Je fais le malin à lancer des jeux comme ça alors que je sais de toutes évidences qu'elle est la plus forte de nous deux. Je n'ai pas un grand seuil de résistance quand il s'agit de Sheryln, j'aime laisser mes mains parcourir son corps et mes lèvres trouvait les siennes. Et l'optique de ne pas la toucher durant plusieurs jour me frustre beaucoup. J'en profite donc cette nuit et vient l'embrasser, je sens sa langue me taquiner avant quelle ne me chuchote une affirmation qui me fait rire. "T'es entrain de dire que je suis faible psychologiquement Cortes ?".

Elle vient poser sa main sur mon sexe et j'essaye de cacher le plaisir qu'elle me fait en lui répondant: "N'importe quoi ! C'est un dur mon ami et tu le sais très bien !". Tu ne le connais que trop bien mon ami, c'est le seul dont je ne suis pas jaloux quand il s'approche de toi. Elle vient ensuite se poser sur le côté, me signifiant que c'est pour que je ne craque pas. Je ne sens plus sa peau contre la mienne et ça me frustre mais je joue son jeu et lui tourne carrément le dos de mon côté, plus pour ne pas la voir que pour la faire chier. "De toute façon, tu m'as épuisé j'ai sommeil !"

Evidemment que c'est dur, tu me fais bander comme un taureau très facilement et tu le sais, pas besoin de mettre ta main dessus pour le savoir. Cependant, je ne peux m'empêcher de faire le fier une nouvelle fois: "Qu'est ce que tu raconte, elle est au repos là !". Puis je me tourne pour éviter toute tentation, je sens tes fesses venir me bousculer et je bascule sur le sol comme une merde. Je me relève et la voit toute souriante, tu ne vas pas t'en sortir comme ça ma belle, je me vengerais un jour ou l'autre. Mais pour le moment je préfère continuer ce jeu de l'ignorance pour ne pas craquer: "Tu veux pas de moi on dirait, je vais aller dormir sur le canapé du coup...". Je prends la direction du canapé et viens m'allonger dessus. Difficile de faire ça alors qu'une jolie créature vous attends pas loin.

J'en peux plus de cette meuf, on ne peut pas s'empêcher de jouer et ça finit toujours comme ça, des situations complètement débiles comme se retrouver elle dans le lit et moi sur le canapé. "Très confortable mais le cuir ça colle aux fesses un peu !", lui dis-je alors que je restais à me faire chier, le silence s'instaurant avant que je reprenne la parole: "Sheryln...". J'attends d'entendre sa voix avant de lui répondre de nouveau: "Je crois que j'ai mon ami qui est tout triste maintenant, il était tout dur et il devient tout mou !". Non mais sérieux Dydy, tu as pas mieux comme blague pourrie ?

Enfile un slip... C'est ça ta solution miracle Sheryln ? Je rigole bêtement de son énième connerie ce soir. Enfin... Je ne suis pas mieux niveau connerie ce soir et je l'entends éclater de rire quand je lui dis que mon sexe se ramollit. Elle me prends même au piège en me sortant ce que je lui ai dit plus tôt. Je peux difficilement faire le malin maintenant, je me contente d'un: "Ouais bah mon ami il te fait la gueule maintenant j'ai l'impression, il veut plus jouer avec toi !". Non mais ça devient de pire en pire cette nuit, si on continue comme ça, on ne va pas dormir Sheshe, et pour une fois, ce ne sera pas parce qu'on s’envoie en l'air