Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityGet Wild -1/2 Hot ( forcément je me branle tout seul alors....) - Page 4
I LOVE HARVARD
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    Get Wild -1/2 Hot ( forcément je me branle tout seul alors....)
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    Lien du postVen 19 Fév 2016 - 22:10
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    Annalay / Janvier 2016
    Sa main s'égare en une caresse sur les parcelles de ma nuque que ma chemise livre à son touché, qui explore avant de posséder, en quête de cette chaleur humaine que je suis prêt à lui céder. Elle ne dit mot mais son geste parle de lui-même pour elle lorsqu'elle se rapproche, s'élève jusqu'à déjouer mes lèvres, harcelantes à répétition, pendant un temps que je considère bien trop long. Après quelques effleurements licencieux, elle capitule et m'arrache l'un de ces baisers passionnés que je ne lui connais, emprunts de sentiments que jusque là elle s'était bien gardée de montrer à l'exception de durant nos longues soirées d'étreinte sous des draps, les siens ou les miens, à l'abri des regards. Les miennes sous ses élans se combinent et s'animent à l'image de ce qu'elle m'inspire, affectueuse et dévouée, un renouveau dans ses qualités contrairement à ce qu'elle m'a précédemment démontré. Sans doute un peu trop cavalier, mes mains quittent ses hanches pour venir déboutonner ma chemise ou tout du moins les quelques pressions restées fermées. L'étoffe entachée tombe dans mon dos dans un bruit feutré mais qu'importe, je suis toujours possédé par ses tendresses qui s'éternisent. Les deux paumes plantées sur le marbre du lavabo où je repose, je la laisse me guider et me prouver de son affection dévorante, grisé par ses ongles qui ne cessent d'ensemencer mes pores de ses insatiables ambitions. Lutter serait une perte d'énergie. Sans compter que je suis, de même qu'elle, animé par les même envies aux vues de ce que je lui ai laissé présager. Alors une fois repus de ses baisers, les miennes s'égarent à quelques centimètres des siennes et ce n'est plus ma bouche qui lentement l'effeuille mais mes mains qui cherchent à la dénuder, l'accable de certains gestes un peu contraignants pour l'acculer contre la baie vitrée, amusé par l'arrogance première d'une résistance muette lorsque mon propre corps réclame clémence.

    Et face à cette vision narcissique je savoure d'un plaisir non dissimulé en m'abaissant, baisant le galbe de sa cuisse avant de me redresser, retroussant sa robe légère dans la foulée, détaillant la beauté renouvelée de son corps à mesure que le textile s'élève pour divulguer légèrement ses lèvres vermeilles entrouvertes sur lesquelles ma bouche s'attarde volontiers.

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    Lien du postDim 21 Fév 2016 - 20:59
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    Get Wild  
    Annalay / Janvier 2016
    Je me laisse envoutée par la force de mes sentiments, par ce que je la pensais impossible depuis des années maintenant. Parce que piégée, parce que revêche, non désireuse de me perdre dans des idylles qui ne ressembleraient à rien. Mais aujourd'hui les choses différent tellement, dans notre bordel je m'enlise, je me laisse emporter. Et à ses lèvres je m'abandonne, à sa peau à la laquelle je me raccroche comme si rien d'autre ne pouvait présentement me sauver. Et ses mains me délaissent, vont déboutonner sa chemise, la font glisser, découvrent son torse, sur lequel mes propres paumes s'abreuvent, dessinent et lacèrent, marquent ses tatouages d'une nouvelle couleur, celle qui pare mon coeur. Attisée par les effleurements et caresses que se donnent nos corps, par nos envies qui se décuplent, s'éparpillent dans le moindre de nos mouvements. Je le veux, aussi fort qu'à chaque fois, plus peut-être, et je ne blâmerai pas nos déclarations mutuelles pour cela, bien au contraire. J'aime son assurance, lorsqu'il appose à nouveau ses phalanges sur ma peau, lorsque avec caprice et fausse violence il force mon corps à reculer, me plaque contre la paroi de la douche précédemment quittée. Et j'accuse le choc en un soupir lubrique, en un sourire lascif, encore une fois sous sa coupe, quand je me voudrai un peu plus insolente et contrer ses gestes, ne pas me fondre dans cette douce appétence. En ce nous pour lequel mon corps attend une délivrance. Ma respiration syncopée, je torture mes lèvres quand je l'observe avec une jouissance suprême s'abaisser, augmenter mon désir … Relevant le textile me couvrant, déposer son emprise en un baiser grisant sur ma cuisse, et me déshabille, décomposant les secondes, mon esprit s'aventure à l'imaginer un peu trop voyeur, maitrisant parfaitement l'art de contempler mon corps comme une œuvre dont lui seul connaît les secrets. L'unique à pouvoir affirmer qu'en sa faveur il y a tout en moi qui a flanché. Et lorsque le tissu arrive au niveau de mon visage, avant même qu'il ne me découvre complètement, j'accueille sa bouche sur la mienne avec surprise, et m'en imprègne volontiers, quand de mes mains, je fais le reste du chemin, envoie valser la robe sur le côté. Mes phalanges continuent leur route aérienne avant de parcourir quelque peu son derme, plus délicatement que précédemment, elles se glissent entre nous et s'en vont, habiles expertes même, déboutonner son jean, lui dépeignent mes pernicieux desseins qui je n'en doute pas ressemblent à ceux qu'il m'a proposé de cette façon un brin détournée, pour reprendre leur course, remonter, et s'accrocher à nouveau à sa nuque. Mon être s'exigeant contre le sien, espère l'attiser, faire s'accroitre la température. La chaleur que nos gestes transcrivent, et sa volonté que je sens gonfler contre moi, maudissant son idée d'enfiler un jean au moment où il s'est éclipsé. Prisonnière de nos envies, de nos promesses murmurées, cette affection qu'on s'est livrée après de trop nombreux combats. J'aime le goût des nouveaux, je ne mentirai pas. Le pouvoir qu'il détient sur ma personne relève assurément du divin, je ne vois pas ce que cela pourrait être d'autre, non, je ne vois rien, juste assujettie aux dons impurement entêtants de mon tendre amant. Amazone, à l'aide de mes mains sur ses épaules, des siennes sur mes hanches, je me hisse, avec arrogance, rapidement, entoure ses reins de mes cuisses, ses paumes glissant sur le galbe de mes fesses, me soutiennent. Lui laisse entrevoir mes convoitises qui s'en deviennent diluviennes. Et mes lèvres après avoir trouvées une nouvelles fois les siennes entre deux souffles saccadés, avant de faire perdurer notre étreinte, de l'effleurer, amoureusement sur les courbes de sa mâchoire, continuent jusqu'à hauteur de son oreille pour lui intimer une pensée synonyme de tous les désirs qu'en moi il peut infiltrer. « Prends ta matinée. »

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    Lien du postJeu 25 Fév 2016 - 21:43
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    Annalay / Janvier 2016
    Sa frêle étoffe d'été, c'est elle qui la rejette avec témérité lorsque je suis pour ma part accaparé de ma bouche épanchée à la sienne, chérissant ses hanches clouées à cette vitre glacée dont elle tente à chaque seconde de se soustraire. Ou ses mouvements ne sont peut-être que le résultat d'un autre besoin, celui de m'atteindre. J'en saisis pleinement le sens d'ailleurs lorsque ses mains viennent s'aventurer en contrebas, déboutonnant avec dextérité la seule pression oppressant la traduction de mes besoins. Ses doigts tendres se frayent un chemin plus bas encore sous le textile dans le seul but d'en écarter l'accès avant de remonter puis de venir se planter en un appui certain lorsqu'elle se cambre, cherche au plus prêt le contact de nos peaux lovées l'une contre l'autre. D'un mouvement elle parvient à se hisser, aidée de mes mains qui viennent fermement la soutenir dans sa lancée, ses jambes m'étreignant dans une lutte que je ne veux continuer faute de me savoir déjà vaincu par ses avances, trahit par cette excitation dont elle se joue si bien au creux de son bas-ventre. Un baiser, puis un autre et c'est sur une note de douce effusion qu'elle m'impose une pensée venue déjà m'ébranler l'esprit il y a quelques secondes. « Prends ta matinée. » Détachant mes lèvres de sa peau, c'est en un plaisant sourire qu'elles manifestent une certaine émotion de désir et je la taquine dans un soupir « Seulement ma matinée ? » avant de m'en délecter de nouveau, tendre et attachant comme doit l'être tout amant. Mais peut-être un peu trop passionné pour quelqu'un qui dans quelques mois ne devra plus compter. Mes paumes sous sa croupe galbée, ce n'est plus la douche ma principale priorité et de toute manière, de mon jeans je ne pourrais facilement me défaire, mes mains palpant sans cesse la rondeur parfaite de cette lune croissante en plein jour.

    Son dos quitte la parois de douche sérigraphiée, emportée là où je souhaite la voir couchée: dans ses draps et entre mes bras, lovée contre moi dans le plus simple apparat. L'interrupteur de la salle de bain est sur notre route maladroitement éteint d'un coup d'échine flanqué, très vite épris par cette folle envie de me sentir vautré à ses cotés. Et c'est une fois dans sa chambre, les persiennes entre-ouvertes, que je prends le temps de la déposer, convoitant l'anfractuosité de sa féminité et l'encadre entre mes avant-bras pour venir à nouveau m'épancher à ses mots dont je me délecte. D'une main impatiente glissée sur mes reins, le jeans ainsi que le caleçon sont abaissés pour venir rechercher le confort de son intimité quand soudainement, je vois son regard bifurquer sur ce pénible détail... encore ce prénom sur lequel nos avis divergent. Un rien ou un tout qui pourrait encore dans une autre conversation nous diviser. Par respect, mon bassin se détache du sien, reste à une distance raisonnable, n'ayant aucunement l'envie de l'oppresser tant que ce ne sera pas plus qu'un souvenir oublié.
    Saturé à l'idée d'une nouvelle dispute à ce sujet, mon front vient reposer sur sa tempe, nos joues s'effleurant un bref instant dans un succinct attouchement, preuve d'une tendresse malgré le fait que je ne veuille la prendre sur le champ. « Ok » C'est de ma propre initiative que je me refuse à tout autre élan, repositionnant mon caleçon avant que mon regard ne recroise le sien. « Pas tant que j'en aurais pas terminé. »

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    Lien du postSam 27 Fév 2016 - 20:43
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    Annalay / Janvier 2016
    « Seulement ma matinée ? » Et ce sourire qui jubile de m'avoir pour lui en totale dévotion, que je mordrai s'il n'allait pas retrouver ma peau, et provoquer un peu plus en mon corps, cet étrange émoi. Mes mains s'ancrent dans sa carrure, quand mes lèvres s'inventent un nouveau chemin, et que ma voix fragilisée par l'émotion, lui dicte des esquisses d'idées, comme au fusain, dessinées. « Ta matinée, ta journée, weekend, ce que tu veux. » Les mots sont prononcés avec hâte, traduisant mes envies de le voir me combler, et ces mêmes paroles me conduisent à cette prise de conscience que j'en ai oublié la notion du temps, depuis qu'on est ensemble, depuis qu'on ne fait plus semblant. Pour toute réponse à mes inclinaisons, il maintient de plus belle mon corps et nous force à sortir de la salle de bain, mes lèvres encore perdues sur lui, j'en ris sur sa peau, de nos prémices d'union, de notre rapidité bancale face à nos désirs grandissants de sceller nos dires empreints de sentiments. Complices des mêmes crimes, lorsqu'il m'abandonne aux draps et me domine en venant se positionner sur moi, très vite mes paumes viennent reconnaître ses épaules, son buste … Il m'échappe pour se débarrasser des textiles encore présents, m'arrache un soupir devant son impudicité et la virilité qui cajole le moindre de ses gestes, à peine il revient vers moi, planté sur ses avant bras, j'en viens à me raccrocher à ces derniers, inclinant le visage sur le côté, sachant – parce qu'il sait que ça me plait – que ses lèvres vont venir intensifier les frissons que je ressens par des effleurements sur les lignes invisible qu'il n'a de cesse de tracer sur les courbes de ma nuque fuselée. C'est dans un acte manqué de volonté de toujours le contempler que mes prunelles se posent sur ce qu'elles peuvent atteindre de sa peau, son tatouage, et j'en réprime une blessure intérieure que je ne pensais pas aussi ouverte. De la savoir encore de moitié dans sa peau, ça m'écoeure, ça vient reprendre place dans mon esprit, alors que je fais tout pour le chasser, bordel, ça me fait souffrir, comme un corps étranger dans son derme que je voudrai de mes propres ongles arracher. Et pourtant je me tais, j'essaie à nouveau d'oublier, de chercher son regard, et de m'y cramponner, avant de m'y perdre parce qu'obnubilée par la place qu'il va prendre au sein de mon intimité. Mais malgré ce désir que je pensais partagé, celui de se réparer tout de suite, de s'oublier, l'un dans l'autre, son corps s'éloigne, et bien qu'il n'en soit pas moins tendre, c'est une tout autre émotion qui me prend. « Ok » Une inspiration syncopée … Il remet son boxer, me fend un minimum le coeur. « Pas tant que j'en aurais pas terminé. » Presque je le remercie, parce que c'était la guerre dans mon esprit. Alors j'exprime mon soulagement en un soupir, mordant mes lèvres sans pour autant avoir le pouvoir de les garder fermées, puisque c'est ma frustration qui me fait lui lancer, autoritaire, un tantinet. « Mets pas trop longtemps. » Synonyme du fait que je ne tiendrai pas des centaines de jours à redevenir vierge de ses doigts. Et d'ailleurs les miens vont se loger sur mon visage, pour pallier à ces envies écourtées, cette fichue insatisfaction résultant de ses bêtises, de sa foutue histoire qui me fout franchement – encore – le bourdon. J'étouffe un « Aaah », qui ne ressemble pas à grand-chose en mordant mes paumes, onomatopée émise pour contrer tout énervement qui pourrait venir ternir le tableau de notre relation aujourd'hui renouvelée. Parce que même s'il ne me touche pas, ne me prend pas, il le fait pour moi, pour nous, pour honorer ce « je t'aime » et la place qu'à mon prénom il a donné. Ces bases qu'on tente de donner à notre liaison. « Putain. » Je ne saurai même pas dire pourquoi je crache ça. Allant baiser sa bouche avec délicatesse, je soupire une véritable volonté après les ascenseurs émotifs éprouvés. « Et je n'ai même pas bu de café. »

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    Lien du postSam 27 Fév 2016 - 23:15
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    Annalay / Janvier 2016
    Elle lâche comme un léger soupire alors même que je me dégage de cette alcôve que j'affectionne tendrement suite à cette prise de décision qui ne m'engage pas seulement moi mais nous deux. « Mets pas trop longtemps. » Forcément, cette idée se reflète sur mes lèvres lorsqu'elles se parent d'un vague sourire. Ses doigts s'en viennent de sa joue à sa tempe et je la devine un brin insatisfaite forcément puisque tout comme elle, je le suis également. Mais là est ma résolution et je m'y tiendrais. Pourtant, même si je ne peux la baiser là maintenant, il me reste une alternative pour apaiser ce tourment que je nous afflige et continue, m'éternise sans pudeur sur le galbe de sa poitrine à belle hauteur, mes lèvres se refermant sur l'une de mes obsessions et exhale entre deux succions « Demain » avant d'aller flatter son autre sein, dernier contact avec lequel je la vaincs. « Aaah. Putain .» Voilà qui est fait... Elle est tout aussi frustrée que je ne l'étais lorsqu'elle m'a sournoisement chauffé il a des mois de cela, avant que je ne la sache fiancée. Reprenant un peu d'aplombs, de cette distance pour mieux la contempler, un plaisir auquel je ne peux résister, elle s'approche à son tour pour le voler une dernier baiser avant de râler « Et je n'ai même pas bu de café.» Et c'est un rire spurd qui face à ce détail importun, cette réflexion anodine, me fait sortir de mes envoutantes pensées. Je me redresse alors pour quitter ses draps et réajuste mon jeans pour d'un genou posé sur son matelas, venir délicatement caresser ses traits. C'est d'un naturel déconcertant qu'ensuite je vais en quête dans la pièce adjacente de ce que nous nous sommes empressés de rejeter pour faire place nette à nos aspirations, censures propres de la tentation. Défroissant sa légère tenue, comme si cela m'importait subitement, je la jette machinalement à ses cotés sur le lit déparé pour retourner là où j'étais il n'y a pas quelques secondes encore, lâchant avant de siparaitre dans le couloir «  Tu m'en voudras pas si du coup, j'y vais seul »... Ce n'est pas une demande, juste une justification à la raison de ce besoin soudain et auquel nous ne pouvons plus répondre. Vu que je suis incapable de faire marcher cette foutue machine à café, autant m'adonner dans ce que je suis le plus doué, me décharger.

    Par manque d'habitude puisque dorénavant nous partageons chaque moment, je n'ai le réflexe de refermer la porte de la salle d'eau derrière moi avant de pénétrer dans sa cabine, luxueuse et spacieuse à contrario de la mienne où nous nous étions retrouvés accolés l'un à l'autre la fameuse nuit de ce premier égarement. L'eau ne tarde pas à couler, évacuant cette fièvre dont je fais preuve et la lourdeur de mon état mis en valeur, me savonnant - non sans un étrange ressentit d'embarras - avec l'un de ses gels douche avant de prendre le temps d'admirer l'ampleur de l'outrage. Après un dernier moment d'hésitation, ma paume m'empoigne, glisse sur ma peau en de lascifs gestes alors que mes pensées ne sont tournées vers qu'elle.  
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    Lien du postLun 29 Fév 2016 - 21:15
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    Annalay / Janvier 2016
    Alors qu'il me fait comprendre qu'il ne me prendra pas là, tout de suite, sa bouche perdure cependant dans sa pratique exquise sur ma poitrine qu'encore une fois, il sublime. De ses lèvres sur ma peau, je me délecte, sachant que c'est une torture encline à la luxure qui va bientôt prendre fin. Pourtant j'exulte en soupirant, et tends à penser, qu'il en a oublier sa – notre – résolution, et qu'il va venir prendre place en mon con. « Demain » Et ce mot pourtant prononcé entre deux soupirs exaltés, me fait comprendre qu'il ne m'enflamme que pour mieux m'abandonner à la frustration qui s'interprète par mon insulte lancée contre ma main. Il se redresse, et c'est non sans un sourire bref, que je laisse à ses prunelles le droit de m'éterniser, le cœur battant sous le joug de l'excitation qui diminue extrêmement difficilement. C'est pour cette même raison que je m'octroie le droit de l'embrasser avant de lui indiquer que c'est beaucoup trop à supporter pour mon organisme n'ayant pas encore ingurgité de café. Un moyen sommaire de trouver un échappatoire, afin de me détacher de lui – plutôt qu'il se détache de moi – sans trop penser à l'envie qui anime encore mon corps dans son entièreté. J'accueille son rire, amoureusement, et ne me gêne pas pour le regarder lorsqu'il se redresse, se rhabille, me délaisse, et reviens finalement, ma robe en main. C'est en mordant mes lèvres, que je la récupère, les croquant à nouveau lorsqu'il s'efface dans l'encolure de la porte en me signifiant «  Tu m'en voudras pas si du coup, j'y vais seul » Affreusement. Mais je soupire en fermant mes paupières, frappant une, deux fois, ma tête contre l'oreiller, le maudissant quelque peu d'avoir eu l'étrange envie de se faire un jour tatouer le prénom Amy. Et cette piqûre de rappel me fait me relever, me rappelle à quel point j'ai besoin de caféine à ce point, alors en remettant le textile sur ma peau, j'avance dans le couloir en écoutant distraitement le bruit de l'eau. Une fois dans la cuisine c'est à force de plusieurs clics, que je parviens au final à remplir ma tasse du liquide noirci que je prends la peine de ne pas sucrer. Le mug en main, mes pensées voguant en faveur de l'homme qui se trouve présentement dans ma salle de bain, j'avance et m'abaisse sur ma table basse enfin d'effeuiller une lettre qu'hier je n'ai pas pris la peine d'ouvrir, tentative absolument vaine de ma part de me faire penser à autre chose qu'à son corps dénudé, qu'à ses courbes saillantes, musclées. J'en deviens perfidement obsédée. Alors je feins la nonchalance quand mes pas me mènent sur ce chemin que j'ai pris bien trop de fois aujourd'hui. La tasse au bord des lèvres, je heurte mon regard soudainement devenu voyeur face à l'exhibition que m'offre mon amant se voulant rester chaste jusqu'à demain, alors qu'il se soulage de sa main. Sur le moment, c'est la surprise qui me prend à défaut de lui et de cette masculinité envoûtante qui sous ses doigts se bande, et pourtant, je n'en détourne pas mes iris, au contraire, je déguste, ces mouvements comme un délice. Et sa virilité se transcrit dans chacun d'eux, m'entête, il est plus homme que ce que jamais je ne pourrai le penser. L'audace, l'impudicité, notre implacable perversité … J'en mordille ma tasse, je savoure un instant les va et viens qu'il s'impose, totalement envieuse, et valse dans mon esprit une infinité de volontés perverses et malsaines, c'est tout de même libertine et vicieuse que je lui fais part d'un désir pernicieux. « Cooper, c'est la dernière fois que tu fais ça sans moi. »
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    Lien du postMar 1 Mar 2016 - 18:49
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    Annalay / Janvier 2016
    Sous le ruissellement constant, allier opportun à mes instincts de mâle contrastant avec la chaleur du désir qu'elle m'a insufflé, j'exhibe et prône fièrement ma virilité, savoure le contact de ma paume fermement agrippée, d'une main qui s'ouvre et se ferme avec toujours plus de vigueur dans le huit-clos de cette cabine qui concède au vice. Au rythme apaisant des premiers mouvements provoquant quelques râles de complaisance, mes doigts répondent à mes attentes, servent avec acharnement ce qui pourrait en d'autres lieux être qualifié d'outrageux pour rechercher à la source l'aboutissement de tant d'espérances, ressentir les vibrations, les résonances, trouver l'abandon dans la profondeur d'un corps dont je ne peux que me remémorer la chaleur. La fouiller avec douceur de ce sexe lourd réclament ses faveurs, impatient et dominateur, pilleur sans morale, par des gestes sans cesse renouvelés. Et les yeux clos sur mon pécher, au ressentit des irrégularités sur ce corps gonflé, je m'abonne à plus de langueur lorsque je l'entends au travers de cette rincée « Cooper, c'est la dernière fois que tu fais ça sans moi. » Coupé dans mon élan, mes pensées se rematérialisent sur sa présence et la dévisage, pris sur le fait. Et pourtant je ne suis nullement gêné par ce qu'elle découvre puisque déjà sous tous mes angles elle me connait. L'expression de son regard retranscrit à merveille son attente et m'inspire un jeu nouveau. Quoi qu'il en coute, peu importe nos mots, au delà des conventions je réclame par son infraction ma personnelle satisfaction. Alors d'un geste déterminé, je coupe l'arrivée d'eau avant d'apposer mon regard envieux sur son corps qui m'est si précieux, à présent habillé. Allumé, elle me veut et c'est en lui tendant la main que j'ordonne   « Alors viens ». Une telle distance, totale abstinence n'est pas nécessaire pour honorer ce que je me suis, nous ai, imposé. C'est l'écrin de ses mains que je souhaite à présent retrouver sur cette partie de mon anatomie enfiévrée.  
     
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    Lien du postMer 2 Mar 2016 - 21:37
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    Annalay / Janvier 2016
    Elles sont insidieuses mes pensées, immorales, mais bon dieu, qu'est-ce que ça me plaît. J'aime à l'imaginer continuer, m'en veux presque d'avoir parlé, j'en veux plus, et c'est en moi surtout que je le voudrai. Outils sexuel qui n'en termine pas de me donner des besoins charnels. De ma tasse, j'en bois encore une gorgée, quand ses iris reconnaissent ma présence, et que les miens les défient, j'en souris encore, allumeuse, avant de les déplacer, lentement, vers l'objet de tous mes désirs. Ce qu'aujourd'hui, pour cause de sa bêtise, il m'a interdit. Sa considération, me touche, au plus profond, je me dois de l'avouer, c'est assurément, à ne pas en douter, mais pour le moment, il est vrai, que je ne ressens que frustration. Alors quand il coupe l'eau, j'en relève ma vision vers son visage, pour tenter de comprendre ce qu'il essaie de me faire entendre. A mon intention, sa main se tend, et d'une voix qui se veut autoritaire ; « Alors viens » D'une paume soutenant mon coude à l'opposé, ma bouche reste cachée derrière la porcelaine, et malgré cela, je devine qu'il envisage mes lèvres s'esquissant en un fin sourire, maligne. Par pur amusement, je le détaille encore, lui montre ma factice hésitation, puisque je n'ai qu'une volonté, voguer sous cette douche afin de le terminer. Vraiment, la tentation est si grande, serait si simple à atteindre, si agréable à soulager. Mais il y a un truc, juste minime et pourtant bien caractérisant de la fille que je suis. Celle qu'il se permet d'aimer – enfin je le crois – alors que jamais il ne pourra se proclamer réel détenteur de moi. Ce côté farouche et revêche, qui je l'affirme, l'a toujours conforté dans le fait que je suis celle qu'il voulait. Quoi que ça lui en coûte, peu importe les routes. Ce que je fais en premier, c'est boire presque l'entièreté de mon concentré de caféine pour aller, juste en dépliant le bras, la déposer sur le meuble de salle de bain, commode sur laquelle je me permets de m’asseoir à moitié. « Tu penses souffler le chaud et le froid ? » Dans le déroulement de nos actions, un coup je te veux, un autre pas, je te respecte trop pour ça. C'est une tendance qui se pourrait là tout de suite, m'agacer. Non, mon amour, ça ne marche pas comme ça. Ce n'est pas aussi simple, étant déjà bien trop soumise à toi. Je ne peux pas te laisser me bouffer trop facilement, parce que je te jure, que ça me fait gerber. Et aujourd'hui, j'ai déjà bien trop donnée, trop de choses à supporter, à assumer. Je reprends en assurance, lui vends toute mon arrogance. Me calant encore plus sur mon perchoir, mes gestes se veulent lascif, suggestifs, je laisse à mes doigts, que je suis d'un regard enclin à l'érotisme, le loisir d'attraper le tissu de ma robe, et remontant sur le galbe de ma cuisse que je lui dévoile, qu'il connait, sur lequel j'adore recevoir morsure et baisers, je me fais sulfureuse, aguicheuse. Et soudain, en pleine remontée vers mon intimité, m'arrête, pour venir chercher de mes yeux son érection, s'alanguit ma respiration, avant de retrouver sa vision. « On ne m'ordonne pas. » Tiens d'ailleurs, me semble que c'était tes mots, ça. Renvoyant le tissu valser sur ma peau, on ne peut plus fière de moi.
     
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    Lien du postVen 4 Mar 2016 - 18:07
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    Annalay / Janvier 2016
    Diverti certes je le suis lorsque je l'attends et qu'elle se laisse désirer tout en terminant, de ses lèvres que je convoite avec lascivité, son café. Elle s'hasarde à une pensée, je le sais, lorsqu'elle me détaille tout en prenant le temps d'en boire la totalité alors que je me caresse toujours, plus lentement mais suffisamment pour ne pas me laisser retomber. La tasse est subtilement foutue de coté mais au lieu de me rejoindre comme je le lui ai exigé, elle se hisse de moitié sur ledit lavabo. Son corps trouve son équilibre comme suspendu au dessus du sol et je comprends bien vite alors qu'elle ne cédera pas et mon bras s'abat, claque sur ma peau détrempée. « Tu penses souffler le chaud et le froid ?» Ce qui veut dire? Parce que quand je joue au con, je ne le fais pas qu'à moitié tu vois. Alors je la contemple toujours, mon geste s'étant de lui même figé suite à cette onde glacée de paroles qui me laisse perplexe quant à ses humeurs. Et pourtant à défaut de me laisser sur ma faim elle s'adonne, audacieuse, à des attouchements sur le plateau de ses jambes et accentue l'oppression du moment à venir lorsque sa paume irradie son derme de par sa chaleur. Elle agace ses zones érogènes de cette main qui remonte l'intérieur de sa cuisse, franchissant les frontières de l'indécence avant de faire retomber le voile sur ces délicats prémices. « On ne m'ordonne pas. »
     
     Petite chienne indocile, impossible à dresser même lorsqu'il ne s'agit que de faire plaisir en s’adonnant à l'un des besoins les plus primaires. Et c'est hilare que je réponds à son arrogance, à cette verve que j'apprécie la voir utiliser de temps à autres pour rétablir l'ordre dans ce couple de dominé-dominant où nous nous insurgeons sur un même pied d'égalité.  " Va te faire foutre Anna"... mais pas par moi, visiblement. Ou peut-être une autre fois. Les traits emprunts d'une lente résignation amusée à l'imaginer me mater dans ce jeu du solitaire, je me réengage alors sous le flot ruisselant tiède et continu. L'empreinte possessive de ma paume ne me lâche plus et chaque va et vient entêtant sur mon vit tendu me rapproche d'elle pensivement, de cette étreinte fictive dans laquelle elle s'offre, les lèvres entrouvertes dans l'attente de ma venue. Mais elle ne m'a pas voulu, insoumise, et c'est à mon tour de la blesser là où même elle m'a contrarié par son refus.

    Une main pour appui sur la céramique, l'autre se fait plus épuisante, plus véloce pour me refaire revivre ses instants dans sa chair, herzats qui peine à combler le manque de son absence. Et malgré cela, mon imagination se fait débordante à l'idée de la savoir juste à coté, vicieuse et présente. Alors à force de mouvements démesurés, dans cette transe involontaire, je décharge sur mes doigts dans un spasme explosif noué d'un râle perçant: "Aah Jill ". Femme qui m'est totalement inconnue mais dont le prénom retentit déjà comme un premier gout de victoire lorsque je la dévisage au travers de sa vitre sérigraphiée, un sourire béant aux lèvres. Tu vois....Je t'aurais tout de même bien baisée.
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    Lien du postVen 11 Mar 2016 - 23:59
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    Annalay / Janvier 2016
    Ses pupilles, sur mon derme attisé, s'éparpillent, et aux bords de celles ci, j'en devine chacune de ses envies. Celle de palier au solitaire, de me voir venir de part ma main, le satisfaire. Celle de me prendre finalement sous ce jet, comme il en était question avant qu'il ne veuille tenter la chasteté. Mon désir pour lui est pourtant loin de se tarir au moment où j'abaisse le tissu de ma robe et que je l'envisage lui, venant me forcer à lui céder. Il est vrai que c'est un jeu que je pourrai érotiquement considérer. Mais à la place de voir mes plaisirs factices décuplés, je reçois une claque dont je me serai bien passé. D'abord, son ricanement, qui me fait comprendre que je n'obtiendrai pas ce que je souhaite de sa part. Un peu plus de docilité, qu'il me laisse un tant soit peu décider. " Va te faire foutre Anna" Rien que ça ? J'en crache un soupir reptilien, et fais craquer mes mains. Mauvaise, je l'observe, muette parce qu'à l'évidence pour contrer son insulte, rien ne me vient. Si son ego a été blessé, c'est le mien qu'il est en train d'écraser à chaque nouvelle caresse infligée à son intimité. Il attise, il amorce, il aiguise, il s'écorche. Et bien qu'énervée, je n'en rate pas une miette, pas un morceau, mes terminaisons nerveuses inclinées en sa faveur, très vite s'emballent pouls, respiration, et coeur. Son corps se courbe, avec force il plaque sa main inoccupée contre le carrelage, il amenuise le moindre de ses sens, concentré sur ce but primaire qui m'entête, la première. Quelques secondes encore avant de le voir s'oublier en spasmes et se vider … Si parfait, pour cette héritière perfide qu'il a aliéné. " Aah Jill " Brut, blessant. Connard putassier.

    A l'évidence, ce n'est pas lui qui est douché, c'est moi. Totalement par ce qu'il vient de cracher à la fin de son amusement vicieux. Il en sourit, et je veux le frapper. Physiquement. Lui faire un mal de chien, comme celui qu'il vient de m'accorder. Il m'est totalement impossible alors de ne pas grimacer, touchée. Mais bon dieu, pas tout à fait coulée, et encore heureux. En un sautillement, je descends de mon perchoir, pour faire quelques pas et m'assurer que tout comme moi pour son spectacle, il ne perdre rien du mien. D'abord ma main, qui s'infiltre dans la cabine, et je lui offre un doigt d'honneur, si je vais me faire foutre, autant que lui aussi, et sa Jill, par la même occasion, ducon. Retire ma paume avant qu'il ne puisse en faire quoi que ce soit, quand je lui laisse entendre ma voix. « N'oublie pas de te la faire tatouer. » Et m'éloigne vers la porte de cette pièce qu'aujourd'hui j'ai trop franchie. Bien évidemment, je pourrai me contenter de ça, rester muette, et me tirer. Cependant je ne peux pas me maîtriser. « Heureusement ce soir, Dean doit passer. » J'en ai foutrement aucune idée, depuis notre soirée à trois je ne lui ai pas parlé, j'ai juste l'envie de faire germer l'idée dans son esprit de taré, dont je suis amoureuse, je sais, mais rien ne pourrait stopper mon énervement d'augmenter, que ce soir c'est son meilleur pote qui va me baiser, comme il s'en trouve dans l'incapacité, faute d'avoir une peau immaculée.
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