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I LOVE HARVARD
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    We don't talk anymore, but still care for each other ft Joyce (21.11)
    Page 2 sur 2 Précédent  1, 2
    Ji-hun HwangMembre de la Pforzheimer House
    feat
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    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Ji-hun Hwang
    Membre de la Pforzheimer House
    Informations
    Âge : 28
    Lieu de naissance : Hamheung, ville de la région de Hamgyeong du sud. La Corée du Nord l'a vu naître, l'a élevé. Elle a forgé une partie de l'homme qu'il est aujourd'hui, mais c'est sur un tout autre continent qu'il désire construire son avenir.
    Quartier.s d'habitation & Colocation : Il a vécu la Pforzheimer House durant une année, l'a quitté en juillet pour s'installer provisoirement chez un ami, à Chinatown, Boston, le temps de déménager dans un studio au 499 Beacon St.
    Situation sentimentale : Il a retrouvé les champs, un petit peu plus d'un mois avant le printemps. Maintenant que n'existe plus de pression, la relation peut enfin préparer sa floraison ; dans une relation avec Lilia, demoiselle qu'il connaît depuis un an déjà ; 2024년 2월 16일
    Études & Métiers : doctorant en pharmacologie, au sein du laboratoire de l'école de médecine, il assiste également son superviseur dans ses recherches et participe activement à des conférences. En-dehors de ça, il fait du tutorat en sciences et en coréen ; ça paye bien mieux que serveur à la Luna Caffe, même si sa passion pour les latte art ne s'est pas envolée.
    Date d'inscription : 16/04/2022
    Pseudo & pronom IRL : Huimei (elle)
    Icon : We don't talk anymore, but still care for each other ft Joyce (21.11) - Page 2 Tumblr-a7d2d7d74b9001bacd4f0b676c0fbac3-b2a9229d-400-gif
    Avatar utilisé : Lee Jong-seok
    Crédits : Yg lockscreen world (avatar) onlyjongsuk (gif)
    Multicomptes : /
    Description un :
    Awards:
    Warning : régime totalitaire, sanctions (ex : camp de concentration, travail forcé, exécution publique), patriarcat social / juridique, tortures / actes de barbarie, détention provisoire, violences policières (Japon), ablation d'un rein, 18+, racisme / discrimination / bashing subis, grossesse extra-utérine de son ex-copine / maladie : insuffisance rénale.
    RPS : 745
    Messages : 18053
    Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t146845-ji-hun-hwang-lee-jong-suk#6299836
    Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t155646-ji-hun-hwang-fiche-de-liens
    Profil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t146952-meetsachussets-jho
    Complément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t157483-ji-hun-hwang-complement-de-personnage#7065050
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    Lien du postDim 14 Jan - 6:22
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    Le New Jersey avait été son rêve de post-doctorant, mais depuis un certain temps il y pensait avec un peu moins d'engouement. Harvard intégrée, il y avait eu tant de rencontres et de faits marquants qui lui avaient permis de détailler ce que sa vie aurait été, à commencer par le booster que sa famille d'accueil avait été, puis le sérieux qu'avait pris cette rencontre avec Joyce au fil des mois passés à la côtoyer. Aujourd'hui, il se rendait compte que l'élan insufflé par ceux qui l'avaient si bien intégrés ne suffisait pas forcément à lui faire oublier qu'il allait devoir s'éloigner de plein de gens. La peur de ne pas avoir ses papiers avait également flouté une partie du quotidien qu'il s'était imaginé, l'obligeant à ne plus trop se projeter tant que son destin n'était pas scellé. Sa séparation avec Joyce n'avait rien arrangé, tirant un trait sur la possibilité de construire son propre foyer. Et même si son rêve de voyager n'avait pas vraiment collé avec son besoin d'être chaque jour soutenu dans les rôles qu'il aurait eu à jouer, elle n'en aurait pas moins été un pilier auquel se raccrocher, un rythme de croisière annuel qui l'aurait rassuré – tant qu'elle n'aurait pas trop tardé à le retrouver. Alors, oui, le New Jersey était son objectif premier, mais il s'y dirigeait en tâtonnant. De la famille Hwang peut-être le seul survivant, et la maladie l'emportant, il serait judicieux qu'au cas où il pense à un autre plan.

    Le ton employé par la doctorante eut forcément don de le surprendre, tant sur sa vie sur l'océan elle n'avait cessé de s'épendre. Et c'est celle qui te convient, tu as tant attendu ce moment où tu finirais par lever à nouveau les voiles, dit-il pour lui rappeler ô combien ça avait été son idéal. Elle lui avait tellement parlé de l'adolescente qu'elle avait été, celle qui ne s'était pas retrouvée au milieu des autres camarades de la même année, tant au niveau des comportements que de ses centres d'intérêt. Bien plus à l'aise auprès d'animaux marins que des êtres humains, elle se rapprochait d'un quotidien qui lui ressemblait et qu'elle pourra partager avec d'autres passionnés. Il était heureux d'y penser, même si ça voulait dire ne plus jamais la retrouver. Les vagues vont enfin pouvoir te bercer, sourit-il – de ce qu'il pouvait, parce qu'il était épuisé. Entre les symptômes et la disparition de son père sur laquelle il travaillait en collaboration avec le Sud de la Corée, il n'y avait absolument rien pour arranger. Tu auras plus de chances de croiser tes parents, dit-il avant d'ajouter : c'est important. De renouer autour d'un sujet qui leur était commun. S'il avait pu, autrement il aurait fait le brun. Pour lui, il était un peu tard pour se rattraper, mais aux autres il pouvait au moins le suggérer pour ne pas les voir oublier que la famille, c'était bien plus sacrée qu'on pouvait le penser.

    Et si Joyce avait précédemment hésité, ce fut lui qui posa ses doigts, auriculaire décoré d'un bijou argenté, grand retour de l'ornement depuis qu'il était moins actif dans sa sexualité – avec la biologiste, c'était compliqué de continuer à en porter, tant l'amour ils faisaient. Il tapota son avant-bras, pas longtemps, puis le recula ; à son projet, il fallait impérativement qu'elle y croit. Il but son café, enfila un peu plus les gorgées car : Je vais devoir y aller, j'ai des choses à terminer avant de penser à me reposer. Il fallait qu'il rattrape tout ce temps durant lequel il avait songé, yeux rivés sur un avenir incertain, – de cinq étaient passés à deux n'en restait probablement plus qu'un. Solo qu'il ne savait comment envisager si quelque chose était réellement arrivé. Tu ne t'es pas dirigée vers l'arrêt de bus pour le prendre tout à l'heure, je suppose que t'es venu en vélo, dit-il, tout en commençant à débarrasser la table sur laquelle ils étaient installés, je vais t'y raccompagner. Galanterie qu'il pratiquait sans se forcer, ça avait toujours été, même s'il refusait d'admettre que ça ressemble un peu à un romantisme inné. Plateau rempli une fois que Joyce eut fini, il alla le ramener avant de revenir pour s'habiller. Ça m'a fait plaisir que tu te sois retournée en tout cas, avoua-t-il en fermant son manteau pour gagner quelques degrés sur le vent qui, dehors, s'était levé, on peut y aller ? Il lui demanda sans chercher à la presser.

    @Joyce Millett
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    Lien du postLun 15 Jan - 10:34
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    Les yeux fixés sur son thé, Joyce fait valser la tasse sur elle même, observant le liquide tourbillonner en son fond. “Hmm…” valide-t-elle, peu convaincu par ses propres pensées. Étrange que cet avenir dans lequel elle s’était tant projetée lui paraisse désormais un peu plus terne sans la présence de Jay au port. Ce sentiment n’avait jamais émergé avec son ex, combien même elle avait été persuadée à un moment de sa vie qu’il était celui qu’elle aimerait pour toujours ; promesse presque enfantine autour d’une bague trouvée dans l’océan. Il faut croire cependant que Denzel était une forme de mirage ; les enfants ça finissait pas grandir et les promesses s’estompaient autant que les souvenirs. Pourrait-elle un jour penser au doctorant sans ce pincement caractéristique au cœur ? Délicat à imaginer, en tout cas pour le moment ; il y avait eu après tout des cicatrices qui, si elle s’affineraient avec le temps, ne disparaîtrait jamais complètement. On ne pouvait pas jeter des balafres dans les mers comme on y balançait un bijou.

    – Je n’en suis pas si certaine. Avec le sujet d’étude de mon père ils sont plus souvent dans les régions arctiques et antarctique et si je veux pouvoir étudier le grand requin blanc, ce n’est pas vraiment les zones qui m’intéressent.

    Même si ce n’était pas le sujet de son doctorat, elle caressait toujours ce rêve de pouvoir consacré une partie de sa carrière au lamniforme. Les orques étant l’un des seuls prédateurs connu de l’espèce – en dehors de l’homme, évidemment – ils n’étaient pas du genre à partager le même territoire. Un peu comme si le père et la fille avaient expressément choisi des spécialités qui se chassaient mutuellement… Deux géants qui se partageaient les flots et les vagues.
    Elle n’était cependant pas certaine que l’occasion lui serait donnée de pouvoir les étudier. Il faudrait voir les opportunités et les emplois qui s’ouvraient à elle. Et puis même si c’était moins impressionnant et fascinant, son sujet de très n’était pas inintéressant pour autant, d’autant plus qu’il y avait toute une portée environnementale afin de préserver les fonds marins et qui lui plaisait également beaucoup. Ne faisait-elle pas partie d’une association qui s’attaquaient justement à cela ? Sans compter qu’il y avait également ces vies humaines ballotées par les flots et qu’elle avait découvert cet été ; si ça avait beaucoup heurté sa sensibilité et que ça hantait encore aujourd’hui ses cauchemars, elle ne pouvait imaginer une vie passer à ne pas chercher à agir pour cela également. Ça partait dans beaucoup de sens. Mais au cœur de tout ça, demeurait une certitude : son avenir était intimement lié avec l’océan. Elle était beaucoup moins certaine qu’il soit lié avec Jay et ça faisait mal de l’imaginer partir complètement, même si c’était elle qui avait fini par lui demander du temps…

    – Hm ? Oh, bien sûr.

    La voix de celui qu’elle a aimé – qu’elle ne peut pas s’empêcher d’aimer encore un peu – la sort de la torpeur de ses pensées, autant que les doigts qui tapotent brièvement son avant-bras. Relevant les yeux vers lui, elle lui sourit un instant avant de porter la tasse en porcelaine blanche à ses lèvres pour terminer rapidement les dernières gorgées de son thé. La bouche encore occupée à boire, elle répond simplement par un hochement de tête affirmatif à sa déduction sur son moyen de transport. C’est donc bientôt que leurs routes se sépareront ; ils n’auront même pas à attendre un bus ensemble ou à passer quelques arrêts avant que le véhicule ne s’immobilise pour relâcher l’un ou l’autre. Elle ne sait pas vraiment pourquoi, mais ça lui paraît étrange.
    Reposant sa tasse, elle suit ensuite son mouvement et se rhabille à son tour, bouclant le manteau jusqu’au menton et sortant les gants en laine pour affronter les températures automnales. Elle a laissé son casque accroché à son vélo en espérant que personne n’ait l’idée stupide de le lui piquer. Prête, elle peut ainsi lui emboîter le pas, parcourant ces couloirs qui l’ont vue l’âme vagabonde presque une année auparavant. Vagabonde, mais soutenue par les sentiments qu’elle avait à l’époque pour Jay ; que reste-t-il aujourd’hui de tout cela ?

    Son casque est toujours accroché à son guidon lorsqu’ils parviennent à l’endroit où elle a laissé sa bicyclette. L’enfilant rapidement sur sa masse de cheveux, elle se tourne ensuite vers le biochimiste, un sourire timide sur ses lèvres.

    – Prends soin de toi, d’accord ?

    Cette fois, c’est sa main qui laisse une caresse furtive sur son épaule, avant qu’elle ne se détourne pour libérer son moyen de transport de son cadenas. Antivol rangé, elle enfourche ensuite son vélo, un pied déjà sur l’une des pédales.

    – À bientôt, Jay.

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