make it through the night
w/ @Maxine Edwards
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plus proche de la perversion que de la perfection. âme damnée qui prend plaisir à voir les autres perdre leurs moyens. c'est ça la suprématie à laquelle tu as été habitué, que tout ce qui n'est pas minwards n'était qu'un tremplin pour te propulser plus haut. quand est-ce que tu as commencé à te servir de la même manière de maxine dans ce cas ? quand tous ont pointé du doigt l'évidence, vous êtes fait pour être ensemble. et c'était le cas, encore fourrés l'un avec l'autre, mais pas de la manière dont ils l'avaient sous-entendu. ça te tire un rictus, malheur de vouloir se tourner vers le danger inaccessible quand les alentours regorgeaient de personnes capables de la faire se sentir mieux. ça devrait être facile, si tu parvenais à retenir tes ardeurs et ne plus massacrer ses tentatives de s'échapper. tu ruines tout ce que tu touches, même avec tes simples mots. désir qui s'échappe, vient à être vocalisé quand tu le retenais depuis trop longtemps. sursaut qui se manifeste pourtant en l'absence de réaction, à seulement détourner ton visage vers elle à l'instant où les doigts capturent ton derme, instant d'après à partager le même souffle. max. c'est susurré contre les lippes sans parvenir à t'empêcher de redoubler d'envie l'instant d'après, hypocrisie qui se fissure à chaque fois que tu y retournes sans parvenir à t'en libérer. lâches prise, les yeux qui se ferment pour minimiser l'horreur, augmenter la passion. max ... j'te fais du mal. juste en faisant ça, dès que t'avais osé demander, et ça sera pire quand tout sera fini. parce que vous avez une fin, vous le savez ? ça dure jamais longtemps pour que ça devienne une habitude, ils sont brefs mais intenses ces moments de paix camouflées. et t'as bu, dis pas l'contraire, je sais que t'as pris du gin. comme ça, à le deviner à l'acidité des lèvres, t'assurer pourtant encore une fois du goût en ne perdant pas de temps pour y retourner, paumes qui saisissent son visage pour l'approcher encore plus du tien. j'aime pas le gin max. sauf quand il est sur sa bouche, suavité qui se substitue à l'amertume.

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w/ @Ryung Minki
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et ça la fait revivre d'une certaine façon. les battements de coeur qui s'intensifient quand tu le lui rends. et pourquoi tu fais ça si tu l'aimes pas ryung ? menteur. tu me fais du mal quand tu me rejettes mais t'es pas obligée de le faire. tu sais que tu l'es pas. et elle ne comprends même pas pourquoi est-ce que tu mets autant d'ardeur à la repousser quand t'as autant envie qu'elle en réalité. j'ai bu mais je suis pas bourrée et tu le sais. tu le sais aussi bien qu'elle. tu t'en sers juste comme excuse pour pas aller droit dans les conversations que tu refuses d'avoir. et regarde toi ? à revenir l'embrasser comme ça, les mains qui s'accrochent à l'autre, à en perdre le souffle un million de fois. mais tu m'aimes moi même quand t'essaie si fort de faire croire le contraire. et elle se rapproche, rompt toute distance, les jambes qui s'emmêlent aux tiennes quand les lippes ne cessent de retourner vers toi encore et encore. toi et moi. tu sais que c'est toi et moi que c'est écrit et que ça ne changera pas. alors pourquoi ryung ? pourquoi tu la repousses pour la réclamer ensuite ? t'es le seul à vous causer du mal en refusant d'être honnête sur tout ça. ça pourrait marcher si t'arrêtais de jouer l'idiot, si t'ouvrais les yeux au moins un peu. pourquoi t'essaie pas ? pourquoi ryung ? et elle s'accroche à toi, refuse de te laisser t'en aller. à vouloir une issue différente quand elle n'est pas certaine que tu pourras la lui donner.

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w/ @Maxine Edwards
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c'est déconcertant, la familiarité avec laquelle vous vous retrouvez, les retenues qui sont mises à mal pour mieux redécouvrir l'autre. c'était ça que t'imaginais, à la voir se jeter sur l'autre, et sur les autres. c'était parti de l'envie de la déranger, l'empêcher de te rendre ce que t'avais fait avec sa meilleure amie de l'époque. c'est quoi son nom déjà ? aucune idée aujourd'hui, ça a plus d'importance. et toi quand tu me veux. parce qu'à chaque fois c'était plus dur de résister. il t'avait mise en fuite la première fois max, mais depuis c'était lui qui se défilait pour ne pas être la victime de ses propres pulsions. résistes, pour faire semblant au moins, car elle dit vrai, ton corps ne ment pas à revenir à la charge des pulpeuses qui sont dénuées d'artifices maintenant. cherches le confort là où tout semble naturel, mais tu veux pas que ça le soit, ça peut pas l'être. arrêtes de dire ça. cesses de lui jeter l'évidence au visage, de lui balancer la vérité la plus douloureuse qui existe, parce que c'est trop dur à avaler, de ravaler sa fierté. mais t'es pendu à ses lèvres, inspirer le parfum qui t'avait fait perdre le contrôle lors de la nuit des pêchés inachevés. c'est ça, l'impression de ne pas avoir pu en finir, de ne pas avoir mis de finalité sur des actes obscènes. ça ne peut que ça. tu t'entends ? tu parles comme les parents, c'est eux qui te foutent ça dans la tête. tout comme ils sont là à vous manipuler comme des marionettes, vous soumettre au contact l'un de l'autre sans que vous ayez le choix. mais c'est bien de ton propre chef que tu déposes avec plus de vigueur à chaque fois ta bouche sur la sienne, happer l'air entre vous avant de lui en insuffler un peu. c'est que des foutaises qu'on nous force à croire depuis qu'on est gosses. que votre relation est unique, qu'elle est destinée à évoluer vers la robe voilée blanche et l'anneau qui viendra orner l'annulaire d'une promesse incassable.

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w/ @Ryung Minki
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mais t'as quoi à perdre dans cette histoire ? pourquoi est-ce que tu refuses tant de l'aimer ? tu fais toujours tout pour qu'elle soit à toi, coincée auprès de ta présence. à prendre soin de faire disparaître tout ceux qui osent accaparer son temps. t'as toujours tout fait pour l'éloigner des autres et quand elle se rend à l'évidence, tu refuses. c'est à en perdre la tête ryung. pourtant c'est vrai, tu m'aimes le répète encore, le claque au visage. tu sais que c'est la vérité, tu le sais mais t'es bon qu'à fuir. non, c'est faux. je t'aime et tu le sais. t'évites la vérité mais tu le sais et ça n'avait rien à voir avec vos parents. parce que max, elle avait toujours tout fait pour agir à l'opposé de ce que l'on voulait et si elle avait pu ne pas t'aimer, c'est sûrement le choix qu'elle aurait fait. à la place, c'est vos lèvres qui se retrouvent inlassablement malgré les conneries que tu débites, incapable de s'arrêter. et ça renforce les vérités ryung, rend tes mensonges moins crédibles. te faire taire d'un nouveau baiser, t'enjamber pour se retrouver au dessus de toi. les doigts qui s'accrochent aux tiens, à reproduire la même scène en espérant que le dénouement sera différent. où étiez-vous condamnés à répéter les même erreurs ? dis moi que tu veux que j'arrête, dis le moi et je tirerais un trait sur toi définitivement c'est facile pour toi. t'as juste à dire les mots, les laisser glisser et ça serait la fin de votre histoire. elle ne te porterais plus d'intérêt, rien. pulpeuses qui glissent sur les tiennes encore, souffle contre tes lippes dis le et je te promet que plus jamais je ne t'accorderais de l'attention

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w/ @Maxine Edwards
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c'est pire que d'être entravé physiquement, tu l'es avec ton consentement. t'empêches pas la réunion des corps, à en redemander plus quand t'as peur qu'elle y mette fin. discours opposés de ta silhouette et de ton esprit, qu'est-ce que tu veux y comprendre ? mais aussi e l l e, comment elle peut en saisir quelque chose ? sh. c'est suffoquer contre elle, ne plus avoir la tête empoisonné par des histoires pour enfants, qu'on vous fasse croire à ce scénario monté de toute pièce pour satisfaire l'égoïsme de parents qui ne voient qu'en vous que la relève. tu peux pas penser ça, ils vous aiment, à leur manière étrange, mais s'ils avaient raison depuis le début ? les muscles qui se contractent à vouloir lutter, mais tu désires ardemment tout ça. que les masses se rapprochent à t'en couper la respiration, la douceur des épidermes ensemble, que les doigts se mêlent entre eux pour symboliser l'union. non toi max, dis moi que tu mens depuis le début, parce que ça peut pas être vrai. pourquoi ça le serait ? il le faut, qu'elle révèle sa supercherie, la manipulation mise en place pour t'anéantir une bonne fois pour toute, son coup de grâce avant que vous vous sépariez, pour de bon ? donc toi laisses moi partir, stop tout ça, ça a aucun sens. énième contraste entre ce que tu dis et ce que tu fais, tu te libères bien de l'emprise pour mieux enserrer sa taille, plaquer vos poitrines haletantes ensemble. sentir le myocarde qui doit être aussi hystérique que le tien à l'heure actuelle, à t'en rendre malade. faut y mettre fin max. pourtant les doigts explorent la peau sous le tee shirt, tracent une itinéraire aléatoire pour maintenir le contact entre vous. tempes prêtent à exploser tant le cerveau est embrumé, fumée noire qui sabote toute la réflexion. tu prierais pour tout, l'alarme à incendie qui retentit, sonnerie qui briserait le rythme effréné de vos baisers, même le voisin d'en face qui essaye de la draguer depuis la rentrée. qu'un élément extérieur vienne à vous séparer, parce que t'en es incapable.

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w/ @Ryung Minki
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prier intérieurement pour que tu ne le dises pas. pour que tu ne le dises jamais. parce que tu lui briserais le coeur définitivement si tu venais à le faire. tu comprends pas ? au final, t'avais gagné. à avoir toutes les cartes en mains. possibilité de la combler ou de tout lui retirer en un claquement de doigt. et elle pourrait te supplier max. te supplier de l'aimer vraiment, t'abandonner tes défenses puériles pour te laisser porter par tout ça. est-ce que tu le feras ? je t'aime. t'as pas envie de l'entendre mais c'est le cas et tu préfères imaginer un jeu, n'importe quoi. envisager le coup fatal plutôt que croire en la sincérité des mots jetés. mais qu'est-ce que tu crois ryung ? elle aurait pas souffert de ton rejet si ce n'était que des foutaises. non.. souffle contre toi, les doigts qui s'accrochent à la naissance de tes cheveux, perd son souffle à l'infini. poupée à ta merci, prête à tout te donner si t'acceptais seulement de la laisser entrer réellement. je veux pas, j'veux pas arrêter ni ce soir, ni jamais. puis tu veux pas non plus. tu mentirais en avançant l'inverse quand elle était prisonnière de tes bras. quand tu n'avais de cesse de revenir à la charge malgré les mots contradictoires que tu tentais de lui faire avaler. redécouvre ta peau lentement, les doigts qui dessinent chaque ligne à répétition, à plus réussir à se passer du goût de tes lèvres quand chaque échange est passionné. et elle arrêtera pas max, pas cette fois. pas quand elle comprend finalement que t'avais menti, que t'étais tout aussi apte à sombrer que ce qu'elle avait fait.

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w/ @Maxine Edwards
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t'éprouves un mélange de honte enhardie, à savoir que c'est mal quand à l'inverse tu n'en ressens que du bien. flagrant décalage avec les précédentes conquêtes, celles où l'expression sur le visage était floue, aveuglé par ton propre plaisir sans te soucier du reste. max elle ruine ça, tu veilles à ses réponses, attentif à la passion qu'elle peut mettre et t'y adapter pour ne pas la brusquer, en demander plus sans en imposer. la proximité qui veut ça, de la connaitre depuis toujours et l'infime respect que tu peux lui porter par la relation entre les familles. c'est ce que tu veux croire. qui des deux est le plus ivre ? t'aurais du boire, t'abimer le foie à défaut de le faire pour ton coeur. tu veux jamais arrêter. de l'emmerder avec tes comportements trop matures, le contrer quand il voulait dépasser les bornes, l'empêcher de s'enfoncer plus dans les problèmes qu'il provoquait. intérieurement tu la remercies, de pas pouvoir cesser, que les lèvres soient abimées des baisers poisons. c'est les mêmes que la dernière fois n'est-ce pas ? avec de la haine dissimulée, de la provocation comme raison de les déposer sur le derme. maxine-- tu parviens à t'éloigner, frénésie du palpitant qui menace de céder à tout instant sous la pression que l'on inflige. t'as mal partout, corps meurtri par l'envie et la tête qui n'arrive pas à choisir. regardes moi. c'est déjà si douloureux de demander une trêve quand tu te sais si faible. mains qui remontent le long du dos pour maintenir le visage, avec une délicatesse que tu te connais pas, relever le menton vers toi, le bout du nez qui tutoie tant l'espace est restreint. est-ce que t'as conscience que y aura pas de retour en arrière ? car vous partirez dans les extrêmes, animaux captifs lâchés en pleine nature sans savoir comment y survivre. que ça peut vraiment tout détruire ? toi, moi, nous ? et les bientôt vingt-deux ans de vie ensemble, plus que la plupart des couples mariés. mais ça implique pas que vous, y a aussi le clan minwards derrière, ils seraient tout aussi impacté par les conneries que vous montez.

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w/ @Ryung Minki
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c'est toi qui veut voir le mal partout, croire que c'est impossible quand ça pourrait l'être si seulement tu essayais. et tu pourrais peut être voir que c'était pas si mal d'arrêter de se battre contre l'autre pour le faire ensemble. d'arrêter de réprimer ce qui pouvait être ressenti et se faire si mal à chaque fois. puis regarde la dévotion qu'elle a pour toi, à tout te donner même quand tu la heurtes. à être partie avec toi ce soir quand c'était tout son être qui venait te réclamer à l'infini. et puisque tu ressent la même chose ryung, pourquoi tu tentes de l'effacer ? les baisers qui cessent à contre coeur quand le coeur supplie de continuer. à bout de souffle contre toi, sans parvenir à revenir à la réalité. et peut être que t'es la sienne, que tu le veuilles ou non. cligne des yeux quand les visages restent si proches, observe en silence sans comprendre le message que tu cherches à faire passer. bien sûr qu'il n'y aura pas de retour en arrière, il n'y en a jamais eu. ça me détruirais de pas être avec toi et c'est ça que tu comprends pas. l'incapacité à évoluer autour de toi si t'étais pas à elle. ses mains qui remontent à ton visage, le soutien quand les pouces glissent à répétition sur l'épiderme. j'ai toujours eu besoin que de toi réciprocité vraie, elle le sait pertinemment. les deux faces d'une même pièce, à pas pouvoir exister sans l'autre. frôle les lèvres à nouveau, demande de permission pour mélanger vos souffles à nouveau quand le reste n'a pas de sens. quand elle se décide à tout te donner, sans limite.

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w/ @Maxine Edwards
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ça te coûte, à un point dont elle n'a pas la conscience. bâtir tout ça, se baser sur un jeu égoïste dont tu étais le protagoniste et elle seulement le personnage secondaire, place que tu lui avais attribué par facilement. maxine elle est menaçante et tu la sus dès le début, pour ça que t'avais usé de la force pour la réprimer et qu'elle rentre dans cette boîte, ne devenir que ton ombre. mots qui agissent comme des pansements sur les maux. mais t'as peur, comme jamais t'as eu peur jusque là dans ta vie. c'est autant l'excitation que la crainte qui provoque tes tremblements, bouts des doigts qui ne savent plus où se poser pour avoir une prise facile. mais max, et si c'était l'inverse ? si c'était pire avec moi ? murmure qui se perd contre sa bouche à ne pas pouvoir refuser la demande silencieuse. buste qui se redresse, les paumes qui reprennent place sur le dos pour la maintenir contre toi, sécuriser les corps qui pourraient n'en former qu'un. t'as des fantasmes c'est tout, j'suis qu'un rêve, parce que j'ai toujours été là. tu veux t'en convaincre, que c'est à cause de ça qu'elle te veut, qu'elle est persuadée que tu lui es nécessaire. et le discours qui est discrédité par les actions, fuir les lippes pour souffler sur la nuque et la dégager des mèches sauvages l'entravant, y apposer la tiédeur de tes lèvres. t'expires tes sentiments sur sa peau, brutalité en moins de votre unique échange, c'est presque timide. j'aurais pas du t'empêcher d'avoir quelqu'un d'autre. aveu contre le derme, elle avait essayé tant de fois que t'en avais perdu le compte. mais ils finissaient tous par partir, parce que t'étais intrusif, à t'introduire n'importe quand s'en prévenir, tout envoyer valser et exposer en mille morceaux le début d'histoire qu'elle pouvait construire. mais ça me rendait malade max, t'entends ? malade ? et tu lui dis droit dans les yeux, soutenir pour la première fois son regard quand t'as le mal d'elle, de repenser à quand t'ouvrais la porte de sa chambre pour surprendre ce que t'enviais aux autres.

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w/ @Ryung Minki
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est-ce que tu pourrais arrêter ryung ? de trouver des excuses ? de tenter de la repousser ? c'est illogique parce qu'elle sait que tu finiras par la récupérer. que tu regretteras de l'avoir jeté au loin et que tu viendras une fois de plus t'immiscer dans chaque action de sa vie pour t'assurer d'être le seul. arrête s'il te plait. ce sera jamais pire parce que c'est toi qu'elle veut, pour toi que son coeur bat. et elle idéalise pas cette relation, imagine pas une paix absolue par la suite. elle est consciente max. des crises qui risquaient encore d'éclater, des mots trop forts que vous finiriez par vous jeter. mais ça en valait la peine si à la fin de la journée elle était à toi. c'est faux, tu sais que c'est faux souffle qui s'échappe de ses lippes, les opales qui se ferment quand les frissons parcourent par milliers, à en perdre la tête comme jamais. pulpe des doigts qui s'accrochent à toi, se laisse emporter par la farandole de sentiment, à revivre au milieu de tes baisers quand tu cherches à prouver que ça n'existe pas. et les prunelles qui se croisent, sincérité qui transpire au milieu des révélations. dégage de ton front les mèches moite, y appose le sien doucement. et ça me rend malade que tu sois avec d'autre les crises à répétitions, à fonctionner à la vengeance pour découvrir celui qui serait capable de faire le plus de mal à l'autre. c'est parce qu'on s'aime ryung, regarde nous à détruire les relations opposés pour s'assurer d'être seul. à être incapable de se résister quand les corps s'appellent. je veux être avec toi, je me fiche des autres ils n'avaient été que des marionnettes dans une compétition faisant rage quand t'avais toujours été le but final.

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