Né le 7 Septembre 1992 à Séoul, je suis élevé par un homme au nom de Pavel, un homme qui se dit à la mairie n'être autre que la seule personne qui m'élèvera. En effet, le jour de mes un an, ma mère disparaît s'en laisser de trace. Abandon ? Meurtre ? Personne ne sait et même si cet homme au nom de Pavel a être interrogé il en ressort indem de l'interrogatoire.

Avec lui, j'apprends des choses sur la vraie vie, que je dois me méfier des personnes, qu'ils ne sont pas toujours mes amis que ce soit amis, familles et autres. Sur le coup, j'ai refusé son mode de vie, sa vision des choses, mais au fur et à mesure, j'ai choisi de rentrer dans ses codes.

Chaque jour, d'école pour moi était comme un supplice, quitté mon père je ne voulais pas, car être auprès de lui je préférais. Surtout avec les réflexions des autres enfants qui n'avaient qu'un an de moins ou mon âge. Et lorsque je retrouvais mon père, j'étais le plus heureux. Plus heureux d'aller à l'école ou qu'un enfant ouvre son cadeau de Noël.

Je n'ai jamais entendu parlé de la famille de mon père, je ne sais pas pourquoi d'ailleurs. En fouillant dans ses affaires, j'ai découvert une photo, mais malheureusement, il l'a déchiré en deux et m'a demandé d'aller dans ma chambre.

Alors que je joue tranquillement dans ma chambre, une femme se présente au domicile avec deux policiers, elle dit être des services sociaux et montre un papier comme quoi je suis retiré de Pavel, je ne comprends pas et je ne peux prendre seulement que quelques affaires, car, selon la femme, ma nouvelle famille m'attends. Pour la sécurité soit disant, je suis envoyé aux États-Unis, plus précisément New-York dans ma famille d'adoption.

Mme Taylor Juliet et son mari James Walsh, on choisit de m'adopter, tout deux américains. Qui lorsque je les rencontre pour la première fois, je suis assez réticent à l'idée de créer des liens, après m'être fait séparer de mon père unique. Bien que je sois à présent à New-York, Manhattan, en secret de ma famille sur le net, comme tout adolescents qui fait des recherches sur sa vraie famille, je cherche mon père par tous les moyens et de ce que j'ai retenus. Après un an de désespoir je le trouve enfin. Un rendez-vous, que je m'y rends sans avoir vérifié la sécurité et il me fait le coup que j'aurais pu mourir. Mais je suis heureux de le retrouver et les jours suivants, je partage pleins de choses avec lui. En lui je me retrouve et vois le modèle oubliant ce qui se passe dehors, autour de nous deux.

À force d'exercices répétitifs, que Pavel me dise que la douleur n'existe pas, mon cerveau a décidé de ne plus me faire ressentir la douleur. C'est d'ailleurs pour cela que ma mère, choisi de m'emmener faire des tests, après une énième blessure dont je répétais sans arrêt que je n'avais pas mal, alors qu'elle était importante. Les résultats des tests, selon le médecin révèle qu'une partie de mon cerveau n'envoyait plus les signaux de la douleur et que je devais faire attention à chacune de mes blessures dans les années à venir. Nous sommes donc renvoyés chez nous dans l'incompréhension, selon ma mère et elle soutient qu'elle ira voir ailleurs pour un nouveau diagnostic, je refuse en lui hurlant dessus énervé.

Une famille est-elle si clean ? C'est ce que pense bon nombre de personne, d'ailleurs pour ma part j'ai toujours pensé que ma famille était une famille sans encombre, sans histoire. Mais lorsque je fus envoyé à Boston à quinze ans, j'ai douté un peu, je pensais que ma famille me cachait des choses, j'ai commencé à imaginer tout types de scénarios des plus incohérents et cohérent. Mais je voulais la présence de mon père unique Pavel, être seul sur Boston dans un internat, je n'étais pas très à l'aise il faut le dire. Par chance, je réussis à garder contact avec Pavel, mais je ne pus le voir, connaissant la situation pour lui, j'acceptais cela.

Si à dix-sept ans j'aurais imaginé vivre le drame le plus horrible à mes yeux, j'aurais refusé, mais au final cela est arrivé. Je viens à perdre mon père Pavel, dans mes bras comme j'étais habitué à sa vie dangereuse et j'étais d'ailleurs formé à cela. Il vient à me regarder et d'une main tremblante il me donne une lettre, pour dire en derniers mots « ils ne sont pas ta famille » puis je le vois partir, essayant de savoir plus sur ses mots, je constate qu'il est mort. Plus tard, je décide en son honneur de l'enterrer et d'emmener avec moi Gray, le chien que j'ai toujours vu avec lui et dont la complicité et présente.

Je choisis après cet événement d'étudier sur Boston, voulant intégrer Harvard comme ma famille adoptive. Je suis accepté dans cette université de renom, j'essaie même de faire profil bas face à tout ce monde. Au court des premières années, je me fais des amis et ennemis, il faut de tout il faut dire.

Lors de mes vingt ans, un week-end à New-York chez ma famille, je fouille dans les affaires de ma famille dans le grenier, puis je découvre la vérité. Puis ma mémoire travaille en me souvenant des derniers mots.
Depuis tout ce temps, j'ai vécu avec des gens qui disaient ne pas connaître mon père unique, alors que ses derniers étaient la famille de mon père unique le frère et la belle-sœur de Pavel. Mon oncle et ma tante, après cette découverte je choisis de faire des recherches sur mon ordinateur et découvre des choses sur mon oncle (trafique de drogue, trafique de femme).

Mais ce n'est que lors d'une mission, ayant pris la relève de mon père, que je découvre que le meurtre de mon père fut organisé. Et que celui qui a ordonné l'exécution, par son bras droit, n'est autre que mon oncle. Un homme qui a choisis la simplicité, selon lui pour éviter que mon père n’aille parler à la police de ses informations.

Boston, différent de New-York peut-être aussi tranquillité pour moi. Diplôme obtenu depuis longtemps après toutes ses nouvelles. Mon oncle et ma tante, me demande de venir sur New-York pour que l'on discute. Je prends la route en me demandant quoi, puis arrive après trois heures de route, j'y reste un moment, puis repart avec mes réponses et le secret sur ma conscience, mais dénoncé ou pas ma famille pour meurtre et trafique de femme.
Sur le chemin du retour, je pense beaucoup, cherchant mes réponses. Des réponses qui ne viendront jamais.

Après cela je monte mon entreprise, ayant ma propre clinique vétérinaire et travaillant seul. Avec une porte dérobée comme j'aime que j'ouvre seulement avec une clé à l'extérieur et une poignée à l'intérieur, pour aller dans mon espace de recherche avec des placards ou des armes sont suspendues et autres. Personne ne peux savoir que j'ai une pièce ainsi à la clinique vétérinaire. Une clinique au nom de Clinic Taylor Animals.