TG Prunesdanstaface

Lost, les disparus au temple Wat Xieng Thong

Contexte

Suite à la visite du parc Xieng Khuan, au sud de la ville, Nora-Blue décida d'embarquer son équipe de vainqueurs à la recherche d'indice pour l'antidote, les menant droit au temple de Wat Xieng Thong. Une excursion d'une heure ou deux. Selon les prévisions. Car après quinze minutes passés dans le temple, l'équipe se perdit. Les murs se ressemblent, les statuettes les jugeaient du regard, la panique monta. Aucun moyen de sortir alors qu'ils se trouvaient dans une pièce centrale du temple. Et personne ne semblait les entendre. Eux qui avaient prévu de passer la soirée du 4 juillet en festoyant, ils étaient mal partis.. 

Informations

• Quoi: Lost, les disparus au temple Wat Xieng Thong
  
• Où: Vientiane.
  
• Quand IG: 04/07/2017
  
• Quand IRL: 04/07/2017 jusqu'à inactivité.
  
• Qui: Equipe des violets
  
• Merci de faire entre 5 et 10 lignes dans les topics de groupes. (dans les RPs privés vous pouvez faire autant que vous le voulez.)
  

À vos RPs, merci d'ajouter ceci lorsque vous venez tout juste d'entrer dans un sujet:
IN

Code:

[size=18][color=#6a9e3f][b]IN[/b][/color][/size]

et ceci lorsque vous en sortez:
OUT

Code:

[size=18][color=crimson][b]OUT[/b][/color][/size]

Spoiler:

Merde, merde, merde. Pourquoi ça ne devait arriver qu'à elle ça ? Est-ce qu'on essayait d'la tester pour ses capacités de chef ? Parce que là, plus que jamais, elle devait sortir le grand jeu et cessait la panique qui montait en elle petit à petit alors qu'elle observa autour d'elle et ne vit que des murs, et une porte close. Une foutue porte close qui refusait de s'ouvrir, peu importe leurs efforts. « Pas de panique les gars, quelqu'un finira par passer et nous écouter. » Dit-il d'un ton qu'elle tentait de maîtriser, bien qu'elle n'était même pas sûre de ses propres paroles. Les murs étaient atrocement épais, trop épais pour que leurs cris de détresse soient attendus, mais soit, ne jamais perdre espoir. « Quelqu'un a une lampe torche ? » Oui, parce qu'en plus, sa lampe torche venait de lâcher, évidemment. Elle observa son équipe autour d'elle, chaque présent un à un, en jugeant leur réaction. Elle espérait que personne ne soit pas atteint de claustrophobie parce que bordel, elle avait déjà un énorme soucis à régler.

Qui s'est qui a dit qu'il fallait rester dehors au lieu de rentrer dans ce putain de temple de merde à la con ! HEIN ! QUI CA ? Tu soufflas en jetant ton sac par terre. Les endroits comme ça c'est pas pour toi, encore moins quand ils sont noirs comme ça. Tu flippes, t'es à moitié claustrophobe alors merci l'excursion de merde. Tu commences à paniquer quand tu vois que ton réseau est zéro ici et tu regardes ton chef qui demande une torche Et dire que j'aurais du passer mon anniversaire a rien foutre plutôt qu'à être coincer ici dans un temple paumé et débile sans aucun réseau avec même pas une goutte d'eau à boire. Je parle de l'eau le bisounours ! Je parle d'alcool okay ! Et en plus dans un lieu public, tu peux même pas fumer putain ! Vasy l'exécursion zéro NB ! ZERO ! ajoutes-tu avant de souffler et tu commences à marcher dans cette pièce allumé par des lampes torches, tu as déjà l'impression que les murs se resserent alors imagine-toi dans deux heures sans patience .. Non, juste dix minutes ..

Panique s’emparant de chaque pores de sa peau, respiration s’accélérant pour s’enchaîner dans un début de crise de panique, crise sous contrôle, gamine effrayée par le noir ambiant, lui rappelant ses frayeurs d’enfance, le silence de mise, gamine hésitant à intervenir dans la situation, cicatrices du passé jamais vraiment effacée pour offrir un silence morbide chez la jeune femme. Briseuse de réminiscences, Cornelia prenant la parole pour calmer les choses. « Hayden stop. Nora-Blue pouvait pas savoir qu’on allait être complètement perdue, chacun d’entre nous pouvait pas le prédire. Alors ça ne sert à rien de paniquer, tu nous bouffes de l’air plutôt qu’autre chose, qui sait si l’oxygène se rarifie dans ce genre d’architecture. » Mature, gamine préférant les faits scientifiques que céder à la panique, masque neutre sur ses traits de porcelaine, gamine attendant la gifle de réplique habituel, plongeant dans le gouffre du passé.

IN

Je tourne en rond comme un lion en cage, j'ai l'impression de devenir folle. Qu'est-ce qui m'a pris de les suivre ici déjà ? Ah, oui, la victoire. Mauvaise idée pourtant. A peine quelques minutes après nous être engouffrés dans le temple, on s’est mis à tourner en rond. Tout se ressemble, et c’est bien la première fois que j’ai cette sensation. Je sais même pas si tout se ressemble pour de vrai ou si c’est juste qu’on tourne sans cesse au même endroit. Mais qu’importe, c’est un vrai labyrinthe et ça me donne envie de me tirer les cheveux. Ca ressemble un peu – beaucoup – à un mauvais film d’horreur. Je m’en serais bien passée. « Si on devait rester coincés là et se nourrir qu’importe ce qui nous en coûte. C’était l’idée de qui ? » Parce que tant qu’à faire, c’est cette personne qui serait bouffée la première. Parole de Louve. Si j’avais su, je serais restée en-dehors de leur petite affaire et je me suis barrée à dos de Lancelot après l’excursion au parc. Parce que ça avait déjà été agité pour moi et que j’aurais dû me douter que ça tournerait au vinaigre. « Comptez pas sur moi pour de la lumière. C’est mort. » C’est mort parce que j’avais rien, bien sûr. La batterie de mon téléphone s’était vidée à force de faire trop de selfies avec le bff. Je reste nerveuse, à faire les cent pas, je cogite comme une dingue mais je dois me rendre à l’évidence : on sortira pas de si tôt.

Bonjour l'escapade. Lucius aurait pu rester bien au calme dans leurs villa. Mais non, il avait été "forcer" de suivre le groupe, il s'en fichait un peu en fait, puisqu'il aimait bien visiter les temples et autre structures impressionnante qui regorge de secret , cela lui rappelait ses moments perdu dans l'orphelinat ou il s'évadait dans les recoin inconnus. Mais quand Nora insinua qu'ils étaient perdus, il commença à paniquer. Extirpant son iphone de sa poche de jeans, il tenta de joindre quelqu'un à l'extérieur, mais rien n'y faisait, c'était silence radio de l'autre côté, il soupira. « Tait toi cheveux bizarre, on a pas besoin de ton opinion. Attendez, ya une lampe sur le iphone... Mais ça ne durera pas longtemps, je propose qu'on l'ouvre tour à tour, parce que la les mecs... et mesdemoiselles, on y arrivera pas....» Il scruta les alentours, sentant le bras de son compagnon de chefferie effleurer le sien. Il se retourna vers Nora. « T'en pense quoi? Moi je propose qu'on fasse une ronde. En ordre alphabétique? » Voyant que personne ne l'écoutait, il fit la moue. Ce n'était pas le temps de paniquer et son anxiété augmentait peu à peu; farfouillant sur son iphone, il trouva l'application qu'il cherchait et activa une sonnerie qui aura eut le don de réveiller les morts, Furieux, il fit face à ses compatriotes. « Non mais vous êtes fou ou quoi? C'est pas le temps de paniquer! On a qu'à retourner sur nos pas et on s'en sort! Suivez moi! » Dépassant Asra, il partit dans une direction qui n'était clairement pas de par ou ils étaient arriver... Il ragea alors. « BORDEL! » Puis le son de sa voix qui résonnait contre les paroies des murs renvoya une onde un peu plus lugubre vers les mauves. Oups.

On était perdus. On était dans la merde. En soit, j'étais heureux de cette visite, j'étais content, mais là je sentais clairement la panique montait en moi. Mais je voyais bien que tout mes coéquipiers étaient eux aussi en train de paniquer. Ils criaient, s'engueulaient, rejetaient la faute sur l'autre. Bref, on pouvait pas dire qu'on ressemblait à une équipe soudée pour l'instant. J'essayais de réfléchir, mais avec le bordel qu'ils foutaient, c'était impossible. « Les gars, ça sert à rien de paniquer et de crier sur les autres. C'est dans ce genre de moments-là qu'on doit montrer qu'on est soudés, qu'on peut s'aider et qu'ensemble, on peut s'en sortir. On doit être une vraie équipe. » Oui, c'était moi qui venait de dire ça. Et même si à l'intérieur de moi, j'étais en train de me chier dessus hein, clairement. Je savais qu'il fallait qu'on réfléchisse intelligemment, il y avait bien un moyen de sortir d'ici. Puis bon, j'avais pas spécialement envie de mourir ici moi.

Tu es cloué par terre, les bras sur tes genoux, légèrement replier alors que tu n'es pas bien. Tu ne sais pas, c'est psychologique, tu n'aimes pas les endroits confinés, peut-être parce que ton enfance t'a fait beaucoup trop flipper. Tu t'en souviens quand ta mère est décédée, tu étais dans cette pièce tous les jours et là c'est la même. Tu baisses les yeux, tu regardes le sol puis tu lèves les yeux vers Ezio qui n'a toujours pas parler, tu ne sais pas ce qu'il va te tenir. Pour une fois, tu n'as pas la fois de répondre aux autres ou de sortir des remarques ou des blagues, tu n'as rien envie de faire à part partir d'ici.

@Maxwell Rosenwald @Lucius E. Kelles-Krauz @Louve V. Perol @Cornelia Swarovski @Nora-Blue Burberry

Pouah, la bande de bras cassés, et après c’était moi le boulet de l’équipe. On avait décidé de faire un petit remake d’Asterix et Obelix à part que ce n’était pas dans une pyramide mais dans un temple. Je levais les yeux au ciel lorsqu’ils commençaient à se crêper le chignon, c’était reparti pour un tour, et vas-y que je râle, que je ne suis pas d’accord, que je panique. Bonjour l’équipe. Bon en vrai, ils étaient sympathiques mais bonjour la cohésion et l’esprit d’équipe. Personnellement, je n’étais pas vraiment paniquée, quoique je n’avais pas envie de passer toute ma vie dans ce lieu peu charmant, je laissais aux autres la tâche de trouver une sortie. Il y en avait une de toute manière, elle devait pas être bien loin. Je remarquais qu’un jeune homme (hayden) était dans un coin, le visage pale et la mine décomposée. Je m’approchais doucement. « Salut… tu te sens bien ? Enfin j’sais qu’on est pas dans un endroit de rêve mais si je peux me permettre… tu n’as pas l’air au top » dis-je avec un petit sourire histoire de ne pas le mettre mal à l’aise.

T'es pas énervé, t'es pas en colère, t'es encore moins sous médocs, mais tu veux juste qu'on te laisse tranquille dans ta merde, comme si ta vie était la seule chose qui te reste réellement. T'es posé assis, regardant le sol alors qu'on vient te faire chier, tu souffles une première fois avant de l'entendre En même temps, t'as vu le lieu où on est ? T'as cru que c'était le paradis ? T'as cru qu'on était tous en kiff d'être là ! Toi tu t'en fous peut-être mais moi j'aime cet endroit et j'aime encore moins être enfermé. Alors ton bonheur et ta non panique peut être aller déposer ailleurs, si tu veux bien sur, sinon je t'envoie chier plus méchamment au pire dis-tu lentement avec une voix simple et durable sur tout le long. Pour une fois que tu avais pas gueulé, quelle chance !