naissance
5 août 1997 à Tel-Aviv, Israël.

nom(s) & prénom(s)
Reyna Sereen Weiss

nationalité(s)
Israélienne.

origine(s)
israélienne, américaine du côté maternel, palestinien du côté paternel.

orientation sexuelle
bisexuelle.

statut amoureux
célibataire mais amoureuse, c’est le bazar comme d’habitude.

études
journalisme, après une pause d’un an, tu reprends tes études pour devenir journaliste de guerre.

bourse
non-boursière.

statut social
riche, ta famille tient une chaîne d’hôtellerie connue dans les pays arabes et s’implante doucement aux états-unis.

job étudiant
aucun.

maison
tu n'as jamais été attirée par les maisons. tu es student.

Tu as toujours rêvé d’étudier dans une université américaine telle que Harvard mais par amour, tu avais décidé de rester en Israël. Mais finalement tu as eu l’opportunité dans ton malheur de faire transférer ton dossier lors du premier semestre de l’année 2018/2019 à Harvard. Ton dossier était à en perdre la tête au vu du nombre de pages qui le composait. Lettres de recommandations de professeurs, du directeur de ton lycée, des associations qui ont rencontré ta pseudo générosité et des nombreux coaches des différents sports que tu as pu pratiquer depuis ton enfance. Tu as dû ensuite passer les SATS qui ont été d’une facilité flagrante malgré quelques différences dans le programme scolaire d’Israël par rapport aux Etats-Unis. Tu étais fin prête pour l’avant-dernière étape : l’essai. Tu as écrit sur le monde des médias, de l’information et de l’importance de mieux gérer l’impact de ces derniers sur la population. Ton entretien a porté sur le même thème, ton envie que le monde du journalisme change pour le mieux, d’en finir avec les gros titres camouflant les atrocités pouvant se passer dans le monde. Te gardant bien d’étaler tout le mépris que tu pouvais ressentir envers ceux qui boivent aisément les paroles des grandes chaines d’information. Quelques semaines plus tard, te voilà avec ta lettre d’admission en main. Aucune surprise, c’était attendu de tous et le contraire n'aurait été que supercherie.
Tu as décidé de réécrire un essai pour prouver que ta motivation était toujours là après avoir quitté Boston. Tu refais ta rentrée et reprends là où tu en étais restée.

Tu es la froideur qui brûle aussi fort que les flammes, Reyna. Tu es ce visage magnifique, qu'on imagine radieuse mais qui en réalité, dégage une froideur polaire, presque violente lorsque l'on te croise. Un calme olympien en apparence qui cache une véritable instabilité de ta personne. Avec les personnes de lumière, tu finis également par rayonner à ton tour. Avec ceux qui te provoquent, te blessent, te perturbent, tu es d'une impulsivité quasi volcanique. C'est comme des pulsions que tu ne peux contrôler, le poing a tendance à se serrer et à frapper de toutes ses forces n'importe quoi. Mur, verre, personne. Sous toute cette froideur, cette glace, se cache une véritable boule de rage constante, qui menace d'exploser au visage de n'importe qui, à n'importe quel moment. Tu as l'impression de ne pas tourner rond, de te perdre. Tu as essayé de faire mieux mais en vain, tu abandonnes. Tu es cette peste avec une aura menaçante, détestable. Sans aucune pitié, tu méprises les autres et tu ries de leur malheur. Pourtant tu as l'affection immense, Reyna. Tu aimes, tu aimes fort. Souvent mal mais quand tu t'attaches aux autres, c'est souvent pour la vie. Aucun équilibre chez toi, ton amour est à la hauteur de tes colères intérieures. Tu imploses sous les émotions qui t'envahissent Reyna, tu ne sais comment les gérer. On ne t'a jamais réellement appris à te canaliser, à te plier à la norme. Et quelque part tu ne veux pas changer, Reyna. Tu te détestes autant que tu aimes. Tu aimes le pouvoir que t'apportes le fait d'être impitoyable mais tu hais par dessus tout céder à tes démons. C'est comme si ton instabilité était une drogue. Et tu finis toujours par replonger.

anecdote une enfant du monstre et du fantôme, tu naquis à tel-aviv en 1997. une mère détestable et souffrant d’une dépression post-partum, un père inconnu. tu es comme une malédiction pour ta maternelle, reyna. ta mère elle avait d’autres ambitions. tu as la chance d’être accueillie chaleureusement par ta tante et tes grands-parents.anecdote deux maman elle va et vient au gré des saisons. tu vis majoritairement avec tes grands-parents et ta tante. ta mère quand elle est là, elle t’insulte copieusement, les bagarres sont fréquentes. si tu essayes de retenir ta violence, ta mère ne se prive pas de cracher sa haine à ton égard. un jour ça va trop loin. tu pars à l’école. et maman ne vient pas te chercher. rien d’inhabituel. mais ta mère, elle ne viendra plus jamais te chercher. c’est après trois heures assise sur un banc que tu comprends qu’elle t’a abandonné. ta tante devient ta tutrice légale cette année là. anecdote trois mais la pomme elle ne tombe jamais loin de l’arbre. tu étudies dans une école privée de filles à tel-aviv. un environnement fait que de femmes. les nanas ça peut se mordre en elles. alors tu te devais de mordre fort du premier coup pour qu’on te laisse tranquille. pour survivre. c’est dans cette école que tu as appris à exprimer ta violence et ton caractère détestable. mais on te laissait tranquille. tu avais pu exprimer tes sentiments grâce à la danse classique dans cette école. la rigueur, le contrôle. des choses qui t’obsédaient tant tu semblais en manquer. tu ne voulais pas que ton instabilité prenne le dessus et tu t’es formée de force au contrôle par le biais de la danse et de la rigueur de l’école privée. anecdote quatre même leur de ta première véritable relation. une control freak qui est sortie avec une racaille de la ville. relation qui dure pourtant un an. relation durant laquelle les bagarres sont fréquentes. entre ton envie de contrôle, son envie de possession et de liberté. il te frappe, tu ne fais pas mieux. il prend ce qu’il veut de toi et tu laisses faire parce que pour toi, l’amour est vache. vous vivez ensemble et claquez les portes au gré des disputes ou des enlaçades langoureuses. jusqu’au jour où tu apprends qu’il deal dans votre appartement. tu le fous dehors et claques la porte. besoin d’un nouveau point de stabilité, tu recherches ton père biologique. tu le trouves dans une résidence aux états-unis où il te claque la porte. tu lui rappelles ta mère, traumatisme suffisant pour ne pas vouloir apprendre à connaître une jeune femme, presque une gamine. les conflits entre vos pays d'origine n'aident également en rien. tu es mal vu, la rejetée, la pourrie. anecdote cinq un nouveau départ c’est ce qu’il te faut. tu erres telles une âme en peine et rencontre edgar. une conversation toute une nuit avec lui dans un bar te donne le courage de démarrer cette nouvelle vie. tu demandes ton transfert à Harvard. anecdote six en mars 2020, ta mère décède. tu t’es rendue à tel-aviv juste avant son décès. tu as craché une partie de ta frustration. le reste se retrouve bloquée. tu vois une femme qui a seulement envie d’une rédemption. pas de t’aimer, pas de te considérer comme sa fille. tu la hais. et quand elle meurt pourtant, tu es dévastée. anecdote sept tu retrouves edgar au bal 2020 d’harvard. conversation nocturne et une autre, encore une autre. le coeur bat plus fort, le sourire se fait plus grand. un amour innocent qui se forme, rassurant. vous vous comprenez comme personne ne peut vous comprendre. edgar il te fait rire, il t’aide à te confier, tu vois un véritable partenaire à tes côtés. mais tu n’oses pas sauter le pas, tu le connais à peine au fond, tu vois l’excès dans lequel il baigne et ça te freine. anecdote huit et tu rencontres kaiden pendant ce temps. tant de points communs, d’expériences de vie commune. kai il te touche en plein coeur, c’est presque un coup de foudre. c’est à tokyo durant le summer camp que le coeur commence aussi à s’emballer pour lui. et avant même que tu ne le réalises, tu tombes amoureuse de deux hommes, reyna. edgar et kai. edgar il te rassure, il est ta stabilité et ta folie. kai c’est celui qui t’apaise et surtout qui te pousse inconsciemment à être moins égoïste, à grandir. et ça te fait peur, ça t’effraie. tu jongles entre les deux pendant tout l’été, piquant des énormes crises à edgar pour te lover dans les bras de kai. tu te perds, tu te déchires, tu souffres. et tu craques. anecdote neuf tu prends une décision de manière précipitée. pas une véritable décision, une preuve de lâcheté plutôt. tu quittes kai par messages et fais tes aveux. tu dis à edgar que tu reviendras. tu pars pour tel-aviv. anecdote dix rapidement tu réalises que tu as fait une erreur en ne prenant pas de décision. mais tu as besoin de te reconstruire. le temps et l’isolement te faisant remarquer petit à petit que kai était ton âme-soeur, ton miroir. et qu’effrayée, tu as choisi celui qui te faisait moins peur. la quiétude qui t'abandonne soudainement, le karma qui vient sonner à ta porte sans doute. edgar il sort avec une autre. une femme que tu détestais. ultime trahison. après plusieurs mois de réflexion et de torture, tu réalises que tu as abandonné une histoire trop tôt. qui méritait mieux. tu reviens à boston pour te rabibocher avec kai. tu dois lui prouver les choses. autant dire que ce n’est pas vraiment toi mais tu te dois de tout donner. tu l’aimes. mal mais tu l’aimes. anecdote onze une dernière quête avant de retourner à ton ancienne vie de boston. telle une tradition à croire, tu recherches ton père. besoin de réponses, plus que du venin. besoin d’être acceptée par un père. tu as cherché pendant des mois. palestine, pays d’origine et de résidence principale. tu prends le risque malgré les conflits et tu prends un avion, tu frappes à la porte de l’adresse trouvée. scandale, c’est sa femme qui ouvre la porte. tu n’es pas intimidée et tu dis très clairement pourquoi tu es là. avec toute la provocation du monde selon cette famille pour qui tu es une inconnue. anecdote douze après plusieurs jours où tu essayes d’entrer en contact avec ton père, le piège est tendu. tu te rends à un rendez-vous mais c’est les hommes de la famille qui t’accueillent. si les menaces ne marchent pas alors ils te feront disparaître. menace directe à la réputation de cette famille si appréciée par autrui. les femmes en palestine,en israël et d'autres pays, lorsqu’elles menacent la réputation d’une famille, les extrêmes peuvent être envisagés. c’est ton cas ici. tu ne parles jamais des coups que tu as pris, de ton passage à tabac, de la cicatrice laissée sur le flanc. secourue de justesse par des témoins. tu as pris ces dernières semaines à guérir. ce n’est pas fini. ta famille est en ébullition face à ce qui t’es arrivée. tu sais que tu vas devoir te confronter à nouveau à ces gens qui t’ont détruit. une fois de plus. mais pour le moment tu gardes le silence. dans le déni, traumatisée, gamine à nouveau quand tu penses à ce rejet qui t’a presque tué alors que tu prépares tes bagages pour rentrer à boston. retrouver kaiden.

naissance à tel-aviv
arrivée à harvard
décès de ta mère
retrouvailles avec edgar au bal
tu lies un lien fort avec kaiden, tu t’accroches à edgar et finalement tu jongles entre les deux.
à deux doigts de faire une “bêtise”, tu finis par prendre la décision de partir et de retourner à tel-aviv. tu quittes kaiden et fais miroiter à edgar le fait que tu pourrais revenir pour lui.
tu prends la décision de revenir à boston après une conversation avec kaiden. tu es victime d'une tentative d'honor killing quelques semaines plus tard.
retour à boston.

pseudo delirium.
âge 21 ans
nationalité baguette et frites
forum connu par... le génie dans ma tête
ILH, j'en pense quoi ? la maison qu'on veut pas quitter
autres comptes ? @"Arwen Davenport" @Ester Morelli
avatar utilisé gigi hadid
crédits images étangs noirs
nombre de mots par rp 200 à 600. mais avec les feels, je peux dépasser.
type personnage inventé

code études
nom des études ;; nom de la faculté ;; année d'étude ;; 20XX-20XX - explicatif pour remplir correctement : Journalisme ;; Department of art, litterature and history ;; 5e ;; 2021-2022

Code:

@"Reyna Weiss" » <i>(journalisme)</i>

code bottin

Code:

<span class="pris">GIGI HADID</span> <span class="inv"></span> @"Reyna Weiss"