C'est vraiment trop la honte. Je ne sais plus où me mettre. J'ai choisi le truc le moins ridicule que je trouvais au supermarché. Au moins, je peux m'en débarrasser rapidement parce qu'on ne va pas se mentir, j'ai pris des affaires de rechange dans mon sac, juste au cas où. Quoiqu'il en soit, je m'approche du premier type que je croise (@Duncan Hansen) pour savoir s'il pense comme moi de cette soirée. C'est vraiment stupide. C'est carrément ce à quoi je pensais. Et c'est hors de question que ça se passe comme ça... Autrement dit, il va falloir trouver un plan pour se sortir de là. Et c'est à cet instant que @Deirdre M. Wheelan décide de faire son apparition. Oh, un ange gardien, enfin! Je la prend dans mon bras pour la serrer tout fort. Elle m'a horriblement manqué. Elle nous demande comment sortir de cet endroit et je ne peux m'empêcher de lui adresser un large sourire, heureuse qu'elle soit sur la même longueur d'ondes que nous. C'est justement ce qu'on était en train de se demander...! Je prend une grande inspiration en croisant les bras contre ma poitrine, admirant les costumes de chacun. Le jeune homme propose un plan d'attaque et je ne peux qu'approuver. Excellente idée! Je vais nous chercher des verres! Je m'éclipse un instant pour rejoindre @Charlotte De Luxembourg au bar. J'allais dire salut ma belle mais t'as raison, j'ai plus envie de te mettre des claques dans ce costume! Je ne peux m'empêcher de rire en commander trois verres, constatant que Cha a déjà le sien.

Je ne suis pas du genre à émettre des jugements de valeurs ou autre mais il est vrai que je suis bien content de ne pas être un clochard, à vivre dans la rue, ne pas être propre, fin tout ce que ça inclus d’être un SDF. Du coup c’est tout naturellement que ce soir je me déguise de la sorte même si il y a d’autres choses que je n’aurais pas aimé être. Quand j’arrive à la soirée il y a déjà quelques têtes mais aucunes que je connais réellement, jusqu’à ce que la blonde de Houston fasse irruption dans une tenue osée ce qui me fait rire alors que je la regarde venir. Bien dans mon personnage, je la siffle sans la moindre gêne, me rapprochant d’elle pour la prendre dans mes bras. Je rigole à sa remarque « Espèce de pute … pour pas changer quoi » Bien entendu que je réponds à sa petite attaque mignonne par une autre sinon ça ne serait pas drôle. Je la regarde de haut en bas, me mordant la lèvre inférieur, lui lançant un regard flippant « Alors c’est combien pour la pipe ? Et tant qu’à faire donne moi le tarif de la totale aussi » J’ai envie de pleurer de rire mais je me retiens pour rester dans mon personnage un moment alors que je lui mets une claque sur le cul « Plus vite salope » Puis alors que l’on se prend au jeu enfin surtout moi, Bleach apparaît enceinte et je souris tout en lui faisant un signe à elle aussi. Est elle ici en tant que nouvelle Pfo ou juste en tant qu’invité ? J’en sais rien mais ça peut être l’occasion d’apprendre à connaitre ma cavalière du bal car depuis cette danse nous n’avons plus discuté. Très vite nous sommes rejoints par Agathe qui se la joue hautaine et je la regarde faire alors qu’elle nous prend de haut. Je regarde Marla puis je reviens vers la jolie De Belgique « Elle veut quoi la pète cul là ? Bouge de là princesse et retourne prier le seigneur » Je m’approche d’elle souriant « Et retire aussi le balai que t’as dans le cul, ça t’aidera à mieux marcher » J’adore ce petit jeu de rôle, ça me fait définitivement beaucoup trop rire, surtout qu'au fond je suis content d'être en compagnie de ma copine et de ma meilleure amie.

Curé, prêtre, homme d'église, homme de foi et de moralité. Miles était on ne peut plus ravi de ne pas être ça, de ce fait, ravi de se pavaner dans cet accoutrement ridicule à la première soirée des Pforzheimer. Une première soirée qui marquait en bonne et due forme la rentrée, l'ouverture de ces nouvelles maisons. Duncan était présent, il le savait, ce dernier l'avait tanné ces derniers jours pour qu'il l'accompagne et si Miles avait été indécis jusqu'au bout, c'est finalement Marla qui l'avait motivé à laisser Caprice le temps d'une soirée pour se faire une idée des membres et de l'ambiance de sa future maison. Même si Duncan et Marla étaient réellement ceux à qui il accorderait un regard dans la soirée. Lorsqu'il débarqua dans sa robe de prêtre, avec cette croix attire l'oeil pendant sur sa poitrine, c'est d'ailleurs ces deux-là qu'il cherchait par réflexe du regard. Et c'est son meilleur ami qui s'imposa en premier dans son champ de vision, avec son costume de.. c'était quoi son déguisement ? Accompagné de deux jeunes femmes, il fit un pas vers sa direction pour le rejoindre avant qu'une blonde, sa blonde, Marla, le fit stopper net dans son chemin. Miles dut s'y prendre à deux fois pour confirmation de son identité parce qu'en vue de sa tenue, bas de résilles, mini-jupe, talons hautes, fausse fourrure, il faillit s'étouffer. Il avait commencé à dévier son chemin vers elle du coup avant de se rendre compte de sa compagnie, son meilleur ami dont il était loin d'être fan. Derechef refroidi et peu enclin à se prendre la tête pour la soirée, il reprit alors sa ligne droite vers Duncan et ses deux compagnes. « Rappelle-moi qui a choisi le thème débile de cette soirée à la con ? » Lui, remonté ? Non. « Madame, enchanté. » Qu'il salua brièvement la jeune femme dorénavant seule, présente (Deirdre) avant de prendre le premier verre d'alcool qui lui passait sous la main et l'enfiler cul sec. Il gèrerait l'histoire Marla après un ou deux bons verres.

Je regarde autour de moi, et les looks étaient… horribles, et pour tout le monde. Ce qui me rassure car je me trouve ignoble dans ce déguisement de Trump. J’ai laissé dans la voiture des affaires pour m’habiller autrement, je déteste ressembler à rien comme ça. Je suis surprise quand je vois une personne s’approcher, une personne que je n’ai pas reconnue tout de suite avant de reconnaître… @Colombe Perol . Mon dieu, sa tenue me donne une envie de rire comme jamais, alors que je n’ai pas forcément le cœur à la fête. Mais là, c’est très drôle à voir. « Je te rassure, j’ai envie de me mettre des claques également dans cette tenue. Franchement, la perruque me gratte, je ne ressemble à rien… enfin si, je ressemble à un connard. » Je lève les yeux au ciel tellement tout cela m’exaspère. « Après quand je vois les allures de tout le monde, ce n’est pas mieux. » dis-je en plaisantant. « Non mais Colombe, je rêve de te prendre en photo là dans cette tenue. Ça ferait pâlir nos parents je crois. » Elle en pauvre, moi en Trump. On touche le fond. « C’est quoi cette idée sérieux, on pouvait la jouer classe, limite une soirée chic et choc s’il voulait, mais là. » De toute façon, il suffit de voir l’ambiance de soirée pour comprendre que je ne suis pas seule à penser ça. Je la vois commander, et je ne peux m’empêcher de sourire. « Trois verres ? Tu bois pour oublier ? » Ce qui dans le fond, ne serait pas une mauvaise idée.

« Espèce de pute … pour pas changer quoi » Si je ris à ce moment précis, c'est parce que jusque là, ça m'amusait bien. C'était bon enfant, des taquineries. L'truc, c'est que je ne m'attendais pas à ce qu'Antonio continue dans sa lancée. « Alors c’est combien pour la pipe ? Et tant qu’à faire donne-moi le tarif de la totale aussi » Mes yeux s'arrondissent et mes joues se colorent d'un rouge vif. J'étais pas prête pour ça, encore moins pour la suite. « Plus vite salope » Sa claque sur mes fesses me faisaient faire un bon en avant, le truc qu'il n'avait pas calculé, c'était la gifle que je lui collais en retour en mauvais - pas si mauvais - réflexe. « Calme toi, déguisement ou non, j'suis pas ton jouet » que j'glisse doucement pour le remettre à sa place avec un sentiment de gêne et de culpabilité. « Désolée, elle est sortie toute seule » Mon regard se tourne vers la nouvelle arrivée, Bleach. Mon sourire s'illumine aussitôt et son idée de déguisement est plutôt drôle. Je lui réponds d'un geste de la main et je me tourne encore une fois vers Antonio. Je n'étais déjà pas très à l'aise en arrivant, trouvant l'idée de plus en plus conne à mesure que j'arrivais à la soirée, désormais, je ne savais même plus où me mettre tellement j'étais gênée. Agathe me tire de mes inquiétudes et un sourire apparait à nouveau en la regardant. Je laisse Antonio reprendre son rôle détestable et lui répondre convenablement. « Mais non, elle est déguisée en De Belgique voyons » je ris doucement pour signifier ma plaisanterie. « Vous voulez boire quelque chose ? J'vais aller chercher ça.. » J'tirais déjà sur ma jupe, comme si le tissu allait retrouver quelques centimètres par miracle. J'avais hâte de boire pour oublier et que la soirée soit déjà bien entamée pour me changer. Quand je tourne à nouveau la tête, Miles est là. Mon cœur s'emballe aussitôt. Son déguisement était bien trouvé et d'ailleurs, je priais silencieusement qu'il n'ait pas vu la petite scène avec Antonio, loin de moi l'envie de le voir faire la tête. Je continue de l'observer jusqu'à ce qu'il se tourne dans ma direction. Les papillons dans l'estomac, mon sourire s'affiche naturellement. J'ose un petit geste de la main en guise de salut sans pour autant prendre l'initiative d'aller le déranger.

@Bleach Hansen @Agathe A. de Belgique-S @Antonio Munoz @Miles Hohenstaufen

roxane est une reine, aucun doute à ce sujet. et quitte à devoir affronter harvard pour la première année face à des personnes inconnus, elle voit les choses en grand. la pforzheimer affirme sans aucun doute la suprématie dont elle fait partie, la soirée est une manière de briller plus que les autres, de trouver des gens qui lui prêteront allégeance. sourire perfide aux lèvres, elle s’amuse d’avance du thème. i’m glad i’m not. oh, la vérité est qu’elle est heureuse de ne pas être les autres, pour rien au monde elle n’échangerait sa place. mais puisqu’il faut jouer le jeu, elle se renseigne. les gens qui font partie de l’endroit, d’où est-ce qu’il venait. première cible ? aymalyne strauss. demoiselle au caractère trempée qui semble croire qu’elle règne sur l’ensemble des étudiants. amusée, elle lisse ses longs cheveux blancs, glisse dans ses cheveux un diadème en plastique orné de l’inscription : ancienne présidente. chose qu’elle devra sans aucun doute se rappeler. elle fait partie du passé et ce n’est ni son ancien prestige ni sa désagréable manière d’aboyer sur les gens qui changera quoi que ce soit. vêtu d’une robe bleu roi rappelant la couleur de l’ancienne maison eliot, elle entre dans les lieux l’air sûre d’elle, déjà prête à déclencher des histoires. premier groupe qui attire sa vision et elle s'y incruste, consciente que son déguisement n'est pas le plus explicite mais.. hors de question qu'elle ait l'air d'une plouc jusqu'au bout des ongles. ━ bonsoir, aymaconne pour vous servir petite révérence, l'air de rien.

IN

Vendeur de glace. Genre, le costume horrible et vraiment ridicule que les employés devaient porter avec un sourire. Le costume qui mettait en avant le thème du glacier chez qui ont allait. Et Fredrik avait vraiment galéré à trouver son costume. Il portait une petite casquette avec des oreilles de lapin tombantes, une chemise blanche, un pantalon marron affublé d'un affreux pompon blanc au niveau des fesses. Tout ça pour ressembler à la mascotte d'un glacier américain, un truc bien moche. Jamais, Fredrik ne supporterait de tomber aussi bas. Mais s'il continuait ses conneries, son père lui couperait les vivres et ce serait le genre de costume qu'il porterait pour renflouer son compte en banque. Il n'avait pas envie de se rendre à cette soirée dans cette tenue mais il avait promis à ses potes de venir et de s'intégrer convenablement à la maison. Aussi, il franchit les portes de la soirée dans sa tenue complètement ridicule, priant le seigneur pour qu'il puisse se changer en cours de route.
@Clyde Erickson@Léonidas de Savoie #pfo

Ca l’amuse. Eux, ça les ennuie, ça les emmerde de se grimer en ce qu’ils ne sont pas. Mais, Lex, elle y voit un moyen de fuir encore un peu. De se barrer de sa propre carcasse, pour mieux respirer. Le décolleté exhibé, la blondeur, ces motifs ridicules, ça la faisait marrer dans le miroir, et c’est toujours le cas, même dans le reflet des prunelles d’autrui. Même dans tes prunelles à toi, Cooper. Décidément inspiré par la tenue. Les lèvres s’entrouvrent ; parce que demoiselle se fait désarçonner, à peine une seconde. Et l’inférieure se fait attaquer par ses dents, les prunelles s’enrobant de malice. « J’te traînerai sous la douche avant, par précaution. » Jouer avec la flamme, et ne pas se rendre compte de l’odeur de cramé. Qu’importe. De l’alcool, entre ses doigts. L’ennemie, en cloque, pas loin. Lui, qui lève son verre. Lex, qui fait de même, un ravissant sourire provocateur aux lèvres, ses doigts libres malicieusement arrimés au bras de l’homme. Glisse à l’allié, un amusé : « J’crois qu’elle est jalouse de ma tenue. » T’as gagné toutes les batailles Bleach, laisse-moi au moins savourer ta défaite temporaire, ton regard qui se brise, laissant supposer le désastre intérieur. Y a une cicatrice, là, sur le pitoyable battant en vrac de l'américaine, qui n’est due qu’à vous. Et un jour, elle sera tracée d’une pointe de couteau, sur les vôtres ; cœurs égoïstes. On trinque, et Callaghan corrige : « Aux nouveaux départs. » Personne n’y croit, mais l’essentiel c’est d’réussir à se berner soi-même. Puis, sous leurs yeux les nouveaux arrivants, la première claque, la sublime Deirdre, dont la présence assaille un peu plus le ventre de Callaghan. Elle capte son regard, et esquisse un léger sourire en guise de salut. Lit que tu lui manques. Puis, elle pouffe dans son verre en voyant la fille qui débarque, grimée en leur ancienne présidente. « A ton avis, combien de temps avant que cette confrérie ne s’autodétruise ? » Vu les personnes assemblées, j’vois même pas comment la confrérie peut ne pas brûler avant la fin. Trop de différences. Trop de Bleach.


@Bleach Hansen @Hardin Cooper @Deirdre M. Wheelan

Tu peux bien sourire, Hardin, faire le fier comme tu voudras au bras de ta fille de joie, mais je l'ai bien vu aussi, ton air crispé devant mon costume du soir. J'ignore par ailleurs royalement sa compagne de la nuit, me détournant et ce de façon bien déterminée à vider le bar de ses bouteilles, néanmoins je m'arrête dans mon élan face à la jolie brune qui s'excuse, prétextant ne pas avoir regardé où elle allait.  « Eh bien ça fait de nous deux étourdies, la balle au centre. » mon sourire s'agrandit, plus détendue que lorsque j'observais Hardin en compagnie d'Alexis, et la demoiselle se présente : Cléolya, joli prénom, original. « Bleach. » Je lui retourne son sourire, me présentant en retour. Paille coincée entre mes lèvres, je prenais une grande gorgée de mon verre avant de rire légèrement à sa question. Ca me semblait si absurde, l'idée d'être véritablement enceinte. Je voulais pas d'enfant. Encore moins ces derniers temps. Du bout de l'index, j'appuyais sur ce ventre arrondi en mousse, avant de répondre : « En effet. C'est mon costume à moi. La parenté c'est pas mon dada. » Auquel cas je serais probablement la pire mère qui soit, à boire en pleine soirée étudiante avec un ventre de femme enceinte de huit mois. « Je t'offre un truc à boire ? » Que je demande ensuite, précisant : « Pour me faire pardonner mon étourderie de tout à l'heure. » Autant commencer sur de bonnes bases dans cette nouvelle confrérie, même si j'y remarque déjà quelques... parasites bruns au regard en amande. Au passage, balayant à nouveau la salle du regard attirée par les paroles d'une blonde (Roxane) qui ne manquait pas d'audace, je ris et remarquais assez aisément mon frère en compagnie de sa meilleure amie. La hache de guerre est enterrée, je lève mon verre à leur adresse, sourire poli, sourire serein sur les lippes rosées. Ah, y a son meilleur ami avec, aussi. Non, lui, il peut mourir dans un coin. Mon regard le balaie, sans s'y arrêter, me détournant à nouveau vers la douce Cléolya.

i'm glad i'm not  ★ ─ w/ #pfo

Lueur éteinte, j’avançais dans ma vie, comme au milieu de ces inconnus, à l’aveugle. Je continuais de chercher une issue pour m’échapper, du fléau qui régnait autour de moi ou encore de cette soirée. Je regardais le cadrant de ma montre d’apparat qui tranchait avec le reste de ma tenue, observant les aiguilles avancer toujours sur ce même rythme. Un pas, puis deux et mon regard interloqué se posait sur la silhouette de cette jeune femme. Des excuses de la part des deux parties, souriant timidement à sa remarque, je décidais finalement de me présenter. Bleach, eau de javel en français, blanchisseur extrêmement puissant, bien loin d’être représentatif de l’étincelle noir qu’elle portait dans son regard. Elle ingurgitait une grande gorgée de son verre, avant de remettre dans le contexte, son choix de costume. Je riais, bien moins timidement que la première fois à son geste, puis à ses mots. « La parenté pour toi, la pauvreté pour moi. » Même si c’était plutôt la maladie qui m’inquiétait plus que la perte de la dynastie familiale. « Avec plaisir, ce qu’ils ont de plus fort. » Peut-être qu’avec quelques grammes dans le sang, je supporterais un peu plus cette soirée, quoi que jusqu’à présent, la rencontrer m’avait permis d’oublier un peu les à-côtés. À mes mots, le barman s’afférait à me préparer un verre, alors que nos regards étaient captivés par le numéro de la belle bonde qu’entrait en scène. Si le déguisement n’était pas parlant pour tout le monde, à la vue de son diadème et l’inscription, je comprenais très vite qu’il s’agissait de ma sœur. « Tu la connais ? » Que je soufflais donnant un petit coup de tête nonchalant en direction de Roxane, le sourire aux lèvres, motivé par cette guerre qu’avait déclenché Aymalyne. J’attrapais mon téléphone, laissant mes doigts y écrire un message vitesse grand v. Débrouille toi pour me trouver un chien, petit, style caniche, le plus rapidement possible. À l’adresse où tu m’as déposé. « J’ai l’intime conviction que cette soirée prend un nouveau tournant. » Laissant rouler mon verre contre mes lèvres, regard vengeur, j’y voyais là l’opportunité de pousser un peu plus le vice. « Elle joue très bien ma sœur. »

@Bleach Hansen @Roxane Nesbitt

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