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Bien sûr que j'avais envie de mon mari, bien sûr qu'il me faisait un effet boeuf, cependant, il était malade, même s'il n'était plus contagieux et surtout il était fatigué, alors je lui faisais remarquer, à contre coeur. Il me disait aller bien, j'arquais un sourcil, je n'était pas certaine, quoique s'il était ainsi, c'est qu'il allait mieux non ? Sauf que son visage était moins coloré que d'ordinaire et il avait les yeux légèrement rouge. Cependant, ses lèvres contre mon coeur, me faisait frissonner. Je n'avais plus à réfléchir, à savoir ce qui était le mieux. Il laissait une marque dans mon cou, je le penchais pour le lui offrir, ne remarquant pas qu'il avait déjà soulevé ma robe pour remarquer mes sous vêtements. Je me redressais sur mes coudes, pour admirer sa réaction, heureuse de lui procurer cet effet. ça te plais ? lui demandais-je avec un petit sourire, mais j'avais la réponse, son regard était explicite. Mais voilà, j'étais inquiète pour lui et il devait le voir sur mon visage puisqu'il se levait pour prendre ses médicaments. Je le regardais faire, amusé, surtout quand il se mettait à trottiner pour me rejoindre à nouveau. Bébé ... c'est pas comme ça que ça marche sauf qu'il me disait que je ne pouvais plus rien dire. Je faisais un peu la moue, il m'embrassait à plusieurs reprise pour ensuite me dire qu'il m'aimait Tu peux pas me faire taire à coup de baiser et de je t'aime tu le sais ça ? Il m'en faut plus, je n'arrêterais pas jusqu'à ce que tu arrêtes, je suis prête à te balancer par te... oh non je n'étais pas prête, surtout en sentant ses lèvres, sa langue et la trainé de salive chaude sur mon corps, mon ventre. Je me cambrais automatiquement en remontant l'une de mes jambes contre sa peau. Reviens là dis-je en posant ma main sur sa tête pour le faire remonter vers mes lèvres. Je les embrassais à nouveau, attrapant sa lèvre inférieur entre mes dents pour la tirer. Je riais un peu, laissant ensuite retomber ma tête contre le coussin. Je regardais son visage, en me disant que c'était vraiment pas bien. Laisse moi faire lui dis-je en posant mon index sur ses lèvres. Je retournais la situation lentement pour me retrouver au dessus. Je retirais la ceinture de son jeans, lentement, en ondulant sur lui, pour ensuite attacher ses poignet, j'enlevais mon soutient gorge devant ses yeux en lui lançant sur la tête, alors qu'il ne pouvait pas le retirer. et moi c'est parce que je t'aime que je fais ça soufflais-je à son oreille, J'attrapais son tee-shirt pour le mettre, puis je l'aidais à se relever pour aller dans la chambre avec mon époux. Je lui enlevais son boxer avant de le pousser sur le lit. C'est bon ? T'es calmé, je peux retirer tout ça ? Un mouvement de tête et je comprendrais mon amour lui dis-je en me pinçant un peu l'intérieur de la joue pour ne pas rire.

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Des baisers, un je t'aime, je la regardais avec des petits yeux tout brillants d'amour pour elle, je faisais ma tête mignonne pour qu'elle cède car Anya n'était pas le genre de femme à capituler, malheureusement. "Bien je t'aime…" continuais-je de dire en parsemant sa peau de baiser, c'était sensuelle, ma salive chaude se dispersait sur sa peau, mes lèvres continuaient leur chemin jusqu'à ce qu'elle m'ordonne de revenir avec sa jambe. Vous sentez cette odeur? Elle s'appelle la victoire, je venais de gagner, elle m'embrassait tellement chaudement que je pouvais être qu'aux anges. "Rrr." Poussais-je en la regardant me tirer ma lèvre. "Tu peux pas me résister." Sa manière de dire que je n'avais pas tout à fait gagné mais je prenais pour moi c'était une très belle victoire. "Ok." Je la laissais prendre le dessus, j'étudiais chaque mouvements, détaillait sa tenue qui lui allait à ravir sa poitrine était deux fois plus belle que d'habitude et ce n'était pas forcément du à la grossesse, je pense que la couleur la sublimait. "Mais… Ta envie de jouer d'accord." Je cédais, je me laissais attacher les poignets, honnêtement je voyais rien venir, elle me vendait du rêve en détachant son soutien gorge, en me regardant avec des yeux brillants et sexy. "Aime moi plus souvent." Bien oui si j’avais le droit à un striptease à chaque fois que j'étais malade, je pense que je passerais ma vie tout nu devant la fenêtre pour me chopper la crève seulement je déchantais, oh que oui je déchantais rapidement quand elle me fourrait dans la bouche son sous-vêtement. "HUMMMMM." Je protestais en fronçant le nez, elle m'avait eu celle là, je bougeais un peu mais je voulais pas la faire tomber alors je me stoppais net, je la suivais aussi à contre cœur en boxer, les mains attachées et la bouche qui ne se débarrassait pas de ce bout de tissus, qui aurait cru que de la si belle lingerie pouvait me causer du tord comme ça. "Hum." Poussais-je après ses questions et je lui faisais un doigt d'honneur en soulevant mes mains, j'avais envie de rire, je le prenais pas mal combien de fois je m'étais amusé à l'attacher et à lui faire la misère fallait se douter qu'un jour je me mangerais le revers de la médaille.

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C'est vrai que je n'arrivais pas à lui résister d'ordinaire. Cet homme me rendait toute chose et il le savait, il avait un certain impact sur moi, mais là, il était malade et tout ceci passait avant. Sa santé passait avant ses envies, mes envies, nos envies. Oh que oui on va jouer et je sais que tu vas aimer dis-je avec un petit sourire. J'en riais par avance, parce que Kenny était à fond. Clairement, il pensait que nous allions faire l'amour comme des bêtes, mais non. Je t'aime déjà tous les jours répondais-je contre ses lèvres, avec un petit sourire. Bien sûr que je l'aimais, malgré nos disputes, nos petits coups de mous ... Cependant, rapidement, j'effectuais mon petit plan. Je l'attachais avec sa ceinture, lui offrant tout de même un petit spectacle avant de le faire terre avec ma petite culotte. Je l'entrainais ensuite dans la chambre, alors qu'il essayait de parler. T'essayes de communiquer ? Non parce que mon coeur, articule, je te comprend pas dis-je sérieusement, alors que je lui retirais son boxer pour ensuite le faire tomber sur le lit. Il me faisait un doigt d'honneur, je secouais la tête, faussement déçue Qu'elle ingratitude dis-je en attrapant une huile de massage alors que je faisais tomber Kenny sur le ventre, la tête vers les pieds du lit. Une fois la tête contre les draps, je lui retirais ma petite culotte pour qu'il puisse parler alors que je m'étais posé sur ses fesses en tirant un peu sur son haut que je portais afin de commencer à le masser Tu vois, je suis pas cruelle

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Elle m'avait déshabillée totalement, j'étais nu comme un vers sur le lit peut-être qu'elle se jouait de moi et qu'on allait faire des cochonneries, j'espérais clairement, mon corps se mettait au garde à vous et mon doigt était le premier à montrer un signe hostile. Un doigt d'honneur puis un deuxième après sa phrase qui me disait clairement d'articuler, je me faisais malmener et je tombais sur le ventre. Je poussais un soupir, ce n'était pas chiant, je n'étais pas agacé, en fait je fondais, c'était un drôle de jeu quand même mais on était complice tous les deux en cet instant surtout que j'essayais de parler avec ce bout de tissus dans la bouche qu'elle retirait enfin. "Aahh." Poussais-je en toussotant un peu. "Tu vas me le payer Kataieva." Dis-je en essayant de tourner la tête vers elle, mais mes bras emprisonnés encore me portait préjudice, je ne pouvais pas prendre appuie sur eux sans éprouver une douleur. "C'est comme ça qu'on s'occupe de son ptit mari tout mignon?" Je secouais la tête en faisant la moue jusqu'à sentir ses doigts me masser. "J'ai rien dis…" Je fermais les yeux, ça me faisait un bien fou, j'étais noué de partout, j'étais crevé, elle avait raison, Anya savait ce qui me faisait du bien, mieux que moi-même. "Tu peux pas me détacher? Je me tiendrais tranquille promis." Menteur que j'étais, j'allais l'attaquer dès que j'aurais les mains libres, est-ce qu'elle en serait consciente?

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Je le traite comme il le mérite dis-je en lui tirant la langue (aa) mais bien rapidement, je le faisais tomber sur le ventre afin de me poser sur lui et commencer à le masser. Je savais qu'il allait apprécier, que ceci allait lui faire plaisir, d'ailleurs, c'est pour ça que j'en avais profité pour lui retirer ma petite culotte de la bouche, bon moyen pour faire taire son homme. Il me demandait de le détacher, je n'avais pas confiance, cependant, il avait les yeux fermés, il gémissait un peu sous le plaisir que lui procurait mes mains contre son dos, dans ce massage qui se voulait apaisant. Je me penchais donc pour le détacher, il était dans un état de léthargie complet, je n'avais rien à craindre si ?

"Finalement Anastasiya me détachait sans trop de souci, j'avais simulé la plupart du temps, la douleur qui tapait mes articulations étaient assez forte alors j'avais essayé de noyer le poisson et ça avait plutôt bien marché. Quand mes mains se retrouvaient libérer, la première chose que je faisais c'était de me masser les poignets, elle avait de la force celle-ci fallait la voir comment elle avait réussit à m'attacher mes poignets avec cette maudite ceinture qui était la mienne. Sans crier garde, j'attrapais Anastasiya que je faisais tomber sur le coté libre du lit, je montais à califourchon sur elle pour la chatouiller, elle était pire que chatouilleuse, Anya était le genre de personne à craindre ce genre de chose alors je la chatouillais pendant de longues minutes avant de lui voler plusieurs baisers. "Une seule partie de ma vengeance attend toi à avoir l'autre à un moment donné." Dis-je en me levant. "Je vais boire de l'eau et quand je reviens je veux que tu ne portes plus ce haut." Je partais dans la cuisine c'est là qu'on échangeait quelques sms alors qu'on était pas très loin, je tardais parce que je devais prendre un médicament plus long par contre ça me coutait cher car Anya allait se payer ma tête après ma révélation alors je revenais dans la chambre me posant dans l'encadrement de la porte, les bras croisés, le regard un peu curieux. "Pas de rigolade? Si tu te fou de ma gueule, je fais la grève du sexe."

J'avais détaché Kenny finalement, il n'avait pas l'air rancunier, mais plus d'aimer mon petit massage contre son dos. Cependant, une petite part de moi me criait de ne pas le faire et elle avait raison, parce qu'aussitôt que monsieur eut les poignet libres, il me retournait sur le lit pour me chatouiller. Je gesticulais dans tous les sens , mes jambes, mes bras, alors que je riais sans pouvoir m'arrêter Kenny Kenny .... Kenny ! Arrêtes lui demandais-je en riant  J'ai mal aux joues  et aux abdos dis-je en continuant de gesticuler jusqu'à ce qu'il arrête. Ma respiration était devenu incontrôlable, mon buste se soulevait et je respirais anormalement fort. Oh mon dieu ! C'était pas proportionné   dis-je en tapant son torse alors qu'il m'embrassait. T'es vraiment exigeant, surtout après ce que tu viens de me faire dis-je en lui balançant un coussin dessus avant qu'il ne parte. Nous échangions des sms, je riais, il devait m'entendre, mais je ne pensais pas qu'il trouvait ma langue érotique. Alors qu'il revenait, mon dos était appuyé contre la tête de lit, j'avais retiré le haut, comme il me l'avait demandé, mais mes genoux relevé cachait mon geste, mon buste dénudé. Je le regardais contre l'encadrement de la porte, tel un adonis. Qu'est ce qu'il est beau !

Je me méfiais d'elle pour la simple et bonne raison qu'à sa place, j'aurais rigolé, je me serais moquer gentiment d'elle. Les yeux rivés sur la moindre expression de son visage, j'arquais un sourcil quand je voyais l'ombre d'un sourire mais non aucuns sons ne confirmait ce que je pensais sur l'instant, je me contentais donc d'avancer jusqu'à ce qu'elle se dévoile. Nu, son corps se dessinait sous mes yeux, bien sur que c'était érotique, j'ai jamais dis le contraire seulement sa langue c'était… je ne sais pas parfois il y a des choses que je ne pouvais pas expliquer. "Si très." Je venais la rejoindre sur le lit. "je pensais que tu voulais que je me repose." J'avais des doutes maintenant, je n'avais pas envie non plus mais il est vrai que se serait plus sage pour moi, j'allais aller mieux demain et aujourd'hui j'avais fais que tirer sur la corde cependant ce soir j'avais l'impression que notre relation avait prit un tournant, ma révélation sur notre vie à Cambridge m'avait complètement changé dans le sens ou je me sentais libre et heureux oubliant les périodes un peu sombre de ces dernières semaines. J'eu une quinte de toux alors que je tournais la tête pour choper un mouchoir et me moucher, heureusement qu'Anya n'avait pas reçu un petit postillon manquerait plus qu'elle soit malade mais sur l'instant j'ai compris, j'ai compris que je devais me tenir tranquille et donc poser ma tête sur un de mes endroits préférés qui me servait d'oreiller, le sein gauche d'Anya.

Bien sûr que je veux que tu te reposes, c'était juste pour te montrer que ça pouvait l'être aussi dis-je avec un petit sourire alors qu'il venait au lit. Au fait ta mère nous a invité à manger demain midi,je lui ai dis oui dis-je en tendant le bras pour qu'il vienne contre moi sous la couette. Il toussait et automatiquement je me tournais un peu pour ne pas prendre postillon. Je me glissais pour poser ma tête contre mon oreiller lorsque Kenny venait poser sa tête contre mon sein gauche, comme à sa plus grande habitude. Je caressais ses cheveux, descendant vers sa nuque pour la gratouiller du bout de mes ongles. Tu devrais dormir bébé je penchais la tête pour déposer un baiser sur son front étant donné qu'il était plus bas que moi tout en continuant de caresser sa peau, du bout de mes ongles pour l'endormir, sachant très bien que c'était le genre de geste qui l'endormait et l'apaisé.

"Quoi? Sérieux? Ta dis oui?" Je poussais un soupir. "Ok…" Pour une fois qu'on était tous les deux à New York sans la petite on ne pouvait pas profiter totalement de nous, je me posais contre Anya, ronchon, je restais là à caresser le tour de son nombril du bout des ongles. J'étais épuisé, les médicaments avaient tendance en plus de la fièvre à m'achever. J'hochais la tête après son bisou j'étais épuisé alors je m'endormais sans souci, elle savait comment me calmer, m'apaiser, Anya me grattait la nuque c'était un petit geste anodin et mignon qui avait un effet bœuf sur ma personne.
Je me réveillais le lendemain entouré d'une Anya qui avait logé sa tête contre mon torse, un doux sourire amoureux et tendre naissait sur mon visage, si je m'étais endormi contre elle de la même façon elle m'avait cherchée durant la nuit pour faire ça. Ma main glissait dans ses cheveux alors que je tournais la tête pour apercevoir l'heure. 10h48. Ma mère devait surement nous attendre vers 12h, il était temps pour nous d'émerger. "Ma puce…" Je lui déposais un baiser sur le sommet de son crâne, ça faisait plus d'une bonne semaine que nous étions loin de l'autre et c'était particulier ce matin, le premier depuis tout ce temps et il était agréable car j'adorais la réveiller en lui faisant des bisous sauf que là je ne savais pas du tout comment faire vu que sa tête était contre moi. "Anya." Dis-je en caressant ses cheveux blondinets. "Il est l'heure, on doit se préparer rejoindre ma mère donc tu ferais mieux d'ouvrir tes ptits yeux."