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Tu l’envoies paître à contre coeur. En n’entendant plus aucun signe de vie après quelques minutes, tu coupes le robinet et balaies la vitre de ta main pour vérifier que la pièce est vide. Le champ est libre, tu sors alors du bac de douche en essorant vulgairement tes cheveux dorés. Tu t’enroules ensuite dans une serviette en te postant devant ton reflet dans le miroir. T’as les yeux tout bouffis, mais tant pis. Tu refais surface dans la chambre et t’approches du bout du lit pour enfiler le tee-shirt que tu as sorti plus tôt. Aucun sous-vêtement, heureusement que t’es minuscule et que le haut tombe à mi-cuisse pour camoufler ton entrejambe. Pluton a regagné le lit et semble occupé sur son téléphone. Tu respires fort pour signaler ta présence « Qu’est-ce que tu fais ? Je te dérange ? » Tu ne veux pas sauter à ses côtés et apercevoir une discussion ou des photos douloureuses à voir. T’as suffisamment mangé ce soir, tu veux un peu de répit, quitte à te réfugier dans une douce illusion « Je peux venir ? » demandes-tu en pointant la place libre à côté du suédois. Normalement t’aurais même pas demandé l’autorisation, mais ce soir, cela semble être à la mode. Ouais, normalement tu te serais direct jetée sur lui, tu l’aurais escaladé et embrassé avec toute ta fougue pour lui montrer à quel point tu le désires « Ou quelqu’un est déjà là? Un fantôme peut-être ? » Faut bien tester l’humour pour te sortir de cette ambiance tendue. C’est la seule cartouche qui te reste à cet instant. Tu ne sais plus comment t'y prendre, s'il est prêt à t'accueillir contre lui ou encore sur la défensive... Au fond de toi ça crépite, y a plein de chose qui voudrait sortir, mais ça bouchonne encore, dans cette sorte d'entonnoir que tu t'es créé après Ezio.

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Je finissais par quitter la salle de bains, la laissant en tête-à-tête avec elle même et je retrouvais le lit, mi allongé mi assis contre le mur, un coussin dans mon dos. La tête un peu ailleurs, je voguais de réseau social en réseau social, dans le but de me distraire le temps qu’elle est sous la douche et puis moi, ça m’aidait aussi. Faire baisser la pression qui était montée à son paroxysme, c’était plutôt la meilleure chose à faire à l’heure actuelle. Je ne voulais pas qu’elle s’en aille, je voulais qu’elle reste à mes côtés ce soir. Alors ouais, j’avais fini par aller dans l’application des photos pour regarder les photos qu’on avait pu prendre ensemble. Je m’attardais surtout sur celle qu’elle avait prise, alors qu’on s’embrassait et ça m’arrachait un sourire. Et forcément, j’étais ailleurs en ce moment, c’est pour ça que je sursautais en entendant ma petite amie déjà présente dans la pièce, habillée d’un de mes t-shirts. « Je regarde des photos » que je finissais par dire, donc non, techniquement, elle ne me dérangeait pas, au contraire. « Bien sûr, viens » Je tapotais la place à côté de moi avant de laisser mon bras en l’air pour qu’elle vienne se caler contre moi. S’il te plait, viens contre moi Louison. J’attendais alors qu’elle s’installe et quand elle était enfin contre mon corps, mon regard s’attardait sur son visage, légèrement éteint, rougi surtout aux yeux. Elle a pleuré ? Je me pinçais alors les lèvres avant de venir chercher les siennes pour un baiser doux, tendre, simple. « Je suis désolé bébé… » soufflais-je doucement, bien plus calmé qu’après ma douche. Disons que le fait qu’elle m’ait remballé tout à l’heure, ça a aidé à bien tout faire redescendre. « Je voulais pas te blesser d’une quelconque façon que ce soit » finissais-je par lui confier, dans le but de vraiment arranger son humeur. D’ailleurs, j’enfouissais mon visage dans son cou, y déposant quelques baisers, tandis que ma main libre se positionnait sur sa hanche opposée à moi.

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À pas de velours, tu rejoins la chambre et sors le brun de ses pensées en brisant le silence dans la pièce. « Ah… » Quelles photos ! Tu veux des précisions, parce qu’il avait le sourire en matant ces clichés. Tu n’avais pas vu son visage aussi ouvert depuis que tu l’as retrouvé ici. Ça te foutrait la haine que ce rictus ne soit pas apparu grâce à toi. Pluton accepte que tu le rejoignes. Tu montes sur le lit et progresses vers lui à quatre pattes avant de rouler sur le dos pour te blottir contre lui. Son bras t’encercle. Tu déposes ta main sur son torse, à l’endroit où son coeur bat tout lentement. Tu cherches à synchroniser le tien sur son rythme, bien que cela soit utopique. En te sentant observée, tu relèves ta bouille vers lui et il en profite pour capturer ta bouche délicatement. Tu laisses vos bouches se décoller au ralenti et passes ta langue sur tes lèvres pour ramener un peu plus de Pluton en toi. Il s’excuse. Ton palpitant se ramollit. Son souffle s’échappe pour se rendre à ton cou. La température grimpe. Sa main sur ta hanche réveille de sombres desseins. Tu soupires et lances ta jambe au-dessus de lui pour t’emboîter plus encore à ses courbes. Tes doigts se glissent dans ses cheveux encore mouillés « Je sais » avoues-tu en embrassant son crâne tout frais « Je sais mon amour » Et merde, ça fait du bien, c’était trop tentant et irrépressible cette fois-ci. Tes doigts se faufilent sur son visage pour le relever à hauteur du tien « Je craignais juste que je puisse te dégoûter… Le pire qui puisse m’arriver actuellement, c’est que tu m’échappes, que je te déçoive ou que je te blesse Pluton. Ce soir, j’ai dû te toucher quelque part et je m’en veux. Beaucoup beaucoup. C'est moi qui suis désolée » Inconsciemment, tu commences à te frotter contre lui, toute cette tension se transforme en énergie sexuelle. « Donc je vais réitérer ma question et si j’hérite d’un « il parait » beh, t’es privé de moi, nah ! Alors est-ce que c’est ici qu’il y a mon chéri ou il a disparu et je dois en trouver un autre ? » Tu le taquines un peu en guidant sa main de ta hanche vers ta fesse accessible. Tes prunelles jonglent à vive allure entre les siennes, incapable de faire un choix entre l’une d’entre elles. Ton coeur s’emporte et galope fort sous son toucher qui te rend sienne « Et tu me montreras quelles photos te faisaient sourire, j’suis jalouse  »

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J’avais bien du mal à être de marbre face à elle. En fait, la pression de la soirée était redescendue et je m’en voulais d’avoir réagi si… impulsivement. D’autant plus que ce n’était pas ma volonté que de la faire se sentir mal, au contraire. J’avais eu peur pour elle, peur qu’elle vienne à souffrir à cause de ce mec qui ne pensait clairement qu’à lui. Et ouais, elle était présente donc elle avait morflé toute mon humeur devenue massacrante d’un coup. Mais j’espérais pouvoir me rattraper. Alors elle venait s’installer à mes côtés, contre moi, encerclée par mon bras qui la gardait tout contre moi et ouais, je me sentais mieux à présent. Encore plus quand mes lèvres s’écrasaient contre les siennes avant de venir trouver place dans son cou. Et ma main, qui s’était posée sur sa hanche, suivait le mouvement qu’elle faisait en positionnant sa jambe entre les miennes. Au moins, elle savait que j’étais désolé et c’était le principal. Maintenant, elle relevait mon visage pour que mon regard plonge dans le sien. « C’est pas toi qui me dégoûte, loin de là… Bébé, c’est lui qui me… il me dégoûte, me révulse et je le déteste de t’avoir fait ça » soufflais-je alors, avec dédain. J’avais envie de lui fracasser le crâne pour avoir pu la toucher de cette façon. Mais là, je commençais à avoir la tête ailleurs, ses mouvements commençant à faire leur chemin jusqu’à mon esprit qui comprenait que ça devenait un peu plus électrique. Et mon corps agissait presque en conséquence. Doucement mais sûrement. « Il est là ton chéri et il ne te laissera pas partir » glissais-je entre mes lèvres, finissant par me mordre celle inférieure tandis que l’échange de regard que nous avions devenait de plus en plus chargé en envie sexuelle qu’autre chose. D’autant plus que ma main, grâce à la sienne, se retrouvait sur sa fesse et je la malaxais par dessus le t-shirt, avant de glisser en dessous et remarquer qu’elle ne portait strictement rien. Ok, effet assez immédiat. « C’était une photo de toi… de moi… en train de s’embrasser… comme ça » Et je venais capturer ses lèvres, avec l’envie qui me parcourait tout le corps, qui m’électrisait un peu plus à chaque instant. Prenant alors les directives, je me fis rouler au dessus d’elle pour avoir le dessus. « J’ai pas envie de te baiser ce soir… j’ai envie de te faire l’amour » glissais-je avant de capturer doucement ses lèvres. J’ai envie de lui donner de la tendresse, de l’affection. Ne pas être un animal qui assouvit une pulsion primaire.

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Un autre homme a embrassé tes lèvres et pas n’importe qui. C’est pour cela que tu te crois à présent dégoûtante. Bien que tu t’aies lavé les dents des tonnes de fois depuis, tu te sens sale. « Il a été débordé… C’est de ma faute. Ta copine est une bonnasse... J'plaisante » C’est surtout toi qui as osé l’embrasser au Spring Break sous prétexte que tu incarnais un rôle pour parfaire tes talents d'actrice. Si tu ne l’avais pas croisé ce jour-là, alors qu’Enzo et Pluton venaient de se battre, peut-être que rien ne serait arrivé récemment. T’as réveillé un truc Louison. Tu dois en subir les conséquences ou espérer que Liam t’efface de sa vie, pour son bien. Parce qu’à présent, ton choix est fait. C’est Pluton. « Il ne me laissera pas partir ? » Tu t’emballes et guides sa main à ta fesse. C’est la révolution dans ton corps. Pluton pétrit ton derrière par dessus son tee-shirt. Le tissu frictionne ta peau encore humide. Tu le questionnes sur l’image qu’il visionnait plus tôt et ton coeur se contracte en envoyant ton sang plus fort dans chacun de tes vaisseaux. Il te rend dingue, putain. Tu l’embrasses aussi fort qu’il t’embrasse. Est-ce qu’il se refait souvent vos souvenirs ? C’est trop excitant de savoir que tu occupes de plus en plus ses pensées. Pluton te passe dessus, tu te courbes et attrapes son visage dans la pénombre « Montre moi comment tu fais ça » Comment tu peux m’aimer… Tu déposes une plainte toute faible avant qu’il accapare tes lèvres et que tu intensifies ce baiser. Tu t’échauffes tout contre lui, tes mains s’infiltrent sous son tee shirt et longent sa colonne pour venir s’agripper à ses omoplates roulant sous sa peau à chacun de ses mouvements « Pluton… » que tu murmures en caressant ses mollets de tes pieds nus. Une vague de chaleur s’étend à toute ton enveloppe. Ton haut te colle à la peau, l’effet est immédiat. « J’suis à toi, toute à toi, j’ai aussi envie de te faire l’amour, c'est possible ? » chuchotes-tu au creux de son oreille. Ton nez se niche dans son cou avant que ta bouche prenne le relai pour dévorer cette partie sensible. Tu aspires sa peau entre tes dents pour le marquer à ton tour de ton empreinte « Pardon, ou pas pardon, t'es le mien, c'est le prix à payer » Tu pouffes de rire tout en craignant  sa réaction. Peut-être qu'il hait ce type de marquage...  

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Je préférais ne pas revenir sur ce sujet, sur cet homme qui a posé ses lèvres sur les siennes, qui avait voulu la déshabiller pour aller plus loin avec elle. Je m'occuperai de son cas dès que j'aurai un peu de temps. Là, je préférais de loin me reconnecter avec elle, sentir sa peau contre la mienne, ses lèvres jouant avec les miennes et.. ouais, c'était beaucoup mieux ça. « Non... T'es à lui, juste à lui » Et je ne voulais pas que ça soit autrement parce que grâce à elle, je me sentais bien, je me sentais heureux, en vie. Et c'était clairement la meilleure sensation au monde. Comment la laisser partir quand elle était devenue la meilleure chose dans ma vie actuellement ? Doucement mais sûrement, la température montait dans la pièce, suffisamment pour que mon corps se réchauffe encore plus à proximité du sien. Je me positionnais au dessus d'elle, mon visage proche du sien, mon corps collé et je me sentais à ma place mine de rien, c'était délivrant comme sensation. Mes lèvres contre les siennes, je me délectais du moment, que ce soit les baisers ou ses mains parcourant mon corps sous mon t-shirt. Elle ne cessait d'émettre des sons de bien-être, qui prouvent que ma présence, que mes actes envers elle lui plaisaient. Et je ne pouvais pas m'empêcher de me dire qu'un autre voudrait être là à ma place, mais non, je me battrai s'il le faut pour la garder à mes côtés. Louison Chamberlain était à moi. « Évidemment... c'est même conseillé » que je finissais par dire, légèrement en train de rire. Mais l'effet qu'elle me faisait, il était quand même fou. Ses lèvres sur mon cou, son nez frôlant ma peau, ça me rendait dingue. Et je me mis à sourire en comprenant ce qu'elle était en train de faire dans mon cou. « T'es invitée à le faire plus souvent si ça te chante » finissais-je par lui dire, lui volant un baiser avant de me redresser pour retirer totalement mon t-shirt. L'envie de lui retirer le sien aussi était grandissante, mais savoir qu'elle ne portait absolument rien en dessous... ouais, j'avais encore envie de laisser le désir monter. J'en profitais pour retirer mon jogging, ne portant alors plus que mon boxer, puis je me remettais au dessus d'elle, plongeant mon regard dans le sien. « Tu crois que je peux faire mon possessif moi aussi...? Comme ça, quiconque tente de te séduire verra que tu es déjà prise » que je disais, laissant mes lèvres trouver place le long de sa mâchoire, descendant jusqu'à son cou, mordillant son oreille avant de déposer un baiser sur sa peau. « Je peux ? » Et peut-être qu'elle ne voulait pas mais j'en avais très envie, vraiment beaucoup. Comme ça, son Liam, si jamais elle le voit, il verra qu'elle est toujours bien avec moi et il aura la rage.

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Il t’affole complètement. Tu l’as dans la peau, de plus en plus. Son caractère ambivalent te fascine autant que sa bouille de gamin insouciant. Bien évidemment que tu as envie de lui, il t'attire. L’orage qui s’est abattu sur vous a disparu, laissant derrière lui une ambiance électrique propice au rapprochement. Pluton prend les devants en s’écrasant sur ton corps légèrement vêtu. Happée par le désir qui se déclenche bruyamment en toi, tu te montres d’une extrême possessivité en marquant sa peau à l'aide de ta bouche. Il est à toi et tu comptes bien que l'on s’en aperçoive si on décide de poser ses prunelles trop curieuses sur son cou. « J’essaierais autre part la prochaine fois… » Il t’embrasse et s’élève au dessus de toi pour retirer ses vêtements. Le manque se creuse lorsqu’il prend cette distance. Tu forces sur tes abdos et poses tes mains sur les siens pour remonter tout doucement sur ses pectoraux. « Tu es tellement beau chéri » Il s’écarte encore plus pour retirer son jogging, tu le mates faire en t’appuyant sur tes coudes, impatiente qu’il te retrouve avec sa chaleur. « Dépêche toi, reviens moi ! » lui lances-tu en ramenant ton index en ta direction. Pluton se faufile de nouveau sur ton corps moite. Tu affrontes son regard jusqu’au moment où il te pose cette question à la réponse si évidente. Tes yeux se ferment, tu gémis sous ses baisers et ce chemin humide que laisse sa salive sur ta peau. Son dernier murmure te terrasse complet. Tu penches ta tête sur le côté pour lui laisser le terrain bien accessible « Vas-y, manges moi » Une de tes mains s’enroule à sa nuque, l’autre part à la conquête de son fessier. Tu palpes et serres ce dernier bien plus fort lorsqu'il pince ta peau fine pour la marquer « Me voilà encore plus tienne » Tu souris et tapes sa fesse en l’accueillant encore plus entre tes jambes pour sentir sa bosse se blottir contre ton intimité « Hé… » murmures-tu pour attirer son attention entre deux baisers ardents « Je peux t’avouer un truc… ? » lui demandes-tu en mordillant nerveusement ta lèvre inférieure. Ton bassin se cambre machinalement en avant pour aller encore plus fort à sa rencontre. Pluton t'inspire tellement. Il te mène vers des contrées jamais visitées et à chaque fois, tu en sors comblée.  

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C’était un moment qui avait mal commencé. Mais finalement, on trouvait toujours le moyen d’en tirer le meilleur et d’aller mieux par la suite. Elle et moi contre le reste du monde. C’était comme ça à présent, je le savais et j’en étais certain que ça pouvait fonctionner. La discussion, elle était primordiale. C’était bien pour cette raison que je m’étais retrouvé à l’embrasser comme si ma vie en dépendait, avant de finalement prendre place au dessus d’elle. Et c’était de cette façon que sans demander mon avis, elle avait laissé une petite marque dans mon cou, comme pour montrer que le territoire était déjà sous occupation française. Et ouais, moi aussi je voulais faire de même, comme je l’avais déjà fait au début de notre relation. « Autre part ? Tu as une idée d’où ou…? » Non mais parce que le cou c’était bien, c’était visible et le message passait. Ailleurs, ça risquait d’être plus désagréable qu’autre chose. Enfin, j’en savais trop rien. Quoiqu’il en soit, le moment était propice au déshabillage et je m’étais alors redressé pour retirer mon t-shirt qui était de trop et je frissonnais au contact de ses mains sur ma peau. Et j’en profitais aussi pour retirer mon jogging, ce qui me fit m’éloigner encore plus, chose qu’elle n’appréciait pas tellement. « J’arrive, j’arrive ! » Et dès que ce fut fait, je retournais à ma place initiale pour lui capturer ses lèvres. Et forcément, je mettais en œuvre tout ce qu’il fallait pour qu’elle cède à mon avance. Une fois dans son cou, j’avais son aval et je ne me faisais pas prier, suçant alors sa peau, mordillant même légèrement pour y laisser une marque nette et précise. D’autant plus que sa main qui n’était pas dans ma nuque me serrait une fesse et ça m’excitait encore plus. « Encore et toujours plus » que je disais en souriant. Et ses jambes écartées, je me retrouvais à entrechoquer mon entrejambe avec la sienne et autant dire que c’était toujours plus excitant comme position. Mais voilà qu’elle avait un aveu, qu’elle n’osait pas dire d’un coup d’un seul. « Dis moi tout » et du coup, je libérais ses lèvres prises par les miennes en allant me réfugier dans son cou, de l’autre côté de la marque laissée juste avant. J’avais juste envie de retirer son t-shirt là, mais je me retenais, attendant simplement que les mots sortent de sa bouche. Pour le coup, je ne savais pas trop à quoi m’attendre alors c’était totalement la surprise.

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T'espères que l'incident avec Liam ne te bloquera pas à un moment donné. Pour l'heure, les tensions semblent s'être volatilisées. Il n'y a que lui et toi, dans cette chambre à la porte grande ouverte. Il te questionne sur l'endroit où tu pourrais le marquer de nouveau et les idées arrivent à grandes enjambées. Bien évidemment que tu trouveras un autre endroit pour qu’il se rappelle de toi, mais sans que les autres aient forcément à le voir. « Oui j’ai ma petite idée, ton torse me fait de l’oeil… » lui avoues-tu pendant qu’il se déshabille et que tu balades justement tes doigts sur l’endroit convoité. Tu le presses pour qu’il revienne vite sur toi. Il s’exécute et te recouvre de son corps. Face à sa demande, tu lui offres ton cou pour qu’il te laisse un joli suçon. Tu te crispes quand la douleur devient plus intense. Ta main compresse sa fesse dans ta paume pour canaliser tes réactions. Tes jambes se séparent l’une de l’autre au même moment pour mieux l'accueillir. Son érection naissante vient taper contre ton intimité, tu soupires déjà de plaisir en te soumettant encore plus à lui. Soudainement, t'interromps vos baisers endiablés en laissant une interrogation en suspens. Pluton continue de t’exciter en se réfugiant dans ton cou. Tes mains se faufilent dans sa chevelure pour plaquer son visage encore plus contre toi. Tes lèvres se campent près de son oreille accessible. Ton coeur bat fort, tu as peur qu’il interprète mal les choses, c’est pourtant sincère et t’espères que cela aura un effet positif sur le suédois « Je t'ai voulu dès la première seconde » murmures-tu avant de mordiller son lobe dans ta bouche et de l’effleurer de ta langue « Dès que je t’ai vu… » Craignant de l'effrayer après cet aveu, tu le pousses sur le côté pour prendre l’ascendant. « Touche moi » l’implores-tu en frottant ton intimité sur sa bosse. Un coup d’oeil sur tes seins, tu te rends compte qu’ils pointent comme jamais, durcis par l’envie que ton copain soulève en toi « Ils ont besoin de toi… » Tu secoues ta tête et les attrapes dans tes petites mains à travers le tee-shirt en coton que tu portes « Beaucoup besoin de toi » Tu retirerais bien ce haut pour entrer enfin en contact total avec lui, mais tu préfères largement que cela soit lui qui s'y attèle. Tu crèves d'envie qu'il craque et qu'il te l'arrache pour te bouffer, si le désir est toujours là...