un certain amusement, une petite moue sur le visage. Je sais danser normalement, mais disons que je peux avoir deux pieds gauches quand même.

@Lorena O. Maximoff

Alors qu'il avait opté pour une pique en guise de bonsoir, la brune refusait de le voir ainsi et en profitait pour plaisanter là-dessus, évidemment. Ça ne l'étonnait même pas venant d'elle et... pour être honnête, la seule raison pour laquelle elle ne réussit pas à lui faire décrocher un sourire, c'est parce qu'il se retenait volontairement. Oh non, il n'avait pas envie de lui faire ce plaisir alors qu'elle venait à peine d'arriver. Zahra était peut-être sexy, entreprenante, drôle et tout ce que vous voulez mais elle était loin d'être la seule. Premier choix, second choix ou zéro choix, la question n'était pas là. Raphaëll n'en avait rien à foutre lui, de la place qu'il avait à ses yeux, entre eux il n'y avait rien eu d'autre que de la séduction. Rien que de la séduction. Et visiblement, c'était toujours d'actualité. Il haussa les sourcils, à la fois surpris et amusé par la réponse vis à vis de son cavalier. Mmh, ok cette fois il laissa ses lèvres s'étirer en un sourire. Léger, mais un sourire quand même. Il avait oublié qu'elle ne manquait pas non plus d'audace, la brune. L'une des choses qu'il appréciait autant qu'il détestait chez une femme. Elle l'entraîna sur la piste de danse, ne prenant de toute évidence pas son silence pour un non. Il se laissa faire, piqué par sa curiosité autant que son ennui du moment avant d'étouffer un rire à sa remarque. Lui, jaloux ? Plutôt mourir. "Tu sais très bien que c'est pas mon genre." Déjà parce qu'il n'avait aucune raison de l'être et surtout parce qu'il n'avait vraiment pas un tempérament jaloux le français. Même en couple, il avait suffisamment confiance en lui et  mieux à faire que de se prendre la tête pour des conneries. "Depuis quand tu demandes la permission toi, de toute façon ?" rétorqua-t-il en la défiant du regard avant de poser une main sur l'épaule de la brune, l'autre sur sa hanche. Une danse, rien qu'une danse. "Alors, j'ai le droit de savoir pourquoi tu reviens me parler maintenant, Zahra ?" Pourquoi ce soir, au bal ? Y avait une raison particulière ou bien était-ce juste pour briser son ennui ? Autant poser la question maintenant avant qu'elle ne disparaisse encore pendant trois mois.

Je vais pas bien du tout. J'ai failli annuler ma venue au bal, parce que c'est juste trop dur à encaisser ce qui vient de se passer avec Hope. D'ailleurs je crois que je vais l'éviter toute la soirée. Je veux pas la croiser, encore moins dans les bras de Lorraine. C'est mal, je le sais, mais c'est comme ça. Avant de venir au bal, j'avais déjà bu deux trois bière. J'ai besoin d'oublier ce soir. D'oublier cette discussion avec Hope et oublier aussi qu'il y a deux ans, mon père est mort le jour du bal. Alors certes, ce n'est pas le jour exact de sa mort, mais ça reste l'événement marquant où j'ai perdu mon père ce soir là. Bref, je me retrouve sur la piste de danse avec un verre à la main. Je n'ai pas spécialement fait d'effort pour la tenue. J'ai juste enfilé un pantalon noir, une chemise blanche et une veste de costume (voir le vava). Je ne me suis pas coiffé et mes yeux doivent encore être rouge. Au loin je vois @Carter Bálor discuter avec un gars que je reconnais pas de suite. Donc je m'approche d'eux. " Salut Carter. " Je parais joyeux, mais c'est juste pour cacher que dans le fond, tout va mal. Je lève le regard vers le mec (@Adrian Reed) que je reconnais étant mon avocat. Oh bah merde, fallait surtout pas pour le coup. " Maitre Reed... Enfin on peut peut être s'appeler par nos prénom Adrian... D'ailleurs vous connaissez une certaine Hope Kennedy ? " Je pars en couille. J'aurais vraiment du annuler ma venue au bal.