Oh je me doute bien que tu me le ressortiras en temps voulus, t'en servant pour me soutirer un service ou quelque chose de ce genre là. Mais ça ne marchera pas. Enfin... Je dis ça maintenant, mais je sais qu'il m'est difficile de lui résister à chaque fois, elle a des atouts non négligeable pour me faire céder. Grand gamin que je suis, je lui vole son amuse bouche pour le manger à sa place, puis recommence la fois d'après, ce qui me vaut un tirage de langue de la jeune femme sur mes genoux. "C'est bon je te rembourse !", j'en attrape n nouveau et me prépare à le déposer dans sa main avant de me raviser tout en lui disant: "Mais il faut que tu viennes le chercher !". L'amuse bouche prends la direction de ma bouche et je le coince entre mes lèvres. Ouais je quémande un bisou de toutes la façons possibles et imaginables.

Je fais le mec chiant pour avoir un baiser alors que je sais que je n'ai pas franchement besoin de ça pour que la jolie brunette m'embrasse. C'est ma petite-amie, ma meuf, mon amoureuse, j'ai le droit le de goûter ses lèvres quand bon me semble et je ne m'en lasse jamais. Evidemment, elle me fait une remarque avant de venir finalement se prendre au jeu, attrapant l'amuse bouche entre ses lèvres avant de m'embrasser tendrement. Ne quittant pas ses lèvres, je me lève et la porte alors que je continue a l'embrasser jusqu'à ce que je la dépose sur sa chaise. Mes lèvres touchent une dernière fois les siennes pour un doux baiser avant de finalement repartir en cuisine en gueulant: "C'est l'heure du fiasco !". Dans le frigo, je sors le plateau de foie gras vulgairement présenté avant de ramener deux assiettes vulgairement présenté sur la table. Je t'avais dis, c'est pas du 5 étoiles ce soir...

Ouais ! C'est grand Dylan ce soir, le plus romantique qui soit pour oublie les mauvais temps entre nous. Et j'ai l'impression que ça marche, la demoiselle est souriante et ses baisers laissent transparaître son amour pour moi. La voir sourire ainsi est la plus belle des récompenses, tout comme ses compliments tandis que son pouce vient caresser mon avant bras. Elle se redresse et commence à nous servir, je la remercie avant de lui souhaiter un bon appétit. Finalement, Sheshe récupère sa main pour mange et son pouce glisse sur la paume de ma main qui n'est pas comme d'habitude. Elle me jette un regard et je ne lui souris avant d'expliquer: "C'est rien ma belle, je me suis brûlé en cuisinant cette aprem, ça laissera une trace mais c'est pas grand chose je te jure.". J'ai pris cher sur le coup, j'ai pas fait le malin, mais c'est bon maintenant, ça fait mal si on appuie dessus seulement.

Les risques du métier comme on dit ! Je me suis brûlé comme un imbécile et je me fais griller bêtement par Sheshe qui passe ses doigts sur la paume de ma main où se situe la blessure. C'est pas très jolie, je te l'accorde, mais ça ne fait plus trop mal dorénavant, tes caresses font même un peu de bien. "Non, j'ai passé sous l'eau froide seulement, puis j'ai laissé comme ça.", répondais-je en regardant le regard presque accusateur de la belle en face de moi. Ce n'est pas ce que j'aurais du faire ? Une pommade ? Je dois avoir ça dans ma trousse de soin mais aucune idée si j'en ai une pour les brûlure. "Mais on s'en fiche ! Faut pas gâcher le repas pour ça ma belle !", mexclamais-je en essayant de récuperer ma main, sans succès, la jeune femme la tenant fermement.

Je ne parviendrais pas à retirer ma main, à lui faire comprendre que ce n'est pas bien grave, qu'il ne faut pas interrompre ce repas pour ça. En même temps, c'est vrai que ce n'est pas très jolie comme blessure. La demoiselle finit quand même par se lever et part l'espace de quelques minutes avant de revenir, pommade en main. Je la laisse prendre ma main, inutile de lutter, je me ferais engueuler, et je la laisse appliquer la pommade sur ma blessure. C'est vrai que ça fait du bien, je ne savais même pas que j'avais une pommade comme ça chez moi. "J'aime bien quand tu prends soin de moi ma chérie.", dis-je en toute honnêteté. Mais ne commence pas à croire que je fais exprès de me blesser pour que tu me soigne, je ne suis pas maso quand même.