Je pouvais potentiellement comprendre qu'elle ait mal pris le fait que je sois allé vers Camila mais je pouvais pas m'empêcher de m'inquiéter pour elle. Elle avait été importante durant des années, au delà de notre relation amoureuse, que j'avais toujours certains réflexes de meilleur ami. Mais j'espérais que Louison comprendrait... Sauf qu'en la trouvant au bar, la mine dépitée, je me doutait que non, elle n'avait pas compris. Je m'étais alors approché d'elle, les mains se posant sur ses hanches dans le but de lui indiquer ma présence. Mais elle se décalait, montrant qu'elle m'en voulait. « C'était un réflexe de meilleur ami... pas d'ex toujours amoureux, pour ce que ça vaut » J'étais amoureux d'elle merde, elle Louison, la française délurée. Et j'avais l'impression de revivre ma sortie d'hôpital. Je restais silencieuxt, avant qu'elle ne vienne prendre son award de meilleure mather pour le coller à sa joue et l'embrasser. « Ah... Je vois » Et je commençais à bouillonner intérieurement pour le coup, prenant ça comme une pique et c'en était une pour sûr. « Bon, dès que tu auras confiance en moi, envoie moi un hibou » soupirais-je, presque exaspéré.

« J’sais pas ce que ça vaut moi, je m’en fiche » grognes-tu en t’attaquant à la dernière gorgée de ton verre. Et si les rôles avaient été inversés ? Et si Liam se serait enfui de la scène et que tu l’avais poursuivi pour le cajoler ? Aurait-il un sourire de trois kilomètres de long présentement ? Peut-être bien. Peut-être pas. Avec des si on referait le monde comme te disait souvent ta mère. Arrête donc d’utiliser le conditionnel, ça n’aura aucun effet ici et maintenant. Te sentant beaucoup trop désagréable, tu tentes alors de dédramatiser la situation en provoquant le Dunster avec quelques enfantillages. « Un hibou ? Un hibou ou un bisou ? » T’as beaucoup trop bu parce que tu ne vois pourquoi t’enverrais un hibou, c’est une référence que tu ne piges pas. Ton regard fixé loin devant toi, tu te rapproches centimètre par centimètre du brun pour te placer à côté de lui, ton bras frôlant le sien. Tu déposes ensuite tes doigts sur le comptoir pour les laisser se déplacer discrètement vers les siens. Ton auriculaire rencontre le sien et tu t’arrêtes, déjà perturbée par cette rencontre minime « J’ai peur que tu me vois comme je me vois, le pire c’est qu’en agissant comme ça, ça risque d’arriver » avoues-tu en abaissant ton regard sur vos mains côte à côte « Je dois apprendre à ravaler ma fierté quand tu disparais pour elle, c’est pas toujours évident » Lui dire est déjà assez douloureux, ça prouve à quel point tu es faible et fragile. « Il fait froid sans toi » rajoutes-tu en escaladant ses phalanges pour envelopper timidement sa main de ta paume.

L'ambiance festive était à son comble ; les mélodies s'enchaînaient les unes après les autres, les étudiants semblaient éprit par les ondes positives qui émanaient de cette soirée et dansaient sur la piste pour profiter pleinement de cet événement. Eloan lui, était venu accompagné d'Hermes, suite à la demande de ce dernier qu'il n'avait pas pu refuser. Depuis qu'il était arrivé, il n'avait pas vraiment eu l'occasion de boire vraiment alors il avait emprunté cette excuse-là afin de pouvoir s'éclipser quelques minutes. Arrivé au bar, il avait surtout profité de cet instant de solitude pour répondre aux messages de Zora qu'il n'avait malheureusement pas réussi à croiser depuis qu'il avait mit les pieds ici. Alors, après une conversation dès plus étrange avec cette dernière, il daignait verrouiller son cellulaire pour se servir un verre ; les pensées prises dans ce tourbillon orchestré par une seule et même personne. Cette soirée était définitivement étrange, entre Jinny qui ne reconnaissait pas son meilleur ami et le fait qu'elle se ramène au bras d'un véritable inconnu et puis toutes ces choses qui déviaient de son propre comportement habituel. C'était un peu flou, mais il espérait seulement que tout se passe bien, pour une fois. Égaré dans les abysses de son esprit, il fut bien obligé d'en sortir lorsque la présence à ses côtés captait son entière attention. Eloan posait son regard brun et légèrement maquillé sur son double, un sourire presque soulagé sur les lèvres ; « -Je commençais à me demander si j'arriverais à te voir ce soir, crétin », lançait-il à l'égard de son jumeau, ravi  de pouvoir le croiser ce soir.

En réalité, je comprenais son comportement. Pas sûr que j'apprécie non plus qu'elle traine avec son ex qu'elle a du mal à oublier... mais là, j'avais prouvé à maintes reprises que je la voulais elle, je lui avais dit que je l'aimais et j'étais pas vraiment capable de la laisser partir. Alors ouais, je sais pas, elle se foutait dans des états pas possible pour pas grand chose dans le fond. « Un hibou. Comme dans Harry Potter » De toute façon, ça se voit qu'elle est totalement bourrée, incapable d'avoir les idées claires. Mais ouais, ça me faisait chier quand même un peu que la soirée se termine sur une note comme ça, alors qu'elle avait plutôt bien avancé. Le début était merdique puis ça s'est arrangé mais ça redevenait merdique. Et finalement, elle tentait le pas vers moi, se rapprochant petit à petit. « Écoute... J'te demande pas de changer qui tu es. Tu as tes réactions et tout mais... Je sais pas, j'ai juste l'impression que t'as pas confiance en moi. Je sais que ton ex t'as trompé et je veux pas t'infliger de nouveau ça, je le ferai pas, même avec elle. Je... Je sais pas quoi faire pour que tu n'aies rien à craindre de mes têtes-à-tête avec elle. » soufflais-je doucement avant de la prendre dans mes bras après lui avoir volé un baiser. Glissant mon visage dans son cou, je cherchais à la réconforter, tant bien que mal. « Aie confiance en moi, s'il te plait.. Parce que je vais retourner la voir tout à l'heure et je veux pas que tu aies une dent contre moi » C'était juste ce soir que ce genre de situations arrivait et ça ne se reproduira plus à l'avenir.

Voilà pourquoi tu n’avais pas compris cette histoire de hibou, t’es la seule personne au monde qui n’est jamais entrée dans l’univers Harry Potter, parce que la magie, ça n’existe pas et ça vends du rêve pour que dalle. Arg, t’es vraiment en colère finalement, plus que tu ne pouvais l’imaginer et le montrer. Néanmoins, tu tentes ta petite approche pour apaiser cette tension qui se déploie. Tu te justifies maladroitement et tu récoltes une première réponse qui te fends le coeur. Parler de ton ex avec Pluton est vraiment dérangeant, encore plus quand vous énoncez la façon dont il t'a humilié. Mais ton petit-ami n’a pas forcément tort, cette tromperie qui n’est pas la première que tu vis t’a énormément fragilisée dans ta confiance à autrui. Malgré tout, tu ne trouves aucune réponse à formuler au suédois pour que tout aille mieux, enfin si, tu en as une, qu’il espace plus ses fameux tête à tête avec elle. Ouais, le truc impossible quoi. Machinalement, tu l’accueilles dans tes bras quand il s’avance vers toi pour te serrer contre lui. Tu enfouis ta bouille dans son cou en réprimant les larmes qui parviennent à tes yeux, puis il t’achève de nouveau. Tu te sépares alors de son étreinte en fronçant tes sourcils « Pourquoi tu dois aller la revoir ? Putain, tu le fais exprès » t’énerves-tu en secouant ta bouille. C’est quoi le but ? Que ton coeur lâche ? « T’aimer me fait mal ce soir, très mal » rajoutes-tu en t’accoudant de nouveau au bar « Un dernier verre s’il vous plait, avant que je me tire définitivement d’ici » adresses-tu au barman avec la folle envie d’exploser le verre vide devant toi. Le temps que ton énième cocktail soit servi, tu tires sur le col du Dunster et t’accroches à lui pour l’embrasser langoureusement. Ta langue s’enroule à la sienne passionnément, ton souffle s’éteint quasiment. Tu es au bord de l’asphyxie, pendue à ses lèvres. Tu t'arrêtes ensuite, complètement haletante. Tu essuies ta bouche d'un revers de main en le fixant ardemment « Continue de me torturer Pluton, vas-y »

Cette situation était compliquée, parce que j'étais encore profondément attaché à Camila oui, mais j'aimais Louison et je ne voulais pas la blesser. Elle était devenue la personne la plus importante de ma vie et il était hors de question qu'elle vienne à m'échapper à cause de Camila. Si on devait mettre un terme à notre relation, c'est parce que ça fonctionne pas, ça fonctionne plus... c'est tout. Pas avant. La prenant dans mes bras, je cherchais à la réconforter. Mais je sentais bien que mes mots ne lui plaisaient pas, au contraire. C'était même une réaction légitime qu'elle avait en me repoussant. « Non je... » Je soufflais alors, laissant mon regard se poser sur la foule autour de nous avant de la regarder de nouveau. « Ecoute... j'essaye de faire en sorte qu'elle aille bien, qu'elle soit heureuse de son côté pour qu'elle n'ait pas envie de venir foutre la merde entre nous » confiais-je doucement. Parce que je connaissais Camila et quand elle veut un truc, elle l'obtient, c'est comme ça. Sûrement que je suis encore trop épris d'elle pour pouvoir vraiment résister. « Je veux pas qu'elle soit un frein à notre relation, parce que je suis bien avec toi, parce que je t'aime » Et je lui répétais encore une fois parce qu'il fallait qu'elle comprenne que je ne le disais pas à tout le monde. Elle était certainement la troisième à entendre ces mots sortir de ma bouche. Et alors qu'elle agresse le barman pour qu'il la serve avant qu'elle puisse se barrer d'ici, elle finissait par me choper par le col avant de m'embrasser langoureusement devant tout le monde. Et ouais, j'en perdais le souffle, il me fallait du temps pour récupérer l'oxygène dont j'avais besoin, haletant face à elle. Glissant mes deux mains le long de ses joues, le regard plongé dans le sien, je collais mon front au sien. « Je veux pas te faire souffrir... je veux pas... je veux pas » soufflais-je doucement, pour qu'elle seule puisse m'entendre. Seulement, même si je ne le voulais pas, je le faisais quand même. « Danse avec moi »

C’est plus fort que toi. Tu ne peux pas rester contre lui en sachant qu’il retournera la voir par la suite. Tu croyais que c’était terminé, au moins pour ce soir, mais non. Il va repartir, il va te laisser de nouveau seule, au milieu de tous ces curieux. Une fois de plus, tes proches constateront que ton petit-ami a passé le plus clair de son temps avec son ex. Tu devras donc encore te battre pour leur expliquer que tu arrives à passer outre, ce qui est faux. Rien que d’y penser, ça t’épuise, alors tu n’as qu’une hâte, disparaître. Par ailleurs, ce qu’il te dit par la suite confirme tous tes doutes, cette fille est sacrément tordue et malsaine. « C’est grave quand même. Si elle n’est pas heureuse, madame va venir nous saboter. Je le savais. Comment veux-tu que je ne panique pas hein ? Ça veut dire que tout ce qu’on a peut voler en éclats selon ses humeurs ? T’es incapable de lui résister ! C’est tellement rassurant, j’adore » lances-tu en t’écartant encore plus de lui, complètement en train de péter les plombs. Il a beau t’aimer, ça ne sera jamais assez suffisant pour qu’il se débarrasse de l’emprise qu’elle a sur lui. Tu te retiens désormais de tout casser. Tu te rabats pitoyablement sur un verre afin d’éteindre tes pulsions destructrices. Toutefois, ses deniers mots d'amour résonnent encore en toi et te poussent soudainement à lui démontrer la réciproque par un baiser enflammé. Tu dévores ses lèvres avec fougue avant de lui redonner sa liberté, non sans cette agressivité visible au fond de tes prunelles. Son front se colle au tien. Il te souffle quelques mots et tu fermes tes paupières en remuant négativement ton visage « Trop tard » murmures-tu avant de rouvrir tes yeux lorsqu’il te demande de danser avec lui « Ici ? Pourquoi je dirais oui ? » l’interroges-tu en sentant vos souffles se mélanger entre vous. Tu sais que ce brin de provocation risque de le froisser, mais à quoi bon. T'es déjà à moitié hors-jeu. « J’crois que la fin de notre soirée ne se passera pas comme prévu. J’vais devoir consulter un marabout j’crois » plaisantes-tu en jetant tes escarpins sur le côté pour monter sur ses chaussures « Vas-y, fais moi danser si tu veux, pour ce que ça vaut » le piques-tu sournoisement en reprenant ses mots, ceux qui font partis de son vocabulaire. Tes mains se nouent à son cou, t'attends plus qu'il bouge ou qu'il te repousse.

Je sais pas pourquoi j’ai dit ça, je ne sais pas et… ouais, j’avais carrément merdé. Maladresse à la con, bordel de merde. Et j’étais du coup en train d’en payer les conséquences. « Arrête, c’est pas ce que je voulais dire.. » Enfin, en quelque sorte. « Fais moi confiance merde, je vais pas la laisser se mettre entre toi et moi ! » Mais je ne pouvais rien faire si elle se mettait dans la tête de Louison et qu’elle me quitte… Ouais, ça, ça ne tenait plus de mon ressort malheureusement. Seulement, elle ne pouvait pas comprendre le lien que j’avais avec Camila. C’était au delà de l’amour charnel qu’on pouvait avoir… c’était une amitié profonde et une attache qui datait de plusieurs années. Ma meilleure amie, ma moitié. Maintenant, elle va mal et j’arrivais pas à éclipser ça de ma tête. Et ouais, il fallait que j’aille la voir, pour tenter de la réconforter un minimum. Alors qu’elle voulait s’éloigner, quitter les lieux pour ne plus me voir, je lui disais une nouvelle fois que je l’aimais et ça avait le don de l’enflammer puisque ses lèvres venaient chercher les miennes, sa langue dansant avec la mienne. Et clairement, c’était ces moments là que je voulais, tout le temps. Mais non… Trop tard, je la faisais souffrir et je m’en voulais. Il fallait que je me rattrape contre toute attente. C’était pour cette raison que je me proposais pour une danse avec elle, comme celle de tout à l’heure. Mon cœur se resserrait à son refus et je serrais les dents pour éviter de répondre sous le coup de l’impulsion. Et l’entendre me dire que la soirée ne se passera pas comme prévu, ça me brisait le cœur, parce qu’elle laissait Camila entrer dans sa tête et compromettait nos plans toute seule. « Je veux que tu sois dans ma chambre ce soir » disais-je en sentant ses pieds sur les miens, alors qu’elle avait retiré ses chaussures pour m’épargner ses talons. Seulement, je restais immobile, incapable de faire un tel effort sans que je ne sois pris de grosses sueurs ou même que je tombe dans les pommes. Le cœur battant, je la regardais, silencieux, mon regard plongé dans le sien. Mes bras s’étaient enroulés autour de sa taille, et je sentais mes pieds s’affaisser sous son poids, mais peu m’importait. « Je suis désolé, je me rattraperai demain et tout le reste de notre vie s’il le faut » Mais je devais aller la voir, parce que peut-être, j’arriverai à être le meilleur ami qu’elle a besoin actuellement. « Viens chez moi ce soir… tous les soirs, laisse-moi te faire l’amour et te montrer que tu es la seule que je veux dans mon lit » glissais-je doucement, mon souffle se mélangeant au sien. « S’il te plait Louison… »

On boit ensemble, à notre couple, à cette soirée et la fin de la nuit. Un regard vers ma sœur au loin qui est avec une autre fille et je replonge mon regard dans celui de Meg' qui elle ne démord plus de moi. Elle a des yeux tellement intense j'adore ça, j'arrive même à en laisser Hecate tranquille de son côté c'est pour dire. Puis ses doigts se mêlent aux miens et je descend brièvement mon regard sur son geste, sourire en coin attendrit. Et là elle me dit se sentir mieux depuis qu'on s'est retrouvé et je souris un peu plus à l'entendre dire ça "Y'a pas besoin de remerciement pour ça. Si... J'fais ton bonheur alors ça fait le miens." si tu te sens bien avec moi alors j'ai rien à espérer de plus. Puis doucement elle vient m'embrasser et je réponds à ses lèvres. Ne pensant même plus à Hecate pas loin. Il en est mieux ainsi pas vrai? Les choses sont retournées dans l'ordre naturel et là tout d'suite? J'suis bien avec la femme que j'ai entre les mains. d'un coup, son regard se tourne vers... Willa non loin et elle la complimente un coup. Sourire en coin je réponds "Oui mais... Pas autant que toi." Willa est une très belle femme mais clairement à mes yeux, elle a pas le level de Megara désolé. Je finis mon verre presque cul sec pour ajouter "Maintenant, j'veux t'emmener danser." lui tendant la main pour l'inviter à me suivre.

@Megara Maxwell

Tu t’élèves sur ses pieds et tu ne perds pas une seconde pour le défier de prendre les commandes. Seulement, il ne le fait pas. Tu es peut-être allée trop loin ou il n’a pas la force de soulever tes quarante sept kilos tout mouillé. Tu le fixes désormais dans les yeux, sans oublier sa future mission coup de poignard. Il veut que tu viennes chez lui ce soir, après avoir passé du bon temps avec elle, à la prendre dans ses bras et à la réconforter. Tu as presque honte. Comme si tu étais le lot de consolation là. Celle qui passe après. La fille qui tient compagnie. C’est douloureux. Tu ne réponds donc pas, mais tu restes accrochée à lui pour écouter ce qu’il a d’autre à te dire afin de te motiver à le rejoindre. Parce que pour l’instant, tu n’as pas envie de lui faire plaisir en te glissant gentiment dans sa chambre. Parce que tu en as marre qu’il doive se rattraper en permanence. Il devrait juste t’attraper toi pour t'amener loin d’ici, point. « J’verrais si je trouve le chemin » réponds-tu en le débarrassant de ton poids pour retrouver l’appui inconfortable et froid du bar. Tu essuies une larme discrètement et enroules tes mains à ton verre. « Louison est triste et fatiguée » rajoutes-tu en soupirant bruyamment « Essaies de ne pas me perdre si tu m’aimes vraiment »  Que veut-il de plus ? Tu n’es plus vraiment d’humeur à bavarder et à flirter avec lui. Surtout en sachant qu’il crève d’envie de la rejoindre. « C’est quoi le programme ? Tu me lâches quand ? T’es sûr de rentrer ? Tu sais que ma patience a des limites chéri » D'autres personnes t'accueilleront sûrement dans leur lit ce soir, mais te connaissant, tu préfèreras la passer dehors, toute seule.