Son regard m'envoûtais tout autant que son corps. Chacun de mes gestes étaient comme calculés, je savais déjà ce qui était susceptible de la faire craquer. L'inverse était aussi vrai.  Oh mais je ne vais pas me priver  avais-je répondu d'un ton emprunt d'humour. Je m'amusais donc à la taquiner, jusqu'à ce que son corps m'appelle à cesser de jouer. Mes lèvres à présent au creux de son cou, je l'embrassais, la mordillais, lui suçotais la peau tout en me délectant de la sentir frémir. Je fus bien obligé de m'éloigner un peu d'elle lorsqu'elle nous mis sur un peu d'égalité en me mettant torse nu à mon tour.

L'allégeant de son soutien gorge, je la dévorais toujours du regard appréciant de pouvoir la retrouver toute entière. J'appréciais surtout l'idée de pouvoir profiter - comme j'avais commencé à le faire - de chaque parcelle de son corps, que je prendrai le temps d'honorer une à une pour son plus grand plaisir ainsi que pour le mien. Ses doigts courraient sur ma peau - tandis que moi - je tentais de les oublier, en vain bien entendu, puisque je les sentais glisser lentement vers mon membre coincé dans mon pantalon tant il était tendu.

Est ce que je continue ? avais-je demandé en levant les yeux vers elle la main sur le bouton de son jean.

Nos vêtements allaient un à un rejoindre le sol pour y demeurer jusqu'à ce que l'un de nous ne leur donne de l'intérêt... Plus tard sans doute... Demain au mieux. Je n'y pensais pas pour l'instant, car ce qui me préoccupait bien plus était de savoir par quel moyen j'allais la satisfaire. Et j'avais déjà à l'esprit une quantité de possibilité de m'y employer.

Ma voix se voulait aussi rauque que sensuelle. Je l'encadrais d'un bras d'une part et la touchait aussi audacieusement qu'il m'était donné de le faire de l'autre. Sa réponse m'envoûte tout autant que ses baisers au creux de mon cou. Je tâche de me contenir, bien sur, j'y arrive à peine.