SUGGY, there's nobody like you ❀ est-ce que tu avais changé d’avis ? est-ce que finalement, tu trouvais que c’était trop tôt ? peut être qu’on vivait bien trop de chose ces derniers temp pour que t’ai aussi envie de passer ce cap. j’en savais rien et soudainement, je stressais. parce que ouais, j’avais peur que tu m’expliques qu’il serait mieux qu’on prenne notre temps. j’voulais pas prendre mon temps, j’voulais juste passer le reste de ma vie avec toi et.. j’sais pas. j’crois que ouais, quelque part, quand je parlais de toi, j’avais envie de dire que tu étais mon mari. « le mariage de mes rêves c’est juste si toi t’es là » alors je me fichais du reste au fond. j’y accordais pas plus d’importance que ça. j’voulais juste remonter une allée et te dire oui. on avait pas besoin d’organiser un truc majestueux parce que l’amour que l’on se portait c’était déjà la plus belle chose au monde. « wright c’est très bien » parce que c’était toi ma famille. mon unique famille. t’étais le seul qui ne m’avait jamais laissé tomber alors ouais, j’avais pas besoin de composer mon nom ni rien de tout ça. « tout ce que tu veux, tout me va. » j’avais de toute façon pas envie de me prendre la tête pour des broutilles alors ouais, on organisait ce que tu voulais, y avait rien qui me dérangeait. moi, j’préférais venir chercher tes lèvres, doucement. puis accentuer un peu l’échange en laissant ma langue venir jouer avec la tienne. j’veux juste que tu saches que je te désire toujours autant en fait. que tu saches que t’es toujours au dessus de tous les autres. et je t’aime. plus que n’importe qui d’autre au monde. t’es l’homme de ma vie et j’ai besoin de toi. ni plus ni moins.

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Se marier avec la femme qu’il aime, c’était son rêve. C’était son rêve depuis si longtemps… et sachant qu’il l’aimait depuis des années Meghan, il avait eu le soin d’imaginer ce mariage pendant des heures et des heures de perdition dans sa chambre, quand il pensait à elle, dans sa solitude. Sullivan n’était pas comme les autres hommes qu’elle a pu fréquenter et le fait que leur relation allait si vite pouvait faire peur, pouvait effrayer les autres qui trouvaient qu’ils sautaient des étapes. Mais Sullivan il savait que c’était la bonne. Et le fait que Meghan ait ouvert les yeux sur lui, qu’elle l’ait enfin vu comme une option envisageable, il n’en était que plus heureux. Et si leur relation pouvait être en dents de scie, c’était pas pour autant que leur amour était pur et vrai. Sullivan aime Meghan sans condition, et la réciproque tenait tout autant. « Tu as quand même d’autres exigences qu’une escale à Vegas, quand même ? » Et il n’oubliait pas qu’elle avait déjà eu un premier mariage avec son amie, chose qu’il avait pour le moins mal pris. Seulement, il avait su tourner la page de cet événement sombre pour lui. Il aurait voulu être le seul et l’unique. A présent, aux yeux de la loi, il sera le second. « Meghan Wright, femme de Sullivan Wright et mère de deux magnifiques enfants » soufflait-il entre ses lèvres, alors qu’elle était tout contre lui. « Tant qu’on se marie, le reste t’importe peu, c’est ça ? » qu’il disait en la taquinant plus qu’autre chose. Mais il était très vite interrompu dans son esprit par la langue de celle qu’il aime venant chercher sa jumelle. Et Sullivan, il répondait à ce baiser, il répondait par l’envie qui l’animait. Il s’était libéré sur ce point, sûrement au plus grand plaisir de la future Mme Wright. C’était bien pour ça qu’il venait la porter d’un coup, après avoir glissé ses mains à l’arrière de ses cuisses, pour qu’elle puisse enrouler ses jambes autour de sa taille. Il finissait par la plaquer contre un mur, encore vierge de toute peinture, avec pour idée de la soutenir de cette façon. « Je t’aime » soufflait-il contre ses lèvres avant de reprendre un baiser tout aussi langoureux.

SUGGY, there's nobody like you ❀ ouais, voilà. t’es l’homme de ma vie. ni plus ni moins. y avait besoin de se faire des tas de déclaration parce que je le sais, tu le sais et c’est le plus important. « ah non, pas vegas. abuse pas toi aussi. » mon premier mariage avait été à vegas. avec holly. et on avait bu. hors de question que notre mariage à nous puisse être comparée à l’autre. parce que nous, c’était quelque chose de vrai. regarde, moi qui me foutait de tout, j’étais prête à construire mon avenir avec toi alors ouais, tu m’avais poussé hors de mes limites. c’était hors de question qu’on puisse se marier dans une ville comme vegas. je refusais totalement pour le coup. « épouse plus que chanceuse aussi » parce que même si tu t’en rends pas compte, tout le monde voudrait avoir un sullivan dans sa vie. j’comptais plus le nombre de fois où tu m’avais supporté dans les épreuves. ou t’avais juste été présent dans mes silences. t’étais mon roc sully, vraiment. et t’étais aussi la personne la plus gentille que je puisse connaître. disposant du plus de valeur inimaginable dans ce monde. et j’savais pas ce que j’avais fait pour mériter de t’avoir dans ma vie mais pour rien au monde je ne voudrait échanger ça parce que tu étais clairement la plus belle chose qui ait pu m’arriver. et jamais je ne pourrais regretter d’être venu te voir dans ton jardin. ni d’avoir pris ta défense dans cette cours de récréation. parce que c’était de cette manière qu’on avait créé la plus belle des relations. « t’as tout compris » que je répondais dans un sourire. mais j’avais plus vraiment envie de discuter et je préférais venir t’embrasser. d’abord tendrement puis avec bien plus d’ardeur comme si y avait une éternité qu’on avait pas fait ça. et c’était un sourire qui venait étirer mes lèvres quand tu me soulevais soudainement du sol avant de me plaquer contre le mur. « je t’aime encore plus » et j’enroulais mes jambes autour de ta taille mes mains venant s’engouffrer dans tes cheveux. « fais moi l’amour ici » contre ce mur. maintenant.

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« C’était pour te faire réagir » Il savait Sullivan qu’elle n’était pas fan de Vegas quand ça concernait leur mariage. Elle s’était déjà mariée là-bas, quelque chose qui n’avait rien à voir avec l’amour. Et ouais, elle ne souhaitait pas que cette ville soit associée à eux. Ils s’aimaient Meghan et Sullivan et leur amour ne devrait pas être associée à la ville où les mariages se faisaient à la pelle tous les jours. Il le comprenait et c’était bien pour ça qu’il avait mis en place toutes les démarches pour qu’ils puissent se marier sur la plage de Boston. Se marier. Il avait encore du mal à se faire à l’idée que d’ici quelques semaines, Meghan Harrison deviendra Meghan Wright. « Et je serai l’époux le plus chanceux » soufflait-il doucement contre ses lèvres. Oui, il était en train de réaliser tous ses rêves à ses côtés. L’amour, la famille, et même le basket se portait très bien. Il avait eu des entretiens avec quelques recruteurs qui semblaient intéressés, dans quelques années, deux environ, pour qu’il intègre une équipe bien classée. Sullivan allait bien en parler à Meghan, quand les choses seront un peu plus calmes. Et alors qu’il l’avait soulevée pour la porter et la soutenir contre le mur, le baiser qu’ils échangeaient devenait de plus en plus soutenu, devenait de plus en plus passionné. Et oui, ça faisait bien longtemps qu’ils ne s’étaient pas retrouvés dans cette position les deux là et ça lui faisait du bien à Sullivan d’être de nouveau dans ce genre de situation avec elle. Eux deux, contre le monde entier. Eux deux et leur amour qui émanait de leurs deux enveloppes corporelles. « Tout ce que tu veux mon amour » soufflait-il avant de la lâcher afin qu’elle puisse se débarrasser de ce qu’elle portait. C’était la chambre de leurs enfants… ça aurait pu les rebuter, mais non. Il était enivré par la simple idée de la retrouver de cette façon qu’il ne réfléchissait plus vraiment. Se déshabillant lui aussi, suffisamment pour pouvoir faire ce qu’ils voulaient, il attendait qu’elle ait fini pour reprendre cette position qu’ils avaient juste quelques instants auparavant. Dès qu’elle était de nouveau dans ses bras, il venait chercher ses lèvres, comme s’il était incapable de s’en défaire, pour l’embrasser comme si c’était leur dernier jour ensemble.

SUGGY, there's nobody like you ❀ « je te jure que si tu m’emmènes à vegas, je dirais non et je ne t’épouserais jamais. » vraiment. parce que certes, je voulais une cérémonie simple. je pouvais me contenter du truc le plus basique au monde mais il était hors de question que j’aille à vegas pour t’épouser. j’te jure, ça se ferait pas. j’voulais un truc beau. un truc qu’on aurait envie de raconter à nos enfants quand ils seraient en âge de comprendre. pas.. un truc dont on aurait honte parce que ça se serait fait en cinq minute devant elvis presley dans une chapelle plus que douteuse. ouais, on méritait mieux que ça toi et moi. vraiment. « ah, ça je sais pas. paraît que je suis pas la personne la plus facile à vivre. » et en fait, t’avais déjà pu le constater après tout ce temps. j’étais.. insupportable? ouais. je pouvais vraiment l’être. et les disputes qu’on avait pu avoir en était la preuve en fait parce que clairement, ça avait quasiment chaque fois prit des proportions incroyables. mais là, y avait tout qui s’envolait quand ton corps venait emprisonner le mien contre ce mur. j’te jure, ça me faisait du bien de te retrouver comme ça. c’était.. comme s’il n’y avait plus que de l’insouciance entre nous. comme si pour un instant, on mettait toutes nos responsabilités de côté et ouais, ça faisait vraiment du bien. alors quand tu me laissais gagner le sol, je ne tardais pas à retirer les vêtements que je pouvais porter me mordillant la lèvre inférieure. j’aimais tout chez toi, tu t’en rends compte ou pas ? tu me fais vibrer un peu plus à chaque seconde et.. ouais, je donnerais n’importe quoi pour toi en fait. mes lèvres revenaient danser avec les tiennes, mes doigts glissant sur ta peau déjà chaude et je soufflais contre tes lèvres ayant du mal à contenir l’envie que je pouvais ressentir à ce moment.

y avait des jours où je me demandais comment est-ce qu’on avait pu en arriver là aussi vite. j’te connaissais depuis que j’étais gamine. dans mes premiers vraies souvenirs, t’étais déjà là. et puis un jour, t’avais eu le courage de dire ce que tu ressentais vis à vis de moi et clairement, j’avais été infect à cette période. peut être que j’avais eu peur, peut être que j’avais pas su faire preuve d’autant de courage que toi mais au final, regarde où est-ce que ça nous avait mené. à agir sans réfléchir, on se retrouvait parents alors que je n’avais même pas atteint la vingtaine et.. je sais pas, quelque part, je ne regrettait rien. parce qu’à la seconde où mes yeux s’étaient posés sur addi et simon, j’avais su que c’était la plus belle chose au monde. pourtant, créer une famille ça n’avait jamais été dans ma to do list, bien au contraire. mais toi.. toi, tu faisais tout changer chez moi. mes envies, mon futur et.. ouais, t’étais le seul que je voulais. et c’était parce que c’était toi que je n’avais pas peur de tout ce que l’on était en train de créer. et mes souffles venaient se perdre contre ta peau, s’accentuant toujours plus dans l’effervescence du moment. j’crois que tu ne te rendais pas compte de l’effet que tu pouvais me faire. de la force avec laquelle je pouvais te désirer encore et toujours. et c’était de baisers brûlants que je venais parsemer ta peau, mes lèvres étouffant contre toi les soupirs toujours plus prononcés que tu venais m’offrir. jusqu’au moment où c’était juste trop, ou le plaisir venait atteindre son point culminant et c’était dans un baiser des plus passionnées qu’on éteignait cette vague de plaisir que l’on avait nous même créés. le souffle court, le corps moite, je restais accrochée à toi, mon front se posant contre le tien alors que je revenais peu à peu dans le monde réel. ouais, on était bien toi et moi. malgré les bas, les disputes et les incompréhensions. on était juste bien et j’échangerais ça pour rien au monde.

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Sullivan, il aimait Meghan plus que sa propre vie. Et sûrement que s'il devait choisir entre lui ou elle, ce serait elle, et toujours elle. Il l'aimait au point qu'il serait capable de la laisser partir pour qu'elle soit heureuse, si jamais elle ne l'était pas à ses côtés. Certes, le moment qu'ils passent tous les deux actuellement prouvait bien qu'elle aimait sa présence, à Sullivan. Tous deux en train de vivre ce moment de corps à corps, avec une intensité telle que les sentiments n'étaient que décuplé dans ce genre d'échange, il sentait qu'il ne tarderait pas à ressentir le plaisir ultime. Et c'était dans un baiser passionné qu'ils étaient entrés en communion tous les deux. Rien de nouveau, ils avaient cette alchimie sexuelle qui lui convenait parfaitement à Sullivan. Il n'avait connu personne d'autre qu'elle et ne voulait même pas tester avec qui que ce soit. Pour lui, Meghan était la femme de sa vie, la seule et unique qu'il connaîtra de toute sa vie. C'était bien pour cette raison qu'il voulait l'épouser d'ailleurs. Eux deux, face à leur famille et leurs amis, se dire oui jusqu'à ce que la mort les sépare. C'était un moment qu'il avait hâte de vivre. D'ailleurs, il embrassait Meghan à plusieurs reprises, de petits smacks, le temps que son corps se remettre de ses émotions, alors qu'il rouvrait doucement les yeux. « J'ai hâte que tu sois ma femme » finissait-il par dire tout doucement, comme si c'était un secret. « J'ai hâte que Simon et Addison rentrent et qu'on passe l'été tous les quatre ici, à les voir grandir peu à peu » Il était évident qu'ils n'iraient plus en Asie pour construire des maisons pour les orphelins, non. Maintenant, c'était la famille Wright au complet qui allait devoir passer l'été ensemble. Laissant Meghan retomber doucement au sol, il se rhabillait, non sans continuer de la bouffer du regard, se collant de nouveau à elle une fois qu'il avait ses vêtements sur lui.