take me on a trip — Ma conduite n'était pas des plus safe mais je m'en fichais pas mal. On passait un bon moment elle et moi dans cette voiture et autant dire que ça n'allait pas s'arrêter de sitôt. J'avais envie d'aller le plus loin possible, alors on pourrait passer des jours et des jours installés dans cette voiture, suivant le cours de la route afin de s'évader un peu plus à chaque kilomètre. “Ok, on fait ça” Switcher aurait forcément du bon au final et je n'étais pas contre la laisser prendre le volant si ça voulait dire pouvoir faire une petite sieste de quelques minutes. Mais là, elle me fit une petite proposition qui était impossible à refuser. Se tripoter sur la banquette arrière ? Non, je n'allais clairement pas refuser cette offre. Alors dès qu'une aire d'autoroute était de mise, j'allais directement la prendre, scannant l'endroit pour trouver le spot le plus éloigné et hors de la vue des gens. J'étais pas fan des voyeurs pour le coup, vu que je voulais garder ce moment intime entre elle et moi. “Pour ma part.. ouais, ça joue beaucoup” Et surtout que ça me coupait bien de mes histoires de frère et sœur donc j'étais vraiment porté là-dessus en ce moment. Garé et moteur coupé, je venais me tourner vers elle, en espérant réellement qu'elle était sérieuse en me proposant ce petit moment hors du temps. “Mais y'a persooooonne” Bon j'avoue, j'étais pas contre cette petite vue sur son derrière. Me mordant la lèvre, je ne résistais pas à l'envie de le lui toucher, le palper. Tirant sur son short pour la ramener de nouveau à l'intérieur, je finissais par me redresser pour passer sur la banquette arrière, ce qui nous laissait un peu plus de place qu'à l'avant. “Allez, viens, j'ai besoin d'amouuuur et de tendresse” Et voilà que je retirais mon t-shirt, pour l’appâter à mes côtés.

take me on a trip —  Y'a rien de pire qu'un mec qui demande du sexe dans un moment de faiblesse. Car ça veut dire que c'est ce qu'il fait à chaque fois quand il est contrarié donc imaginez que vous êtes sa meuf et que vous vous disputez avec lui, vous êtes certaine qu'il vous rendra cocue le soir même. Je les connais ces hommes là. Ceux qui vont voir ailleurs. Subitement, je pense à Eliot et je le chasse de mes pensées comme je pouvais. Pluton se gare et je regarde par la fenêtre pour m'assurer que la voie était libre. Il me tire la seconde d'après pour que je reprenne ma place initiale. « Tu aurais pu me le dire avant. » ça m'aurait évité de faire ce que je venais de faire. Je le regardais se jeter sur la banquette arrière et je fus surtout amusée qu'il ait déjà retiré son t-shirt. Il m'appelait, et je me faisais attendre.  Amour et tendresse ? C'est bien la dernière chose dont il a besoin. Laissez-moi rire. « Tu as surtout besoin que je te baise. » rectifiai-je en tendant ma jambe vers lui, pour caler mon pied sur son torse, l'obligeant à rester à sa place. Je mâche pas mes mots, je le dis comme ça. Je le laisse tranquille et je le rejoins sur la banquette, au côté opposé. Face à lui, je reste assise en tailleur et j'ouvre les boutons de ma chemise, un à un, jusqu'à dévoiler un sein. Et non, je ne porte pas de soutif. Est-ce que je porte une culotte ?

✧. ❛ love on top. i know nothing's perfect but it's worth it after fighting through my tears and finally you put me first. it's you.

take me on a trip — Peut-être que je suis dans l'abus au final et qu'on ne devrait pas faire ça, pas comme ça, pas maintenant. Mais en même temps, elle ne pouvait pas m'en vouloir de la désirer. Depuis tout à l'heure, elle prenait un peu trop de postures aguicheuses pour que je reste de marbre. Elle et moi, on était plutôt compatible quand il s'agissait de sexe et ouais, mon envie d'elle décuplait à chaque fois que je l'avais face à moi. Alors ouais, on était en road trip tous les deux.. ça voulait dire bien des choses quand à mon état actuel. Garé sur un parking à moitié vide, mais surtout du côté où on était, je la laissais regarder malgré tout pour voir ce petit cul devant mes yeux. J'appréciais grandement la vue, avant de lui dire qu'il n'y avait vraiment personne et qu'on serait libre tous les deux de faire ce dont on avait envie. “J'aime bien regarder tes fesses, j'y peux rien” C'était une fille sexy et qui me rendait fou un peu plus chaque fois. Et puis, elle ne pouvait pas me reprocher d'aimer la regarder, c'était plutôt valorisant au final, non ? Quoiqu'il en soit, je m'étais rendu sur la banquette arrière, retirant mon t-shirt, clairement en condition. “Peut-être. Mais t'en as envie toi aussi, non ?” C'est pas comme si je l'avais forcée à dire ces mots au final. Et elle pouvait très bien se rétracter que je n'étais pas en capacité de refuser. Alors ouais, elle en avait envie, j'en étais certain. Son pied était sur mon torse, m'obligeant à rester en place, avant qu'elle ne vienne me rejoindre, s'installant en tailleur face à moi. Je me repositionnais bien et je la regardais jouer devant moi. Un bouton par un bouton. Oh, un sein. “Coucou toi” Oui, je parle au sein, et alors ? Dans toute la souplesse que j'ai - c'est à dire pas beaucoup - je retirais mon short afin d'être simplement vêtu de mon boxer. Et de la bosse qui était générée par la vue face à moi. “Si on joue à qui se déshabille le plus vite, j'ai gagné”

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