« J’ai seulement appris que tu étais retourné en Italie et je n’ai pas cherché à lire la suite car je préférais regarder les photos...» dis-je doucement tout en le regardant et je rougissais légèrement car je l’avais tout apprécié et le fait de le voir en photo m’avait fait du bien. Je n’avais pas acheté tous les magazines car je n’avais pas envie de devenir accro à lui à distance et j’avais essayé, par la suite, de tourner la page sur nous...en vain vu notre relation actuelle. « Est-ce que tu penses encore à ton ex ? » Je ne savais pas comment éclairer la chose mais je voulais savoir si il avaient encore des sentiments ou autres attaches envers son ou ses exs. J’étais curieuse mais c’était important pour moi même si je ne voulais pas l’admettre pour le moment. « Je ne sais pas si c’est un fantasme mais maintenant qu’on en a parlé j’aimerai essayer oui. » Je n’aimais pas l’avion mais si on pouvait m’aider à passer un agréable moment durant le vol alors je ne pouvais pas dire non. Je le laissais repousser mon verre et je le regardais avant de lui sourire en guise de réponse. « Ma question va te paraître difficile à répondre je le sais mais j’ai besoin de mettre des mots sur notre relation. Tu nous considères en couple ? » lui demandais-je alors que j’étais mal à l’aise face à cette question mais si je voulais parler de lui à mes ami(e)s il fallait que je mette un mot sur notre relation. « Est-ce que tu as réellement envie de reprendre l’affaire de ta famille ? » C’était peut-être dur comme question mais j’essayais d’en apprendre plus sur lui et je faisais mon possible pour y parvenir. « Es-tu plus café au lait ou café noir ? » Je voulais seulement prendre des notes pour pouvoir le combler au fil du temps donc à lui de répondre sincèrement pour éviter les fausses notes.
J’avais décidé de venir le rejoindre afin de parler mais je prenais conscience que j’essayais de repousser cette échéance et ce n’était pas ce que je souhaitais alors j’allais essayer de prendre mes jambes à mon cou pour me livrer à lui. « Je voulais te parler de ma vie de famille mais surtout des liens que j’ai avec ma mère. » Le mot lien est beaucoup trop fort car nous avons rien entre nous mais j’allais lui confier dans les secondes à venir. « Quand je suis née, Marla été déjà là, et nous avons été placé en famille car elle n’était pas apte à nous élever. On a passé quelques moments avec elle durant nos années en famille d’accueil mais plus je grandissais et plus je la repoussais. Je ne l’a considère pas comme ma mère mais c’est vrai que j’ai ce manque qui augmente de plus en plus. » soufflais-je avant de reprendre. « Quand j’ai été enlevé en novembre elle est revenue vers moi avec une assistante sociale mais je l’ai repoussé...» Je baissais un peu le regard avant de poser le verre sur le plan de travail.

« »

Elle t’annonce cela comme ça, délicatement comme une fleur qui ne peut pas se passer de soleil. Comme si tu étais son soleil aussi mais c’est bien plus bizarre que ça. Tu finis par sourire doucement avant de sourire faiblement Oui j’étais en Italie pour 2 semaines avant de partir au Loos rejoindre mes meilleurs amis Vous êtes vraiment en train de parler de ça, de cette nuit là où tu n’as plus donné signe de vie ? Oui. Mais voilà qu’elle enchaine, sur ton ex, tu hausses les sourcils légèrement, ok, donc sortir avec la princesse d’Espagne n’était peut-être pas le meilleur moyen d’être discret finalement. Tu humectes tes lèvres légèrement, réfléchissant à sa question en fin de compte Non Oui tu as pensé à elle, oui tu as essayé d’arrêter de penser à elle mais tu as réussi. Tu n’as jamais cessé de penser qu’un jour elle te reviendrait jusqu’à ce que tu la vois en couverture avec son mec. Autant dire que c’était à ce moment là que tu as tout arrêté. Tu finis par passer la main dans tes cheveux avant de rire. Si c’est un fantasme quand même Mais voilà que la sentence est tombée. Les questions de Céleste sont compliquées, bien plus compliquées que tu n’aurais cru et tu essayes de gérer du mieux que tu peux finalement Oui Première question rapide et efficace avant de froncer les sourcils Parce que toi non ? Ouais question retournement, attendez les gars tu flippes un peu quand même non ? C’était qu’une simple question hyper facile aussi. Tu finis par humecter tes lèvres avant de rire à sa deuxième question Oui, je vais battre pour ça. C’est aussi bien mon affaire que celle de mon frère, donc j’ai envie d’avoir ma part là-dedans La guerre était déclarée depuis tes seize ans donc autant dire que tu n’avais aucune intention de tout détruire dans tout ce que tu avais accompli. Et la dernière question, tu finis par prononcer Café italien sans sucre, sans lait Ouais italien ou rien sorry mais c’est comme ça.

D’ailleurs, quand la conversation prit une tournure plus complexe dans l’atmosphère notamment, tu savais qu’elle voulait parler de ça. Elle t’avait déjà parlé de sa mère quelques fois et son père une fois mais pas à ce point ou plus. Tu fixes un instant la jeune femme avant de hocher la tête lentement. Parce que oui, tu devais tout savoir d’elle, pour la protéger contre les vautours mais aussi contre le monde dans lequel tu étais en train de la faire tomber. Alors tu l’écoutes. Tu finis par t’approcher, venant voir qu’elle venait de poser son verre et tes bras s’enroulèrent au niveau de sa taille Je ne sais pas ce que tu as vécut avec Marla ou même avec tes parents, mais t’as pas bien de t’expliquer sur tes choix de vie ok ? Si tu l’as repoussé c’est que tu n’étais pas prête et un jour tu le serais peut-être tu finis par embrasser son crâne avant de la regarder Alberto peut jouer le rôle de ta mère si tu veux ça va c’était qu’une petite blague, et ça peut-être drôle en fin de compte

Il me parlait de ses activités au moment de sa fuite en Italie et je souriais légèrement car j’étais étonnée qu’il se souvienne encore de cette période. Je ne rebondissais pas sur le sujet car j’avais dis tout ce qu’il fallait mais encore une fois j’avais vécu une première fois grâce à lui car sans le rencontrer je n’aurai pas regardé de magazines people. D’ailleurs j’avais très rapidement arrêté sans jamais repointer mon nez dedans, voilà pourquoi je ne savais pas qu’il était à Harvard. Dans la foulée il me rassura en me disant ne plus penser à son ex et j’étais rassurée car je ne voulais pas devenir un pansement pour un homme, juste l’idée de l’être me déplaisais fortement. Je lui souriais avant de lâcher un petit rire quand on parlait de fantasme. « Sans toi ce fantasme n’aurait même pas eu lieu d’être ! » Il était venu avec notre conversation téléphonique et je me surprenais toujours autant à penser au sexe car ce n’était pas quelque chose à laquelle je pensais avant ma première fois. « Si bien-sûr mais j’avais besoin de l’entendre. » Même si il ne me l’avait pas dit j’aurai pas flirté à droite et à gauche car ce n’était pas ma manière de faire mais je souriais bêtement lorsque je comprenais qu’on formait un couple. Noah et moi. Jamais je ne l’aurai cru et encore moins en le retrouvant à Harvard. « Tu as raison de te battre pour quelque chose qui te tiens à coeur. » ajoutais-je avant de lui sourire et j’étais réellement persuadée qu’il arriverait à arriver à toucher son but du bout des doigts. « Je suppose que tu vas devoir m’expliquer comment le faire. » Oui sait-on jamais si un matin je veux lui faire plaisir. Évitons les faux pas dès le réveil.
Doucement je me confiais à lui comme lui l’avait fait avec moi et je continuais de le faire avant de le regarder lorsqu’il prenait la parole. Je trouvais ses paroles justes même si j’étais complètement perdue face à cette situation. « On a pas vécu la plus belle des vies mais Harvard nous aide à nous épanouir mais surtout à devenir quelqu’un. » Soyons honnête j’étais personne avant de venir ici car les familles qui nous avait accueilli se fichaient royalement de nous. C’était ma vision des choses mais pas toujours partagée par ma sœur. « Tu sais je réfléchis beaucoup à tout ça depuis les attentats car ça m’a fait prendre conscience que tout pouvait s’arrêter d’une seconde à l’autre...» J’avais perdu Floyd sans que je comprenne ce qu’il m’arrivait et peut-être que je regretterai de ne pas avoir pris de contact avec eux. Je n’en sais rien et ça commence à me ronger le cerveau… « Je dois bien avoir des robes de grand-mère dans un carton. » riais-je avant de lui taper doucement le haut de son torse. Il avait trouvé le moyen de me faire rire mais surtout de redescendre et cela me faisait du bien.  

« »

Un moment confession intime c'était bizarre, parce que tu n'as pas l'habitude de ce genre de choses et tu ne te sens pas rassuré de le faire, d'être faible face à une personne. Cela ne t'a pas trop réussi dans le passé alors pourquoi ça marcherai maintenant ? Tu finis par sourire néanmoinsquand tu répondis à ses questions, alors c'était bon, tu avais répondu à toutes ses questions haut la main. Je me bats pas pour ce qui me tient à coeur, je me bats pour ce qui m'appartient, comme tu m'appartiens et l'entreprise m'appartient prononces-tu avant de la regarder dans les yeux et tu souris même à ce qu'elle dit. Tu te tournes vers la machine à moudre les grains T'as de la force j'espère ? et tu souris en coin avant de passer ta main au niveau de sa joue lentement.

Mais la discussion devient très sérieuse et t'es pas à l'aise avec ça parce que c'est pas toi qui l'a décidé. Oui contrôler c'est ton monde et c'est mieux comme ça. Tu fixes un instant son regard avant d'écouter Soit fière de ce que tu es alors, parce que tu es quelqu'un de de très épanouie qui vit pour ce qu'elle croit juste et l'honnêteté c'est ton fort, donc autant dire qu'elle va être gâtée par ça. Tu continues, tu ne te laisses pas avoir par les sentiments ou émotions donc autant dire que t'es quand même un peu froid de visage pour tout ça. La preuve, ta mère, tu ne déroches même pas donc autant dire que ça te passe au dessus de la tête. Mais t'es en vie Céleste et c'est ça le plus important, faut avancer, arrêter de vivre dans le passé et croire que la vie est meilleure plus loin dans ton avancée c'était ce que tu t'étais dis un an après que Olivia t'es largué comme une merde donc autant dire que tu pouvais parler pour ce genre de conseil de merde mais bon, ça avait marché avec toi pourquoi pas elle ? Tu finis par la regarder, riant légèrement à sa comparaison et tu finis par sourire ensuite Au vue de la tête qu'il peut faire, je ne crois pas non tu hausses les épaules avant de boire une gorgée de ton vin et tu te tournes vers le repas Tu veux diner tout de suite ? simple question sinon tu éteins sous le feu

J’avais essayé de poser de bonnes questions qui allaient m’aider à le connaître davantage et je souriais quand il me parlait de l’affaire de famille. Je ne connaissais pas ça car je n’avais aucun don venant de ma famille mais le voir me parler de son affaire me touchait et je ne pouvais me retenir de sourire. Il avait trouvé le but de sa vie et même sa vocation et c’était l’une des choses les plus importantes dans une vie. « Et tu as raison de le faire. » souriais-je. « Je t’appartiens. » riais-je doucement avant de lui faire un clin d’oeil puis je regardais la machine à moudre les grains avant de sentir sa main sur ma joue. « J’en ai plus dans les jambes que les bras mais je peux essayer. » Je faisais du karaté depuis quelques temps mais je ne me musclais pas les bras pour autant. Ce café allait m’aider à le faire, non ?

Je me confie à mon tour à Noah et je trouve ce moment très agréable même si ce n’est pas toujours facile à faire. Je suis fière de lui en parler car je sais que cela va m’aider à continuer d’avancer avec un poids moins lourd sur les épaules. « J’aime la vision que tu as de moi et ça me touche. Merci. » lui dis-je très sincèrement avant de lui sourire à nouveau. J’aimais me dire que j’étais quelqu’un de bien mais quand cela venait d’une autre personne j’étais plus touchée et rassurée. « Je ne vis pas dans le passé tu sais...» En réalité je me demandais si ma mère avait pensé à moi pendant ses attentats et je n’en savais rien. Plus les mois passaient et plus je me posais de questions la concernant et j’étais complètement perdue. Puis je me laisse aller aux rires quand il me parle de Al et je hausse les épaules. « Je suis certaine qu’il serait très sexy en plus ! » Puis je bois à nouveau une nouvelle gorgée de mon verre avant de reprendre. « Oui on peut passer à table si tu veux. Je t’aide pour quelque chose ? » lui demandais-je simplement.

« »

Cette soirée était appréciable en fin de compte, tu avais eu peur de tout perdre du jour au lendemain parce que tu ne controlais rien à croire qu’elle savait y faire pour te calmer ou de détendre. Tu fixes un instant la jeune femme, la voyant faire des efforts pour ce qui lui plaisait et c’était tout aussi important pour elle que pour toi. Et voilà qu’elle se confie sur une chose importante et tu lui exposes les faits. Tu ne te voyais pas réellement faire quelque chose de compliqué ou d’horrible, non juste dire la vérité. Mais ta réaction était différente des autres, surtout dans cette période là. Tu finis par te tourner entièrement vers elle pour ajouter Tu devrais te faire confiance et te laisser porter par les événements de la vie, plutôt que d’essayer d’être une personne ce qui était vrai. Elle était épanouie, heureuse maintenant, pourquoi tout gâcher. Et voilà que Al pourrait se déguiser en grand-mère, tu l’imagines très mal Tu devrais lui dire, et voir sa réaction tu finis par rire doucement, venant prendre ton verre pour le déposer sur la terrasse. Tu peux mettre la table si tu veux L’air légèrement chaud était parfait pour ce soir. Tu déposes même la bouteille de vin et tu reviens dans la cuisine pour prendre le plat d’entrée, une petite salade de tomate avec de la mozzarella et quelques feuilles de basilique, afin de la déposer sur la table Tu aimes ça j’espère ? tu demandes après tout, c’est bête mais si ça se trouve elle est allergique

Noah était plus âgé que moi et il était plus mature aussi donc je ne pouvais qu’écouter ses conseils en essayant de les appliquer par la suite. J’aimais le voir aussi bavard et ouvert avec moi car cela me prouvait que j’avais réussi à l’atteindre et qu’il me faisait confiance. Un minimum. « Tu as certainement raison oui mais c’est difficile car j’ai toujours essayé d’être quelqu’un. » Avec l’abandon de ma mère j’avais toujours cherché une identité puis à devenir quelqu’un qui puisse être important pour d’autres. Il venait de me donner de quoi réfléchir et me connaissant je savais que j’allais passer des heures voir des journées entières à réfléchir sur sa phrase. « Quand je le verrai je lui demanderai alors. » riais-je. J’imaginais très bien Al dans une robe d’une mamie mais je n’étais pas sur que ça plaise à tout le monde. « Je m’occupe de la table. » J’avais été surprise de l’entendre répondre par la positive car je pensais qu’il aurait refusé...bref je suis allée chercher les couverts et autres plats pour tout poser sur la table. Je m’installais à table avant de voir l’entrée qu’il nous avait préparé et je souriais bêtement. « Oui ça m’a l’air très bon. » Je le regardais à nouveau. « J’ai hâte de goûter à tout ça...» J’étais toujours aussi fascinée de le voir en cuisine car je ne l’avais jamais imaginé ainsi. Il avait des facettes bien surprenantes et j’aimais ça.

« »

Elle avait peur d'être personne ou d'être quelqu'un alors qu'être elle même serait parfait. Autant dire que ce n'était pas facile pour elle, pas facile pour personne finalement. Alors bien sur, tu souris doucement à sa remarque, venant embrasser sa joue délicatement, elle trouvera sa réponse quand elle l'aura trouvé. D'ailleurs, le sujet dériva sur Al et une tenue de grand mère, honnêtement, il ne vaut mieux pas qu'elle demande Non, vaut mieux pas pour toi, crois moi prononces-tu avant de rire. Mais voilà elle voulait aider à donner un coup de main, alors tu n'allais pas refuser. Tu lui laissas mettre la table et tu te laissas porter quelques affaires pour mettre sur la terasse dehors. Autant dire qu'il était agréable d'être ici, en ce premier date. Ou deuxième, ou bref, ce diner romantique Tu n'avais même pas besoin d'allumer la lumière de la terasse au vue de la clareté de l'endroit et c'était donc normal que tu t'assis en face d'elle. Parfait alors tu commenças à la servir légèrement, pas trop non plus, ni trop peu, juste la dose parfaite avant de faire de même Tu as de tout, je ne sais pas ce que tu mets avec, y'a de la vinaigrette ou plus de la sauve blanche, fromage blanc, oignon et persil. Ou juste du sel ajoutes-tu alors que tu la fixes, savoir comment elle mangeait ses plats c'était tout aussi intéressant que de connaitre ses petits secrets

On parlait d’Al ainsi que des vêtements pour grands-mères que je pourrai lui donner et je fronçais les sourcils car je ne comprenais pas pourquoi il fallait que je garde mon idée pour moi. « Il le prendrait mal ? » Je ne le connaissais pas donc c’était difficile de savoir où étaient les limites à ne pas franchir car j’aimais beaucoup jouer avec les autres mais je n’avais pas envie de les blesser. Je n’étais pas comme ça donc il était préférable que je demande tout ceci à mon petit ami.
J’avais mis la table sur le balcon et je m’étais installée avant d’attendre qu’il arrive me rejoindre. Je le regardais en souriant avant de regarder le saladier et je le laisse me servir. « Merci beaucoup et je vais prendre de la sauce blanche. » En réalité j’avais jamais eu autant de choix pour me faire une salade donc je prenais une sauce que j’avais que très rarement goûté afin de redécouvrir de nouvelles saveurs. « Bon appétit et je te remercie pour le repas. » Je posais doucement ma main sur la sienne avant de la caresser puis je revenais vers ma fourchette pour commencer à manger. « Chez vous on a pas le droit de couper les pâtes c’est ça ? » Je commençais à manger et je le regardais en souriant.

« »

Tu ne sais pas trop si il le prendrait mal ou bien en fait. Et tu souris simplement en haussant les épaules doucement Je sais pas trop, faut lui demander mais elle osera pas, c'est ça le truc et t'en es certain parce qu'elle ne le connait pas assez, elle est trop réservée et délicate pour ça.

Une fois la table mise, le saladier au niveau de la table avec le vin, tu la servis et proposas rapidement ce que tu avais, tu lui tendis la sauce fromage blanc pour ne rien mettre pour toi, parce que les tomates et la mozza, c'était seulement à l'huile d'olive, bah oui, Italie le veut. Tu lèves alors les yeux vers elle, en souriant et tu ajoutes Je te l'avais promis non ? prononces-tu avant d'humecter tes lèvres et tu sens sa main sur la sienne, elle joue avec tes doigts, tu ne sais pas comment réagir, à part regarder tes doigts fondre lentement contre les siens, c'était appréciable en soit finalement. Tu la regardes néanmoins avant de froncer les sourcils C'est un manque de respect dans notre famille, le premier qui coupe ses pâtes, il est déhésérité prononces-tu trtès sérieusement, léger sourire en coin, jeu ou pas, à elle de voir. Tu continues de manger, te servant de l'autre main pour tout faire, même si la gauche était prise, bah ouais t'es gaucher et alors ? Tu lui resers du vin Ton plat préféré ? Ton parfum de glace préférée ? Donne moi 5 arguments sur le pourquoi tu n'étais pas à ta place ce soir là ? A elle de s'en souvenir attention, tu n'allais rien dire et tu allais même sourire, ah sourire sadique et délicat, attention