JE SUIS NE(E) LE Quatorze février, jour de l'amour d'après les rumeurs. Ce fut que de belles foutaises, mes parents ne se sont jamais réellement aimé. Je n'étais qu'une pauvre erreur pour eux. À Ayr, ville portuaire située sur le Firth of Clyde, dans le sud-ouest de l'Écosse. J'AI ACTUELLEMENT vingt-cinq pétales de cornouillers fraîchement fleuries.  ET JE SUIS DE NATIONALITÉ écossaise à mon grand regret. JE SUIS ATTIRÉ(E) PAR les hommes et leurs costumes trois pièces. Rien de mieux pour atteindre l'orgasme assuré. ACTUELLEMENT JE SUIS célibataire, vaut mieux être seul que mal accompagné. JE SUIS ÉTUDIANT EN droit (majeur) ET POUR ENTRER À HARVARD J'AI EU pas de bourse. NIVEAU SOCIAL JE SUIS riche. MAIS TRANQUILLE JE GÈRE je travaille pas à mi-temps.

Je n'ai pas envie d'être mélangé pour l'instant aux restes des maisons. Par la passé j'ai été bien trop souvent populaire, à vouloir à tout prix être amis avec tout le monde. Cela ne m'a apporte que des problèmes plus grands les uns que les autres. Désormais, je préfère m'isoler un peu de ce monde. De profiter pleinement de mes années universitaires comme il se doit. De ne pas prendre part à tout ça.

J'ai toujours été une excellente élève, modèle sous tout rapport. Ayant les meilleures notes de la classe. L'une des premières têtes, toujours dans le top trois des meilleures. Je n'ai pas dû attendre pour avoir des lettres de recommandations de mes enseignants. J'ai obtenu un très bon score aux SAT'S, peut-être ma dissertation qui a fait balancer le tout. J'ai réussi à avoir un rendez-vous avec la doyenne. J'ai parlé de ma vie, de mon amour pour le droit, pour l'envie que j'aie d'intégrer Harvard. Ainsi que de mes rêves et mes ambitions pour l'avenir. Je n'ai pas stressé de tout le rendez-vous ni même avant. L'entretien avec la doyenne s'est parfaitement bien passé, tellement bien qu'ils finissent par me laisser une chance d'intégrer cette prestigieuse université.

(one) Je vis le jour dans la belle ville qu'est Ayr, dans l'hôpital même ou mes parents se sont rencontrés. Mon père, chirurgien de renom et ma mère gynécologue se sont rencontrés lors de leur internat et depuis, ils ne se sont jamais quittés. C'est leur première est unique fille et bien qu'ils avaient envie d'un autre enfant, entre leurs emplois respectifs et leur première fille, le temps était littéralement manquant. Ils ont donc décidé de passer outre pour se consacrer uniquement à l'éducation de leur fille. (two) Avec des parents baignés dans la médecine, pas question que leur fille ne soit pas dans ce domaine. La médecine, ce n'était pas trop mon truc, même petite. (three) Ils n'ont jamais censé d'avoir des attentes spécifiques quant à l'avenir de leur fille. Éducation parfaite, ses notes ont toujours fait d'elle une des premières de la classe, basiquement, j'étais l'enfant modèle par excellence. Mes parents attendent de moi des études de prestiges, lui parlant des meilleures universités du pays. (four) Théa ... Toute une histoire cette amitié. Les bancs de l'école, assise l'une à côté de l'autre. Le jour et la nuit, le yin et le yang. Une amitié parfaitement improbable, mais des plus chers à mes yeux. Jusqu'à que Maiween n'entre dans leur vie. Une tête brune pour les rejoindre et former un groupe plus qu'original. Puis elles sont devenues ces filles du destin. Pour se venger, une première vengeance personnelle, jusqu'à ce que ça devient récurrent, jusqu'à ce qu'on demande leur aide. Un fonctionnement s'est installé entre eux, chacune ayant LA compétence pour que cette entreprise soit la plus fructueuse possible. (five) Je suis brontophobe, c'est-à-dire que j'ai une peur anormale des orages. C'est d'ailleurs son plus grand secret que personne, outre mes parents connaissent. Dès qu'un orage cogne dans le ciel, je commence irrévocablement à paniquer, pleurer, je me cache sous ma couette et va parfois couper l'électricité pour éviter la coupure de courant. (six) Une fille parfaite pour mes parents, je fais tout pour plaire. Parfait caméléon, selon la situation demandée j'ai bien appris. Mais c'est aussi devenu la reine de la fourberie, de tout faire dans le dos, d'effacer mes traces pour ne pas tâcher ce portrait parfait. Illusion d'une élève presque modèle, la réalité est que j'aime jouer avec le feu. Faire ce que je ne suis pas censée faire. Boire plus que de raison en boite, conduire plus vite que la loi autorisée. (seven) Lorsque j'ai appris à mes parents que j'aspirais à faire des études de droit pour devenir avocat, j'ai été la risée de la famille. La plus grande déception de mes parents. L'erreur monumentale de leur vie. Ils avaient presque envie de me renier étant donné que je ne suivais pas leur trace dans la médecine. (eight) J'ai fini par envoyer un dossier à Harvard pour m'éloigner de mes parents, de ces gens remplis de noirceur quand ils posaient leurs yeux sur moi. Je ressentais tout le mépris qu'ils éprouvaient à mon égard. J'ai rempli ce dossier dans leurs dos, je ne voyais pas l'importance de leur apprendre ma démarche. J'ai déménagé à Boston lorsque j'avais vingt ans. Étant majeur officiellement aux États-Unis, c'était un bon moyen pour moi d'obtenir légalement la grosse somme d'argent de mon compte en banque qui me permet de me payer un appartement luxueux au bord de mer. (nine) A force de vivre en cage, même dorée, le moindre écart est une bouffée de liberté, plus intense que l'ecstasy ou qu'un dixième shot de tequila.  (ten) Je suis accroc aux réseaux sociaux. c'est difficile de me faire décrocher le regard de mon téléphone et ça en fruste plus d'un. (eleven) Un secret me lie avec Théa et Maiwenn à Ayr. On a fait une énorme bêtise lorsque j'habitais encore là-bas. Une énorme. On a tué un homme qui avait abusé de Maiween lors d'une soirée en boite de nuit. On a dissimulé le corps dans la foret avant d'y mettre le feu, on s'est promis de ne jamais en parler à quiconque. Une promesse que je tiens tenir même si j'en fais des cauchemars depuis ce soir-là. (twelve) En m'éloignant de ma ville natale, c'est pour échapper à tous ses souvenirs encombrants dans mon esprit, j'ai besoin de tirer un trait sur mon passif là-bas. De ne plus y penser, de pouvoir vivre ma jeunesse dorée comme bon je l'entends. (thirteen) Je suis devenue solaire en arrivant sur Boston, je reprends goût à la vie, à l'avenir, aux gens. Je m'ouvre plus que je n'ai pu l'être dans ma ville natale. Je rencontre des gens tandis qu'à Ayr, je ne le faisais pas. Je m'étais renfermée sur moi-même à blesser tous les gens qui s'approchaient de moi où de mes amies. J'étais prête à démolir quelqu'un juste par plaisir, par jouissance. (fourteen) J'ai fait ma première coucherie dans une église à Ayr avec mon premier petit ami. On était encore puceau tous les deux, voulant passer cette étape ensemble on s'est rendu dans cet endroit. On ne pensait pas qu'un prêtre finirait par nous griller dans le confessionnal. Le plaisir était tellement intense à ce moment précis que j'ai fini par crier "doux-jésus, marie joseph !" une phrase qui est très mal passé dans cette église ... Depuis ? Je n'ai plus jamais osé remettre un pied dans un tel édifice.(fifteen) Après ma première fois avec cet homme que j'ai profondément aimé, il m'a quitté comme une moins que rien. Il m'a mis de côté pour ce pavaner avec ses potes, leur racontant tout ce qu'il s'était produit entre nous. Une humiliation que je n'ai jamais digérée. J'ai fini par me venger de lui d'une manière qu'il n'aurait jamais soupçonnée. J'ai demandé à une adolescente de le charmer, de le faire succomber aux plaisirs charnels lui vendant ses exploits sexuels. Ce n'était pas sans arrière pensée. J'ai suivi mon ex et cette ado jusqu'à un petit cabanon où j'avais déjà tout organisé. Une caméra les filme à leur insu. Une vidéo que je me suis empressée de publier le lendemain sur les réseaux sociaux via le compte de cette ado. Je voulais montrer à cet homme le mal qu'il m'avait fait. Pari réussi. Puisque je l'ai humilié publiquement en dévoilant que ces relations sexuelles n'étaient que de la merde, qu'il ne savait pas s'y prendre avec une femme.

Cabossée des affections envolées, incapable de montrer sans équivoque mon attachement. reine des glaces qu'on dit froide et téméraire, sans un regard en arrière. La loyauté pourtant motive mes voyages, autant que mes avis tranchés. Compétitive, assurée, du genre à croire ma vérité toujours plus bonne que celles des autres, sans manquer d'écouter les avis de chacun. Presque hautaine de mes convictions inébranlables, c'est désormais avec une apparente confiance que j'avance, là où le palpitant se languit certains jours de s'aimer un peu plus. Tendresse inavouée pour l'humanité, je me pare de dégoût pour repousser ceux qui n'ont pas le courage de s'intéresser à plus que mon charisme. Impulsive, destructrice, je suis une pluie d'étoiles filantes, je suis une rafale de vent, je débarque dans ta vie sans prévenir et repart aussitôt. J'aspire l'admiration de certains et la hantise d'autres.

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle mélissa et j'ai vingt-sept ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à bazzart. ISJSJGOSJGOSGIHS alors je suis déjà présent sur le forum sous les traits de toni caldwell (+ kirkland) et jazmine caulfield (+ students). J'utilise nina dobrev comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par HOODWINK. Je fais environ 300-800 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

 

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