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alejandro feat. orlane

Le temps semblait interminable. Ou plutôt la route. Il fallait vraiment le faire pour se perdre dans un lieu qui est sensé nous être familier, sauf que dans le noir, tous nos repères disparaissent. "Hey bien, j'ai une force surhumaine, j'ai un corps digne de Spiderman, j'ai un bel équilibre et j'ai une intelligence hors de l'ordinaire, c'est assez je crois!" Ca faisait beaucoup d'arguments pour soutenir le choix de son costume. "J'pense que tu t'es bien défendu Spiderman." L'appeler comme tel était mérité, je n'avais rien à contredire. "Navré, mais aucune compagnie n'est agréable lorsque nous sommes perdus dans le noir... " Il marquait un point, et n'avait pas tord. Tout ce qu'il voulait était retrouvé notre chemin, tout comme moi. Ce n'était pas vraiment amusant de tourner en rond de manière incessante. "Fais moi confiance, je vais nous sortir de là." Et il suffisait de le dire pour enfin prendre le bon chemin. Plus on avançait, plus une lumière se rapprochait, au fond du couloir. "Qu'est-ce que je te disais? Avoue que je suis une déesse pour le coup." J'étais plutôt fière de moi de nous avoir retrouvé le bon chemin, malgré tout le temps qu'il nous avait fallut. Je le prenais pas la main, le tirant vers cette soirée qui n'attendait surement plus que nous, et enfin, un peu plus de lumière venait nous éclairer. Nous n'étions désormais plus perdus, et surtout plus seuls à voir cette foule déchainée que ne s'était pas douté un seul instant que l'on avait tourné en rond depuis tout à l'heure avant d'arriver ici. "Bon, je propose qu'on aille boire, j'pense qu'on le mérite!" C'est ce qu'il me fallait comme récompense et pour bien entamer la soirée.

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Alejandro tentait de le cacher le plus possible, mais il était vraiment à bout de patience et la soirée s'éternisait dans le mauvais sens pour ainsi dire. Pour autant, râler et perdre patience n'avancerait à rien. Il fallait au moins retrouver son chemin.

En attendant, il se marrait à tenter de convaincre Orlane du fait qu'il faisait un Spiderman crédible. La belle brune finit par lui donner raison, ce qui le fit légèrement rire, parce que tout cela n'était qu'une blague bien sûr. Combattre des méchants et tout, très peu pour lui, il n'a jamais été très batailleur, il a horreur de ça même. Il ne s'est battu qu'une fois contre un mec pour une histoire de filles et n'en garde pas un très bon souvenir...

-Le but, c'est de travailler en équipe et de se faire confiance l'un et l'autre.

Lâchait-il, un brin philosophe encore une fois, alors qu'Orlane faisait remarquer qu'il devait lui faire confiance. Oh, il a bien confiance en eux, ça ne s'est pas ça le soucis... Enfin, ils virent la lumière au bout du tunnel, littéralement. La Mather fit aussitôt une remarque victorieuse et Alejandro roula des yeux.

-Je n'ai pas besoin d'une telle chose pour l'affirmer!

Puis, la Mather, typiquement mather, proposait d'aller prendre un verre. Alejandro jeta un coup d’œil à sa montre, qu'il n'a pas et maudit un peu le ciel de ne pas l'avoir mise, rien que pour le costume.

-Bonne idée, mais après, je vais devoir rentrer.

Pas envie non plus d'ajouter de du gaz à une rumeur susceptible de s'enflammer, il l'avoue... Puis, il sait ce qui arrive quand il prend un coup et qu'Orlane, si belle, si sexy, est dans les parages...

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"Le but, c'est de travailler en équipe et de se faire confiance l'un et l'autre." Toujours aussi philosophe, il tentait tant bien que mal de rendre ce moment ennuyeux plus attractif. Ma patience avait ses limites. Je commençais sérieusement à en avoir marre de ne pas savoir où aller, et à moins que je n'explose en une fraction de seconde, mieux valait nous sortir de cette pénombre inconnue au plus vite. Je décidais de prendre les choses en main, suivant mon instinct alors que je me dirigeais grâce au bruit. Et lorsque nous nous retrouvions au bon endroit, je ressentis un grand soulagement. Non pas que trainer avec l'Eliot me dérangeait, mais plutôt que j'avais envie de profiter un minimum de cette soirée, et non de la passé je ne sais où à tourner en rond. L'air victorieux était clairement visible sur mon visage, plutôt fière de mon bon flair qui nous avait sorti de ce gouffre infernal. "Je n'ai pas besoin d'une telle chose pour l'affirmer!" Je souriais de plus belle, son visage était plus perceptible qu'il y a quelques minutes. C'était bon de retrouvé un peu de lumière et de mieux distinguer les alentours. "Je pourrais presque prendre ça pour un compliment." En tout cas, ça y ressemblait. Et sans plus attendre, mon âme fêtard prit le dessus alors que je l'embarquais avec moi au coeur de l'ambiance, direction le bar. "Bonne idée, mais après, je vais devoir rentrer." J'écarquillais les yeux, quelque peu déçue de cette annonce. "Sérieusement? On vient de tourner en rond pendant je ne sais combien de temps, et maintenant qu'on peut profiter de la soirée tout ce que tu trouves à dire c'est que tu ne vas plus tarder?" Pas vraiment pour moi ce genre de phrase. Je rigolais alors ironiquement haussant finalement les épaules. Je veillais à prendre mes distances avec lui. On était maintenant devant tout le monde, et peut-être que se retrouver ensemble allait susciter les curiosités intéressées. "Prends au moins la peine de boire un verre..." dis-je d'un air attendrissant. On ne pouvait rien me refuser dans ces cas-là. "...ou deux." continuais-je finalement. Je pouvais continuer la suite de mon compte si je le voulais. J'espérais juste qu'il cède à mes caprices et décide de prolonger un peu cette soirée, qui ne faisait que commencer.

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Orlane prit presque sa remarque comme un compliment, mais pourtant, c'était bel et bien un compliment, subtile, c'est certain. Après, Alejandro joua le jeu et ajouta:

-Presque...

Après quoi, aussitôt arrivé à la fête, Orlane les dirigeait vers le bar et annonçait ses intentions. Dommage pour elle, mais Alejandro avait moins de temps pour la fête. Ceci dit, la belle Mather ne comptait pas le laisser faire si facilement. N'en fallait pas plus pour qu'il se sente aussitôt coupable un brin ou deux. Finalement, en la voyant rigoler, il fut rassuré et rigolait lui aussi du coup, soulagé, il l'admet.

-Je traîne ici depuis déjà un bon bout de temps tu sais!

Il ne venait pas tout juste d'arriver quand il a croisé la Brésilienne. Par contre, elle revenait encore et insistait pour le faire rester un peu plus, qu'il s'en tienne à deux verres au moins. Rah, c'est difficile de dire non à une jolie fille. Alejandro, un brin pensif, jeta un petit regard dans les alentours, puis laissa tomber.

-D'accord, deux verres. Tu fais une négociatrice redoutable dis donc!

Autant commencer tout de suite d'ailleurs. Il se servait un verre de bière, qu'il tendait à Orlane, puis s'en servait un autre pour lui. Après un petit "salud" typique de la part de l'Espagnol, il prenait une bonne gorgée, parce que mine de rien, toute cette marche avait donné soif tout de même et la bière sonnait comme une récompense après toute cette histoire.

-J'ai hâte de voir la note que nous allons avoir pour notre travail. D'après moi,, ce sera bon. J'espère en tout cas!

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C'était hors de question. Je n'allais pas le laisser filer si facilement alors qu'on s'était battu corps et âme pour pouvoir arrivé jusqu'ici. Et puisque me devise est qu'après l'effort on a droit au réconfort, il était dans l'obligation de se joindre à moi pour boire un verre. "Je traîne ici depuis déjà un bon bout de temps tu sais!" Je haussais les épaules, lui faisait clairement comprendre que ce fait ne changeait rien à tout ça. "Ce n'est pas une excuse!" Il faudrait beaucoup plus pour qu'il puisse partir. Je décidais alors de jouer la carte de l'attendrissement, tirant une mine de chat potté dans l'espoir qu'il cède à ma demande. "D'accord, deux verres. Tu fais une négociatrice redoutable dis donc!" Un grand sourire s'affiche sur mes lèvres, fière de l'avoir fait céder. "Je sais, on me le dit souvent." J'étais comme ça, le genre de femme qui arrivait toujours à avoir ce qu'elle voulait et qui s'en tirait toujours plutôt victorieuse de ses talents de conviction. Et puisqu'il décidait de m'accompagner, il ne perdit pas de temps et nous servit deux verres de bières, dont un qu'il me tendit. Je le remerciais par un hochement de la tête, avant de tirer une grosse gorgée, contente de pouvoir enfin boire. "J'ai hâte de voir la note que nous allons avoir pour notre travail. D'après moi, ce sera bon. J'espère en tout cas!" Oh, j'avais presque oublié ce fameux travail que l'on avait fait en binôme. J'espérais aussi avoir une bonne note, bien que je n'avais aucun doute là-dessus. "Je trouve qu'on a bien travaillé, donc en tout logique, on devrait être bien récompensé." Il avait été la forte tête de ce boulot. J'avais bien aimé m'allié avec lui, même si au début cette annonce avait plus été prise comme une tâche qu'autre chose.

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Si Alejandro se cherchait des excuses et/ou des arguments pour convaincre Orlane que son départ n'était pas aussi hâtif qu'elle semblait le croire, l'Espagnol se rendit vite compte que c'était peine perdu et qu'il ne convaincrait pas la Mather si facilement. D'ailleurs, il finit par accepter de prendre deux verres, pas plus, se promettait-il à lui-même. La Brésilienne était contente, c'est certain et plutôt fière d'elle, visiblement. Elle n'était même pas étonnée de son compliment et Alejandro eut un sourire, parce qu'au fond, c'est sans doute une qualité qu'ils partagent tous deux.

Après quoi, ils purent enfin profiter des avantages de cette fête d'Halloween et prendre le premier verre des deux verres que le jeune homme compte prendre. Après leurs gorgées respectives, Alejandro lançait la conversation sur le travail qu'ils ont fait ensemble et dans lequel ils ont mis beaucoup d'effort. C'est certain que l'Espagnol avait été un peu le chef du duo, mais Orlane est une fille futée et intelligente, elle avait contribué plus qu'il ne l'avait espéré. Et non, il ne fait aucune allusion à cette fameuse nuit à laquelle il se surprend à repenser parfois!

-Si la note n'est pas à la hauteur, compte sur moi pour aller en comité de révision. À moins que tu m'avoues avoir des manières plus efficaces de convaincre un professeur d'admettre ses erreurs et de corriger le tout.

C'est bien connu, certaines élèves ont des méthodes vieilles comme le monde, mais toujours efficace, pour parvenir à leurs fins. C'est le bruit qui court en tout cas. Ce sujet passablement déjà clos, Alejandro cherchait déjà de quoi d'autres à dire. Voyons voir...

-Sans nécessairement me dire des infos top secrètes... Qu'est-ce qu'il y a de prévus du côté mather? Des trucs sympas?

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Le moment tant attendu se présentait enfin. Après tout, je n'étais pas venue à cette soirée d'Halloween dans le but de me perdre. J'allais enfin pouvoir profiter de cette soirée, et consommes ce qu'ils proposaient. Une Mather se devait de passer par la case bar, et je comptais bien profiter de la compagnie de l'Eliot pour prendre un verre. Sans doute n'était-ce pas l'endroit idéal pour se montrer ensemble suite aux rumeurs que CS avait divulgués, mais peu importe, je m'en foutais. Je n'allais pas me priver de quelque chose juste parce que nous étions susceptibles d'attirer les regards curieux. Le verre de bière en main, il ne m'avait pas fallut longtemps avant qu'il ne se retrouve vide; pas le temps de déguster. D'ailleurs, je ne me rendais même pas compte à la vitesse où j'avais bu mon verre. "Si la note n'est pas à la hauteur, compte sur moi pour aller en comité de révision. À moins que tu m'avoues avoir des manières plus efficaces de convaincre un professeur d'admettre ses erreurs et de corriger le tout." Je voyais très bien où il venait en venir, et je décidais d'ailleurs d'entrer dans son jeu. "Je pourrais avoir d'autres atouts à présenter au professeur, c'est vrai." Dis-je d'un large sourire avant d'enchaîner. "Mais j'pense que ça ne sera pas nécessaire, on a fait du bon travail. J'trouve même qu'on formait un bon binôme!" Sans parler de ce qui avait suivi, évidemment. Bien que c'était réciproque dans ce sens-là. Changeant de conversation, le jeune homme semblait s'intéresser sur l'actualité de ma maison. "Sans nécessairement me dire des infos top secrètes... Qu'est-ce qu'il y a de prévus du côté mather? Des trucs sympas?" Ouh, il y avait tellement de chose à dire. Les Mathers ne se laissaient aucun moment de répit, toujours à l'afflux. "Et bien, on a un voyage organisé en Thailande prochainement. J'ai assez hâte d'y être! Et vous, quelques chose de prévu?" Etrange, une verte s'intéressant à la vie commune des bleus.
"

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De son côté, Alejandro avait la descente moins facile qu'Orlane et cette fois-ci, il ferait attention à ne pas la suivre, pour ne pas finir aussi réchauffé que l'autre fois! À son commentaire, la belle Brésilienne ne niait pas avoir d'autres moyens de convaincre un professeur, mais ne croyait pas que ces talents soient nécessaire, elle avait confiance en leur travail, ce qui fit bien sourire Alejandro. Orlane, sûre d'elle? C'est un euphémisme de le penser.

-Si, tu as raison.

Sur toute la ligne sans doute, sur ces atouts, sur le fait qu'elle ne devrait pas en avoir de besoin aussi. Quoi de neuf du côté Mather? Un voyage en Thaïlande, c'est pas mal! Aucun voyage de prévu du côté Eliot, rien de prévu en fait. La question lui était retournée et Alejandro eut une sorte de grimace qui ne cachait pas son insatisfaction vis-à-vis de sa maison. D'ailleurs, la suite, il la dit à voix basse.

-Rien de bien intéressant... May est une faible, franchement, tout Harvard le sait et Zakhar, notre VP, inutile d'en parler, il est inexistant... À ce qu'il parait, ils organisent un pyjama party. C'est mieux que rien je suppose.

L'époque où la cour de ses majestés Eliot faisaient l'envie de tout Harvard était révolue cependant et Alejandro était le premier navré de voir sa maison décliner de la sorte. Est-ce que la lutte incessante contre les Mathers serait venue à bout des bleus? Il en doute, c'est plutôt que les Bleus ont élu les mauvaises personnes à l'élection, à son avis. Alejandro finit son premier verre et s'en sert alors un deuxième.

-Tu penses te diriger en quelle spécialité niveau droit?

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J'étais assez confiante sur les résultats que nous obtiendrons. Nous avions bien travaillé et étions complémentaire l'un de l'autre. J'y avais mis du mien, et lui du sien, tout ça pour former un tout assurer. Jouer la carte de la provocation n'allait pas faire partie du jeu, et puis-même, ce genre de conviction ne faisait pas partie de ma personnalité. "Si, tu as raison." Je ne m'en faisais absolument pas, et le contraire m'étonnerait vraiment. La conversation s'enchaînant, mon verre avait eu le temps de se vider, alors que le jeune homme prenait plus le temps de déguster. Je m'en servais alors déjà un deuxième, reposant mon attention sur l'Eliot. "Rien de bien intéressant... May est une faible, franchement, tout Harvard le sait et Zakhar, notre VP, inutile d'en parler, il est inexistant... À ce qu'il parait, ils organisent un pyjama party. C'est mieux que rien je suppose." A l'entendre parler, il ne semblait pas vraiment heureux de voir la tournure que prenait sa maison. Il est vrai qu'on entendait plus beaucoup parler de cette maison, laissant un peu de répit combatif aux verts. A croire que nous avions effectivement pris le dessus. "Preuve supplémentaire que les Mathers sont plus intéressants." dis-je bien évidemment pour le taquiner, étant loin de prendre part à la guerre entre nos maisons. "Tu penses te diriger en quelle spécialité niveau droit?" Les conversations semblaient s'enchainer. Il est vrai que nous n'avions pas tant pris la peine que ça à plus se connaître lors e cette fameuse soirée, hum. "Avocate en droit pénal, et toi?" Cette décision avait été prise dès l'instant où j'avais décidé d'entreprendre des études de droit. Sans doute avais-je été inspirée par tous ces films policiers que l'on voyait défiler sur nos écrans.

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Alejandro ne devrait sans doute pas se livrer de cette façon sur les problèmes de sa maison, encore moins à une Mather, mais cela était plus fort que lui, vu la frustration qu'il ressentait à l'égard de sa maison. Après tout, elle lui avait préféré May aux élections et maintenant, une part de lui se satisfaisait de la voir plonger de la sorte. Pour Orlane, tout cela était la preuve de la domination des Mathers et force est d'admettre que cet automne, c'est se voiler la face que de prétendre le contraire. Il fit juste un petit sourire, puis changea de sujet, avant qu'on ne l'accuse de trahison.

Puisque le droit est un domaine vaste, il se demandait bien dans quelle spécialité Orlane souhaitait poursuivre ces études. Les choix étaient nombreux et la belle brune optait pour le droit pénal, criminel quoi, le truc qu'on voit souvent à la télé, avec un accusé dans la boîte, tout cela. Une spécialité prestigieuse, mais qui ne rapporte pas autant que d'autre. Bien sûr, ensuite, la question lui fut retournée.

-Tu sais, je n'étudies pas en droit pour faire une carrière d'avocat, même si je veux faire le Barreau. Je vais rester dans le domaine commercial, probablement international surtout, c'est ce qui va m'être le plus utile je crois.

De son côté, il comptait prendre la relève de son grand-père à la tête du vaste consortium familial, mais ceci dit, ce n'était pas pour demain la veille non plus. Son grand-père ne compte pas lui céder tout son empire, comme cela, en un claquement de doigt.

-Droit pénal, c'est super intéressant je trouve. Tu veux rejoindre le camp de l'État ou être la défenseur des causes perdues?

Demandait-il avec un sourire narquois.