Tu joues les gamines innocentes, papillonnes et lui demandes des explications. Un peu plus de précisions quand à ses pensées. Qu'est-ce que tu pourrais avoir de tout le monde et comment ? Tu le sais parfaitement. Tu l'utilises depuis des années, ton charme. Depuis le décès de ton frère, tu n'en fais qu'à ta tête. Tu en abuses, souvent. Et ça fonctionne, la plupart du temps. Tout ça parce que tu t'en fiches de ce qu'on peut penser de toi, de l'image que tu renvoies. Les seuls commentaires qui pourraient potentiellement te blesser sont ceux que serait amené à te faire Carter et pour le moment, il semblerait qu'il préfère rester en retrait. Surement parce que comme Ulrick vient de le préciser, tu peux avoir ce que tu veux et tu l'as eu, avec Carter. Tu as eu ce que tu voulais. Il t'a quitté il y a longtemps maintenant. Et donc tu es entrain de dire que je pourrais obtenir tout ce que je souhaite de toi ? Un fin sourire se dessine sur le coin de tes lèvres. Pourtant, quand il a l'occasion de te demander ce qu'il veut grâce à ce billet, il ne le fait pas. Il dit avoir tout ce dont il a besoin. Tu hausses légèrement les épaules avant de le ranger. Ok alors disons que je pourrais le garder pour la prochaine fois si jamais il y en a une ! Ça te fait sourire. Qui sait, vous serez peut-être amenés à vous revoir. Surtout que même qu'il connait ton prénom, que vous avez partagé la même came, il finit par te donner sa véritable identité. C'est surement un effet seconde de la cocaïne puisqu'il t'annonce avoir un frère, indirectement. Finalement, tu sais comment le faire parler, c'est pas bien compliqué. Et, qu'est-ce qu'il t'a fait ton frère pour mériter un traitement pareil ? Ça te fait rire parce que ta famille aussi est catastrophique. Faut croire que vous vous ressemblez un peu finalement. DU moins, plus que tu ne le pensais en le voyant choisir un endroit sain pour se faire des rails et en t'apercevant qu'il avait les moyens de se payer un voiture de luxe et de se droguer à l'aide d'un gros billet quand toi, tu utilises ce qui te passe par la main. T'as pas peur de mourir toi non plus. Mais putain, ça ne te ferait pas si chier que ça. Après tout, à qui tu manquerais ? Surement personne. @A. Ulrik Klovask

avoir ce qu’elle souhaite de lui? il rit de bon coeur, parce que la réponse semble si évidente, et sa question si absurde. “non ma belle, je suis trop intelligent pour ça, crois-moi. celui ou celle qui parviendra à me manipuler, je l’épouse sur le champ, parce que j’aurais trouvé plus fort que moi.” et il le pense véritablement. depuis des années, il s’amuse à ce petit jeu, peaufine son art. il est devenu maître dans la matière, attrapant des proies entre ses griffes, altérant les coeurs, les âmes, noircissant les plus belles âmes d’une tâche sombre et purulente de souffrances. depuis des années, il ne s’est plus fait manipuler...parce qu’il fait attention, retourne toujours la situation à son propre avantage. c’est une histoire aux drames constants, même si quelques fois, il manque de se faire prendre dans ses propres filets. il préfère de loin sourire en coin que de se fondre dans la masse...billet qu’il tend à la jeune femme. haussements d’épaules, elle le garde pour la prochaine fois, si il y en a une. une idée comme une autre, le hasard fait parfois bien les choses et la blonde ne semble pas chieuse. au contraire. elle ne cherche pas à se faire passer pour ce qu’elle n’est pas, ou encore, à se montrer trop curieuse. elle prend ce qu’on lui donne, s’enfonce dans la drogue sans chercher la moralité des événements. ça lui plait assez. “on verra ce que le destin nous réserve.” qu’il s’amuse en finissant par fermer les yeux, laissant la drogue parcourir son organisme, empoisonner ses veines bleues qui ressortent sous sa peau pâle. elle pose une question, il sourit de nouveau dans le vide. “rien.” ou pas grand chose, ou peut-être qu’il n’est pas assez ouvert à la discussion pour lui donner davantage de détails. de toute façon, son frère n’est pas ici, tout comme ses soeurs. seul à boston, pour son plus grand bonheur. passant une main sur son visage, une clope apparaît de nouveau entre ses lèvres, la fenêtre s’ouvre pour laisser l’air entrer et la fumée s’échapper. “bon, je fume ma clope et je retourne picoler, à ta place, je prendrais la dernière ligne ou je la laisse là, comme tu veux.”@Andréa Davenport

Il te complique sur le fait que tu peux avoir tout ce que tu désires parce que les hommes ne résistent pas aux filles comme toi alors tout de suite, tu t'emballes un peu et tu lui demandes si ça serait son cas. Mais ça le fait rire parce qu'il se pense au dessus de tout alors alors, tu le prends comme un défi. Tu sais que tu peux le faire flancher si tu veux parce que t'en as connu des pires avant lui. J'sais pas si je vais tenter le coup parce que tu vois, j'ai pas tellement envie de me marier et puis, je suis trop jeune pour ces conneries. Tu te mets à rire. Pour le coup toi, c'est pareil. Personne ne peut te forcer à faire quoique ce soit dont tu n'ai pas envie. Personne ne peut te dicter ta conduite ou calmer tes ardeurs. Enfin si, y a bien une personne et quitte à épouser quelqu'un un jour, autant que ça soit lui. Sauf qu'il est plus probable qu'il t'arrive un truc avant que le jour J n'arrive. Billet qui glisse entre tes doigts alors que tu parles d'une prochaine fois quand bien même il y en aurait. Pas certain que ça soit avec lui mais il est clair que ça ne sera pas ton dernier rail de coke, t'as trop d'antécédents et de dépendance pour cela bien que tu prétendes le contraire. Les effets de la drogue qui commence surement à avoir un impact sur vos petits corps car il se met à te parler de sa famille ou plutôt de son frère. Apparemment, il lui voue une haine sans merci et ça te rassure de savoir que tu n'es pas la seule à avoir une famille qui déraille. Enfin si toi t'avais fait les efforts nécessaires, peut-être que vous en seriez pas là aujourd'hui. Il ne souhaite pas s'attarder sur le sujet. Quelques mots seulement qui ont du lui échapper et maintenant, il sourit. Tu hausses les épaules, ajoutant simplement : Aucune famille n'est parfaite ! Et si c'était le cas, sans doute que vous ne vous détruiriez pas de la sorte parce qu'ils refuseraient de vous laisser aller jusque là. Tu attrapes le plateau sans trop te faire prier. Sniffe la dernière ligne avant de prendre une pause. Tu reposes ta tête, attends quelques secondes. Tu glisses le billet dans ton soutif, par manque de poches et parce que tu n'as toujours pas remis tes chaussures. Quand tu veux ! Tu te demandes si vous allez picoler ensemble ou si c'est la fin de la soirée. Tu te demandes ce qu'il va se passer par la suite. Tu pivotes la tête dans sa direction. Tu ne sais même pas ce que tu veux. Tu te contentes s'esquiver un petit sourire parce que putain, ça te monte au crâne tout ça et là, t'es enfin heureuse ou du moins, t'as l'impression de l'être. @A. Ulrik Klovask

comme il était d’accord avec elle. le mariage, la solidité d’un couple, le bonheur. tout ça ne sont que des conneries qu’il vaut mieux éviter, bien que dans un monde parfait, les choses pourraient être différentes. dans un monde parfait, le monstre aurait le coeur banal, basique. dans un monde parfait, il pourrait aimer normalement, comme beaucoup de citoyens dans ce foutu monde. sauf que ça, ce n’est pas pour lui, pas pour elle non plus, il en est presque certain. “tu fais bien, c’est une bonne chose.” qu’il s’amuse légèrement en haussant les épaules, finissant dans sa voiture avec la jeune inconnue. bloqué dans une bagnole, le nez enfariné. la drogue délie les langues, un peu. assez pour que son frère arrive sur le tapis...chose qu’il regrette amèrement, directement. les siens ne sont pas normaux, comme lui. son frère a toujours convoité ce que lui avait, un balais dans le cul coincé profondément. ils n’ont jamais su s’entendre, comme deux opposés. lui était le fils héritier, son frère, la doublure potentielle et bien aimante, animée par la jalousie et la rancoeur d’avoir pointé le bout de son nez en deuxième position. mais le blond, dans un monde parfait, aurait sans soucis donné sa place...aucune famille n’est parfaite...c’est certain. “et encore, tu ne sais même pas à quel point.” qu’il pouffe, la drogue venant envahir son organisme comme un serpent se faufilant dans ses veines. clope qui vient se coincer entre ses lèvres, il lâche quelques paroles, elle prend le dernier rail alors que ses yeux se posent sur lui. il sent son regard percer et sourit en coin, venant tourner également son visage vers elle. il hésite, quelques secondes, puis ouvre enfin la bouche, prenant un air sérieux. “ou…” oui, une autre proposition qui vient caresser son cerveau de drogué, de tordu. “on pourrait aller jusque chez moi, dévaliser ma pharmacie et mon bar, et s’amuser un peu.” annonce-t-il d’un air innocent qui ne lui va absolument pas. parce que ses pensées sont loin de l’être, innocentes. après tout, s’amuser fait partie de ses habitudes, coucher avec des inconnus et des inconnues, aussi. le sexe, la drogue, l’alcool. un fil conducteur qu’il aime emprunter, mélanger. il bu, il s'est drogué et il ne reste plus que le sexe à trouver pour un mélange parfait. cependant, à voir si andréa sera partante pour cette nouvelle aventure, ou encore, si elle préfèrera décliner.
”@Andréa Davenport

Tu préfères rire de la situation. La drogue, l'alcool qui te montent à la tête et qui tu fais dire n'importe quoi ou plutôt, tout ce qui se passe par la tête. Vous êtes un peu pareils tous les deux et tu en prends conscience alors que vous vous connaissez depuis quelques minutes seulement. Quelques phrases partagées après un sauvetage in extrémiste. Sauvée des griffes d'un prédateur que tu savais peu dangereux et maintenant, bien lâche. Deux rails de coke et te voilà partie dans un autre monde où tout est plus beau. Le jeune homme parvient à se confier sur certains points. Il te parle vaguement de sa famille ou plutôt, de son frère et tu acquiesces sans trop en dire à ton sujet. Des frères, des soeurs. Ouais, toi aussi t'as une fratrie bien garnie mais, ce n'est pas pour autant que tout est rose. Bien au contraire. Tu ne parles jamais d'eux ou, très peu. Une mère qui a tendance à en faire des tonnes. Arwen la victime de ses persécutions depuis le décès de ton jumeau. Des reproches que tu as toi-même fait pendant des années et qui franchissent encore parfois la barrière de tes lèvres une fois la nuit tombée. Julian qui tente tant bien que mal de garder cette famille déchirée unie. Il sait pourtant que c'est une cause perdue d'avance. Ta soeur ne fera jamais l'effort. Ta mère est trop maniaco-dépressive pour changer. Ton père, neutre dans toute cette histoire. Avec tout le monde mais personne à la fois. Trop sage pour se prononcer et prendre part au combat. Et une autre soeur qui se perd parmi ce doux mélange pendant que toi, tu attires toute l'attention telle la petite dernière et le pauvre canard qui a perdu une partie de son âme. On te protège, on te pardonne tout, des faux semblants alors que tu te détruis un peu plus chaque soir. Un comportement qui reste ancré en toi et qui ne semble pas vouloir disparaitre. Poudre au coin du nez que tu essuies d'un revers de la main, prête à retourner à tes vieux démons. Les basses qui résonnent déjà dans tes oreilles alors que tu n'as pas encore quitté la voiture. Ulrick, de son vrai nom, te propose une nouvelle alternative à laquelle tu répond positivement. J'aime bien cette deuxième option... Et pour confirmer ton choix, tu attaches ta ceinture et t'enfonces un peu plus dans son siège. C'est ouf ! Jamais on ne t'a appris à ne pas monter en voiture avec un inconnu Andréa ? @A. Ulrik Klovask

proposition qui s’égare, qui offre une option autre que l’échange propre au fléau de la poudreuse. un après, un entretien plus particulier. une envie subite de mordre dans la chair, de jouer des corps, des caresses, des soupirs. l’envie de traîner la carcasse de la blonde jusque chez lui, d'en faire la découverte plus approfondie. après tout, les soirées sont faites pour ce genre de rencontres et la blonde ne semble pas farouche auprès de lui. il ne fait que proposer, qu’offrir une autre porte de sortie. s’amuser, sans se retourner, sans regretter, sans forcer. juste quelques heures, quelques instants. juste pour oublier ses propres démons, lâcher la bête qui sommeille en lui, ne réclamant qu’un soupçon de liberté. elle n’hésite pas, annonce que cette option lui plait. pour complaire ses propres, elle attache sa ceinture et il sourit avec amusement. “alors, allons-y.” parce qu’il se doute qu’elle sait, qu’elle a comprit, que sa proposition n’était pas innocente. elle ne semble pas stupide, la gamine. si elle l’était, elle n’en aurait que peu d’importance. si elle l’avait été, il n’aurait même pas cherché à s’approcher, même pour s’amuser. parce qu’il est trop facile de manipuler une imbécile, mais plus jouissif de se confronter aux mêmes noirceurs que sa propre âme. ceinture qu’il attache, moteur qu’il démarre, qui ronronne. la musique s’élève de nouveau dans l’habitacle, alors qu’il augmente le son, comme à sa belle habitude. il range cependant les affaires qui risquent de se casser la gueule pendant qu’il roule et démarre, enfin. les roues crient, mais le bulgare contrôle parfaitement sa voiture. n’est-ce pas ce qu’ils pensent tous? ceux qui finissent par se prendre un mur de face? mais il s’en fou. son existence est faite de risques, de conneries, d’adrénaline. il ne se promène pas en bagnole de sport pour rouler à dix à l’heure. lui, il a besoin de cette vitesse enivrante, de cette sensation de liberté qui courre dans ses veines. il défile dans les rues, connait par coeur le trajet. les horizons défilent, jusqu’à ce que l’océan soit en vue. une colline de franchie, un sentier qu’il emprunte pour faire face à la villa magnifique proche de l’océan qui murmure de ses vagues salées. sa bagnole se gare juste devant le garage, le moteur se coupe. “welcome home.” qu’il pouffe légèrement en sortant avec agilité du véhicule, les clefs entre ses doigts agiles. l’odeur marine vient directement l’enivrer. il adore son endroit de paix, de débauche, de luxure. porte qu’il ouvre sur un grand hall aux pièces multiples, l’argent n’est pas une illusion.

”@Andréa Davenport

Vos chemins auraient pu se séparer de la sorte. Chacun aurait repris le cours de sa soirée, de l'alcool, quelques pilules peut-être, de la drague, pour finir dans les bras d'un inconnu quelques heures plus tard. La soirée est déjà bien entamée mais tu ne te fais pas de soucis quand à l'avancée des choses. T'es douée, tu n'as pas besoin d'un nombre incalculables de minutes pour aborder un homme. Quand bien même se serait toi qui ferait le premier pas ! Vous garderiez de ce moment un agréable passage. Un baiser échangé pour échapper à une soirée catastrophique. Quelques rails de coke et des confessions à des années lumières de cette terre. L'esprit ailleurs, presque en paix. Parce qu'on ne va pas se mentir. Tu devrais sortir de cette voiture et non boucler ta ceinture. Tu devrais t'échapper non seulement parce que tu ne le connais pas mais également parce qu'il a consommé et qu'il compte prendre le volant. Vous pourriez avoir un accident. Tu pourrais terminer dans le fossé. Mais qu'est-ce que ça peut te faire après tout ? Comme tu l'as dit plus tôt, tu n'as peur de rien. Alors, tu fonces. Tu regardes paysage qui défile à une vitesse incroyable. T'as la tête ailleurs et un rictus sur les lèvres. Les effets de la drogue ! Tu ne sais pas pendant combien de temps vous roulez mais, tu as l'impression que vous arrivez assez rapidement. Tu descends de la voiture pour admirer le paysage. La vue est vraiment magnifique et tu restes bouche bée devant la maison. J'aurais surement du m'en douter... Que ça serait aussi grandiose. Auprès tout, c'est en adéquation avec la voiture et le mode de vie qu'il t'a vaguement décrit. Tu le suis jusqu'à la porte d'entrée, tu pénètres à l'intérieur. Tu regardes autour de toi. Le hall doit faire la taille de ton appartement ! Tes yeux ne savent plus par quoi commencer. Sans commentaire ! Que tu rajoutes en rigolant. Qu'est-ce que tu peux bien dire ? Rien. Tu ne t'attendais pas à passer la fin de la nuit dans un château ! @A. Ulrik Klovask

elle aurait sûrement dû s’en douter. sourire qui s’affiche légèrement sur ses lèvres, alors que le bulgare observe sa villa sans grande attention. les habitudes sont évidentes, la beauté n’est plus aussi flagrante. trop de luxe qui devient banalité, voilà comment s’est échappées les belles choses. du moins, pour lui. sortant de sa voiture, entrant dans la demeure, il laisse ses clefs tomber dans une coupe près de l’entrée dans un bruit sourd tout en entendant la réflexion de son invité. “et encore, c’est petit comparé aux goûts de mes parents.” qu’il ricane en repensant au manoir qui trône en bulgarie, pouvant accueillir plusieurs personnes, des réceptions et des soirées hors du commun. parfois, les terres natives lui manque, mais davantage pour les paysages et non pas pour les personnes. les balades à cheval, les paysages magnifiques, la froideur, les étendues enneigées...c’est con, mais ça fait partie de lui et, souvent en décembre, il ressent la nostalgie de ces souvenirs sans pour autant le montrer. se reprenant rapidement, il traverse le couloir et bifurque à gauche pour entrer dans un vaste salon. “installe-toi. tu veux quelque chose à boire? je vais pas te proposer des sodas...mais y’a un bar sur ta gauche.” qu’il indique d’un mouvement de tête tout en enlevant sa veste pour la balancer sur le canapé méridien. approchant de deux grandes portes coulissantes, il entre rapidement dans son bureau et glisse vers son coffre fort. code qu’il pianote, drogues multiples qui se présentes et dont il choisit avec soin le dosage. inutile de frôler l’overdoose, il n’a pas envie de couvrir le meurtre de la fille dans son salon, ça serait gênant quand même...alcool et drogues, faut trouver la bonne mesure...de l’herbe, deux pilulles et pour a soirée, ça sera largement suffisant. refermant le coffre fort, il revient vers la jeune femme, un sourire en coin. “on a de quoi rêver et de quoi s’envoler...c’est le moins dangereux à consommer avec de l’alcool, surtout qu’on a déjà pris dans la voiture.” et qu’il ne compte pas faire que picoler, prendre et regarder la télévision. non. le jeune homme à d’autres idées bien précises en tête.

”@Andréa Davenport

La drogue de qualité qu'il ne prend que dans des endroits sains. La jolie voiture de course dans laquelle il roule. Tu aurais du te douter que la maison serait de taille également. Manquerait plus que ça soit pareil en dessus de la ceinture et t'as touché le jackepot meuf ! Tu pénètres à l'intérieur de la demeure qui ressemble à un château plus qu'à une baraque en bord de mer. Le hall d'entrée fait la taille de l'appartement étudiant que tu avais eu avant de te mettre en colocation. Ajouter à celui-ci le salon et tu trouves ton appartement actuel ou la maison de tes parents à Toronto. Bref, tu ne sais plus tellement où donner de la tête alors qu'il ajoute que c'est trop petit pour tes parents. Tu esquives un petit sourire en soufflant : Ces problèmes de riche ! Parfois, tu aimerais avoir l'occasion de dire des choses du genre. Au lieu de quoi, tu galères tous les mois pour joindre les deux bouts, étant obligée la plupart du temps de redemander de l'argent à tes parents pour pouvoir payer tes soirées et conso. Tu tentes de le suivre. Tu regardes un peu à droite à à gauche mais, tu presses surtout le pas pour ne pas te perdre. Tu retires ta veste à ton tour en tournant les yeux vers le bar. T'as conscience que tu pourrais ouvrir un vrai bar ici. Tu rigoles mais c'est vrai que c'est super grand et les bouteilles sont très variées. Tu décides de t'improviser barmaid. Que puisse-je vous servir très cher ? Tu préfères les verres en essayant de t'appliquer pour être au niveau des lieux, de la qualité de vie de ce gars que tu connais à peine. Bref, tu finis par venir t'installer dans le canapé en posant les deux verres devant vous. Il te rassure quand au fait que vous pouvez prendre tout ce qu'il te tend et bizarrement, tu lui fais confiance. Il a l'air de s'y connaître plutôt bien alors, autant suivre ses conseils. En guise de réponse, tu lui prends une pilule que tu fais roules sur ta langue avant de passer ta main derrière sa nuque pour l'attirer à toi et l'embrasser. T'en profites pour lui passer de quoi rêver avant de te reculer et de prendre la seconde pilule pour l'avaler, sourire aux lèvres. Santé ! Tu prends un peu de liquide pour faire passer la pilule et pour le coup c'est le cas de le dire aha. @A. Ulrik Klovask

il ne peut s’empêcher de pouffer en l’entendant. si seulement. beaucoup croient que l’argent apporte le bonheur, les soucis sont généralement de mains mises avec la richesse. il en fait les frais, trop souvent, avec une froideur sarcastique. “ne te fie pas à l’odeur de l’argent, parfois, il vaut mieux en manquer.” ce qui peut être mal vu pour des personnes qui ne possèdent pas son compte en banque...c’est vrai, mais lui, il sait de quoi il parle. l’argent offre tellement de choses, mais le superficiel est bien plus présent que le réel. est-ce pour ça qu’il est lui même faux semblants? qu’il n’est jamais vraiment lui? probablement. parce qu’à force de porter des masques, le bulgare s’en est imprégné, oubliant sa propre personnalité. qu’importe. il est trop tard pour changer aujourd’hui, le poison coule trop vite dans ses veines, depuis bien trop longtemps. quand elle lui demande si il a conscience qu’il pourrait ouvrir un bar, il sourit en coin, lui offrant un regard mi charmeur, mi mystérieux. le genre de regard qu’il a apprit à doser avec l’expérience, la pratique. “à quoi ça servirait? j’aime l’idée d’aller me perdre dans un vrai bar. picoler seul c’est ennuyeux à mourir et on fait pas de rencontres en restant chez sois.” enfin, oui et non. via meet, il fait pas mal de rencontres, mais davantage, il aime se perdre dans l’ivresse de la musique, dans les coins sombres. prédateur qui chasse ses proies. il préfère l’ivresse de la chasse, que de voir apparaître ses victimes d’un claquement de doigts. où serait l’amusement? nulle part. elle s’improvise barman et il répond naturellement. “un whisky sans glace, c’est pas compliqué.” il laisse la jeune femme s’amuser avec l’alcool, le temps d’aller chercher de quoi fumer et deux pilules qui les enverront voler vers des cieux moins chaotiques. revenant rapidement, il laisse andréa prendre les pilules. en guise de réponse, il se retrouve les lèvres collées sur les siennes, sa langue s’enroulant pour venir chercher la récompense qui passe d’une langue à l’autre. sourire en coin, il avale ensuite la pilule avec une gorgée de whisky. “santé.” qu’il annonce en lui offrant un clin d’oeil alors qu’elle prend son propre rêve. déposant ensuite son verre, il enlève son pull, se retrouvant en simple t-shirt noir sans manches, prenant ses aises. “bon, maintenant que t’es ici, passons aux choses sérieuses.” parce que le bulgare a assez patienté, parce qu’il a assez joué et que la drogue va rapidement faire effet. revenant vers andréa, ses phalanges s’enroulent autour de sa nuque et cette fois-ci, se sont ses propres lèvres qui viennent prendre les siennes en otages. corps qui vient se coller à celui de la blonde, ses intentions ne sont pas cachées, sont explicites.


”@Andréa Davenport