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JONATHAN & BENJI
► WAVES OF PAST
The wind blew strongly and made high waves
The wind blew strongly and made high waves
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Le calme, la pression de l'eau. C'est l'envers du monde auquel on est habitué. Et c'est des plus plaisant et des plus relaxant. Plus besoin de penser, plus qu'à se laisser glisser. Le poids de la vie est amorti et allégé, les problèmes se tassent et partent en même temps que les cauchemars et les mauvais réflexes. Plus de passé. Plus de rien. C'est l'apesanteur.
Remontant à la surface, je stoppe la dérive de Jonathan qui se cognera bientôt la tête au bord de la piscine sinon. Les yeux fermés, il n'a pas sembler constater cette éventualité. Doucement, je me moque à savoir s'il a ou non envie de tester si sa crinière amortira ou non le choc que ça pourrait créer. Je ne crois pas que ce soit le cas et ma réplique me vaut un sourire de sa part. Si ce que je dis peut parfois être mal pris, là ça ne semble pas être le cas. Un vague mouvement de tête et il semble réaliser à quel point le mur de béton est tout près. Je ne sais pas si c'est cette constatation, mais sa planche coule et j'ai un mouvement pour le repêcher, mais il se relève tout seul. C'est un grand garçon, il peut nager tout seul. Ma pensée m'amuse et mon sourire s'élargit quelques peu. Seulement, ça ne reste que quelques secondes quand je réalise à quel point il est tout près. Un pouce et demi, deux gros maximum. Un peu trop près. Plus que ce que j'endure habituellement quand il est pas question de corps à corps. ...ou y'a Blondie qui fait exception à la règle. Imperceptiblement, et très tranquillement, je me recule, à peine, juste assez pour laisser un espace un peu plus respirable. Et le voyant qui me fixe, je penche légèrement la tête sur le côté.
- Ça va où tu veux rentrer? m'enquis-je.
Ça fait quelques temps qu'on est là. Et faudra penser à aller se coucher, mais rester dans la piscine un peu plus longtemps… pas besoin de me tordre un bras pour que j'accepte l'idée.
Remontant à la surface, je stoppe la dérive de Jonathan qui se cognera bientôt la tête au bord de la piscine sinon. Les yeux fermés, il n'a pas sembler constater cette éventualité. Doucement, je me moque à savoir s'il a ou non envie de tester si sa crinière amortira ou non le choc que ça pourrait créer. Je ne crois pas que ce soit le cas et ma réplique me vaut un sourire de sa part. Si ce que je dis peut parfois être mal pris, là ça ne semble pas être le cas. Un vague mouvement de tête et il semble réaliser à quel point le mur de béton est tout près. Je ne sais pas si c'est cette constatation, mais sa planche coule et j'ai un mouvement pour le repêcher, mais il se relève tout seul. C'est un grand garçon, il peut nager tout seul. Ma pensée m'amuse et mon sourire s'élargit quelques peu. Seulement, ça ne reste que quelques secondes quand je réalise à quel point il est tout près. Un pouce et demi, deux gros maximum. Un peu trop près. Plus que ce que j'endure habituellement quand il est pas question de corps à corps. ...ou y'a Blondie qui fait exception à la règle. Imperceptiblement, et très tranquillement, je me recule, à peine, juste assez pour laisser un espace un peu plus respirable. Et le voyant qui me fixe, je penche légèrement la tête sur le côté.
- Ça va où tu veux rentrer? m'enquis-je.
Ça fait quelques temps qu'on est là. Et faudra penser à aller se coucher, mais rester dans la piscine un peu plus longtemps… pas besoin de me tordre un bras pour que j'accepte l'idée.
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FICHE BY LAVENDER J. TREVENA
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